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Moyenne établie
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4 commentaires notés [?]
Nine Inch Nails
Pretty Hate Machine
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le 22 Août 2007 par AXEL
Cet album n'a rien de kitsch. Il appartient à une époque et sa sonorité lui procure aujourd'hui encore plus de personnalité et de force.
Rien n'est vulgaire, ni de mauvais goût, bien au contraire. Il se dégage quelque chose de malsain et de sombre, de froid mais bouillant d'humanité.
Un superbe recueil de chansons, que j'aime toujours autant écouter aujourd'hui.
Pour moi c'est 0 défauts, pop, violent, intimiste, sombre, trippant, émouvant, expressif, forte personnalité, des mélodies qui restent dans le crâne avec joie ou tristesse, de l'hymne, des classiques...
Un superbe recueil de chansons, que j'aime toujours autant écouter aujourd'hui. Un putain de disque comme les suivants, mais différent, comme chacun de ses albums.
Que Pretty Hate Machine reste comme il est et vive ses claviers.
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le 22 Août 2007 par MONSIEUR N
Oh oui ce PRETTY HATE MACHINE est kitsch, la faute aux claviers.
Les compositions sont cependant déjà là, en temoigneront les bonnes reprises (certes remodelées) de "Sin", "Head like a hole" ou encore "Terrible lie" (mon préféré) sur le live AND ALL THAT COULD HAVE BEEN, ainsi que le "Something I can never have" sur STILL, qui fonctionne mieux au piano.
Posologie conseillée : une fois par an.
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le 24 Juin 2005 par BAAZBAAZ
Un album à côté duquel beaucoup sont passés à l'époque. Ce n'est que lorsque la vague indus a déferlé à grands coups de Godflesh, Ministry et autres Peace love and Pitbulls, et surtout bien sûr après le terrible choc " Broken ", que l'on s'est penché sur cet étrange objet à la fois âpre et romantique. Il avait alors pris un caractère presque mythique et culte.
Mais il me faut apporter ici une précision : dès la sortie de cet album, l'ensemble sonnait déjà comme un "bricolage synthétique". L'intérêt était précisément la découverte d'une oeuvre entièrement conçue par un obscur bidouilleur : avec ses qualités - l'album est un chef d'oeuvre, chaque chanson est une merveille d'équilibre entre sécheresse électronique et violence mélodique - et ses défauts, à savoir justement le côté "musicien du dimanche qui s'éclate sur son ordinateur". Mais ce défaut là est évidemment aussi ce qui a fait la réputation de NIN.
Pour cette raison, je crois donc que cet album est atemporel, et non pas lié au son des années 80 avec lequel il tranchait déjà lors de sa sortie. Il n'y a rien de kitch dans tout cela, et j'ai d'ailleurs écouté ce disque avec plaisir tout au long des années 90. De toutes façons, je ne pense pas qu'un son puisse être " démodé ". Le croire, c'est prendre le risque d'évaluer une oeuvre passée en fonction des critères du présent, et donc justement en fonction des modes lancées par les producteurs les plus en vogue à un moment donné.
Or cet album ne gagnerait pas à être remasterisé par Rick Rubin...
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le 09 Février 2005 par UDUFRU
"Cette jolie machine de haine" se reporte au titre de l'album, et non à son contenu, qui est certes plus proche d'un DEPECHE MODE que d'un GODFLESH ! Cet album est effectivement assez éloigné de l'idée que l'on peut se faire de la violence... mais lorsque je dis qu'il démarre sur les chapeaux de roue, c'est pour signifier qu'il débute sur un titre parmi les plus énergiques de l'opus. "Sin" n'arrivant pas loin derrière, il est vrai !
Je donnerais ma mention spéciale à "That's what I get", chanson dont les paroles sont magnifiques, et la fin, très electro, me fait immanquablement vibrer d'émotion et de plaisir mêlés.
En tout cas, merci pour ton avis favorable sur ma chronique ! J'espère que les autres te satisferont tout autant.
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le 08 Février 2005 par ICHEL
"Cette jolie machine de haine démarre sur les chapeaux de roue..."
Hum,là,je suis pas trop d'accord,ce disque je le ressens pas comme ça,on est loin du condensé de haine qu'est Streetcleaner qu'a sorti Godflesh à la même période...
'Fin bon,mis a part ça, je suis dans l'ensemble d'accord avec la chronique d'udufru, mention speciale pr le morceau "Sin"
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