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MOTÖRHEAD
NO SLEEP 'TIL HAMMERSMITH


Le 28 Décembre 2024 par LE MOUNGEPEDOUN


Un album live des plus sauvages de l'histoire du rock'n'roll ! Quoi de mieux pour célébrer le neuvième anniv' du décès de Lemmy.





MEGADETH
RISK


Le 28 Décembre 2024 par BRADFLOYD


Je me suis amusé à lire toutes les commentaires sur le site cousin ainsi que celles sur votre webzine préféré. Une constante : on peut séparer ceux qui, tels des moutons, conchient cet album parce qu'il FAUT le conchier (nous sommes des "purs", Megadeth ne fait plus de trash, donc c'est de la daube) et les musiciens ou amateurs de musiques qui se foutent des modes et qui écoutent avant d'écrire. Parfois, il faut oublier le QUI et s'intéresser au QUOI. En celà, je rejoins BAKER qui encense cet album, et je pense qu'il a raison parce que, musicalement, les chansons sont bien foutues. Disque agréable à écouter si non oublie qu'il s'agit de Mustaine et sa bande. Et même si on s'en souvient, quel mal y a-t-il à vouloir changer de style ? Honnir ce disque parce que les pseudo fans estiment qu'ils ont des droits sur les groupes au même titre que les ultras dans les stades de foot sur les clubs au prétexte qu'ils donnent de la thune ? mais c'est du n'importe quoi. Si on n'est pas content, on ne paie pas. Mais pourquoi remettre en cause systélmatiquement l'intégrité des artistes sous prétexte qu'ils n'ont pas fait ce que l'on attendait d'eux ?
Moi, je l'aime bien ce disque. Je viens de le réécouter et je ne regrette pas de l'avoir acheté, quand bien même j'aime énormément ceux qui l'ont précédé. Donc, je ne le descendrai pas pour la raison que c'est de la musique et de la bonne musique. Tout le reste, je m'en bats l'oeil.





PINK FLOYD
THE WALL


Le 28 Décembre 2024 par MADELEINE

@ Clansman57, merci pour ton commentaire qui me bouleverse. Parfois les mots libèrent les maux, les ramènent de la cave où ils croupissaient, et permettent de les nettoyer… en tous cas on ne peut plus faire semblant.





Gilles SERVAT
A-RAOK MONT KUIT


Le 28 Décembre 2024 par MADELEINE


Avec ce disque, j’achève mon petit tour d’horizon des disques de Gilles Servat. Pour moi c’est simple : il y a tous les disques avant celui-ci (j’en ai 17, celui-ci compris) et je les aime tous sans exception, puis il y a tous ceux qui suivent à commencer par "Sur les quais de Dublin".

Je ne sais pas si c’est "L’héritage des celtes" à la même époque qui l’a entraîné, en quelque sorte, dans du superficiel ou si la veine artistique s’est tarie dans la roche, ou un changement de label, ou une blessure d’âme, mais je n’ai plus reconnu ensuite le Gilles qui me fascinait tant (en tant qu’artiste, hein). Bien sûr, il y aura encore quelques pépites ("Sur la terre enterrée la route…" ou "Cheval aux yeux de prune" et d’autres que j’oublie) mais c’est comme une cohérence artistique que je n’ai plus retrouvée chez lui, son talent d’impressionniste. Comme s’il ne s’exprimait plus mais qu’il démontrait désormais, à gros traits parfois (plusieurs chansons indigestes sur "Ailes et îles") ou voulait faire plaisir à ses musiciens comme sur Dublin ou sur son dernier disque, en subissant leurs propositions plus qu’en imposant sa touche, comme avec ce piano crispant sur "À cordes déployées". Bien sûr, tout ceci est très subjectif mais c’est le propre de nos commentaires.

Pour revenir à "A raok mont kuit", il représente pour moi la tendresse de Gilles, quand "Ki du" représente sa rébellion et le somptueux "Mad in sérénité" sa maturité. J’aime tout dans ce disque-ci : la langue bretonne partout présente, la tendresse et l’humour, la voix toujours magnifique, et même les grillons qui se sont invités ! Et une musique qui invite souvent à la méditation comme sur "Evnig ma ene", "Kimiad ur paour kaezh den oblijet da guitaad e vro" ou encore la reprise réussie de "Maro pontkaleg". Bon, j’y comprends rien alors je retourne apprendre le breton… kenavo les mignons… oups, ar mignoned !





Jacques BREL
LES BOURGEOIS


Le 28 Décembre 2024 par SEB

Merci à @Emma pour les chroniques sur cet immense artiste à l'âme à vif aujourd'hui si regretté ! Ce vrai poète des mots, ce miroir de nos maux, des maux de notre société, de nos travers, de nos aveux fussent-ils inavouables mais aussi de nos espoirs et de la beauté de l'amour dans son sens le plus absolu... Lucide mais désabusé, résolu mais pas résigné, Jacques Brel manque énormément à notre France qui n'arrive plus à écrire de textes aussi forts et vivants que les siens ! À l'ère d'internet, à une époque où l'intelligence s'artificialise, où tout avance en accéléré, où l'on court après la vie au lieu de simplement la vivre à notre rythme, nul doute que le grand Jacques prendrait le temps de s'arrêter pour la raconter et si besoin pour en dénoncer ses affres et ses absurdes cotés... Et il aurait de la matière !

À noter que Jacques Brel chantait aussi en Néerlandais. Notamment "Les bourgeois" -Burgerij- ou encore "Le plat pays" -Mijn vlakke land- présents sur cet album...

Hâte de retrouver les chroniques suivantes !





SHEILA
KING OF THE WORLD (AVEC B. DEVOTION)


Le 28 Décembre 2024 par SEB


Le "King of The World" de Sheila, sorti en 1980, né de sa collaboration avec le groupe Chic, l'album suivant le titre méga-tubesque "Spacer" !

Il dénote avec ce que Sheila (ou plutôt son producteur Claude Carrère qui dirigeait tout) proposait depuis bientôt 3 ans : le disco ! Et elle revenait de loin car ne jamais oublier qu'avant sa période disco, Sheila sous la coupe de Carrère chantait "L'arche de Noë" ! On le prends, dis maman... Ça calme ! Même une Bande à Basile sous anxiolytique aurait refusé cette chienlit à l'époque ! Heureusement pour elle, et pour nous, en revenant d'un voyage aux États-Unis dame Sheila décida Carrère de faire le coup de poker que l'on sait avec S.B.Devotion. Mais passons...

Depuis donc 1977 Annie s'éclatait sur les différentes scènes du monde sur les rythmes disco avec ses danseurs et choristes, les B.Devotion qui connaîtront un beau (mais bref) succès en 1979 sous le nom de Trinita avec "High feeling". Mais à l'aube de 1980 le disco s'essouffle, arrive en fin de vie. Sentant le vent tourner, Carrère donna son accord pour "prêter" sa machine à gagner Sheila à Messieurs Rodgers et Edwards (Chic) qui voulaient produire un disque avec elle. Chic était alors au top de la prod américaine. L'album porte, grâce aux compos, aux accords guitares, aux gimmicks, la signature caractéristique disco à tendance pop-rock portée en son temps par Chic ! Mais au départ il a eu du mal à voir le jour, la faute en partie à Claude Carrère, son producteur qui avait beaucoup de difficulté à lâcher la bride surtout au niveau artistique (Il était d'ailleurs très critiqué à l'époque entre autres pour son coté possessif envers ses poulains). Il voulait conserver une sorte de mainmise sur le produit. Ce qui agaçait passablement les Américains qui ont prié gentiment le monsieur protecteur de les laisser travailler directement avec Sheila. Ce qu'il fit... Puis à Sheila elle-même qui a dû se plier à la tessiture de voix voulue par Rodgers, qui trouvait qu'elle chantait beaucoup trop haut. Carrère l'avait formatée ainsi, et ce ne fut pas simple pour elle de descendre d'un octave.

En sort cette jolie galette parachutée. Nul besoin de s'étendre sur l'ultra-connu "Spacer", qui aura résonné au top dans 32 pays ! Quant au morceau-titre dont j'ai le 45 tours, je le passais à fond quand j'étais gosse. Suffit juste d'écouter les 15 premières secondes pour comprendre pourquoi : en 1980, ce son, ce style, quel pied ! Les autres titres de l'album ne sont pas en reste, mes préférés, outre "Spacer" et "King of The World" j'ajoute "Don't go" et "Charges plates and crédit cards". Seul "Mayday" ne me transporte pas...

Le Roi du Monde vaut bien son 5/5 ! Et sur cet album l'empereur Chic aura comme toujours été... Chic !





David BOWIE
DIAMOND DOGS


Le 27 Décembre 2024 par MASTERFAN


Dernières soldes avant changement de propriétaire. Avant de vendre son âme d’extra-terrestre aux Dieux de la soul, Bowie va produire en 1974 un ultime essai pour clore sa première et prodigieuse période pop-rock 1969-1974. Les premiers symptômes de la transformation sont visibles ici par endroits (quelques effluves soul, funk, voire disco et même ‘froides’) mais l’ensemble reste résolument pop et dans la continuité des œuvres précédentes : c’est pour l’album suivant que le choc sera rude.

Le concept-album dystopique initialement souhaité n’a pas totalement disparu puisque son esprit demeure dans cette 7ème livraison. George Orwell reste donc présent à la fois sur les cendres du projet ‘1984’, mais aussi sur la pochette qui évoque son autre roman, le génialissime ‘La ferme des animaux’. En parlant d’animaux, les Araignées de Mars ont ici définitivement disparu puisque Mike Garson toujours présent aux claviers n’en n’avait jamais partie. Triste quand même de voir Mick Ronson (qui rebondira brièvement du côté de Mott the hopple) et Trevor Bolder (lequel attendra un peu plus longtemps pour son CDI chez Uriah Heep) quitter le navire. A l’inverse, retour de Tony Visconti à la prod, post-rabibochage avec Bowie.

Les cinq premières pistes ici n’en sont que deux. Pour commencer, « The future legend » n’est que l’introduction du solide « Diamondogs », premier morceau de l’album lorgnant déjà très légèrement du côté des Stones. On peut ensuite profiter du sublime « Sweet Thing », qui contient en son coeur une sous-partie appelée « Candidate ». Passées de très nombreuses écoutes (donner un avis sur une œuvre après une seule n’a aucun intérêt), les presque neuf minutes de l’ensemble sont toujours délicieuses et constituent à mon sens l’un des sommets de l’oeuvre de Bowie, toutes époques confondues.

La sixième piste « Rebel rebel » ressemble plus à un cadeau de retraite pour les Rolling Stones qu’autre chose (incroyable, 50 ans de retraite en 2024 quand même, après 10 ans de carrière, qui dit mieux ?) puisque Bowie se lance dans une si épatante imitation de Mick Jagger que Laurent Gerra lui-même aurait été jaloux. Syndrome « Jean Genie » pour ce morceau trop répétitif : s’il fait illusion à la découverte, cinq écoutes suffisent pour ne plus jamais avoir envie de le remettre sur la platine.

Seconde face. « Rock’n roll with me » est censé être peu intéressant ; ce n’est sûrement pas le meilleur titre ici mais perso, je ne vois pas ce qu’on lui reproche. « We are the dead », l’un des rescapés du concept-album, est tout bonnement excellent. La première partie de « 1984 » est stupéfiante : Bowie a habillé un morceau pop, en ce début 1974, d’oripeaux déjà disco. Le pire est que le résultat séduit car mélodiquement, Bowie est encore au top de son inspiration.

Le climat introductif du très bon « Big Brother » est un avant-goût des aventures instrumentales de sa future période froide. Le dernier morceau, « Chant of the ever circling skeletal family », annonce lui aussi des expérimentations futures. Résultat curieux, entêtant, ambivalent : mi-séduisant mi-crispant.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : « Sweet Thing / candidate / Sweet thing ». DELECTABLE (4,5) : « Whe are the dead ». SEDUISANT (4) : « Future Legend / Diamond dogs », « 1984 », « Big brother » . PLAISANT (3,5) : « Rock’n roll with me ». INTERESSANT (3) : « Chant of the ever circling skeletal family ». EMOTION LIMITEE (2,5) : « Rebel rebel ». Bilan 3,81 et Top 5 à 4,30 : DIAMOND DOGS cote pour moi 4,06 soit 16, 24 /20.

DIAMOND DOGS est une pièce à part dans l’oeuvre de Bowie, un de ses rares albums dont j’ai l’impression qu’il ne m’a pas encore tout dit, puisque mon ressenti évolue encore à la hausse à chaque nouvelle écoute.





RAINBOW
RITCHIE BLACKMORE'S RAINBOW


Le 27 Décembre 2024 par LEO


Ce Ritchie Blackmore's Rainbow est mon préféré de tous les albums de RAINBOW, sans doute parce que Ritchie, Dio et le reste du groupe n'essaient pas d'impressionner et d'en faire des caisses, mais de donner le meilleur d'eux-mêmes et de rester au service des compositions, car c'est bien cela le principal.
Nul doute que "Man on the Silver Mountain", "Catch the Rainbow", "Sixteenth Century Greensleeves" et "Still I'm Sad" auront une énergie décuplée en live avec le line-up suivant (Blackmore/Dio/Bain/Carey/Powell) mais je ne peux m'empêcher de préférer ces versions en studio d'origine plus épurées et toute en retenue.
C'est particulièrement le cas pour le magnifique "Catch the Rainbow" qui possède une magie que les versions en public ne parviendront pas à surpasser, surtout dans la coda du morceau qui est splendide à tous points de vue.
Tout l'album est de haute tenue et je trouve les musiciens de ELF tout à fait compétents dans leurs rôles respectifs (ils n'ont pas à rougir face à Blackmore et Dio).

@GEGERS: "Black Sheep of the Family" n'a absolument rien à voir avec les YARDBIRDS (tu dois confondre avec le morceau "Still I'm Sad") mais est une composition du guitariste Britannique Steve Hammond qui joua dans la seconde mouture du groupe FAT MATTRESS (fondé à l'origine par Noel Redding, ex-Jimi Hendrix Experience, qui céda sa place à Steve Hammond sur leur deuxième et dernier album).
La composition fut tout d'abord enregistrée en 1970 sur l'unique album du trio QUATERMASS composé de John Gustafson aux vocaux et à la basse (futur membre de Bullet, Hard Stuff, Ian Gillan Band et musicien de sessions pour Roxy Music & co.), Peter Robinson aux claviers (futur membre de Brand X et musicien de session pour une ribambelle d'artistes) et Mick Underwood à la batterie (ex-Episode Six et futur membre de Strapps, puis du groupe Gillan). "Black Sheep of the Family" n'est d'ailleurs pas la seule composition de Steve Hammond sur cet album de QUATERMASS, puisque deux autres de ses compos figurent sur l'album du groupe.





Hubert Felix THIEFAINE
DéFLORATION 13


Le 27 Décembre 2024 par BAKER


C'est un très bon album varié et qui va très loin dans l'expérimentation sonore. A la fois aussi "commercial" que les deux précédents, mais également rempli de moments de folie.

Il y a cependant un détail technique qui fout tout par terre : le mastering. On a souvent glosé sur Death Magnetic de METALLICA et autres catastrophes soniques, mais ce THIEFAINE est sans conteste un des pires du genre. Le son n'est qu'un immense fracas de briques, archi-saturé, inécoutable si les chansons n'étaient pas si bonnes. Ecoutez donc l'intro de Roots ou celle de Touquet, c'est une honte totale. Mais comment accepter de cochonner un travail de façon aussi ostentatoire ???





PINK FLOYD
THE WALL


Le 27 Décembre 2024 par MADELEINE


Nous n’avons pas conscience de ce qui nous attend dans les années à venir, de ce gigantesque rouleau compresseur qui va tous nous écraser dans nos intimités les plus fondamentales et que j’ai appelé "la bétaillisation méthodique" de l’humanité. Il y a 45 ans, Pink Floyd avait déjà compris tout cela…

Les autistes sont les derniers rebelles de l’humanité, nos "garde-fous", des enfants qui sentent intuitivement que ce monde va les dévorer et qui hurlent silencieusement "non" ! Et, au lieu de protéger cette rébellion et cette singularité, cette anarchie innée, leurs parents cherchent à les formater et les faire rentrer dans le rang, pour les faire devenir des enfants "normaux" (et pouvoir vaquer à leurs propre vies). The Wall raconte cela, selon moi, avec ce mur qui représente la protection que l’autiste Pink érige autour de lui.

Prenez soin de "vous".





The OUTLAWS
THE OUTLAWS


Le 27 Décembre 2024 par BIG BILLY MMMMM


Album décevant. J'étais motivé à découvrir l'album connaissant déjà High Time An Green Grass, pensant que le reste de l'album était de la même trempe, bah c'est tout l'inverse, rien de terrible du petit rock à forte tendance country, et l'arrivée de High Time en dernier lieu fait juste regretter que tout l'album soit pas ainsi. On veut les comparer avec Lynyrd Skynyrd, en tout cas pour cet album on était encore loin.





BIOSPHERE
SUBSTRATA


Le 27 Décembre 2024 par LEEQ

EDIT : Carbon Based Lifeforms ne sont pas norvégiens, mais suédois . Conseil d'écoute pour commencer en étant proche de l'esprit Biosphere : "Twentythree"





Neal MORSE
SOLA SCRIPTURA


Le 27 Décembre 2024 par SWISSIDOL


Je n'accroche pas plus que ça à ce disque. Rien de mauvais mais rien de transcendant. On dirait un Neal en mode écriture automatique. Il y a quand-même un moment absolument génial, vers le milieu de "The conflict", un break de musique sud-américaine fantastique. Mais le mec est capable de bien mieux.





Laurent VOULZY
BELEM


Le 27 Décembre 2024 par SEB

Oh oh en me relisant je m'aperçois d'une petite erreur, pour "Belem" Lolo nous a fait attendre 6 ans et pas 7 ! Ce qui n'est déjà pas mal :-) voilà voilà, erreur rectifiée





Laurent VOULZY
BELEM


Le 26 Décembre 2024 par SEB


Le dernier album original en date de Voulzy a déjà 7 ans ! Enfin original, on va dire semi-original...

7 ans d'attente. Il nous avait déjà fait le coup avec Lys & Love (10 ans). Il aime prendre son temps. Dans sa compil' 77-88 je précisais déjà que je n'étais pas fan de ce qu'il proposait depuis quelques années (Lys & love), et Belem en fait aussi partie. Pourtant ce n'est pas ambiance médiévale comme l'était Lys & Love, puisqu'il nous emmène au Brésil. Mais on le sentait là un peu en panne de créativité je trouve.

Toujours habité de son classique "Rockcollection" qui lui colle à la peau, il avait déjà Remonté la mayonnaise pour "Recollection" en 2008. Pas de souci particulier, ce clin d'oeil était même un hommage plutôt bien vu pour les 30 ans de son tube qui l'a révélé sur la scène Française ! Mais là, reprendre la formule à nouveau pour la décliner en mode "Brazil", désolé mais pour moi "Spirit of Samba" partie 1, 2, 3 (allez, tant qu'à faire autant meubler) c'est du foutage de gueule bien gras ! Coté foutage de gueule, poursuivons aussi avec "Quand le soleil se couche", c'est sympa le bruit de la mer mais durant 10 minutes d'affilée, ben ça lasse ! Au rayon recyclage n'oublions pas "Minha song of you", la langue brésilienne est charmeuse et sauve heureusement "My song of you". Et mine de rien ben on a déjà passé la moitié de l'album ! Heureusement que "Belem", "Timides" et "Tombée du jour sur la plage de Grumari" sauvent les meubles...

Total, une moitié d'album rattrape (un peu) l'autre. "Belem" se veut un voyage bossa-samba-pop un brin relaxant, une partie du job est remplie cela dit, mais avec ses reprises on sent clairement que Laurent n'avait pas trop envie de se casser la tête. Problème, notre Guadeloupéen a mis 7 ans pour nous sortir une moitié d'album ! Est-ce la fin de sa créativité, entre ses tournées cathédrales églises etc, sa compil' en 2020 avec un UNIQUE titre inédit (Loreley, Loreley) pas folichon ? Le temps le dira, mais il défile ! À 76 ans Laurent lui, a peut-être tout dit...

Un 2,5 pour le "Belem" de ce grand artiste mais l'attente vu ce résultat plutôt décevant rétrograde irrémédiablement ma note à l'arrondi inférieur...





TANGERINE DREAM
HYPERBOREA


Le 26 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


Très franchement je n'accroche plus... comme quoi les mondes souhaités et entrevus à une certaine époque peuvent s'évanouir comme des brouillards matinaux . Dommage.

C'est tout de même une histoire bien ficelée...





TRI YANN
LE VAISSEAU DE PIERRE


Le 26 Décembre 2024 par MADELEINE

Pour Marco, Papa Bohu et les autres, le rare reel de Louis Marie !

Tapez sur YT : Tri Yann - Réel de Louis Marie (Live Inventaire, 1994)

Avec d’autres archives précieuses de la musique celtique (dont Stivell) :
Chaîne : Archivo de la Música Celta





Ian AYWON
PSY MUSIC - REINCARNATION


Le 26 Décembre 2024 par BRADFLOYD

Bravo Nanar pour cette chronique qui m'a bien fait marrer. En même temps, j'ai bien envie d'aller voir ce que donne la musique du gonze. Les bas du front qui se prennent pour des génies m'ont toujours intéressé dans le sens antropologique.
dernière remarque : interpellé... Toujours avec deux "L" ;-)





LOUISE ATTAQUE
LOUISE ATTAQUE


Le 26 Décembre 2024 par BIG BILLY

Tout à fait d'accord, j'étais enfant à l'époque quand je l'avais entendu pour la première fois dans un supermarché, je pensais que le chanteur avait trop bu et me disait "bah mince il aurait pas du boire, le morceau aurait été meilleur".





Laurent VOULZY
BELLE-ÎLE EN MER 1977-1988


Le 26 Décembre 2024 par SEB


Ah ! Cette compil' ! Dès sa sortie je n'avais pas pu m'empêcher de me la procurer. Tous les grands titres de Méssire Voulzy (titre honorifique qui sied bien à notre Lolo), dont plusieurs tirés de 45 tours hors albums, sont réunis ici : "Rockcollection", "Le coeur grenadine", "Idéal simplifié", "My song of you", "désir désir" entre autres ! Normal c'est un best-of ! Bien sûr sa carrière ne s'arrête heureusement pas en 1988 mais cette synthèse d'une première décennie est fort bien faite !

Ceci étant dit je suis un peu moins fan de ce qu'il propose depuis quelques années. Même si je confesse avoir eu à une époque un faible pour l'univers de Branduardi, et bien que les 2 artistes ne soient en aucun cas comparables, la direction musicale que prend Voulzy axée sur un style disons médiéval, au sens généraliste du terme, très peu pour moi. J'adhère pas. Bon allez, un titre de temps en temps c'est passable, sans friser l'indigestion. Mais pas plus... Après comme on dit il en faut pour tout le monde !

Ce best-of bleu azur, un Must-to-have ! Mention spéciale pour "Belle-Île en Mer", meilleure chanson du 20ème siècle ! Et bien sûr un 5 couleur "café léger au lait mélangé"







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