Le 19 Juillet 2011 par WALTER SMOKE

Animals...cet album me pose un sacré problème. Certes, j'adore le Floyd, avec leurs musiques dantesques et ses textes furieux, mais là, on se trouve devant un cas difficile.

C'est pas qu'il soit mauvais (je ne pourrai pas être aussi radical), c'est juste que j'estime avoir affaire à l'album le moins accessible du groupe, avec un "Dogs" monumental, mais décidément torturé dans sa structure et sa musicalité (c'est sans doute fait exprès, allez savoir...); en revanche, "Pigs" a le mérite d'avoir un début grandiose, mais une suite qui ne leur va pas, et "Sheep" présente une ouverture à hurler de rire, suivie d'un développement très musclé agrémenté de paroles au vocoder, quelle merveille !!! Cependant, aussi bons soient ces morceaux, ils demandent une écoute particulière et un intense effort de concentration, ce qui est d'autant plus ardu qu'ils rebutent à la première écoute. Par contre les deux parties de "Pigs On The Wing", on pouvait franchement s'en passer, et, de manière générale, Animals présente le gros défaut d'avoir une batterie qui ne lui va pas (remarque, c'était déja le cas sur Wish You Were Here), et à mon avis, Nick Mason aurait rendu un son incroyable avec un type de percussions ayant mieux résisté aux affres du temps.

Le 19 Juillet 2011 par RICHTER

@Kingstalker Bart De Wever! Sort de ce corps !
Blague à part, je suis d'accord avec toi pour l'attitude de Waters, et comme tu dis, on crache sur la société de consommation, mais on refuse pas les gros biftons.
Ce qui pour l'oeuvre musicale, il y a des oeuvres dont le succès ne s'expliquent pas. En dehors des textes "gauchistes", qui touchent les masses, ce disque m'offre un voyage inextricable dans l'Univers. Car c'est de cela qu'il s'agit avec Pink Floyd, un univers.
Pour le talent, musicalement parlant, King Crimson était là bien avant, on est bien d'accord.
Note : 4,5/5 (ben, oui, Animals est bien meilleur, faut pas déconner !)

Le 19 Juillet 2011 par HELL VICE

Bon, la new wave c'est pas mon truc, mais pour pas mourir idiot j'écoute tout.

Cet album est loin d'être le pire du genre, y a même des titres plutôt sympas et pour moi symboliques du genre comme Mad World. J'ai parfois l'impression d'entendre des accents de REM, mais bon je ne suis pas un spécialiste. Sinon j'aime bien Memories Fade et Watch Me Bleed. Pour le reste je zappe.

Le 19 Juillet 2011 par LEO

Enregistré en 1983 et paru début 84, ce 1er album de DEAD CAN DANCE est mon préféré du groupe avec le suivant "Spleen and Ideal", peut-être parce que ces 2 là gardent encore un pied dans le 'Rock' contrairement aux albums suivants.
Les morceaux chantés par Brendan Perry sont d'ailleurs mes favoris puisque toujours proches du mouvement Post-punk, alors que ceux interprétés par Lisa Gerrard ont une structure et une texture plus éthérée et pouvant se rapprocher d'un courant Gothic ou World avec ses sonorités tribales ou exotiques.
Mes choix se portent donc vers l'instrumental d'ouverture "The Fatal Impact", le plus remuant "The Trial", les très Joy Divisionesque "Fortune" et "A Passage In Time", le plus lyrique "East Of Eden" ou "Wild In The Woods".
"Threshold" chanté par Lisa Gerrard, garde lui aussi ce côté plus "Rock", mais sa voix m'accroche beaucoup moins que celle de son compère (à de très rares exceptions, ce sera toujours le cas sur les albums suivants).
Parmi les bonus inclus, "In Power We Entrust The Love Advocated" et "The Arcane" (chantés par Brendan Perry) sont les deux morceaux qui retiennent mon attention.

Le 18 Juillet 2011 par KINGSTALKER

Enorme mascarade que cet objet, exemple de cd souffrant du syndrôme « vidus ininterrompus », jamais des mots ne seront assez forts pour exprimer la haine que je ressens à l’écoute de cette diarrhée musicale émise par de sinistres musiciens au talent plus que discutable. Pink Floyd fait partie de ces groupes à l’épreuve des modes, c‘est bien simple tout le monde apprécie ce groupe de vieilles ménagères. Vous ne rêvez pas, je parle bien de Dark side of the moon, l’album culte par excellence de toute la génération boboisante pseudo-gauchiste et de toutes les générations à venir. Qui ne connaît pas aujourd’hui le pamphlet éructant d’hypocrisie tout droit issu du stupre à peine séminal de sa seigneurie Waters qu’est "money"? Titre qui passe encore sur les ondes, démontrant ainsi les fautes de goût des diverses radios françaises et internationales…

Dark side of the moon est un peu l’album oblige, celui que tout le monde a écouté, effaçant des œuvres bien plus fortes et intéressantes telles que Lark’s tongues in aspic ou encore Leg End de Henry Cow, cela s’explique par le son hyper propre des compositions poubelles (quel paradoxe!) qui brosse le poil de l’auditeur inattentif. Pourtant, si nous y regardons de plus près, cette « oeuvre » est un véritable gouffre artistique, un travail sans fondement, juste formel. Je ne parle même pas du profond dégoût que m’inspire ces réalisations, belles pour être belles, rien de plus. Dans ce cas, lançons aux cimes de la musique des albums aussi insignifiants que les élucubrations d’un Besancenot en mal d’amour et de reconnaissance, de toutes façons c’est-ce qui arrive à chaque sortie d’un album soi-disant révolutionnaire musicalement... On a souvent accordé à cet album une production d’une classe infinie, pour ma part je ne vois là qu’un bon travail sur multipiste analogique d’Alan Parson, au moins cela convient à la musique de Pink Floyd… d'une prétention interstellaire. La forme au service de la forme n’inspire aucune émotion, aucune humanité et cet objet en aurait bien besoin. Comment autant de monde peut s’extasier sur quelque chose d’aussi inhumain? Un robot aurait pu en faire de même, les émotions sont pré calculées (comme en témoigne le titre the great gig in the sky avec ses choeurs dégueulasses puant l'anémie créatrice) et Waters qui se veut critique envers la société de consommation se fourvoie une fois de plus et sa mise en forme rentre dans les normes musicales de l’époque à savoir un côté pseudo-planant imposé par les nappes de claviers de Wright et le message anti-libéral très en vogue à l’époque. Dicter une perception musicale relève du fascisme pur et simple, Pink Floyd rentre dans cette caste d’artistes fascistes! Le débat qu’imposa Nabe sur les plateaux d’apostrophes en 1985 reste selon moi toujours d’actualité, est-ce qu’une œuvre est nécessairement fasciste? A vous de voir, en attendant, cette chose résume parfaitement ma pensée!

J’estime que Pink Floyd est un groupe de papys, de ménagères, de bobos et de jeunes loups en mal d’identité car comme de chacun sait, écouter Pink Floyd, ça fait chic! Cela permet de rentrer dans cette sphère de personnes cultivées, se posant de réelles questions quant à l’argent, la guerre, l’amour, bref des choses de la vie! Comme le disait si bien Eric Naulleau à Francis Lalanne, « à force de péter plus haut que son QI, on ne finit par ne souffler que du vent! » . Car, évidemment, Pink Floyd rend simpliste des thèmes aussi vastes que l’espace, d’ailleurs il n’y a rien d’étonnant à cela, ces types sont aussi intelligents que les gens s’égosillant sur des thèmes musicaux kitschissimes ( qui à dit que je pense aux fans d’Abba?). Pour Waters (criminel notoire), c’est bien simple, l’argent c’est le mal… Il ne me semble pourtant pas que ce dernier ait craché sur le revenu des ventes de sa création, croisement hideux de foutre et de dégueulis… Ce zigoto égocentrique qui n’a pas hésité à cracher sur un fan durant une tournée (c’est vous dire à quel point ce personnage fait preuve d’humanisme, on est bien loin du flegme anglais, image que le groupe ( enfin un maitre à tout faire et des esclaves) a essayé de se donner en vain (je vous réfère à la vache de la pochette de atom heart mother)) a incité en moi une rage fulminante à l’égard de Pink Floyd, par ailleurs.

On pourra reprocher à ce commentaire son parti pris haineux, n’oublions pas tout de fois le nombres d’œuvres éminemment plus intéressantes rejetées aux oubliettes de l’histoire par ce seul album d’un niveau plus que médiocre. N’oublions pas non plus, l’hypocrisie totale du personnage pivot de Pink Floyd et la prétention de ses compositions! Dark Side of the moon est la référence même de l’antimusicalité et de la hideur musicale, à force de donner dans la facilité et le prémâché le groupe anglais a perdu en route la base même de la grande musique, la forme et le fond. L’un sans l’autre ne peut générer qu’un vin âcre et acide, et, personnellement, je ne suis pas adepte des bactéricides... Car il s'agit bien de cela, d'une oeuvre qui tue toutes formes de créativité et qui polissa un groupe au talent déjà trop érodé...

Le 18 Juillet 2011 par TERRY

Très grand disque d'Elton, pas son sommet ("Goodbye Yellow Brick Road") mais franchement remarquable, avec notamment "Mona Lisas And Mad Hatters", "Hercules", "Rocket Man", "Slave" et "Honky Cat". Fantastique !

Le 18 Juillet 2011 par WALTER SMOKE

Franchement, mais alors franchement, Abbey Road est l'un des albums de rock les plus mauvais que j'aie jamais écouté ! Certes, il y a la seule chanson du groupe qui se trouve sur mon lecteur mp3, à savoir "Come Together", mais le reste est franchement lourdingue : les chansons s'enchaînent, mais aucune n'arrive à vraiment transcender l'auditeur, surtout avec leurs paroles pleines de... nan, il n'y a pas de sens, avec ces morceaux pleins de mièvrerie ; bon, après, le skeud reste de bonne facture technique, mais c'est tout. Si Vous voulez du bon gros son des années 60 avec de bonnes paroles (non, je ne fais pas de prosélytisme !), tournez-vous plutôt vers le Floyd ou encore King Crimson.

Le 17 Juillet 2011 par KINGSTALKER

Nothing is sacred!

Pour revenir très brièvement sur le dernier commentaire, je pense que parler de snobisme est une erreur. Il n'était pas dans le but du chroniqueur (Suntory time pour la kro-express) de critiquer l'album pour faire preuve de snobisme. Ce n'est pas parce qu'un album a inscrit une marque indélébile dans l'histoire de la musique qu'il est interdit d'en dire quelque chose de mal. Un album n'a pas à être critiqué en fonction de la renommée du dit album. Ce serait une formidable entrave à la liberté d'expression et de critique. Led Zeppelin a des défauts et des titres pas nécessairement mauvais mais pas non plus transcendants ( Black dog, rock n' roll etc) et l'avis de suntory est parfaitement argumenté de même que celui de Mr.Ameforgée. Il est donc parfaitement acceptable et je suis de son avis. Led Zeppelin a fait beaucoup mieux et je pense que deux titres ( stairway to heaven et when the levee's break) ont occulté des titres plutôt faibles (four sticks en tête).

Donc, s'il vous plaît, chers amis, arrêtons de se mentir, un album "culte" n'est pas nécessairement extraordinaire .

Le 17 Juillet 2011 par MIKHAïL TODREV

Bonjour,

Etant un admirateur de ces deux artistes que sont Trent Reznor (alias Nine Inch Nails) et Aphex Twin, je me permets de faire deux remarques :

Tout d'abord, les deux remixs de Nine Inch Nails qui figurent sur cet album, sont en fait déjà présents sur l'album de remixs Further Down the Spiral sorti sous le nom de Nine Inch Nails, en ... 1995 ! Ces-dites versions sont rallongées, et selon moi, un tantinet plus intéressantes.
Néanmoins c'est un bon révelateur du manque d'inspiration ( ou de motivation ) du jumeau Aphex, qui n'a ici fait qu'une simple récupération du travail effectué presque 10 ans auparavant .

http://www.deezer.com/fr/#/music/nine-inch-nails/further-down-the-spiral-230167


Ensuite, la fin du remix " the Beauty of Being Numb " que tu considères comme étant un travail de réarrangement un peu ridicule, est en fait pratiquement le seul lien avec le morceau originel de Nine Inch Nails, " Eraser ". En effet ce sample sert d'introduction à ce morceau, et y est à mon goût nettement plus approprié que sur le remix.

http://www.youtube.com/watch?v=D5KlwGB9A5I

Voilà !

Ah, une dernière chose : Je me régale avec tes chroniques, Merci !

Le 17 Juillet 2011 par ROBERTFRIPP

Encore un excellent album par le génie du XXIèm siècle qu'est ce prodigieux Devin Townsend !

Plus d'une heure de voyage, de mystère et de surprises sur un album qui une fois de plus n'a pas fini de faire voyager l'auditeur, au rythme des vents soufflés par le Divin Devin en personne. Magistral, justice est faite via cette très bonne chronique !

Question supplémentaire : A quand la discographie de Sepultura sur Forces Parrallèles ?

Le 16 Juillet 2011 par EL CHUPA NIBRE

X-men est produit par la Fox!

X-men = Marvel = n'importe quelle maison sauf Warner Bros qui détient les droits pour les adaptations DC

Le 15 Juillet 2011 par ZINKANAGWAKA

La musique de John BARRY fait pour beaucoup dans l'efficacité du film. Elle en est un des éléments moteurs et absolument nécessaires. Elle participe activement au grand voyage initiatique de la chrysalide John Dumbar vers son accomplissement intime sous la forme de "Twoumanitutankaowanshi". Magnifique !

Le 15 Juillet 2011 par WALTER SMOKE

"ARRRRRGGGGGGGHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!" Voilà en un mot comment on pourrait qualifier le fameux - et donc fumeux - MMM de Lou Reed ; pour faire détaillé, un bordel de sons stridents absolument infects : pendant une heure, on a exactement les mêmes sons, en plus (et dire que je me plaignais de Irrlicht, le premier album de Klaus Schulze...). Cependant, il convient de voir MMM comme un exercice de style assez osé et original - réussite totale ! - et non comme le plus gros bras d'honneur de la musique. Et puis, si on l'écoute à puissance sonore modérée, l'album devient carrément un moment de plaisir ! Remarque, faut quand même être un peu maso sur les bords...

PS : si vous voulez des grattes en furie en plus "calmes" et surtout plus ordonnées, je vous conseille d'aller voir du côté de Hergest Ridge, ça vaut le coup d'oreille.

Le 15 Juillet 2011 par JOHN PAUL

Il y a un petit snobisme très particulier à FP ces derniers temps : déssouder LED ZEP. Cette musique a 40 ANS ! Alors au bout de 40 ans (soit presque un demi-siècle), une musique vieilli, et pas toujours bien, c'est une évidence. 1971 ! Projetez-vous 40 ans avant, soit en 1931 ! Quel était l'état de la musique à cette époque. Même Hank Williams était un gamin, Johnny Cash n'était même pas né et tonton Adolf pas encore au Reichstag ! 40 ans, en musique, c'est énorme. Malgré cela la musique du ZEP reste encore une référence pour les groupes actuels ! Un sacré exploit, non ? Sans LED ZEP, le paysage musical actuel serait bien différent de ce qu'il est, ou a été. En effet, lorsqu'on pense aux centaines de clones que ce groupe a engendré, on ne peut qu'être convaincu qu'il a marqué l'histoire du Rock de son empreinte, et particulièrement au travers de cet album. Alors, excusez-moi, mais prendre le IV ou le II avec des pincettes, une quarantaine d'années après, pour l'examiner quasiment en se bouchant le nez, je trouve cela c'est bien facile mais pas très constructif pour un site qui se veut référentiel.

	Par Forces Parallèles . Petite précision : "Tonton" Adolf n'est pas élu en 31 car il n'a pas encore obtenu la nationalité Allemande... Il y a bien longtemps déjà que le NSDAP participe à la vie politique allemande. Quand à l'état de la musique en 31... Il est complexe de comparer ce qui est antèrieur à l'explosion du Rock vers 54/55. Cependant, Robert Johnson et Big Bill Broonzy ont déjà crée quelques uns de leurs standards du blues. Et Charlie Christian trifouille les boutons des premières grattes éléctriques, Léo et Les bossent... Bah non on est pas snob. Et on aime le Zep. Erwin

Le 15 Juillet 2011 par HELL VICE

U2 c'est le genre de groupes si populaire que l'on ne comprend pas pourquoi on accroche pas, on en ferait presque un complexe (j'ai le même problème avec Pink Floyd). Pourtant la réponse est simple, nous ne sommes pas tous sensibles aux mêmes choses, il y a bien des fans de Bézu.

Sur War j'avoue commencer à trouver le groupe intéressant. J'avais trouvé "Boy" moyen et "October" très décevant. War est donc pour moi un album digne d'intérêt malgré quelques titres très moyens où la voix de Bono est limite soûlante.

Le 15 Juillet 2011 par LEO

"Movement" est le seul album de NEW ORDER que j'aime du début à la fin.
"Power, Corruption & Lies" commence à flirter un peu trop à mon goût avec l'électro-pop, chose qui était un peu plus diffuse sur leur excellent EP "1981 – Factus 8 – 1982" (qui regroupait leurs 2ème et 3ème singles).
Le maxi "Blue Monday" (paru 2 mois avant l'album) pousse le bouchon encore un peu plus loin de ce côté là (quant à "Confusion" sorti à l'été 83, n'en parlons pas) !
Ce deuxième album contient tout de même quelques très bons morceaux, à commencer par "Age Of Consent" et le très Kraftwerkien "Your Silent Face" qui a quelques relents de "Europe Endless".
J'aime bien aussi le plus électro "Ecstasy" et "Leave Me Alone" qui clôture l'album de fort belle manière !
À l'origine, le groupe avait enregistré "5-8-6" pour une 'John Peel Session' en 82, et cette première version (plus lente) était très réussie, ce qui n'est pas forcément le cas de la version figurant sur l'album !
À l'arrivée, je n'aime vraiment que 4 titres sur 8 (c'est toujours une bonne moyenne cela dit !).

Le 15 Juillet 2011 par GéGé DU COIN

Rarement je n'ai vu une tel osmose entre le style d'une chronique et le style d'un chanteur. Erwin, tu es à FP ce que George Michael est à la musique populaire ...

Le 14 Juillet 2011 par WALTER SMOKE

Ah, le premier album de Tangerine Dream ! Le premier cru du groupe le plus connu de Berlin ! Ouais, mais... la différence entre Electronic Meditation et Stratosfear, pour ne citer que lui, c'est comme comparer une fourmi et un guépard. L'ambiance est lourde, froide, très froide à tel point que j'ai failli avoir peur. Bon, vous me direz que ce sont les débuts, certes, mais bon... en exemple, "Genesis" ne constitue pas la meilleure ouverture (du moins si on s'attend à un morceau calme et serein), avec des violons anxiogènes ; et "Resurrection" est une grosse arnaque. Le plus étonnant reste la line-up où l'on retrouve Klaus Schulze, LE monstre sacré de l'électro allemande. Ah oui ! ne vous fiez pas au titre de l'album : le style s'apparente plus à du krautrock pur et dur, primitif !

Le 14 Juillet 2011 par OUISTITI

Mea Culpa, à relire la chronique plus sereinement aujourd'hui, je crois également que le procès en discrimination sexuelle est un peu exagéré...

J'ai du avoir un choc d'hormones hier, et oui, coming out, je love George !

Le 14 Juillet 2011 par L_WORLD

Je pense que l'auteur faisait plutôt allusion aux nombreux scandales qui émaillent la vie de Georges Michael, et non à son orientation sexuelle.

Sinon bon disque, qui prouve une fois de plus qu'avec de bonnes compos Georges Michael sait être excellent !

	Par Forces Parallèles Ah! Merci à toi, L_World, pour ton soutien... Je faisais bien entendu allusion aux épisodes scabreux qui ont récemment émaillé la pittoresque vie de Georges, et non à son orientation sexuelle...