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10 commentaires notés [?]
Deep Purple
Perfect Strangers
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le 22 Septembre 2023 par SWISSIDOL
Très beau retour du D.P "historique". On commence très bien avec "Knocking at your back door" mais la suite n'est pas en reste : "Perfect strangers", "Hungry daze", "Gypsy's kiss"... Même la ballade mélancolique "Wasted sunsets" vaut le coup. J'ai découvert le groupe avec ce disque.
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le 29 Mars 2020 par CLANSMAN57
Pour moi, c'est un retour en très grande forme!
Il se peut bien que le groupe n'a jamais été aussi accrocheur qu'ici, chaque chanson reste en tête, c'est super.
J'adore la prestation d'Ian Gillan, même s'il préfère la sobriété désormais.
Je pense souvent à Bruce Dickinson lorsque je l'entends, notamment sur la chanson-titre qui est une petite merveille contenant des riffs comme on en fait plus.
Coup de blues? Un petit détour par "A Gypsy's Kiss", elle saura te remonter le moral avec sa belle énergie positive.
Il existe une édition dotée d'une chanson supplémentaire: "Son Of Alerik".
10 magnifiques minutes instrumentales, planantes à souhait.
Ce serait fort dommage de passer à côté.
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le 25 Mai 2013 par RED ONE
@ RAMON :
"And... Now What ?
Au moment où j'écris ces lignes le miracle s'est (finalement) produit, avec Bob Ezrin aux manettes (un vrai producteur donc...),mais je suppose que tôt ou tard, on en fera mention sur ce site."
Oui oui, sois sans crainte, la chronique de "Now What ?!" est actuellement en cours d'écriture, elle va sortir bientôt. Inutile de préciser que la note sera plutôt bonne, mais je n'en dis pas plus !
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le 25 Mai 2013 par RAMON
En 1984, l'annonce de la reformation du Purple mark II avec nouvel album à la clé en a fait saliver plus d'un dont je fais partie.
Surtout qu' on aurait enfin la chance d'assister aux concerts de nos demi-Dieux (encore) vivants, ceux du mythique bien qu'un poil surestimé "Made In Japan".
Bien sûr, on avait assisté aux shows donnés par Rainbow et autre Whitesnake, on avait vu Gillan chez Black Sabbath et même aperçu Paice derrière Gary Moore, mais quand même on aurait tous préféré voir les cinq ensemble.
Le sommet de ces performances étant tout de même le concert de Whitesnake au pavillon Baltard fin 1981. En 1981 Whitesnake est le groupe qui compte le plus d'ex Purple au mètre carré...Ironie de l'histoire en 1990 c'est Deep Purple qui comptera le plus d'ex Rainbow chez lui: Trois partout, balle au centre.
Ravi d'apprendre que Paice et Lord faisaient de la figuration au sein du Serpent Blanc, parce qu'à Baltard les "figurants " avaient vu leur nombre de lignes de texte augmenter de façon exponentielle, A Bercy en 1985 avec le Pourpre leurs tirades en tant que vedettes ne furent guère plus longues: dans les deux cas chacun son solo et sur le reste de la set list on assure avec force classe certes, mais on assure quand même. La star de Deep Purple en 1984/85 c'est Blackmore, sur album ET sur scène.
L'album, donc, parlons en: une déception, forcément.Vu l'attente...
Une déception que Knocking at your back Door et Perfect Strangers ne parviennent qu'à éluder partiellement. Il y Mean Streak aussi, entraînant et incisif.
Pas de mauvais titres sur ce disque, mais en dehors des trois cités, on ne sautera pas au plafond: ensemble agréable, sauf que:
-In Rock,Machine Head, Burn et allez,faisons bondir les puristes Come Taste The band...En fait le retour du mark II ne surclasse aucun de ses prédécesseurs toutes périodes confondues.
Et puis Rainbow Rising ou Come and get it de Whitesnake, c'était quand même vachement mieux. Aussi.
Le point commun entre In Rock, Burn, ou Rising et Come and get it, porte un nom: Martin Birch, ingé son/producteur responsable de tant de chefs d'oeuvres du hard rock, véritable sixième homme du groupe passé sixième homme chez Maiden. Un orfèvre de la mise en son, un caractère fort capable de s'opposer à Blackmore également.Il manque cruellement.
C'est Roger Glover qui lui avait déjà succédé en tant que producteur de Rainbow qui devient pour le coup juge et partie.
Glover est un excellent musicien, pas un producteur exceptionnel, exemples: il a foiré sa collaboration chez Rory Gallagher et le potage FM de Rainbow (pas forcément dégueu, c'est vrai) ne sied en aucun cas à l'orgue de Lord et encore moins à la voix de Gillan.
La suite avec l'épouvantable House of blue light allait confirmer les craintes.
Je finirai en ajoutant qu'aucun album du Pourpre Profond post perfect Strangers n'a trouvé grâce à mes oreilles, période Steve Morse comprise.
Du coup cela rehausse nettement sa valeur...
And... Now What ?
Au moment où j'écris ces lignes le miracle s'est (finalement) produit, avec Bob Ezrin aux manettes (un vrai producteur donc...),mais je suppose que tôt ou tard, on en fera mention sur ce site.
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le 23 Avril 2013 par THIERRY
Les notes sont bien généreuses envers un album, certes bon mais pas essentiel. Comme le laisse entendre MMM, DEEP PURPLE a fait son temps. Le groupe a déjà sorti ses albums cultes, depuis le Hard a évolué. Les retours sont toujours très difficile surtout après une longue période d'absence. Hier, précurseur, inventeur, en 1984, ils ne sont plus que suiveurs et comme beaucoup de groupes anciens, cherchent à moderniser leur son sans pour autant apporter du neuf contrairement à BLUE OYSTER CULT, RUSH par exemple. ça donne un album dans l'ère du temps, son propre, un Gillan plus posé loin de la démesure des années 70, un Lord troquant son orgue Hammond pour un synthé, tout est calibré (radio), pas un poil de cul qui dépasse. Mouais, c'est pas trop mon truc et le vieux Deep Purple me manque déjà dès l'entame du second morceau. Ce disque est pas mal avec comme point culminant l'excellent "pefect stranger" mais il manque quelque chose, on dirait un Deep Purple aseptisé, sans magie et sans passion.
"Purpendicular" est pour moi bien plus consistant et marquera un véritable regain d'intérêt pour ce que proposera le groupe à partir de cet album.
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