Le 14 Mai 2012 par WALTER SMOKE

Ayé, enfin un troisième membre qui va durer ! Après ce que je considère comme un période de transition avec Cyclone le mal-aimé et Force Majeure le sublime, voilà que Froese et Franke s'acoquinent de Johannes Schmoelling, une homme réellement talentueux. Et donc, une fois le trio formé, ben le trio berlinois se fait pas chier et nous pond un délice pour les oreilles, et en "live" en plus ! Pergamon, donc. Album qui mérite qu'on s'y attarde, car en effet, les deux parties valent chacune son pesant de cacahuètes.

La première partie commence avec ce qui est, à mon humble avis, par l'un des morceaux les plus romantiques de TD, mais après, c'est le festival qui s'enclenche !!! Comprenez par là qu'on assiste à une montée en puissance des plus formodables, quoique perfectible : arrivés à la moitié, BAM ! Une séquence folle que l'on retrouve avec plaisir sur la deuxième partie de Tangram débarque. On regrettera cependant des synthés un peu trop disciplinés pour l'accompagner.

Maintenant, retournons le disque. Comment dire ? C'est là qu'on est vraiment content, c'est là qu'on trouve le TD qui nous plaît, même s'il a troqué son manteau prog acquis en 1978-1979 contre une veste d'électro qui lui sied pourtant très bien. Et puis, que dire de la guitare qui débarque comme un malandrin dans une soirée mondaine sans être invitée ? Ben, c'est simple : Edgar Froese ne sera jamais un concurrent réel aux légendes de la six-cordes, mais ce qu'il fait suffit à nous faire plaisir, et la deuxième partie de Pergamon - ou Quichotte, c'est vous qui voyez - en est la meilleure preuve.

Pergamon, donc, un live officiel qui s'inscrit dignement dans la lignée de Ricochet et d'Encore, et qui n'est que le premier acte d'une période remplie d'albums injustement décriés - exception faite d'Exit, bien sûr.

PS : merci aussi à Arp2600 pour les infos relatives à l'album !

Le 13 Mai 2012 par WALTER SMOKE

"Dans ce monde, y'a deux types d'homme : ceux qui sont géniaux et ceux qui suivent. Toi, tu suis".

Voilà, en substance, ce que pourrait dire Klaus Schulze. Alors oui, pour celui ou celle qui trouve que cinq minutes, c'est déjà long pour une chanson, Timewind - et tous les autres de KS, en fait - sera vu comme le comble du truc chiant. Et pourtant...wouah, il n'y a guère que celle dont je suis amoureux qui peut me rendre aussi euphorique que Timewind !!! Sur cet album, les deux morceaux, sans mériter chacun une chronique entière, ont des tonnes de choses à dire.

D'abord, Bayreuth Return. Alors là, force est de constater que KS écrase la concurrence : hé oui, même le Rubycon de Tangerine Dream, même le pourtant génialissime Autobahn de Kraftwerk n'arrivent pas à proposer une maîtrise quasi-parfaite du séquencage. C'est simple, ça se répète à l'envie, mais c'est si bon !!! Idéal pour toute activité impliquant la réflexion et le travail de l'esprit.

Et Wanfried 1883 ? Ah ben ça, pour sûr qu'il m'a surpris ! Etant à la base un jarrophile, je ne peux que confirmer la remarque de Arp2600, et je comprends aussi certains critiques qui ne voient en JMJ qu'un plagieur. Mais bon, c'est pas la même chose (pour reprendre un titre d'un Schulze :) ), et ici, on a le parfait exemple du morceau mystique et magnifique, beau à chialer sans aucunement verser dans le putassier ou le mièvre !!!!

Franchement, en comparant avec les précédentes œuvres du maître, le seul album pouvant être aussi chargé d'émotions est...ah ben merde alors, y'en a pas ! Hé oui, perso, je considère Timewind comme le troisième coup de maître (après Blackdance et Picture Music), mais aussi comme le départ vers le nirvana de l'électronique.

Le 13 Mai 2012 par POWERBEAUF

A-HA ! Le premier groupe à m'avoir marqué, juste avant EUROPE ! Ce premier album contient des tubes phénoménaux : le hit "Take on Me", et les magistraux "The Sun Always Shines on TV" et "Hunting High and Low". Malheureusement, le reste est bourré de titres composés hâtivement et aux sonorités datées. Il n'y rien à faire, à chaque que je me passe le CD, je ne peux m'empêcher de zapper plusieurs plages.

2.5/5 arrondi à 3, mais pas plus.

Le 13 Mai 2012 par IEN

Nous avons la même à la maison mon cher Erwin ! Evoquer le nom de Morten Harket provoque toujours un bref éclair dans le doux regard de ma chère et tendre...
Cela dit musicalement c'est quand même vachement sympa ! Et les albums suivants seront meilleurs bien que moins tubesques.

Le 12 Mai 2012 par CYRIL

Je ne tiens "que" 6 minutes et 34 secondes, chrono en main !!!

Insupportable, MMM est un suicide artistique millimétré, calculé et assumé ! Lou Reed mesurait totalement l'importance de son acte en publiant un tel disque... Presque 40 ans plus tard, on se pose encore la question : s'agit-il d'un énorme bras d'honneur ou d'une pure réflexion philosophique sur la nécessité d'esthétisme dans le domaine artistique ?

Choisir son camp est pour moi impossible... Je pense que Lou Reed se pose encore la même question.

Le 12 Mai 2012 par POWERBEAUF

Très belle chronique faisant une large part à l'intermusicalité et à la place de cet album dans l'évolution musicale du groupe, 2 choses que j'apprécie beaucoup. Je suis tout à fait d'accord avec son auteur. "A Farewell to Kings" est un album très honorable, mais gâché par des titres et des mélodies un peu trop naïves et des sons de synthés qui ont sacrément vieilli. Très recommandable, mais le groupe avait fait mieux avec l'album précédent et fera encore mieux avec le suivant.

3.5 arrondi à 4

Le 12 Mai 2012 par MG

Bonjour,
Après avoir lu avec passion cette chronique et avec beaucoup de fierté, je suis moi même un "ancien" de la section musique je souhaiterais apporter quelques remarques. Tout d'abord concernant, le morceau "Soul Sacrifice" de Santana, c'est Mr Ronan Bouin qui était à la batterie (quel solo!!!!) et Mr Pierrick Le Rille aux percus. Ensuite, c'est Mr Valentin Ducreux qui interpréta le célébrissime "Banana Split" accompagné de sa guitare. Toutefois le travail tant sur l'écoute que sur l'analyse de Marco Stivell est remarquable!
Merci
MG

Le 12 Mai 2012 par CéDRIC

il est temps de réhabiliter cet album tony iommi nous sort ses riffs diaboliques écoutez les tueries que sont trashed, digital bitch, hot line et zero the hero geezer butler fait galoper sa basse bill ward de retour seulement pour lenregistrement de lalbum et ne participe pas a la tournée et quand a ian gillan il fait un excellent travail et il na pas a rougir devant ses deux illustres prédécesseurs un classique du sabbath a découvrir

Le 11 Mai 2012 par RAMM

De loin le meilleur matos de Fuz', pour moi.

Autant dans ses textes que dans les instrus, le Klub a évolué, a gagné en maturité.

Fini la déprime adolescente de "Vive la Vie", Fuzati n'as plus 17 ans, il a la trentaine, un boulot qu'il déteste, l'envie d'être seul et un sérieux problème d'alcool.

Moins cynique et ironique, plus réaliste, et plus sombre, "La fin de l'espèce" est la digne suite de Vive la Vie.

Les punchlines n'ont pas changés, cinglantes et toujours aussi bien écrites.
Les instrus puisent leur inspiration dans le jazz, principalement.

Bref, un album vraiment très bon (je ne comprends pas la note, à vrai dire).

Le 11 Mai 2012 par SFAX

Évolution par rapport au premier album VIVE LA VIE.
Ici Fuzati est devenu adulte, dans ses thèmes, dans la manière de poser ses textes, d'ailleurs l'écriture de ceux-ci en deviens juste fantastique.
Certains pourront reprocher cette évolution qui peut paraître un peu trop "stable" et moins original qu'au début, ce qui faisait le charme du KLUB DES LOOSERS. Mais je trouve qu'au contraire, cela ajoute de la complémentarité et j'adore.
Globalement les instrus, très old-school sont toutes très soignées, il n'y a pas de refrain chantés mais juste des samples toujours dans un esprit Vintage. Les chansons sont plutôt courtes, et on pourrait reprocher à cet album sa durée un peu limitée. Mais l'ensemble s'enchaîne avec une telle cohérence que cela n'en est plus un défaut.
Les textes sont quand à eux le plus fort de l'album, c'est touchant, cynique, malsain, beau, ficelés, bref je m'étale mais voilà j'aime j'aime et j'aime cet album. Je ne voit pas comment être objectif tellement je l'aime cet album.

"Et je me demande si Cupidon est un peu myope ou un peu con, petite princesse d'un château dont elle a construit les remparts. Je mange peu, nourrir l'espoir que quelqu'un m'attende quelque part !"

Le 11 Mai 2012 par MADARKA

Suite à la kro-express de Gegers, je souhaite préciser que Thick as a brick 2 n'est
pas un album signé Jethro Tull, mais Ian Anderson... Par ailleurs Jethro Tull n'a jusqu'à présent jamais eu besoin d'être réactivé, étant donné la centaine de concerts annuels que donne le groupe tout autour du globe depuis plus d'une décennie. Il n'y a qu'en 2012 qu'aucun concert du Tull n'est prévu, et ce justement à cause de la tournée "TAAB" d'Anderson !

	Par Forces Parallèles Cher Madarka, Tu as tout a fait raison, bien entendu. Seulement, en se présentant sous le nom "Jethro Tull's Ian Anderson", il ne fait nul doute que le flûtiste unijambiste propose un album naturellement amené à rejoindre le reste de la discographie du groupe britannique, qui pour le coup n'en sort pas grandi.

Le 11 Mai 2012 par SUNJABES

Très bon album, Fuzati s'enfonce toujours plus dans la noirceur, son personnage a évolué. Même son flow a lui aussi bien évolué.
Finies les longues phrases débitées à grande vitesse. ça y est, y a du flow. Monotone, certes, mais ça colle au reste.Vieille Branche fait référence au dernier morceau de "Vive la vie" premier album du nom, qui se termine par sa pendaison. Ce titre fait le lien entre l'album précédent et celui-là.
Niveau texte, c'est toujours aussi recherché, mais bien plus hard que sur son premier album (ça parle de sexe quasiment de partout), des double-sens, des métaphores, des punchlines à la pelle.
Quant aux instrus, si je ne me trompe pas, elles sont aussi l'oeuvre de Fuzati, grand digger à ses heures perdues (Detect ne lui donnant que quelques conseils avisés).
Moins bon que Vive la vie pour moi, car il me parlait beaucoup plus qu'ici.

La dernière phrase de la chronique me laisse perplexe cependant.
Orelsan et Fuzati sont différents dans de nombreux domaines.
Orelsan, c'est un type gentillet, du premier dégré, le mec un peu looser, mais pas trop, le genre de petite loose qu'on a tous eu une fois dans sa vie.
C'est la raison qui fait qu'il est plus populaire.
Fuzati, c'est pas pareil. Plus recherché, on sent la crasse, la misanthropie,le dégout, le vrai, plus profond que le trou dans lequel il se terre, y a pas.
Et c'est la raison pour laquelle il est plus difficile d'accès, et de ce fait qu'il n'est pas comparable à Orelsan.

Le 10 Mai 2012 par RED ONE

@ POWERBEAUF :

Tu as totalement raison. Comme tu le dis si bien, l'intérêt de cette compilation à l'heure actuelle est effectivement proche du zero quand on sait que Youtube existe et que la seule piste inédite présente sur ce best of peut aisément s'y trouver (sans parler aussi du fait qu'elle est déjà présente sur la version japonaise de "Forbidden"). Il est donc plus que probable que "The Sabbath Stones" ne soit jamais réédité ...

Par ailleurs, comme j'en ai parlé dans la chronique, ce disque a essentiellement été réalisé pour clore un contrat, et qui plus est, il a été réalisé vraiment n'importe comment. Malgré tout, il s'agit quand même d'un disque officiel, et quand on sait quelles compilations "officielles" osera sortir Black Sabbath dans les années 2000 (je pense en particulier au "Greatest Hits" sorti en 2006, une aberration absolue), au final on se dit que ce disque n'est quand même pas la pire des compiles du groupe ...

Il s'agit donc évidemment d'un disque réservé aux die hard (dont je fais partie, oui ...). J'ai donc mis 3/5 pour tenir compte de mes deux points de vue concernant ce disque, qui sont que d'un côté ce disque est inutile, mais que d'un autre côté si on ne connait pas du tout la période 1983-1995, ce disque peut présenter un intérêt relatif pour quiconque désir connaître cette période.

PS : sur NIME, Stef avait également attribué 3/5 à ce disque, comme quoi ...

Le 10 Mai 2012 par POWERBEAUF

Chronique qui propose un avis très nuancé, très pondéré, et qui peut se défendre. Cependant, à l'heure de youtube, l'intérêt d'acheter cette galette pour son titre inédit est caduc. Sérieusement, quel est l'intérêt de ce CD en 2012 ? A part extorquer quelques ronds aux fétichistes du SAB FOUR, je ne vois pas...

Le 09 Mai 2012 par LE MERLE MOQUEUR

À propos LOVE DEVOTION SURRENDER


Le titre déjà de cet album réalisé d'Octobre 1972 à Mars 1973
est tout un programme ...

Remettons nos pendules à l'heure... l'Époque ...

... c'est la fin des tueries au Vietnam (300 soldats américains
y perdaient leur vie chaque semaine et les estimations les plus
basses aujourd'hui font état de 4 millions de civils vietnamiens
tués. Heureusement les accords de Paris en Janvier 1973 puis
l'interruption du conflit vers Avril - Mai 1975 mirent fin à
cette boucherie. Fermons la parenthèse)

Des musiciens auront eu à cœur de dénoncer cette folie
humaine. Joan BAEZ , Bob DYLAN et bien sûr Jimi HENDRIX
dont l'interprétation de l'hymne américain reste pour
beaucoup inoubliable.
Les musiciens noirs , eux , auront dans l'ensemble une
révolte plus musicale liée par ailleurs à la couleur de leur peau.
C'est là qu'interviendront John COLTRANE et Miles DAVIS ,
tous deux feront l'humiliante expérience du racisme.

À partir du festival de Woodstock , été 1969 ,
musiques , contestations et aspirations à une
autre vie FUSIONNENT dans la jeunesse
des villes américaines et européennes.

Rêves d'évasions , de communautés ,
d'autres croyances...



Santana est en admiration devant Coltrane
et fan de Miles quant à John McLaughlin
il a eu la joie de participer aux albums " In A
Silent Way et Bitches Brew avec ce dernier...

LOVE DEVOTION SURRENDER est une orgie
joyeuse de deux guitaristes hors pair...
qui fédèrent le rock au jazz avec des
rythmiques afro-américo-cubaines dignes de
PAN... et pour cause on retrouve des
Billy COBHAM , des Don ALIAS , des Larry YOUNG
(voir et entendre toujours Bitches Brew)
sans oublier Michael SHRIEVE
(Ah ce SOUL SACRIFICE d'antan !)

Le LOVE SUPREME de COLTRANE
alliant la spiritualité à une musique qui
débouchera sur le free-jazz sera le fil
d'Ariane de nos deux guitaristes qui
adeptes des horizons hindouistes n'auront
de cesse de lancer dans l'espace des artifices de sons
de notes , de phrases musicales... d'engendrer
des débauches frénétiques d'accords , de bruits , d'échos
de gémissements stridents ... oui du délire pour atteindre
une jouissance d'ordre quasiment mystique...

et en dernier lieu dans un égrainage de notes aboutir...

en decrescendo au silence de la méditation... ... ... ... ... ... ... ...

Le 09 Mai 2012 par OLBAP05

Pas d'accord avec la seconde partie de la chronique.
J'ai trouvé dans certains morceaux calmes des côtés très "Grizzly Bear" ce qui n'est bien sûr pas pour me déplaire, ces morceaux montrent une autre facette du groupe qui est à mon humble avis plutôt aussi intéressante que celle du Hard Rock.
En plus j'adore le morceau "Lies".

Le 08 Mai 2012 par MAXINIFIQUE

Les BB Brunes yé-yé? Faut pas abuser non plus..

Le 08 Mai 2012 par LE OUISTITI

Ce fut mon premier Jamiroquai, et ce Synchronized a donc un parfum de nostalgie qui ressort de ses sillons à chaque fois que je l'écoute.

Sur la durée, c'est vrai qu'il apparait comme le plus facile, le plus évident de la discographie du groupe, mais il possède un charme certain, une cohérence qui n'occasionne aucune lassitude.

Peu de prises de risques certainement, mais une formidable aisance à défourailler de la mélodie accrocheuse et mémorable. Il n'en faut pas beaucoup plus pour pondre un excellent cru, et cet album en est un.

Le 08 Mai 2012 par JEF DE LA LUNE

Effectivement les BB Brunes sont plus proches de l'infâme vague Yé Yé qui a sévi en France dans les années 60 que du Punk. Rien à voir avec Metal Urbain ou les Dogs par exemple...

Le 07 Mai 2012 par TZ

J'ai un lien de Youtube montrant le groupe à cette époque là : http://www.youtube.com/watch?v=UM-yGcpaY_4

On voit bien là que ça colle pas, ou on change tout (comme Genesis ou Yes) ou bien on arrête, mais là le fifti fifti entre 2 genres (commercial/élabore), c'était raté d'avance.

En même temps j’aurais pas aimé être à la place de ces groupes soumis à un genre de dilemme ou on abandonne les fans de progressif restant qui sont dégoûtes de voir leur groupe préféré se convertir en groupe pop-FM, et d'autre par réussir son coup, ou bien, rater son coup en conservant son style comme d'habitude, (vu le nombre de groupe ayant du se soumettre à transformer le genre, à l’époque je pense pas que ça aurait été une bonne idée; n'ayant pas connu de mon vivant ce temps là, je peux rien dire là dessus), et au pire être quand même moins bon qu'avant (inspiration manquante, risque de réchauffer, auto-plagiat etc).
De même que pour le groupe lui même les musiciens devaient après avoir fait des concert déments comme on en voit sur Youtube (avant celui du lien évidemment), devoir se résoudre à faire une pop, et devenir un bête groupe pop éphémère à la limite, parmi des milliers d'autres, qui eux ou bien sont beaucoup plus nuls qu'eux et c'est pout ça qu'ils se sont résolus à faire du pop simple et commercial pour viser, ou bien d'autres qui pour eux sont leur spécialité, et du coup, laissent les virtuoses qu'étaient certains musiciens du rock progressif au 3ème plan ...

En gros c'est clair que cet album est une daube, mais faut pas trop leur en vouloir non plus ...

	Par Forces Parallèles Cher TZ, merci de faire attention à ton orthographe.