Le 03 Décembre 2018 par BAYOU

En réponse au commentaire de SPI

1/Je ne me sers pas de Wiki pour faire des chroniques. Dis-moi les passages « piochés » ou alors « passe ton chemin » !

2/Les experts en musique cela n’existe pas, juste des individus qui expriment un point de vue après avoir écouté l’album. Cela étant, j’ai vu en live Dire Straits et Knopfler en solo une bonne dizaine de fois et j’ai bien suivi la carrière du groupe, je suis donc autant « légitime » que toi pour parler d’un album et ne pas nécessairement l’apprécier autant que toi.

3/Je doute que mon avis « n’en dégoute les autres » cela n’empêchera pas l’album de bien se vendre et la tournée de bien marcher.

4/« Cet album est dans la lignée de "Tracker" et "Privateering » bof on a aussi le droit de le trouver moins bon !

Le 03 Décembre 2018 par GRéGORY C.

Critique réaliste, mais note injuste. Qualité musicale, de mixage, qualité technique vocale. Avoir cette proposition dans le groove et le funk (genre musical exploré de fond en comble et depuis des lustres) était risqué et c'est plutôt réussi.

Assez puéril dans son approche narrative "bi/pansexuelle et militante", cet album reste de très bonne qualité. Et je pense qu'il faut avoir confiance.

Le 03 Décembre 2018 par NONO

Mouais, bof.... Si "Video killed the radio star" est une merveille absolue (exceptée la voix "téléphonée" qui m'agace), je ne retiens de cet album que 2 autres titres marquants : "Elstree" (d'ailleurs très proche du titre cité précédemment, dans son arrangement et sa mélodie), et "The plastic age", pas mal du tout.
Je trouve le reste comme d'infinies variantes de ces 3 titres, en moins intéressant.
Un petit 3/5.

Le 02 Décembre 2018 par SPI

Désolé Bayou. Pour faire une bonne chronique, il ne suffit pas de piocher des éléments Wiki et de nous les asséner comme si t'étais un expert. Si tu n'aimes pas Knopfler passe ton chemin mais n'en dégoûte pas les autres ! Cet album est dans la lignée de "Tracker" et "Privateering" et est excellent.

Le 02 Décembre 2018 par ARTOFZAFT

C'est vrai que c'est dommage de ne retenir qu'un titre dans un album qui, sans être exceptionnel, offre un délicieux bouillon de mélodies réussies.
Mais ne crions pas trop vite au génie. En 1980, la synth pop avait déjà quelques géniteurs naturels, tels les glands tombés au pied du chêne Kraftwerk; et à mon humble avis, on trouve un subtil mélange des ADN du deuxième album de Devo (cf. Kid Dynamo) avec quelques cailloux dilués du "Dirk Wears White Sox" de Adam & the Ants (l'esprit Nine plan Failed) cuisinés façon Gary Numan dans ce "The Age Of Plastic". Les Buggles ont synthétisé le tout pour le rendre radio (et vidéo) compatible. C'est cool. Parce qu'ils ont préparé le terrain aux Cars, Human League, OMD et j'en passe ... Et pas cool. Parce que c'est quand même un peu à cause d'eux que les malheureux de ma génération ont subi la consternante adaptation de " Video Killed The Radio Star" par Ringo et Etienne Roda Gil subtilement intitulée "Qui est ce grand corbeau noir?" Vraiment classe le savoir-faire français dans l'art du train de retard qui va s'écraser sur une voie de garage. Chapeau les gars. Belle merde que vous nous avez chiée là!

Le 01 Décembre 2018 par ESKAPEESKAPE

Rien ne me fera changer d'avis: pour moi les 2/3 des 3 premiers albums de Metallica contiennent les gènes de Dave Mustaine: efficacité, virtuosité et équilibre.
Ride the Lightning est évidemment leur meilleur album.
On ressent une rage, une énergie, un son et de la qualité dans les compositions.
+9 étoiles

Le 01 Décembre 2018 par FREDJ

Et bien non rien à faire il ne passe pas celui-là, pourtant l’album commence bien avec un trio d’ouverture (encore !) bien énergique. Malheureusement le reste est franchement pas terrible. Petite mention spéciale à toast to the extra (Anthrax fait de la country !) et born again idiot (très bourrine !). Le groupe relèvera la tête pour l’album suivant.

Le 01 Décembre 2018 par RICHARD

C'est bien tout le danger du one-hit wonder...Ne pas aller au-delà , par peur d'être déçu, par manque de curiosité peut-être...
Ce serait bien dommage car cet album est une petite merveille de qualité mélodique, d'influences diverses (electro, new wave balbutiante) et d'humour.

Le 01 Décembre 2018 par THOMSON CONRAD WC

Je pense qu'on peut dire que le groupe était contre le Vietnam, ici dans "I'm Your Captain" c'était un peu vague mais 2 albums plus loin dans E Pluribus Funk il y a "People, Let's Stop the War" ou là il y a pas photo.

Le 30 Novembre 2018 par NONO

@Richard : Personnellement j'ai toujours reconnu aux Cure comme principal mérite de ne jamais avoir vraiment cédé aux clichés de production typiquement 80.
Ce groupe a toujours su garder un son fidèlement rock et acoustique, ayant souvent préféré les sonorités d'orgue aux synthétiseur, même au beau milieu des années 80 !

Le 30 Novembre 2018 par JEF DE LA LUNE

A propos des synthés dans THE CURE... Pour moi le groupe en a surtout fait grand usage sur les singles sortis après "Pornography" et regroupés sur la compilation "Japanese Whispers", on est parfois dans l'electro pop, comme sur "The Walk" par exemple, un morceau proche des sonorités du NEW ORDER de "Blue Monday" (influence plus ou moins reconnue par Robert Smith)... Ah sinon "Faith" est peut-être mon album préféré des CURE, un chef-d’œuvre de noirceur gothique avant la tempête auto-destructrice de "Pornography".

Le 30 Novembre 2018 par LEO

Oui, tout à fait d'accord avec FOLLOW THE TORTOISE ! les productions de la CHIC Organization sonnent toutes à l'identique. que ce soit pour Norma Jean Wright, Sister Sledge, Sheila and B. Devotion (album King Of The World), ou même dans une moindre mesure Debbie Harry (avec KooKoo), ce sont de vraies copies carbone de ce que faisait le groupe CHIC de 78 à 81, et ce Diana n'échappe pas à la règle ! celà dit, ça n'empêche pas toutes ces productions d'être excellentes et il était admis que si tous ces artistes demandaient à être produit par Bernard Edwards et Nile Rodgers dans l'espoir d'obtenir un ou plusieurs hits, ils acceptaient aussi le risque de se faire 'vampiriser' par les deux producteurs au point que la musique sonne comme provenant d'un album de CHIC ! (car comme il était convenu, Edwards et Rodgers amenaient toujours avec eux leur équipe de musiciens et choristes habituels, d'où la marque de fabrique estampillée !).
Cet album de DIANA ROSS est effectivement superbe (sans doute son 33t le plus homogène) mais je ne suis pas du même avis que BENNETT au sujet du mix original signé Edwards/Rodgers (non retenu par Motown à la sortie de l'album). je trouve celui-ci un peu moins flatteur et accrocheur que le remix de Russ Terrana, qui a choisi d'accélérer légèrement le tempo des morceaux pour leur donner plus de punch et de supprimer certains passages instrumentaux afin d'aller à l'essentiel ("I'm Coming Out" et "Have Fun (Again)" en sont un bon exemple). la chanteuse a également réenregistrée la plupart de ses vocaux.
Quoiqu'il en soit, Diana est un album brillant et à présent que les deux mixes sont disponibles dans le commerce, chacun choisira sa version préférée !

Le 29 Novembre 2018 par GILLES

toujours un plaisir de découvrir un nouvel album de john hiatt ; un peu comme un vieil ami qui passe de temps en temps .

merci pour ces précisions sur l'éclipse solaire et le titre de l'album .

Le 29 Novembre 2018 par RICHARD

@NONO, oui, bien vu pour le synthé. C'est vrai que sur l'album que tu cites, il passe plutôt bien ( un petit côté New Order, d'ailleurs).
C'est assez amusant de voir ce que Smith a pu en faire tout au long de sa carrière.
Sur Kiss Me, certaines sonorités sont vraiment cheap de chez cheap alors que sur Disintegration, elles sont les fondations de cette véritable cathédrale sonore.

Le 29 Novembre 2018 par BENNETT

LE must have de miss Diana grâce a son duo de producteurs au top.

Je trouvais déjà génial l'album quasi-parfait dans sa version remaniée, mais quand j'ai découvert le mix original de Chic, impossible de nier l'évidence : elle lui est supérieure en tout points, notamment sur les arrangements qui sont plus élégants (et moins calibrés FM donc).

J'ai longtemps rongé mon frein d'une éventuelle édition vinyle de cette version, le tort est réparé depuis quelque temps !

Le 29 Novembre 2018 par FOLLOW THE TORTOISE

Les albums produits par chic sont tous pareil, on dirait du Chic époque "Risque" mais avec d'autres chanteurs au micro, bon c'est relatif pour certains mais ici pour Diana Ross c'est encore plus flagrant qu'avec les autres collaborations du groupe. Cela dit, avec tout les musiciens du groupe pour l'accompagner il y avait des chances que ça donne un tel résultat.

Le 29 Novembre 2018 par JOEY JOJO

Le pire, c'est qu'on se laisse prendre au jeu des GFR. On a envie de retrouver un autre "Red Album" mais ici ce n'est pas le cas car c'est plus calme, ce qui rend cet albums moins bon que le précédent. Cela dit, "I'm Your Captain" et "Sins A Good Mans Brother" sont les meilleurs moments. Après, il y a du remplissage comme "Get It Together", un instrumental, puis le choeur finit la chansons comme si c'était une fin de morceau inachevé.
"Aimless Lady" dont l'intro est probablement inspirée de Uriah Heep avec leur Look At Yourself pour la rythmique reste sympa, tout comme les autres, mais beaucoup moins agressif que l'album précédent, sêrement une réaction aux critiques qui fusaient à l'époque, traitant le groupe de "bourrins sans talents". Mais le plus intéressant restait à venir jusqu'à leur aboutissement avec We're An American Band et quelques hits les années suivantes, d'un style plus pop.

Le 29 Novembre 2018 par JOEY JOJO

L'album est, comme la chronique le dit, homogène et aussi le plus représentatif de Grand Funk à leurs débuts. C'est pas de la grande virtuosité certes, mais l'ensemble reste agréable à l'écoute et la "naïveté musicale" que dégage cet album fait légèrement sourire et c'est justement ça qui rend l'album plaisant. C'est un album qu'on aime bien parce que ça décape, pas pour le jeu technique du batteur (loin de là) ni pour la souplesse du guitariste ou la voix et la justesse ou l'émotion du chanteur. Dans "High Falootin' Woman" lors du deuxième couplet quand le piano arrive et que monte le volume, on dirait qu'on tape au marteau sur le clavier, jamais vu qu'on pouvait jouer aussi fort du piano. Mais le comble de l'inutile casse oreille c'est "In Need", la chanson commence bien, l'harmonica arrive c'est sympa. Puis le ton change, pourquoi pas? Mais à 2 minutes de la fin, le guitariste fait je ne sais quoi avec sa guitare, un truc qui vient tout seul, gratuitement, sans contexte, comme un débutant qui veut faire du Blackmore en se la pétant mais n'a aucun talent. Je me dis "Ah, c'est sûrement la fin" et quand on voit qu'il reste autant de temps avant la fin de la chansons ça fait peur. J'ai envie de me dire "Merde qu'est- ce qu'ils vont faire après ? Exploser tout ?". "Paranoïd" est tout aussi chiante à écouter et idem pour "Inside Looking Out" dont la version des Animals était non pas plus calme (ça criait bien aussi) mais au moins il y avait de la musicalité.

Le 29 Novembre 2018 par LORDI2

C'est un chef-d'œuvre ce film. Les fans de super héros seront comblés ! Dommage que les indestructible ne soient pas des MARVEL. L'histoire est crédible et le scénario bien écrit.

Le 29 Novembre 2018 par LORDI2

Un bon film pour les enfants et les fans de super héros! Il est bien, mais le premier est largement supérieur et de meilleure qualité. Je ne suis pas déçu, je le trouve juste un peu court dans la durée. Ma notation révèle la qualité du film pour vous donner une idée de mon opinion. Je n'ai aucun regret de l'avoir vu.