Dans Breakfeast In America, le style même si il est plus "commercial", il y avait toujours beaucoup de recherche et d'inspiration de la part de Davis et surtout Hodson.
Ce n'est pas le cas dans cet album-là, à cause des tensions qu'il y avait entre les 2 têtes du groupe, ou tout le monde sait que si il y a dispute dans un groupe pendant des session, l'album qui en découlera sera évidemment moins bon voir mauvais à sa sortie.

Si on considère " Famous Last World " comme faisant partie de la période classique du groupe ; ce qui me semble être le cas puisque tout les membres originels y sont encore présents, alors c'est l'album de trop.
Une grosse daube si tu préfère, et c'est comme ça tout au long de l'album.
" Breakfast in América " est le dernier album de Supertramp pour moi...

Famous Last World illustre bien les mésententes entre Roger Hodson et Rick Davies, le tandem de Supertramp. En fait Roger Hodson et Rick Davies écrivaient pour le groupe, mais ils avaient chacun leur chansons à eux. Seulement, pour une certaine raison, au lieu de mettre sur l'album les noms des compositeur respectifs au chansons ils mettaient chaque fois les 2 noms. Ensuite agacé, RH ne veut plus le faire et du coup ça a créé des dispute. Ensuite, Rick Davies et Roger Hodson avaient des styles de vie totalement différents malgré les millions qui se sont abbatus sur eux.
Rick Davies était plus pour Las Vegas, le luxe, les jet set etc, alors que Roger lui vivait dans une villa avec sa femme et sa famille, à partir de là il y eu aussi des mésententes, ce qui a fini par ce que tout le monde sait : Roger Hodson quitte le groupe ne supportant plus les mentalités des autres membres trop près de l'argent et totalement démesurées.

Ceci dit, on ne voit peut-être pas les conséquences sur Brothers Where You Bond, mais après on remarqueras beaucoup ce manque d'un quelque chose qui ne fut rien d'autre que Hodson. Quand on y réfléchit tous les morceaux "tube" étaient de Roger Hodson alors que les choses plus recherchées, moins commerciales, style Rudy, From Now On, Bloody Well Right sont de Davies qui sont mais alors là très loin d'être moins bonnes, je dirais même qu'il avait plus de facilité dans le blues et le rock progrssif que RH mais bon ...

"Famous last Words ..." est le vilain petit canard de la discographie. C'est vrai que "It's raining again" et "My kind of lady" sonnent un peu variétoche mais d'autres titres ne méritent pas d'être oubliés. Je pense particulièrement à "Waiting so long", avec son solo de fou, la complainte finale de Roger Hodgson "Don't leave me now" et surtout, le sublime "Know who you are". Ce disque surpasse "Brother Where You Bound" mais, il faut l'avouer, succède difficilement au succès monstre de "Breakfast in America".

Oui, « Famous Last Words » est franchement piteux. Plus rien des racines progressives du groupe là-dedans, rien que des titres pop calibrés et largement dénués d'émotion. Je confesse un certain penchant pour les deux derniers titres, mais ce n'est pas vraiment un album que je conseillerais.

(à la différence de leur premier, sorti en 1970, qui est très intéressant : il est certes assez maladroit, mais des titres comme "Words Unspoken", "Maybe I'm a Beggar" ou l'épique "Try Again" valent largement le coup d'œil -- pour répondre à trezergre)

Il est encore plus pop et commercial que Breakfeast in America et aussi moins bien inspiré.
Ce qui est dû au fait qu'il soit l'un des albums les moins appréciés avec leurs 2 premiers, précédant "Crime of the Century".

A noter aussi que ce morceau s'enchaîne avec "Straight to the Light" du même album.

Il s'agit de "Shroud (Exordium)" présent sur l'album Mourning Sun de 2005.

D'ailleurs le jeu de mot du titre : "aux sombres heros de l'amer" et non "de la mer" indique assez bien qu'il s'agit d'une métaphore, non?

"La chanson traite de l'itinéraire d'une vie, comme le montre le passage « qui ont su traverser les océans du vide ». Ce passage illustre bien les longues périodes pendant lesquelles Noir Désir a été sans jouer. Cette information a été confirmée dans le magazine Les Inrockuptibles[1] de mars 1991 où le groupe, dans une interview, regrettait que le public ne saisisse pas le sens second de la chanson"

c'est sur wikipedia =)

Salut,

Cette chanson est dédiée aux poètes, voire aux écrivains en général. La mer est juste une métaphore filée. D'ailleurs l'hommage aux poètes revient fréquemment tout au long de l'album : par exemple Bertrand Cantat mentionne Maïakovski et Lautréamont.

A+

Saskatchewan

Le Rockabilly n'est rien d'autre que le Rock'n'roll des origines.
Donc Elvis entre 54 et 60, Cochran, Vincent, Lewis, Richard, Chuck, les Everly Brothers.
Ainsi que la scène du revival des 80's portée par les Stray Cats. Je te conseille d'ailleurs de commencer par ces derniers avec leur premier album dont tu trouveras ici la kro.
Bonne écoute.

pour ma part, j'ai l'impression qu'il s'agit plus d'un problème de mastering que du mix ou de la prod (c'est également un album que j'aime beaucoup! ...un de mes 2 ou 3 préférés dans la vaste disco de SAGA, même si effectivement il pèche au niveau du son!).

Alors là, aucune idée concernant le son. Je le trouve très "70's" en effet, ça ne me choque pas plus que ça. Même si les productions futures de Saga seront bien meilleures en effet, celui là sonne plus "démo".

pour ma part, je te conseillerai plutôt "Spectral Mornings" et "Highly-Strung". "Please Don't Touch" est trop FM-Américanisé pour en faire un album type de Steve Hackett!

L'excellent " Please Don't Touch "

Bonjour,
pour ma part j'adore "please don't touch" et "voyage of the Acolyte", je retrouve dans ce dernier la richesse instrumentale d'un "Tubular Bells"
Ensuite le live "The Tokyo Tapes" avec des covers de Genesis et King Crimson (aussi une reprise d'Asia...mais bon...), un album trés agréable à écouter
Pour c'est parties classiques, "Sketches of Satie" et "Metamorpheus" et "Tribute" sont mes préférés,
et puis dans un autre genre ( rock??...)"Darktown", et "Out the tunnel's Mouth" un trés bon album aux ambiances variées ou alternes guitares électriques et acoustiques.

Les 2 albums que je déconseille sont "Highly-Strung" et "Cured" (ahhhh ces années 80 !!!...le chant du TOP50!!!)car bof.

Si tu aimes Genesis je te conseille de commencer par celui-là car il reste fort dans l'esprit du groupe.

La carrière de Steve est très vaste en effet, avec de plus ça d'originalité que les albums sont souvent eux-mêmes hyper éclectiques. Pour te faire une idée, et si l'on doit garder un album pour chaque époque, je te recommande Spectral Mornings pour les années 70, Highly-Strung pour les années 80, Guitar Noir pour les années 90 et To Watch the Storms pour les années 2000. Après seulement si ça te plait, jette une oreille aux autres premiers (Voyage of the Acolyte, Please Don't Touch et Defector) ou aux autres derniers (Darktown, Wild Orchids et Out of the Tunnel's Mouth), le reste n'est pas nécessaire. Quant à sa discographie acoustique, plutôt qu'un album avec essentiellement que de la guitare classique, il y a A Midsummer Night's Dream, avec accompagnement d'orchestre, ou bien Metamorpheus dans le même style.

" Misplaced Childhood " de Marillion ( 1985 ).

Ne JAMAIS comparer The Wall des Pink Floyd avec The Lamb Dies Down On Broadway des Genesis.
Tout deux ont d'énormes qualités mais s'écoutent d'une façon totalement différente car bien que ce soit 2 groupes de rock progressif, le rock progressif est fort vaste, ici c'est 2 mondes différents.

Pour Lulubelle III : une histoire sans queue ni tête, c'est ce qu'on dit quand on ne comprend rien.
Au contraire c'est une histoire qui demande un peu plus de réflexion que l'histoire des Who qui ont créé l'histoire sous influence de LSD probablement.
Tout comme The Wall, l'histoire est plus profonde que ce qu'on peut entendre au premier plan, le fait qu'il sorte son double d'une rivière, qu'il soit enfermé, tout ça est très recherché, et il y a eu pas mal de travail derrière contrairement à certains groupe m'as-tu-vu de l'époque qui croyaient faire des concept albums sans vraiment savoir ce que c'est vraiment.

En fait, tout dépend de ce que tu recherches. Si tu recherches un vrai concept album, c'est à dire un album où le concept sert vraiment de ciment, de base à l'oeuvre, je conseille The Wall sans hésiter.
The Lamb est très bien musicalement, mais le concept... c'est une histoire à coucher dehors, sans queue ni tête. Pareil pour Tommy des Who.

En fait, la notion de concept la plus poussée et la plus complète se trouve dans The Wall, à écouter au moins une fois dans le cadre du film du même nom. Un concept très poussé, très intéressant, qui amène à la réflexion.

Non mais le rock progressif si on veut, c'est le même principe que le funk, c'est-à-dire que même si on pioche dans le rare c'est tout aussi bon faut pas croire que plus c'est rare moins la qualité est bonne :
Nektar : Remember The Future ; Eloy - Dawn ; Gong : You (ou la trilogie complète) ; Steve Hillage - Fish Rising ; Aphrodite Childs - 666 ; Hawkwind - In Search of Space ; ...

Les 2, bien sûr ! "The lamb" est à Genesis ce que "The Wall" est à Pink Floyd ou encore ce que "Tales from topographic ocean" est à Yes (même si c'est pas un concept-album).

Pas vraiment le même genre, à proprement parler, mais difficile, quand on parle de concept-album, de ne pas citer "Histoire de Melody Nelson" (1971) et, surtout, "L'Homme à tête de chou" (1976), de Serge Gainsbourg.

Hormis ces deux pointures, et en plus des autres albums nommés précédemment je te conseillerait aussi :"Thick as a brick de Jethro Tull, les deux premiers de King Crimson musicalement très aboutis, dans un tout autre genre le "Caravansérail" de Santana. Et puis, allons-y, trois autres encore : The Snow Goose de Camel, Tarot de Walter Wegmuller (avec la participation d'Ash Ra Tempel) et un obscur groupe français, dont d'anciens musicos d'Higelin, Ripaille et leur très recommandable La vieille que l'on brûla, le titre n'est pas très engageant mais ça vaut le coup d'oreille.
Bonne écoute.

Dans le rock progressif récent (oui, le prog ne s'est pas arrêté en 1980), il faut citer le magnifique "Snow" de Spock's Beard. C'est le dernier album du groupe avec le grand Neal Morse à sa tête et c'est sans conteste le meilleur. Un disque qui me fait pleurer à chaque fois que je l'écoute.

A part les grands classique des années 70 il y en a aussi de pas mal du tout dans les actuels.
Comme Ayreon (The Human Equation) ou alors Dream Theater (Metropolis Pt2) ou plus ancien Marillion (Misplaced Childhood).

Les deux n'ont vraiment aucunes similitudes
The Wall est, je pense, plus accessible parce que plus atmospherique et "moderne" dans l'ensemble (quand on pense qu'il est de 78 !!!)
The lamb lies demande déja une certaine "compréhension" du style rock/prog des 70" avec des morceaux à tiroirs, des envolées lyriques, des breaks etc... c'est pas chorus/refrain sur 3 mn. Et puis il date de 74 avec la production qui va avec...Bref, les deux sont, de toutes manières, indispensables.

Tout dépend de ce que tu aimes, ces 2 concept-albums ne sont pas comparables.
Si tu aimes le rock progressif, moderne (pour l'époque), repoussant les limites du genre (juste avant que le rock progressif devienne caricatural à son tour quelques années plus tard), The lamb est pour toi.

Sinon, si tu aimes la variété, The Wall est un incontournable, certainement l'album le plus abouti du genre.

Pour moi, The lamb lies... sans hésiter, je trouve The Wall trop mou.
Genesis période Peter Gabriel c'est du tout bon en progressif, après c'est devenu de la daube FM!
Sinon, si c'est du prog 70'S que tu cherche (vu les albums que tu cites), va voir Close to the edge ou Relayer de YES, c'est encore meilleur que Genesis, sans oublier Tarkus de ELP.

Il y a aussi "Ziggy Stardust" de Bowie, "S.F Sorrow" des Pretty things (le tout premier du genre, assez proche de Tommy), le déjanté "We're only in it for money" de Zappa ....

bien sûr, j'en oublie, mais tous ceux-ci et ceux cités par Terry (sauf "Preservation" que je ne connais pas en fait) sont des classiques du rock.
Par contre au niveau de la musique , ainsi que des concepts eux-memes, tous ces albums n'ont pratiquement rien en commun (sauf la qualité).
Tu devras donc te les procurer tous, je te garantis de bons moments. ^^

Sinon, je déteste "Lamb lies down in Brodway "... opinion assez peu partagée apparemment.

Entre celui-ci et "The Wall"...Je choisirai celui-ci, mais je ne vois pas en quoi on devrait mettre le second de coté, ça n'a rien à voir, ah ah ! Sinon, en albums-concepts, tu a "Tommy", "Quadrophenia" des Who, "Berlin" de Lou Reed, "Histoire de Melody Nelson", "L'homme à tête de chou" de Serge Gainsbourg, "Preservation Act 1" et "Act 2" des Kinks...La liste est longue !

Non, c'est parfaitement normal, à moins que tous les CD sortis possèdent ce même défaut, ce qui me semble peu probable. :)

Mais j'avoue que je trouve aussi que ce bruit de fond insoutenable gâche la chanson. Dommage, l'instru reste très bonne en elle-même.

C'est vrai que la ressemblance est flagrante !
Cependant, je doute que cet album précis, l'un des moins célèbres de Vangelis fasse partie de leurs influences... Néanmoins, le doute reste plus que permis ! Regarder les deux pochettes côte à côte fait un drôle d'effet... Merci d'avoir souligné leur parenté :)

Aux choix des autres visiteurs je rajouterai qu'une compilation Stax (le coffret The Stax Story) est nécessaire pour avoir une vision riche et étendue du genre.

"Hot Buttered Soul" d'Isaac Hayes.
"Curtis" de Curtis Mayfield.
"What's Going On" et "I Want You" de Marvin Gaye.
"Pieces Of Man" de Gil Scott Heron.
"Talking Book" et "Innervisions" de Stevie Wonder.

Gil Scott-Heron "Pieces Of A Man"

"What's Going On" de Gaye
"Dock Of The Bay" de Otis Redding
"Lady Soul" de Aretha Franklin
"Otis Blue" de Otis Redding
"Live at the Appolo" de James Brown
"Live at the Appolo, Vol II" du même

Salut !
Tu pourras retrouver "Sympathy" sur les versions remasterisées des albums "Holidays in Eden" et "Afraid of Sunlight". Elle est également disponible en édition single et sur diverses compilations du groupe ("A Single Collection" et "The Best of Marillion").

Voilà, je crois que tu as l'embarras du choix :)
Bonne continuation sur Forces Parallèles !

"An american trilogy" est un traditionnel sudiste américain qui date de la guerre de sécession. C'est un chant de ralliement,encore aujourd'hui.
C'est un chanteur de country Mickey Newbury qui l'a enregistré en 71 en premier, Elvis l'a popularisé en 72. Il est l'interprête principal de cette chanson.
Elvis n'a pas composé grand chose. c'est avant tout un performer et un interprête.

Il me semble que récemment Lou Reed a lancé une tournée sous le nom de Metal Machine Trio avec une musique inspirée de cet album.

S'il voulait avoir 2, 3 personnes dans le public par concert il l'aurait fait mais je pense qu'il a perdu assez d'argent avec cet "album".

Non.

La plupart des kros de Johnny "skeleton" Winter vont sortir trés bientôt. Je dois voir avec Maniac blues comment nous nous dispatchons ce qui reste dont le "second winter"... Patience!!

Salut,

Les voies d'accès à Chostakovitch sont nombreuses. Du côté des symphonies, on citera la n°5 (interprétation Mravinski) et la n°10 (interprétation Karajan ou Kondrachine), à la fois géniales, accessibles, et représentatives du style du compositeur.

Les concertos recèlent également de très bons moments, notamment le premier et le second concertos pour piano (interprétation du compositeur lui-même), le premier concerto pour violon (interprétation d'Oistrakh) et le premier concerto pour violoncelle (interprétation Rostropovitch).

Les quatuors à cordes peuvent également être une bonne introduction, les n° 8 et 10 en particulier (interprétation du quatuor Borodine).

Ensuite, l'oeuvre des Chostakovitch est tellement vaste qu'il y en pour tous les goûts : symphonies, oeuvres vocales, musiques de film, sonates,...

A+

La liste risque d'être longue !

Pour un premier contact avec le genre, je conseillerais The Shimmering Hour de Wisp et Rushup Edge de The Tuss.

Ensuite, du côté des pointures, il y a bien sûr le Richard D. James Album d'Aphex Twin, Tri Repetae d'Autechre, Hard Normal Daddy de Squarepusher, Not For Threes de Plaid...

En vrac, quelques albums d'artistes moins connus :
- Lunatic Harness de Mu-Ziq
- YosePh de Luke Vibert
- Volume 2 de Ceephax
- Bounds Green de Cylob
- My LoveILove de Bogdan Raczynski

En passant, jeter une oreille sur Venetian Snares, mais on s'éloigne déjà...

En fait, chacun de ces artistes possède sa propre vision de l'IDM ; certains refusent carrément l'appellation, d'autres n'y sont pas classés habituellement... Ce qui fait que le genre est très riche et invite à élargir ses centres d'intérêts à la musique électronique toute entière. Et alors là, bon courage ! ;)

Après vérification, il n'y a ni la Little Richard ni la Dylan sur mon vinyle, mais elles sont présentes sur la version remastérisée en CD avec laquelle j'ai fait la kro.
Bien vu. On tend à s'habituer aux nouvelles versions, j'en avais oublié la première.
Désolé !

Si Renaud, Cabrel, Souchon, Bashung sont de la "variétoche", alors que dire de la vraie variétoche du style de ces chanteurs/teuses issu(e)s de la TVréalité !

"La pire variétoche" ? "Un poisson d'avril" ?

Lorsque je vois la page de garde de FP, je ne peux qu'exprimer ma fierté devant l'éclectisme affiché par le site: du blues, du rock, de la soul, de la musique traditionnelle, du progressif, de la pop... Nous laissons à Nime toute la partie métal de la musique.

Tout cela ne sonne pas "pire variétoche" à mes oreilles. Goldman, Renaud, Cabrel, Souchon, et même Elsa Lunghini, ont leur public sur FP. Que vous n'en fassiez pas partie, soit. Rien ne vous oblige à lire les kros d'artistes que vous n'appéciez pas. Pas de jugement hâtif!

La "Pire Variétoche" ... ça va, c'est pas du Claude FRANCOIS, du SHEILA ou du SARDOU, faut pas déconner ! J'avoue que chroniquer Elsa sur FP me surprend (c'est vraiment pas ma tasse de thé), mais je soutiens Marco car il l'a chroniqué le plus sincérement du monde, avec toute l'objectivité qu'il se doit.

Je peux vous garantir que la présence de la chanson française sur FP a fait, et fait encore débat. Mais du moment qu'on parle intelligemment de ces artistes, je ne vois pas de problème. Moi avec Goldman par exemple, j'essaye d'en parler avec du recul, car c'est selon moi un putain de musicos !

Je ne compte pas m'arréter là, j'ai prévu de chroniquer Alain SOUCHON, quelques VOULZY, RENAUD, et même un peu de Gérard MANSET (ça va, pas trop effrayé ?) ET quid de BASHUNG ou CABREL, dont la disco a été déjà bien entamée ?

Il n'y a pas que de la merde dans la musique française et francophone, même si les jeunots actuels nous font penser le contraire ...

Pas dit. La pire variétoche débarque sur FP depuis quelque temps, alors moi plus rien ne me surprend moi :) A quand Julien Doré chroniqué :) ? Oops, c'est déjà chose faite :)

Heuu... c'est pas ça du tout !
Gong a toujours porté le nom Gong, le nom "Pierre Moerlen's Gong" est juste dû au titre d'un album live, juste pour signifier que c'est le Gong "2.0" c'est à dire celui où les 2 leaders du groupe sont partis et Pierre Moerlen a été choisi à l'unanimité pour reprendre le contrôle du groupe.
Ceci dit le succès aurait toujours été plus fort à la période psychédélique, c'est à dire depuis leurs débuts jusqu'à l'album You inclus, voire Shamal qui fut une période de transition, mais déjà un gros retour sur Terre (comme dit dans la chronique).

En fait, Gong après le départ de David Haellen, son vrai créateur, et le départ de Steve Hillage, autre guitariste qui, si on veut était le co-créateur et leader de la formation, Gong s'était réduit à quelques instrumentistes de jazz passagers comme il y a toujours eu dans le groupe, et le batteur ayant déja pas mal contribué depuis son arrivée, et ayant déja une certaine expérience au niveau du groupe.
Après Shamal et Gazeuse, ce serait peut être un geste de prétention de sa part et a voulut se mettre plus en évidence en renommant "The Pierre Moerlen's Gong". Un peu comme Ritchie Blackmore, guitariste de Deep Purple qui était prétentieux comme tout le monde le sait, après le départ de Deep Purple ou il s'était fait viré à l'unanimité par les autres membres, a fondé un autre groupe Rainbow qui au début se nommait Ritchie Blackmore's Rainbow, les autres du groupe ont contesté et le groupe a pu s'appeller tout simplement Rainbow.
C'est souvent comme ça que les groupes de séparent après avoir eu beacoup de succès, certains deviennent de plus en plus hautain et prétentieux, alors qu'ils ne l'étaient pas avant, et ça crée des dispute et des séparations, un ou deux musiciens veulent monopoliser le groupe, les autres se frustrent et ripostent, puis le groupe pensant plus à se disputer qu'à faire de la musique sortent des albums médiocres et puis ils se séparent, terminent un contrat avec un album hyper bâclé et c'est fini.

clarc kent est superman, bruce baner est Hulk, bruce wayne est batman, peter parker est superman et dieu est chuck norris

Bonjour,
peut être qu'avec cet album Mike célébre de façon euphorique son départ de chez Virgin.
Il en profite d'ailleurs pour règler ses comptes avec Richard Branson (là je fais référence au passage en Morse dans l'album).
Ce qui expliquerait aussi le catastrophique "Heaven's Open" qui suivra et qui se présente comme un opus bâclé, sans passion ni créativité...la page semblait déjà tournée.

La renaissance chez Warner sera accompagnée d'un "Tubular Bells II"...tout un symbole

Il ne faut pas non plus oublier qu'à la fin la narratrice avec l'accent de Margaret Thatcher pose la question "Happy?", donc pas sûr que ce soit dans une langue étrangère...

On peut aussi supposer que ce mot vient d'une langue étrangère, telle que Ommadawn et autres termes bizarres dans sa discographie. En fait quand le "vieux monsieur" dit "Happy" il ne le dit pas avec un accent anglais.
Ce type de musique c'est un voyage dans différentes ambiances, comme une sorte de rêve, ou un délire ou autre, on ne comprend jamais rien, il laisse des choses bizarres pour amplifier l'effet planant ou de rêve durant l'album.

Pour être franc, je n'en sais rien ! On ne peut que faire des suppositions.

Je ne pense pas qu'il y ai de sens particulier à ce "Happy ?" au départ. On n'a aucune information sur celui qui cite ce mot, repris en boucle ensuite par les bons soins de Magic Mike.

Vu le ton de l'expression, il semble qu'il s'agisse d'une question: "Happy ?". Donc à prendre dans le sens "Alors Heureux ?". Moi, à l'écoute d'Amarok, je serais davantage tenté de dire: "Alors Surpris ?" tant le contenu de l'album est une claque (pour reprendre ma Kro-express).

Mais toutefois, à chaque écoute de cet album, après en avoir découvert toute la richesse, je suis pris d'une certaine euphorie ... peut être que le "Happy ?" en est la retranscription.

A chaque fois qu'Amarok tourne dans mon lecteur CD, dès que j'entends le "Happy ?", je suis tenté de dire "Yes !!". Comme quoi cet album n'a pas fini de nous suprendre ;-)