J'ai dû mal à comprendre les intentions de Guy Liguili.
Faire une chronique d'un album qu'on ne connait absolument pas, c'est risqué de se prendre les pieds dans le tapis.
Se procurer l'album (itunes ? lol) et faire la chronique dans la journée, ce n'est pas ce que j'appelle prendre du recul par rapport à ce qu'on écoute.
Cela se confirme avec le dernier paragraphe. Guy a apprécié l'album mais comme il y a des références aux vilains nazis, But, what end when the symbols shatter ? devient un mauvais album. Logique, non ?
Pour ma part, j'apprécie énormément cette oeuvre. Je n'ai pour le moment que The guilty have no pride, le premier cd du groupe encore fortement influencé par Joy Division et celui-ci.