À la veille de l'automne, une bonne pelletée de feuilles mortes (via cette KROS-EXPRESS de BAKER) fera toujours l'affaire pour recouvrir discrètement, mais sûrement (one more time...) une première chronique hivernale déjà quelque peu assassine du dernier album de Steve HACKETT. Y mêler, de plus, des considérations politiciennes ("ça me rappelle un certain gouvernement, que je ne citerai pas"... WTF ???)... euh, on ne serait pas ici pour parler uniquement de musique ?
"At The Edge Of Light" n'a que rarement quitté ma platine depuis la fin Janvier 2019, et c'est à chaque écoute un plaisir renouvelé. Je n'en suis plus à disséquer tel ou tel titre, tant cet album forme un tout indissociable... et cohérent au niveau de la démarche musicale "universaliste" de Steve HACKETT (au hasard, citez-moi un des ex-membres de GENESIS, qui vaille que l'on s'attarde sur sa production récente et qu'on en parle en termes élogieux ? Peter GABRIEL (pour n'en citer qu'un des plus prestigieux), bientôt septuagénaire, se contente de remastériser son "catalogue" live et studio, dans l'indifférence générale...).
Et ce n'est pas sans une certaine impatience que j'attends, en Octobre, la sortie d'un nouveau "GENESIS Revisited Band & Orchestra : Live at the Royal Festival Hall", où Steve me régalera, une nouvelle fois, des "soli" extirpés de sa "Fernandes/Burny". Voilà, c'est dit !
So long, folks !