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Fredericks / Goldman / Jones
Fredericks/goldman/jones
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le 31 Juillet 2019 par JJ. LIONEL


Goldman seul c mieux qu' avec les deux complices c mon pont de vue . ( J avoue que j ai un peu de mal .. )

le 16 Septembre 2018 par VIV


Grand album.
Le trio d'artistes est tres inspiré et ça fait plaisir. Le graal est atteint avec "Nuit" et "tu manques" très poignante où la partie de basse fretless de Pino Palladino est à tomber.
Je retire une étoile pour le manque d'homogénéité de l'album et l'aspect un peu trop synthétique sur certains titres (on est en 1990 mais les sonorités kitch des 80's ne sont pas bien loin...)

le 20 Mars 2015 par MR LARSEN


Fort de près de dix ans de carrière en solo, Jean-Jacques Goldman prend le parti de s'entourer de deux nouveaux musiciens pour former un trio : Michael Jones (qu'il connaît depuis Taï Phong et avec qui il chante en 1985 sur "Je te donne") et Carole Fredericks (sa choriste depuis 1986). En 1990, le trio Fredericks/Goldman/Jones sort donc son premier album éponyme. Et quel succès ! Porté par deux titres, "Né en 17 à Leidenstadt" et "A nos actes manqués", le trio joue sur plusieurs registres, de la très romantique "C'est pas d'l'amour" (une des meilleurs chansons de l'essai), au très Jazz club "Un deux trois", entrecoupés de morceaux aux questions existentielles ("Né en 17 à Leidenstadt", "Chanson d'amour... !"). Des titres très inspirés, portés par des musiciens à l'unisson et visiblement ravis de travailler ensemble. Et quand Goldman se retrouve seul, c'est pour nous faire partager un pur moment d'émotion avec l'extraordinaire et trop méconnue "Tu manques". Un titre intimiste où la plume du parolier se fait autobiographique. Huit minutes de douceur qui viennent clôturer un album massif qui relance bien l'homme en or en ce début de décennie 90's, bien loin encore de la grandiloquence de "Rouge", qui ne paraîtra qu'en 1993.
4,5/5

le 03 Novembre 2013 par IEN


J'écoute beaucoup cet album en ce moment et je me faisais aussi cette remarque, quel dommage que la batterie soit synthétique. Par contre je ne pense pas que la basse le soit elle aussi.
En tout cas un album extra avec à mon gout absolument aucun mauvais titre.

le 02 Novembre 2013 par THIERRY RAOULT


Il y a du très bon sur cet album, du bon, du moyen et du faible.

Le très bon: "Vivre cent vies", "Un, deux, trois", "Nuit", "A nos actes manqués" et "Tu manques".

Le bon: "C'est pas d'l'amour", "Né en 17 à Leidenstadt", "J'l'aime aussi".

Le moyen: "Peurs".

Le (très) faible: "Chanson d'amour".

Spontanément, à l'écoute de cet album, il y a une grosse faiblesse, ce sont les synthés. La plupart des instruments (sauf les guitares) sont synthétiques. C'est fatiguant. C'est dommage, surtout que Goldman et Jones sont de très bons musiciens, et que sur scène JJG est très bien entouré. Pourquoi ne pas enregistrer avec des "vrais" instruments et des "vrais" musiciens? Ce sera la même chose avec l'album "Chansons pour les pieds".

Tout ça dévalorise les chansons. Il y a de très belles mélodies, des bons textes, et des belles voix (celle du trio). Mais il y a trop de machines!













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