Bonjour,

Tu as raison, ce n'est pas la bonne pochette mais celle du Cimetière Des Arlequins. On essaye de voir ce qui cloche !

Bonne journée !

En rien, je crois que notre ami Jeremy a gardé d’étranges habitudes de chroniqueur métallique.

La musique d’Ange se rapprocherait selon moi plutôt de Jethro Tull même si la voix n’est pas encore bien établie sur Le Cimetière des Arlequins. Toutefois l’utilisation des guitares de même que le chant de Christian Decamps peuvent rappeler les œuvres de monsieur Ian Anderson. En France, je rapprocherais plutôt le groupe de Jacques Higelin et de son « Champagne », pour les textes romantiques évoquant un imaginaire emprunt de la culture française du XIXe siècle.

En fait, Ange n'a rien du tout à voir avec Rhapsody et Emperor. Si j'ai fais référence à ces deux groupes, c'est pour deux raisons (qui sont liés d'ailleurs) : la première, évidente, c'est qu'à l'écoute de l'album, et sur les morceaux cités dans la chronique, je n'ai pas pu m'empecher de penser aux deux groupes en question, et j'estimais utile de le préciser, car même si Ange est étiquetté "Rock prog", je trouve que par moment, leur musique peut faire penser à du metal ;-). Et donc par ce fait, j'esperais pouvoir convaincre les visiteurs habituels de Nightfall (fans de metal évidemment) de jeter une oreille sur Ange, car bien souvent c'est le terme "progressif" qui les repousse (c'était la deuxième raison ^_^), alors que la musique aurait, selon moi, largement de quoi les séduire.

Mais ne t'inquiète pas, cher inconnu, dans les chroniques qui suivront, il n'y aura plus de références au metal (bien que je trouve que certains morceaux, de Pain Of Salvation notamment, me rappelent ceux d'Ange sur "Au-delà du Délire", aussi surprenant que cela puisse paraître).

Ceci dit, je comprend ta surprise en lisant la chro, que de voir un groupe de rock prog, limite chanson française par moment, mis en comparaison avec un groupe de black metal ;-)

Juste un petit mot sur Ange.A la premiére écoute je n'étais âgé que de 11 ans. J'écouté en cachette les cd de mon frére aîné. Et ce fût une métamorphose radical, un voyage qui dur encore, une rêverie sans nom et Dieu sait que depuis je ne cesse de découvrir d'autre univers, mais j'ai le regret de ne pas voir plus souvent parler de la carriére solo de Francis Décamps et d'un album tout particuliérement, Histoire de Fou, j'ai récemment pu mettre la main sur le vinyle original datant de 79, avec un grand plaisir, un son impeccable, je vous conseille vivement de le dévorer, on peut se le procurer en cd bien sûr, d'autre mots pour le décrire serait vain, un chacun de le ressentir.L'égal d'Ange n'est autre que Ange.Merci pour le rock et tout s'est passé et se passe en France.

Aucune.