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CAN
EGE BAMYASI


Le 17 Juin 2020 par BORIS LE BORGNE


Bien que je préfère le suivant et surtout le précédent, ce Can là possède un feeling assez incroyable. Une maîtrise presque indolente de styles et d'humeurs très variés.

Une excellente porte d'entrée dans leur univers, en tout cas.





DEF LEPPARD
HYSTERIA


Le 16 Juin 2020 par FRAN BRANCO


Il suffit d'écouter les productions live récentes et plus anciennes des titres de cet album pour conclure que l'album, quoiqu'on en dise, est le fruit d'un immense travail, sans beaucoup de précédent dans l'histoire du rock. On peut se moquer de la production de l'époque ,mais sans ces fioritures l'album est époustouflant de virtuosité dans la recherche de mélodies imparables. Je ne lui enlève aucune chanson sauf peut être "Loves bites". "Excitable " est vraiment une chanson sous estimée : autrefois, je la trouvais abominable, mais aujourd'hui je la trouve vraiment très ingénieuse, très funky. " Hysteria" est une belle chanson qui dégage un sentiment de nostalgie et de douceur. Bon, les paroles ne sont pas mémorables, mais celle des Rolling stones, de AC/DC, Kiss et des Beatles non plus. En général, le big rock n'accouche pas de paroliers comme Jacques Brel.





KRAFTWERK
COMPUTERWELT


Le 16 Juin 2020 par LEO


Dans les années 60-70, jusqu'au tout début des années 80, patienter deux ou trois ans entre deux albums était particulièrement long, les artistes faisant généralement paraître un album (voire deux) tous les ans. et depuis ses débuts en 1970, KRAFTWERK était jusque là plutôt prodigue en sorties discographiques. à partir de Computer World (paru trois ans après The Man-Machine), un changement s'opère et cela n'ira que crescendo par la suite !
Bien évidemment, la formation ne s'est pas tournée les pouces durant ce laps de temps car la conception puis les enregistrements de ce huitième album ont débuté dès 1979 mais le processus de création se fera au ralenti car Hütter, Schneider & Co. ont décidé de revoir à zéro leur Kling Klang studios pour le moderniser et qu'il devienne également un studio 'portatif' (en quelque sorte) pouvant aussi bien être transporté en tournée !
On pouvait donc s'attendre à un album avant-gardiste et à la pointe de la technologie, chose que Computer World n'est pas selon moi. je dois même dire que je fus bien déçu en découvrant le résultat au Printemps 81 lorsque j'ai acquis le 33 tours.
Il faut dire qu'entre temps, pléthore d'artistes typés synth-pop sont apparus: The Human League avec ses deux premiers albums ainsi que John Foxx avec son superbe Metamatic et Gary Numan avec The Pleasure Principle + Telekon également en 79 & 80 et OMD avec leur album éponyme et Organisation tous deux en 80, sans parler des Américains Devo qui de 78 à 80, ont fait paraître trois albums et s'apprêtaient à sortir leur quatrième à l'été 81 et ce n'était pas fini car les premiers albums de Fad Gadget, Depeche Mode et Soft Cell allaient suivre en cette même année 81. bref, il y avait de la concurrence sur le marché et on peut dire qu'à trop attendre, les précurseurs de Düsseldorf se sont fait devancer par leurs prétendants.
"Computer World" le morceau-titre démarre gentiment. c'est un morceau sympathique et plutôt mémorable mais je ne lui trouve rien d'exceptionnel et les sonorités font bien 'cheap' en comparaison de celles entendues sur le superbe The Man-Machine (et en particulier "The Robots" qui ouvrait l'album d'une manière bien supérieure !).
Comme l'a justement décrit SASKATCHEWAN, les synthés de "Mini-Calculateur" et de ce qui suit sont très 'pouet-pouet ' et enfantines (on est effectivement très proche de l'univers sonore du Yellow Magic Orchestra) et cela était sans doute l'effet désiré de la part du groupe mais perso je n'ai jamais pu encaisser ce morceau minimaliste et caricatural.
Mais ce n'est pas fini car "Numbers" est tout autant minimaliste et réducteur avec sa rythmique façon 'hip-hop' et ses voix robotisées qui énumèrent des nombres.
"Computer World 2" qui est enchaîné à sa suite n'a guère plus d'intérêt (il intègre la mélodie du tout premier titre avec la rythmique et les voix de ce dernier).
Hormis le correct "Computer World", cette première face est carrément dispensable.
"Computer Love" qui ouvrait la face B au temps du vinyle est plus romantique et bien plus réussi, néanmoins je trouve la durée de 7 minutes un peu excessive pour ce que le morceau a à proposer.
Je ferai la même remarque en ce qui concerne l'hypnotique "Home Computer" d'autant que sa séquelle "It's More Fun to Compute" n'apporte rien de plus à l'édifice et fait au contraire dans la redite.
Voilà, pour moi il n'y a pas grand chose à retenir de cet album. tout juste trois titres: "Computer World", "Computer Love" et à la rigueur "Home Computer" mais quoiqu'il en soit, je trouve que l'inspiration a disparu et que KRAFTWERK fait du surplace, dépassé par ses outsiders.
On peut dire réellement que KRAFTWERK furent les chefs de file de la pop synthétique de 74 à 78, hélas à l'aube des années 80 le marché était déjà sursaturé de postulants au titre, les synthés devenant de plus en plus abordables au fil du temps et le fait que les Allemands aient pris leur temps entre The Man-Machine et Computer World n'a fait qu'accélérer le processus de désuétude mais aussi d'accoutumance à la musique synthétique qui de toute façon était inévitable sur le cours terme. et puis il faut bien le dire également, la verve de Hütter, Schneider, Bartos & Flur était sur le déclin en ce début des années 80.
Un petit 2,5/5 que j'arrondi généreusement à 3.





The Alan PARSONS PROJECT
TALES OF MYSTERY AND IMAGINATION - EDGAR ALLAN POE


Le 16 Juin 2020 par SGT JAKKU


J\'ai toujours trouvé étrange que Claude Debussy ne soit pas plus crédité (du moins sur le vinyle) car si on écoute l\'oeuvre inachevée du maître français, on entend clairement les mêmes thèmes et l\'ouverture est quasi identique. Les APP (Powell Parsons et Woolfson) ont bien sûr ajouté d\'autres thèmes Pop Rock mais toute la première partie est un ré-arrangement d\'une partition déjà composée. Allez sur YT et faites la recherche "debussy maison Usher" (la version de 23 minutes).

Sinon, ce Tales of...fait bien sûr partie des meilleurs albums du groupe, avec quelques choix d\'un goût discutable (le point faible récurrent d\'APP).
Note : 4,5





KIRIN DOSHA
NEVERLAND


Le 16 Juin 2020 par WATCHMAN


Ah non, je n'avais pas remarqué ces deux autres références. C'est bien que tu me les aies signalées.
Chronique sincère, comme toujours. Merci de m'avoir sollicité.





Thomas KÖNER
NUUK


Le 16 Juin 2020 par RICHARD

Quelle découverte ! Merci Jovial. Je viens d'écouter l'album sur le net et il est difficile de ne pas s'imaginer seul sur la banquise. Je reste un indécrottable adepte des signatures de feu Cold Meat Industry mais ce minimalisme glacial et glaçant est loin de me déplaire également. L'immersion est totale.





KIRIN DOSHA
NEVERLAND


Le 15 Juin 2020 par BORIS

Bien vu Damien pour le côté Blink 182 sur "Son" (la chanson "Adams song"). Tu as aussi un petit air de "When the smoke is going down" dans l'arpège de "One Horse Race".
Et as-tu vu le clin d'oeil à Wonderland à la fin de la chanson d'intro ? ;)

En tout cas, merci pour cette belle chronique :)





Pat MARTINO
THE VISIT


Le 15 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


...et cinq étoiles pour Footprints ! et aussi pour W Shorter qui a enrichi le monde du jazz en incontournables standards. Tiens tiens encore Richard Davis à la basse... Superbe disque, les soucis s'envolent et ne sont plus que de minuscules points noirs à l'horizon.





PORTISHEAD
PORTISHEAD


Le 15 Juin 2020 par FRANçOIS

Ah ben, scouse, yé mé souis trompé... Je trouve celui-ci (bien) meilleur que "Dummy" finalement (qui vaut surtout pour ses singles et "Strangers" que j'aime beaucoup), moins "soft" et inégal et avec moins de recours aux samples (je me demande même s'il y en a un). Moins "vieillot" également. Enfin, bref, mieux quoi (comme de la même façon, je préfère "Mezzanine" à "Blue Lines"). Voila, c'était vraiment très intéressant, isn'it ?





Alain SOUCHON
C'EST DéJà ÇA


Le 15 Juin 2020 par FRANçOIS

L'album s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires. 300 000 ventes, cela me paraissait peu pour un succès de 1993 (point de "streaming" à l'époque). De nos jours, oui, ce serait un chiffre à faire pâlir n'importe quel artiste (à part des "poids lourds" type Renaud ou Farmer).





MSG
THE MICHAEL SCHENKER GROUP


Le 15 Juin 2020 par LEO


J'ai toujours beaucoup apprécié ce premier album du MICHAEL SCHENKER GROUP que j'ai eu en vinyle dès sa sortie et que j'ai racheté en CD plusieurs années après.
Certes, rien de novateur là dedans. ça reste du hard rock très 'classique' mais racé et totalement maîtrisé par une bande de musiciens chevronnés qui ne fait pas dans le bavardage inutile.
Les compos vont droit au but mais sont suffisamment ouvragées pour ne pas lasser l'auditeur lors des écoutes successives.
Les morceaux comportent des riffs puissants ("Armed And Ready", "Victim Of Illusion" et "Into The Arena") mais également accrocheurs à l'image des radiophoniques "Cry For The Nations", "Feels Like A Good Thing" et "Looking Out From Nowhere".
"Bijou Pleasurette" est un bien joli intermède instrumental de 2 minutes qui rappelle quelque peu "Arbory Hill", autre instrumental qui figurait sur l'album Obsession de UFO. et à propos de "Arbory Hill", Schenker l'a justement ressorti pour l'occasion mais cette fois la compo rebaptisée "Tales Of Mystery" n'est plus instrumentale car Gary Barden a concocté un texte qui colle bien à cette jolie ballade mélancolique que j'aurais bien entendu chez Rainbow.
Je trouve que le plombant et majestueux "Lost Horizons" qui referme l'album avec brio a un côté Scorpionesque très prononcé, avec une ambiance assez proche du morceau "Animal Magnetism" sur l'album du même nom.
Je n'entends aucun défaut sur ce premier album en solo du blond Germain. le guitariste est égal à lui-même et ses riffs et soli sont inspirés. les sessionmen de luxe Don Airey, Mo Foster et Simon Phillips assurent comme des chefs et Gary Barden, le p'tit nouveau (à l'époque) s'en tire très bien même si son chant n'a rien d'exceptionnel en soi, mais il est fort bien intégré dans le projet MSG et forme un bon tandem avec Michael Schenker. cerise sur le gâteau, la production de Roger Glover est claire et sans esbroufe et passe très bien l'épreuve du temps.
Bref, c'est pour moi un très bon album auquel j'attribue un 5/5.







Ry COODER
PARIS, TEXAS


Le 15 Juin 2020 par LOCKE

C'est Harry Dean Stanton lui-même qui chante Cancion Mixteca dans le film





RADIOHEAD
THE BENDS


Le 14 Juin 2020 par CLANSMAN57


La musique est parfois fascinante.
"The Bends" semble assez banal de prime abord, avec quelques pistes sympathiques.
Du moins, c'est ce que j'ai pensé pendant les deux premières approches.
A la troisième tentative, ce "Rock basique" se transforme déjà en quelque chose de plus lyrique et lors de la suivante, tu planes et tu pleures ta mère tellement c'est beau et puissant.
Comme des paysages dont les contours deviennent de plus en plus nets, au fur et à mesure.

Quelques chansons annoncent le très mélancolique (le plus mélancolique?) et supra-culte "OK Computer".
Non, Radiohead n'est pas toujours mélancolique à ce point-là.

Tu m'étonnes que "Pablo Honey" soit si souvent négligé, c'est quelque part compréhensible à l'écoute de "The Bends", quoiqu'un peu injuste.






Sherman ROBERTSON
GOING BACK HOME


Le 14 Juin 2020 par LE KINGBEE

Bonjour le Merle,

Le Live dont tu parles est encore disponible à moins de 20 euros, il n'y a qu'un seul titre de Sherman Robertson.
Je te conseille plutôt Guitar Man Live! qui n'existe qu'en CD paru sur le label allemand Crosscut.

Bonne écoute!





John Blues BOYD
WHAT MY EYES HAVE SEEN


Le 14 Juin 2020 par BAYOU


Superbe album . Beaucoup de musiciens se mettent à jouer sur le tard, après avoir bossé toute leur vie.
Et c'est un vrai bonheur d'entendre leur histoire.





Kate BUSH
LIONHEART


Le 14 Juin 2020 par CLANSMAN57


Je dois confesser que je suis assez étonné lorsque je lis les avis mitigés au sujet de ce "Lionheart", un peu partout sur la toile.

C'est dans la continuité du précédent, c'est vrai, mais c'est loin d'en être qu'une pâle copie, car elle met sa facette romantique au premier plan, la place importante attribuée au piano y est certainement pour quelque chose.
La belle, en plus de chanter divinement et d'une manière absolument personnelle, joue du piano comme peu dans l'histoire de la pop/rock et autres dérivés.
Toutes les chansons font mouche en ce qui me concerne, c'est peut-être bien l'album de la miss qui me touche le plus.

C'est finement ciselé, comme de coutume, et idéal pour basculer dans le monde envoutant et féérique de la magicienne sans trop de difficultés.
De plus, il est très court.

J'ai envie de rajouter "à ne surtout pas négliger", mais comme d'hab, ce sera à chacun de voir.
Si je suis le seul au monde qui met la note maximale, tant pis:)











KRAFTWERK
THE MAN-MACHINE


Le 14 Juin 2020 par LEO


Je reviens vers The Man-Machine qui m'apparaît clairement comme le sommet musical des quatre de Düsseldorf après le sans faute du brillant Trans-Europe Express.
Jamais la formation n'avait eu un son pareil sur un de leurs 33 tours et plus jamais ils n'atteindront cette perfection sonore.
Si Trans-Europe Express était un album rétro-futuriste, The Man-Machine est lui bien tourné vers le futur et la science fiction, autant dans les thèmes abordés que pour la mise en son totalement moderne pour l'époque (l'album fut enregistré fin'77-début'78 et anticipait donc tout le courant new-wave/synth-pop à venir et la techno des années suivantes). du reste, la production de ce disque reste tout à fait d'actualité plus de quarante ans après sa parution.
Certes, The Man-Machine n'est pas un cas unique en 77 puisque Giorgio Moroder tant pour Donna Summer ("I Feel Love" et certains titres du double album "Once Upon A Time") que dans son album en solo From Here To Eternity avait également un son tourné vers l'avenir mais dans le cas de KRAFTWERK il s'agit vraiment de tout un album et pas uniquement de quelques titres disséminés ici ou là.
ARP2600, tu compares The Man Machine et Stuntman d'Edgar Froese mais la comparaison ne tient pas vraiment car d'une part, Stuntman fut enregistré 1 an et demi, 2 ans après The Man-Machine et d'autre part, Kraftwerk et Froese ne font franchement pas le même style de musique électronique ! (autant pour les sonorités entendues que dans le genre pratiqué). Froese et Tangerine Dream par extension, versent dans la musique electronique instrumentale contemplative (quelque part entre de l'ambient et quelques éléments de progressif) alors que Kraftwerk fait dans la pop électronique (dont ils étaient les précurseurs en 77-78).
Perso, j'aime autant les deux mais pour des raisons différentes. les intentions et les sensations ressenties dans la musique des uns et des autres sont totalement différentes pour être comparables. par contre il me semble que Stuntman est déjà bien plus proche de certaines oeuvres de Klaus Schulze (encore que la musique de ce dernier soit quand même un peu plus 'spatiale' ou tantôt plus symphonique et aussi sans doute un poil plus hermétique que celle du Dream mais tout dépend des albums).
Bref, tout ça pour dire que The Man-Machine est bien un album réellement novateur et toujours aussi marquant en 2020.
C'est à partir de cet album que Karl Bartos partage les crédits de tous les morceaux, et il en sera de même sur les deux albums à suivre, néanmoins je trouve que les deux suivants sont carrément très en deçà. sans doute que KRAFTWERK avait placé la barre trop haute dès cet instant et ne pouvait plus renouveler l'effet de surprise créé par The Man-Machine.
5/5





Sherman ROBERTSON
GOING BACK HOME


Le 14 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


C'est toujours agréable de découvrir des musiciens que l'on ne connait pas. Merci à LE KINGBEE.
J'espère trouver Scherman & friends, un live avec des enregistrements de 1978 er 1980.





OPETH
IN CAUDA VENENUM


Le 13 Juin 2020 par SASKATCHEBORG


C'est le premier Opeth que j'écoute depuis Damnation, attiré par le fait que cet album est sorti en suédois.

Je serais bien en peine de dire si ce disque est du réchauffé (je n'écoute pas de rock progressif), mais je le trouve très réussi, plein de belles mélodies. C'est une musique qui évoque l'enfance, la vie familiale filmée au caméscope, les vacances chez papi et mamie...

Tiens, j'aurai l'air bête si les paroles chantent la destruction du monde. Mais pour une fois, ça fait du bien de ne pas comprendre, de se laisser bercer par une langue que l'on entend si peu.

Merci à Chipstouille pour sa belle chronique !





Marjana SEMKINA
SLEEPWALKING


Le 13 Juin 2020 par JERRY


Marjana SEMKINA démontre toute la palette de ses talents avec ce "Sleepwalking", et l'absence de Gleb KOLYADIN à ses côtés ne nuit nullement à une prestation d'ensemble de haute volée, ponctuée d'envolées lyriques tout autant que d'un travail sur les "silences" (comme en témoigne ce "Ars Longa Vita Brevis", une splendeur à chaque écoute) où Vlad AVY à la guitare et le St. Petersburg Orchestra "1703" (les arrangements pour cordes tout en subtilités de Grigorij LOSENKOV sont un des éléments "forts" de cet album) savent créer un climat onirique tout en émotions retenues (à la "IAMTHEMORNING", certes, mais en un peu plus nuancé, à mon humble avis).
"Turn Back Time" possède les germes d'un "hit" potentiel et aurait mérité une plus large diffusion. Quant aux références "obligées" à Tori AMOS, Kate BUSH et ENYA, elles s'arrêtent là... où commence le chant éthéré, délicieusement envoûtant, propice à la rêverie, mais ô combien attachant, de Marjana SEMKINA.







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