Je reviens sur cet album après l'avoir écouté et ré-écouté... (voir ma chronique de janvier 2016).
Lodger, je dois dire qu'à première écoute je n'ai pas aimé. Trop expérimental, trop "bruitiste", .... ça va vraiment "dans tous les sens" effectivement.
Et par la magie des choses, en réécoutant l'album, j'ai aimé ce disque de plus en plus. Ce qui me semblait repoussant au début s'est révélé comme n'étant qu'une complexité musicale parfaitement maîtrisée.
A tel point que je me surprend même à préférer Lodger que Heroes par exemple !! Incroyable... alors qu'avant c'était tout l'inverse !
Dans Lodger, l'expérimentation est maîtrisée, subtile, plein de merveilles dans tous les recoins. Alors que l'expérimentation dans Heroes est davantage déversée "à la pelle", de manière assez grossière (pour les morceaux chantés, pas pour les instrumentaux en face B qui sont très bons).
Donc, pour LODGER , en un mot : prenez votre temps ! Réécoutez cet album plusieurs fois, ça en vaut la patience, cet album est génial !