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GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 26 Mai 2020 par FRANçOIS

@ANTé-FRANçOIS
Je vous remercie pour l'extrême originalité de votre intervention et pour la profondeur de votre argumentaire.
Sachez néanmoins, à toutes fins utiles, que mes propos ne sont pas ceux d'un sexagénaire ou septuagénaire dont le jugement aurait pu être mis sur le compte d'une certaine nostalgie pour l'époque de sa jeunesse mais d'un quadra qui a le privilège de goûter aux musiques d'aujourd'hui comme à celles d'hier...





DEEP PURPLE
STORMBRINGER


Le 26 Mai 2020 par VALR


Jamais deux sans trois, après "Fireball" et "Who Do We Think We Are", DEEP PURPLE, une nouvelle fois, offre avec "Stormbringer" un successeur contesté à un chef-d'oeuvre. Si l'on sentait déjà les influences de Coverdale/Hughes sur "Burn", il était sûrement difficile d'imaginer que "Stormbringer" allait à ce point s'engouffrer dans cette voie.

Pourtant, comme "Fireball", "Stormbringer" s'ouvre sur un morceau-titre rentre-dedans. On est en terrain relativement connu, un morceau réussi. La suite sera nettement plus contrastée en terme d'ambiances.

Si je n'irai jusqu'au 5/5 car il m'apparaît d'une certaine manière un peu léger, un peu facile, je trouve quand même cet album carrément classe. Un riff par-ci, un effet par-là, une subtilité par ici, et un chant au top une nouvelle fois.

Je suis toujours un peu étonné d'ailleurs de me dire (d'après ce que j'ai lu ça et là) que l'on doit cet album nuancé aux influences soul/funk de Coverdale et Hughes, quand j'entends certaines des oeuvres à partir des années '90 de ces deux-là, où ils se fourvoient un peu (beaucoup), je trouve, dans un heavy passe-partout décevant pour ma part. Comme quoi.

Un album qui n'a franchement pas à rougir quand on le réécoute à tête reposée sans a priori. On ne vient par contre pas y chercher la même chose que dans un "In Rock", un "Machine Head" ou même un "Burn", c'est sûr, et c'est ça qui est bien !

À mon sens, un grand album de plus dans la riche discographie de la nébuleuse DEEP PURPLE.





MARILLION
THIS STRANGE ENGINE


Le 25 Mai 2020 par METALPROG84


Un des meilleurs album du groupe sans problème. C'est marrant, contrairement aux autres avis, c'est "Estonia" que j'aime le moins (un peu molle). "Hope fot the future" n'est pas mauvaise, mais c'est vrai que le morceau dénote un peu quand même. Je trouve les 6 autres titres tout simplement magnifiques. Au niveau de "Seasons end" et "Brave".





GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 25 Mai 2020 par FRANçOIS

@Mormegil
Merci pour votre commentaire qui a le mérite d'être fourni, au contraire de celui d'Anté-François...
Peut-être me suis-je mal exprimé, d'autres considérations (le format pop / non pop) entrent peut-être en jeu mais... pourriez-vous me donner une liste de groupes actuels "musicalement supérieurs" (ou même égaux) à ceux des années 60 ou 70 ? Car musicalement, il me semble qu'il y a plus "à manger" chez Gong, Magma, Soft Machine, Zappa, King Crimson, VDGG, etc... que chez Nirvana, Oasis, U2, Radiohead, Sonic Youth, Placebo, Muse, etc..., si je me limite aux têtes d'affiche respectives des époques en question. C'était le sens de mon propos.





Ozzy OSBOURNE
ORDINARY MAN


Le 25 Mai 2020 par FEELGOOD


Quand le nouvel album d'Ozzy – son premier depuis dix ans - débute par son meilleur titre et que le reste s'avère très inférieur, l'auditeur a le droit d'être déçu. Rien de pire que les faux espoirs...
« Straight To Hell », s'il permet au disque de démarrer de façon sympa, illustre le principal problème de cet « Ordinary Man » : un son trop lisse, trop léché. Avec une production à la « No Rest For The Wicked »et le gros son de basse de Bob Daisley, ce titre aurait déchiré. « All My Life », ballade gentillette et sans saveur, casse d'emblée le mouvement initié par « Straight... ». Le soufflé s'est vite effondré...
« Goodbye », composition « sabbathienne », aurait pu figurer sur un album du groupe mené par Tony Iommi, à condition de bénéficier de la production vintage appropriée.
Le morceau titre, duo avec Elton John, est plaisant, sans plus, l'un et l'autre ayant fait bien mieux individuellement dans le passé. Autre problème : quatre chansons et déjà deux ballades ! Il ne s'agit pourtant pas d'un album d'Elton.
Que dire, ensuite, de « Under The Graveyard » si ce n'est qu'on a l'impression que cette chanson mollassonne n'a été écrite que pour illustrer une vidéo à l'aspect tellement hagiographique qu'elle en devient embarrassante ?
« Today Is The End », autre sucrerie, aurait pu figurer sur « Ozzmosis » (ou plutôt sur les morceaux bonus de l'édition japonaise). Cette deuxième partie d'album est une enfilade de chansons pop (« Scary Little Green Men »), de ballades ectoplasmiques (« Holy For Tonight ») et de monstruosités « contemporaines » (« It's A Raid », « Take What You Want ») dont seul surnage « Eat Me » sauvé par son harmonica rappelant « The Wizard » et sa basse à la « NIB ».
J'ai pris un pied extraordinaire à écouter Ozzy ce week-end. Il est vrai que j'en m'en suis tenu à deux vieilleries éprouvées intitulées « Speak Of The Devil » et « No Rest For The Wicked ».
2,5 arrondis à 3 pour ce disque bien ordinaire (parce qu'il ne faut pas tirer sur les ambulances).





PENDRAGON
LOVE OVER FEAR


Le 25 Mai 2020 par MERMöTH


C'est marrant, moi aussi quand j'ai entendu les 50 et quelques premières secondes je n'ai pas aimé. On croirait entendre un mauvais progressif des années 70, mais à la différence de toi Brad, j'ai continué l'écoute. Sincèrement je ne suis pas un grand fan des dernières productions de Pendragon, notamment Passion, qui à part le premier morceau m'ennuie profondément. Mais sur ce disque on retrouve enfin, enfin enfin cette guitare si envoûtante de Nick BARRETT. Cet album est un savant mélange de rock progressif old school et de ce néo progressif qui a établit cette touche "Pendragonienne" si je puis dire. Du coup l'écoute intégrale est un réel plaisir, et offre des sacrés moments d'introspection durant lesquels on laisse divaguer librement nos esprits. Mais surtout, on sent un Nick BARRETT beaucoup plus apaisé, plus joyeux et heureux. Les musiques de ce nouveau Pendragon sont beaucoup plus lumineuses et envolées que sur les dernières productions.
Alors le coup de gueule que je m'apprête à prononcer ne fera pas diminuer ma note, car cela ne concerne pas le musical finalement, mais plutôt le merchandising. Je me suis contenté de la version basique, car le format triple CD à 95 euros, je dis non, non, et archi non. Je ne suis pas une vache à lait. Déjà que le groupe ne fait pas partie des plateformes de streaming, alors proposer une version "deluxe" à ce prix là quand la plupart des autres groupes le font pour 25/30 euros, et que là on s'envole presque à la centaine d'euros, c'est purement scandaleux. Je suis déçu car j'aurais aimé découvrir ces morceaux en acoustique qui doivent sans aucun doute prendre une ampleur différente mais tout aussi intéressante. Je surveillerais cela au cours des prochains mois/années pour choper cette édition soit en promo, soit en occaz, mais grosse déception car je continuerais à refuser d'être pris pour un pigeon.





GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 25 Mai 2020 par ANTé-FRANçOIS

@FRANçOIS : ok boomer.





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 25 Mai 2020 par BAAZBAAZ

J'ai du mal pour ma part à avoir une appréciation homogène sur les années post-Pet Sounds. Je trouve que Surf's Up est un immense album tandis que Smiley Smile me laisse assez froid, d'autant plus que quelques énormes chansons ultra-connues (et géniales, évidemment) y cannibalisent tout.

Sinon, même si j'imagine que j'enfonce des portes ouvertes auprès des connaisseurs ici présents, l'album de DENNIS WILSON de 77 est à tomber par terre.






GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 25 Mai 2020 par MORMEGIL

Et l'award "OK Boomer" du commentaire 2020 est décerné à François, pour cette démonstration implacable qu'avant, c'était forcément mieux !

Trêve de sarcasme. N'importe quelle personne s'intéressant de façon sérieuse à la pratique instrumentale, et ce notamment dans le domaine du Rock (à prendre de façon très large), ne peut que rire d'une telle affirmation. Le niveau technique des zicos actuels est très largement supérieur à ce qu'il était dans les 70's, ce qui n'a rien de surprenant puisque la guitare et la basse (électriques) notamment étaient encore des instruments jeunes, qui demandaient encore à être exploité totalement. C'est moins vrai pour la batterie, d'autant qu'il s'agit d'un instrument plus difficile d'accès, peut-être plus de nos jours d'ailleurs à cause des contraintes sonores (d'où l'essor des batteries électroniques qui ne permettent sans doute pas un jeu aussi subtil, comme pour les pianos numériques).

Et il n'y a d'ailleurs aucune prouesse technique particulière dans cet album de GONG, hormis au niveau de la batterie qui fleure bon l'école du Jazz. Un album d'ailleurs dont le contenu musical demeure très fortement imprégné d'un Rock psychédélique qui commençait déjà à être un peu daté à cette époque (PINK FLOYD était en train de passer à autre chose, et tant mieux car le FLOYD c'est quand même vachement mieux sans Barret qu'avec, hin hin, et HAWKWIND était plus radicalement space).

De toute façon, ces musiciens étaient bien trop occupés à consommer du LSD que de bosser sérieusement leur technique instrumentale, car oui, une bonne hygiène de vie ça aide pour devenir virtuose. L'usage de drogue est d'ailleurs pour beaucoup dans cette fameuse "créativité", qui n'est pas contestable, mais dont l'appréciation peut être très diverse, un peu comme l'art contemporain, qui est souvent conspué.






The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 25 Mai 2020 par DAVID


Même chose pour Smiley Smile que je préfère aussi à Pet Sounds : Smiley Smile a un côté "défonce" qui me plaît beaucoup personnellement. Encore une autre facette des Beach Boys, méconnue. Globalement, je trouve que toute cette période des Beach Boys, qui comme à Pet Sounds, et qui s'étend de Smiley Smile à Surf's Up, toute cette période surpasse carrément les Beatles, mais ce n'est que mon avis :) ! Les Beatles étaient un groupe bien plus rock que les Beach Boys, ne serait-ce qu'avec la voix de John Lennon, ou même plus bluesy parfois avec la voix de Paul McCartney. Mais les Beach Boys ont des voix et des harmonies bien plus belles que les Beatles. Simple point de vue.





GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 25 Mai 2020 par FRANçOIS

C'est à l'écoute de ce genre de disques / artistes que l'on se rend (très vite) compte de la supériorité de ceux-ci par rapport à nos contemporains, que ce soit en termes de technique instrumentale ou de créativité.





MAGMA
KöHNTARKöSZ


Le 25 Mai 2020 par FRANçOIS

Oui, celui-ci a encore quelques longueurs mais il est plus digeste que "Mekanik...", je vais peut-être le mettre dans mon panier...





Miles DAVIS
SIESTA


Le 25 Mai 2020 par WHATUSE?


Miles Davis - Siesta
Un dimanche soir de 2012 ou de 2013, alors que j'étais en train d'achever mon centième trajet Perpignan-Toulouse, FIP me balance "Los Feliz" dans les oreilles. Je suis d'emblée envouté par la trompette de Miles (reconnaissable entre mille) reprenant la mélodie jouée par un DX-7 juste avant. Encore quelques kilomètres avant de rentrer au bercail, et je sens que je vais avoir pour mission de me procurer cette B.O. au plus vite!
J'ai fait une sacrée découverte ce soir-là: Appartenant à la fois aux discographies de Miles Davis et de Marcus Miller, cet album est injustement méconnu. Chronologiquement, il fait suite à "Tutu" (paru en 1986) , sur lequel on retrouve déjà les deux compères, l'atmosphère sonore se retrouvera logiquement dans les prolongements de ce disque. Car c'est bien d'atmosphère dont il va être question (assez normal dans le cadre d'une B.O.): Un son très marqué mi-80, à savoir beaucoup de DX-7, accompagnés par la basse métallique et slappée du Sieur Marcus, du sax urbain, des guitares hispanisantes, du mellotron (assez rare pour l'époque) et bien-sûr la trompette-maitresse de Miles. Cet album mélange délicieusement le chaud et le froid, le calme et la tension, Madrid et New York.
"Siesta" reste depuis un de mes disques de chevet, que ce soit pour mes dimanche soir, ou pour mes trajets en voiture!
A découvrir d'urgence.





TORTOISE
STANDARDS


Le 25 Mai 2020 par FRANçOIS


2001... Patatras, le 11 septembre, Autechre, Aphex Twin, Squarepusher et Plaid commencent à décevoir par excès de "complexitude" et WARP va se mettre à signer n'importe quoi ("parce que t'vois, tout se mélange et faut être ouvert d'esprit, mec")... Alors un skeud de ces (déjà) vieilles "gloires" du "post-rock" (encore une étiquette à la noix) que sont les Tortoise, why not ? Il y a un côté "easy-listening" dans cette zique (le vibraphone, les arpèges de guitare, les gazouillis électroniques), comme chez Stereolab (que je préfère car il y a des genres que je préfère avec chant et d'autres sans), ce qui en fait l'originalité et la limite (joliesse inoffensive et frustrante). Mezzo mezzo donc...





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 25 Mai 2020 par LEO


Je suis globalement du même avis que toi DAVID !

Même si je trouve Pet Sounds et les albums précédents forts sympathiques, pour moi aussi c'est à partir des albums suivants que je préfère les BEACH BOYS.
Je trouve même que Smiley Smile malgré son aspect inachevé et bric-à-brac a bien plus de charme que celui-ci et je suis bien d'accord sur le fait que Wild Honey, Friends, 20/20, Sunflower, Surf's Up ainsi que Carl and the Passions – "So Tough" et Holland, sont des albums qui me parlent bien plus que ce 'classic'.
Bon évidemment, après l'excellent live The Beach Boys in Concert de 1973 il n'y a plus grand chose à sauver dans les albums qui suivront (bien que l'on y découvre de-ci de-là, quelques pépites mais c'est vraiment au compte goutte à partir de là).
Cela dit, j'ai un peu le même problème avec le 'mythique' Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band des Beatles qui contient également des morceaux qui me plaisent mais d'autres qui ne me font ni chaud ni froid, donc bon les goûts et les couleurs c'est quelque chose qui va bien au delà du côté 'incontournable' de certains 'chef d'oeuvres'. tout cela est vraiment très relatif.





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 24 Mai 2020 par SGTJAKKU

@BAAZBAAZ : C'est dingue comme les goûts et les impressions peuvent changer d'une personne à l'autre^^ Les deux titres que tu as cités comme exemple de morceaux moyens, "Don't Talk" et "I just wasn't made..." font partie de mes préférés de l'album et je n'imagine pas Pet Sounds sans eux. Et surtout "I Just Wasn't Made..." dont je trouve la mélodie et l'ambiance si étranges et "ovniesques". En revanche, si je devais retirer mon habit de fan(beach)boy absolu, je pointerais du doigt "That's Not Me" et "Pet sounds"(le morceau instru) comme les numéros "mineurs" de l'opus.





Amy WINEHOUSE
BACK TO BLACK


Le 24 Mai 2020 par DéCONFIT Né


C'est vrai ça, un disque radiophonique avec de la guitare, du piano, des cuivres et sans synthé ou boîte à rythmes, incroyable !





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 24 Mai 2020 par BAAZBAAZ


@David et Sgt Jakku

Je lis avec intérêt vos échanges car j'ai toujours eu moi-même un petit souci avec cet album. J'avais découvert les BEACH BOYS avec une compilation assez fournie, et les nombreux titres issus de Pet Sounds m'avaient évidemment sidéré par leur génie. Aujourd'hui encore, je considère (comme tout le monde !) qu'il y a ici quelques-unes des meilleures chansons du groupe, ce qui implique un niveau de qualité absolument stratosphérique.

Mais je dois admettre à mon grand désarroi qu'ayant découvert l'album entier plus tard, je n'ai pas retrouvé la même magie. En ce qui me concerne, ce n'est pas une question d'énergie car la force de Pet Sounds vient plutôt d'une sorte de beauté éthérée (je peux écouter "Caroline No" en boucle) qu'il faut savoir apprécier. C'est juste que ce disque me parait hélas un peu inégal, avec un petit ventre mou à chaque face.

Alors quand je dis "ventre mou", c'est relatif à la qualité d'ensemble. Il n'y a selon moi aucune chanson vraiment ratée sur Pet Sounds, mais par exemple je n'écoute presque jamais "Don't Talk" ni "I Just Wasn't Made For These Times". Ces chansons ne sont pas désagréables en soi, mais au milieu des autres elles m'ennuient un peu. Or, un chef-d'oeuvre doit être parfait. Il y a des albums dont j'ai adoré chaque seconde sans exception.

J'ai donc la même impression avec Pet Sounds qu'avec le Village Green des KINKS : le génie foisonnant masque quelques faiblesses (que je pardonne sans problème).





MAGMA
KöHNTARKöSZ


Le 24 Mai 2020 par MARCO STIVELL

Un des seuls MAGMA que j'écoute sans trop de mal et avec un certain plaisir même.

Superbe chronique de Tarte.





MAGMA
KöHNTARKöSZ


Le 24 Mai 2020 par RëPLïCäNT


Le meilleur Magma ? En tout cas, le plus pur. L'album de la maturité, un manifeste, une direction. Une musique qui vous travaille le corps et l'esprit. Une musique (enfin) capable de faire le mal, d'assombrir votre être puis de le porter vers les nuages.

Comme le maître Coltrane, Vander explorera et transfigurera au fil des années, des formations, des concerts, ces compositions qui n'ont pour date que celle de la première écoute de l'auditeur.

Album vindicatif, inévitable, indispensable.
On n'évalue pas un diamant noir comme Köhntarkösz.







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