Bonjour, regarde sur Youtube.
Il y a un concert de l'album live en question.
Tape: Dreams Theater: What If Thé Astonishing hard a Live Album.
Ça devrait te plaire, je pense.
Et dans le même genre, il y a un concert pour l'album Black Clouds & silver linings.

Je me souviens d'un concert parisien dans un lieu inhabituel : le palais des congrès, mais je n'ai malheureusement pas pu m'y rendre. Je ne crois pas qu'il y ait eu une mise en scène telle que tu la décris.

Bonjour Elk,
Par ma question, je pensais plutôt a un nouvel album avec le lineup "actuel" s'il est toujours d'actualité (?), c'est à dire avec Ted Leonard.

Je n'imagine pas tellement un retour de Neal Morse ou encore moins Nick D'Virgillo, sauf peut-être pour une tournée anniversaire ?

Je suis d'accord, le groupe a changé avec le départ de Neal Morse, mais j'ai tout de même bien apprécié les autres périodes et il y a tout de même la patte des autres membres du groupe (Alan Morse, Dave Meros, Okumoto -pas forcement toujours pour le meilleur pour ce dernier mais ca reste son identité...) donc je ne peux pas réduire le groupe à Neal Morse uniquement.

Très dur d’imaginer une réunification au regard des activités gargantuesques de Neal Morse, et du temps qui est passé depuis son départ. Peut-être sans lui, mais ce n’est plus le même groupe.

Très dur d’imaginer une réunification au regard des activités gargantuesques de Neal Morse, et du temps qui est passé depuis son départ. Peut-être sans lui, mais ce n’est plus le même groupe.

aucune idée là dessus, mais cela me fait penser à quelque chose, je me demande vraiment pourqoui ils ont toujours pas mis à jour leur page de podcast, depuis presque 4 mois. c'est inquétant je me demande si c'est pas lié à l'histoire que le type qui diffuse trouve ou constate bizarrement qu'il y a parait il trop peu de gens qui écoutent (comment le voit il sur une web radiot ?) c'est spécial, et j'aime pas trop cette tournure.

Merci de vos réponses !
La seule scène dont je me souviens vraiment est cette phrase qu'ont nos deux compères face à une bonne-soeur (probablement la responsable de l'orphelinat) : "Ma soeur, ce n'est pas pour vous offenser, mais vous êtes vraiment dans une belle merde !" et là, elle leur assène un énorme crochet et ils tombent dans les escaliers...

C'est une intrigue ptétexte à des séquences musicales, des gags et des carambolages automobiles, mais qui, mis à part ça, tient en une ligne : les deux frangins Blues reforment leur groupe pour en venir financièrement en aide à l'orphelinat de leur enfance...

Le film n'est pas un biopic mais une comédie buddy movie/road movie avec poursuites de bagnoles spectaculaires. La musique est totalement fondue dans l'intrigue dont voici le pitch : Jake et Elwwood (les frangins) décident de reformer leur groupe afin de sauver l'orphelinat où ils ont été recueillis enfants, pour cela ils doivent convaincre leurs anciens musiciens qui sont tous (c'est le cas de le dire) rangés des voitures. La troupe va ensuite partir sur la route et tenter de trouver des dates de concert. Ce film est désormais un classique dont je préfère la VF (une fois n'est pas coutume) à la VO.

J'ai remarqué un truc au sujet de cette pochette (la photo de pochette, hein) : elle semble représenter la disposition musicale du groupe, le chanteur devant, au centre, la section rythmique en arrière-plan, et les deux guitaristes, un par canal, un à gauche et un à droite donc.
Vous n'aviez pas remarqué, vous aussi ?

On demandera au vieux Stones de nous fournir un mode d'emploi pour pénétrer dans leurs albums du troisième âge.

LE MERLE d'ici là souffrira peut-être d'Alzheimer.

Parce que ce n'est qu'une moitié de pochette ! Si on déplie le vinyle, on a l'image complète et tout le groupe est bien là : https://textes-blog-rock-n-roll.fr/wp-content/uploads/2021/04/rolling-stones-black-and-blue-tw.jpeg

Les cinq membres du groupe y figurent, seulement il faut déplier la double pochette pour y voir Ronnie Wood et Charlie Watts au verso !

Non, nuance : ce ne sont pas d'anciennes photo, mais des photos de l'époque de l'album 'à l'ancienne'.

Les photos ont l'air assez anciennes et il ne faut pas oublier que le droit à l'image au Royaume-Uni n'a rien à voir avec le droit à l'image en France.

Je n'ai pas trouvé beaucoup d'infos sur la façon dont Alaric Hammond a travaillé sur la pochette, mais a priori le groupe n'a pas reçu de plaintes jusqu'à présent. Personnellement, je serais plutôt honoré de voir mon visage sur cet album :)

Ils SONT sur le vinyle original. Non crédités, mais ils y sont. Possédant le vinyle original, je peux le certifier.

C’est une chanteuse américaine pas trop connue appelée Céleste Prince qui a apporté son concours à Neal Morse. Superbe chanson en effet !

En live, c’est Rick qui attaque seul avant d’être rejoint par Roger. Sur le disque on dirait en effet Roger, à vérifier car ils savaient tous deux chanter en voix de tête de même que John Helliwell d’ailleurs.

Pour moi, c'est Roger Hogdson, ça ressemble vraiment à sa voix. Davies a une voix tellement grave (par rapport au falsetto) que je l'imagine mal forcer sa voix pour qu'elle sonne exactement comme celle d'Hogdson.

J'ai mis pas mal de temps pour apprécier ce septième
de Led Zeppelin.
Puis les années passèrent et ce qui était pour moi plus que déroutant "au regard" de ce qu'avait produit le groupe auparavant est devenu une évidence. Nestor parle d'une "singularité" et nous sommes nombreux à considérer que ce Présence en 1976 si singulier, tient aujourd'hui très bien la route.

Réhabiliter "Achilles Last Stand"? Je pensais que c'était déjà un classique du groupe. Je me trompe peut-être?
"Tea For One" n'arrive malheureusement pas à la cheville de son modèle, donc ce sera non pour ma part:D

Ben, complètement d'accord, ces deux chansons, "Achilles..." et "Tea for one", sont des merveilles. Même si la seconde est quand même un petit peu trop proche, musicalement, de "Since I've been loving you", aux dires même des membres du groupe.
"Achilles..." est une splendeur qui, en live, pouvait être soit un pur instant de féérie, soit un calvaire, selon les soirs (ayant entendu pas mal de bootlegs de la tournée 77, je le certifie) !

"Achilles Last Stand" est un des plus beaux morceaux épiques du ZEP c'est clair, mais comme LONG JOHN SILVER je suis moins fan de "Tea For One" que j'ai aussi tendance à considérer comme un décalque de "Since I've Been Loving You". En tout cas le mésestimé "Presence" contient quelques autres pépites : "Nobody's Fault But Mine" ou "For Your Life" déjà par exemple.

"Présence" est probablement mon album préféré du Zep. Il y a une modernité et une singularité que je ne retrouve pas sur leurs autres (excellents) albums

Tout à fait d'accord concernant "Achile's Last Stand", un titre épique à tiroirs plus dans la lignée d'un "The Song Remains The Same" que du pachydermique "Kashmir" épicé sauce orientale (un must absolu donc). En revanche "Tea For One" m'a toujours posé question, en dehors de son intro géniale c'est un copié/collé de "Since I've Been Loving You". En moins bien.

Bonjour et bienvenue !
Merci pour cette question qui induit (pour plus de challenge) une tournure au singulier et donc, pour tenter de m'y tenir, je vous dirais Amigos (1976). Excellent album pour découvrir plusieurs facettes de l'artiste, avec pop-rock latino plus ou moins léché, tubes, instrumentaux guitaristiques (parfois les deux ensemble : "Europa"), improvisations longues même si à un degré limité, le tout servi avec un son seventies donc plutôt "classique", proche des vrais chefs d'oeuvre.
De là, vous pourrez ensuite naviguer d'une ère à l'autre plus facilement, je pense.

De 1969 à 1972 à mon avis 4 albums incontournables : Santana, Abraxas, 3 et Caranvanserail.
Puis, à partir de 1973, les adeptes adoptent des avis différents et opposent même la discographie de Santana.

J'apprécie encore Love Devotion Surrender, Welcome et Borboletta.

Par contre, je trouve Illuminations et Amigos très décevants. De 1974 jusqu'à Milagro en 1992, je trouve sa production assez banale.

Je renoue avec l'homme aux origines mexicaines avec en 2019 Africa Speaks.

Je ne suis pas un spécialiste de la discographie de Santana mais effectivement, un des trois premiers albums (Santana, Abraxas, Santana III), Caravanserai et Moonflower me semblent un choix intéressant. Je dirais simplement ‘Moonflower’ pour l’aspect live et les classiques (‘Black Magic Woman’, ‘Europa’, ‘Soul Sacrifice’, ‘Toussaint L’Overture’) et Caravanserai qui est absolument extraordinaire, entre jazz, rock, touches latines et arabisantes.

"Abraxas" me semble bien, ainsi que "Moonflower" (double album en grande partie live) pour avoir une vue d'ensemble, live et studio, du groupe à son zénith (passé "Moonflower", ça devient moins intéressant).
J'ai personnellement commencé avec "Caravanserai", c'est une bonne porte, aussi.

Alors je sais que c’est le dernier titre qui a été composé par l’artiste pour l’album, effectivement on sent un côté un peu « To The Bone », le morceau sonne comme une transition vers un nouveau son. Dans le concept de l’album (en gros l’aliénation d’une jeune femme par la vie citadine), ce morceau parle de l’adolescence de la protagoniste nommée H. il me semble. Le premier titre "Three Years Older" semble parler de l’enfant de H., le morceau-titre de sa vie amoureuse et "Perfect Life" représente plus ou moins le pivot de l’album où il va plonger dans une dimension vraiment glauque. Regarde le clip, il montre bien cet espèce de flash-back racontant ce moment de son adolescence où elle développe à 13 ans une relation forte avec une grande sœur adoptive de 16 ans pendant quelques mois avant que leurs parents ne se séparent et que J. (la sœur adoptive) ne retourne dans une énième famille d’accueil. Ensuite des indices dans le clip de "Routine" nous indiquent que le mari et l’enfant de H. sont décédés (waouh la vie est belle) et tous les morceaux suivants narrent une descente aux enfers dans l’isolement jusqu’à "Happy Returns" (mon chouchou) où H., coupée de toute vie sociale, tente de reprendre contact avec son frère mais meurt avant d'avoir terminé la lettre (« But I’m feeling kind of drowsy now / So I’ll finish this tomorrow »). Le concept est inspiré par l’histoire de Joyce Vincent, qui a connu une fin similaire à laquelle Wilson fait des allusions dans le texte (« Do the kids remember me ? / Well, I’ve got gifts for them »). Tu peux trouver pleins d’infos sur cet album en ligne, il me semble qu’il y avait même un blog. Bonne journée ;)

C'est presque une tradition dans le rock de jouer les morceaux un peu plus vite en live.

Un oubli, le Bottleneck n'est pas caractéristique du Swamp.
Le Swamp Blues correspond au Blues pratiqué durant les années 50 - 60 - 70 en Louisiane, dont le porte drapeau demeure le label Excello. On l'appelle parfois Blues des marais ou Bayou Blues.

Pour ce titre, Brother Dege utilise un bottleneck en alu et une guitare electro acoustique. On peut aussi pratiquer sur une guitare à plat, une lap steel, un pedal steel, un dobro ou une resonator.

Les premiers bottleneck étaient des canifs auxquels ont succédé des goulot de bouteille puis des cylindres en alu ou résine.
On pense que Joseph Kekuku reste le grand initiateur de cette technique apportant moult accords ouverts.

Parmi les grands utilisateurs de bottleneck ou de slide on peut citer Sol Hoopi, Benny Nawahi, Oscar Wood, Tampa Red, Son House, Mississippi Fred McDowell, Ry Cooder, George Thorogood, Hound Dog Taylor, Bob Brozman, Elmore James.

Une autre technique venant d'Afrique appelée le diddley-bow, un fil de fer à sécher le linge fixé au mur et au sol dont on peut tirer des notes à l'aide d'un canif ou d'une fiole de whisky s'apparente au bottleneck. Jessie Mae Hemphill et Lonnie Pitchford ont enregistré avec cette technique.

Quelques compil dédiées à la slide ou bottleneck:

The Slide Guitar vol 1 (Columbia)
Bottleneck Guitar Trendsetters (Yazoo)
Hawaian Music, Honolulu, Hollywood Nashville 1927-44 (Fremeaux-Associés)

Les albums ou singles sortis en Espagne (je cite ce pays mais c'est probablement aussi le cas dans d'autres pays ayant une langue officielle autre que l'anglais) sortaient souvent avec une traduction du titre de la/des chanson(s), j'ai plusieurs vinyles espagnols (des pressages espagnols, je veux dire) comme "Old Wave" de Ringo Starr qui devient, sur les labels mais pas sur la pochette même, "Vieja Ola", ou le "Schoolboys in disgrace" des Kinks ("Colejiales Castigados").
Marrant qu'en France on ne faisait pas ça, le maximum qu'on faisait, c'était parfois, selon les éditeurs, de glisser un insert avec les traduction en français des paroles de chansons (parfois avec Genesis dans les années 70, notamment).

Une maison de disque à un moment donné a décidé de changer l'ordre dans l'espoir de booster les ventes et de mettre les morceaux qui marchent au début et les bouche trou à la fin.
Allez sur discogs, vous trouverez toutes les versions (ou presque) de tel et tel album et vous verrez ce qui se passe. Parfois, c'est la pochette qui change, parfois c'est l'ordre des musiques, parfois il y a des morceaux différents, parfois rien ne change etc.
Dans certains pays, les titres des chansons au dos sont même traduits.

La version originelle, en vinyle, du "Back In Black" d'AC DC comporte sur la pochette un ordre des morceaux qui ne correspond pas au déroulé du disque. Chose encore plus étonnante, et déroutante, lors d'une des premières rééditions remastérisées en CD l'ordre de la pochette a été suivi pour le déroulé. Ça m'avait tellement perturbé à l'époque que j'avais fait une gravure du CD en remettant les titres dans le bon ordre...

Oui, ça peut aussi être un changement de dernière minute !

Ah OK Foudrock !

Mais la différence, c'est que sur ce SANTANA,l'ordre sur la pochette est vraiment assez proche du véritable ordre (en gros il n'y a que 3 morceaux qui sont mal placés, mais la trame générale suit le véritable ordre). Quitte à changer, autant tout changer !

Autre explication : l'ordre des morceaux sur le disque a été changé au dernier moment, et il était trop tard pour réimprimer la pochette...

Ca arrivait souvent que les pochettes d'albums proposent les titres des morceaux dans le désordre. Souvent, il y avait la présence de la mention "see label for running order" ("voir l'étiquette de face pour l'ordre des morceaux"). Par exemple, une bonne partie des albums de Kiss ou de Van Halen sont "concernés", "Isolation" de Toto aussi, entre autres...
Ce n'est pas le fait d'un label en particulier (Warner pour VH, Columbia pour Toto et Santana, Casablanca pour Kiss), d'ailleurs.
Pourquoi faisaient-ils ça ? Peux pas le dire... Pour faire plus original ? (parfois, voir les albums de Kiss, mais pas tous, c'était par ordre alphabétique)

On retrouve "Pity Poor Alfie" sur Bitterest Pill (Polydor PEPD 316) également sur le Live Copenhagen Avril 1982.

"Tales of the Riverbank" et "Shopping" sur la compil The Jam Collection publiée en 96 par Polydor.

"Tales of the Riverbank" et "Pity Poor Alfie" sur The Jam compil de 1997 (Polydor 539 090-2)

"Shopping" sur la compil 30 Years of Fire and Skill (de 2007.

Well, well, well...

Et concernant une fan particulièrement hystérique:"She's louder than I am but I've got the microphone". Elle a plus de voix que moi mais c'est moi qui ai le micro.

Well, well, well...

Okay pour "Lovedrive" et "Animal Magnetism", c'est plus logique qu'elles aient été censurées elles aussi. Je ne savais pas:)

C'est quand même terrible d'être censuré à ce point!
Merci pour vos réponses les gars:)

Voici tous les albums de Scorpions qui ont fait l'objet d'une censure, dans des pays divers et variés. En effet seul Taken By Force a été censuré d'office en France.

In Trance : cachez ce sein...
Virgin Killer : raisons évidentes
Taken By Force : jardin d'enfants...
Lovedrive : les Etats-Unis n'aiment pas le chewing-gum...
Animal Magnetism : Animal de compagnie mal vu dans plusieurs pays
Love at First Sting : la Corée, les USA et l'URSS n'aiment pas le tatouage...
Pure Instinct : Cachez ce sein (bis) pour Walmart
Deadly Sting - The Mercury Years : cachez ce sein (ter) pour le marché japonais et Walmart

N'hésitez pas à lire la biographie "50 Ans Dans l'Oeil du Cyclone" pour tout savoir de ces diverses censures.

Ces pochettes de Scorpions ne furent pas censurées partout. Pour avoir possédé des exemplaires vinyles il y a une quarantaine d'années, je peux affirmer qu'en France, ces albums étaient bien vendus sous leurs couvertures originales à l'exception de celle de Taken by Force qui fut modifiée dans notre pays (celle avec les gamins jouant avec des armes à feu dans un cimetière militaire fit place à des photos individuelles des membres du groupe). Ce n'était pourtant pas la plus choquante (surtout par rapport à celle de Virgin Killer !). J'imagine qu'en France, la guerre vue comme un jeu était sujet à caution alors qu'évidemment, c'est passé nickel aux USA. Par contre la pochette de Lovedrive fut modifiée pour les Etats-Unis... sans doute afin de ne pas choquer les esprits pudibonds à la vue d'un sein !