Je reviens 2 ans plus tard, non pour cet album en totalité (dont j'ai déjà donné mon avis), mais plus spécifiquement sur le long morceau-titre.
Je suis d'accord avec ceux qui disent que ce morceau n'est pas immédiat : il faut plusieurs écoutes pour l'apprécier pleinement.
Toutefois, je reste pantois sur sa sous-estimation. Personnellement je le trouve absolument unique et génial, même si je préfère certains passages à d'autres. Par exemple j'adore vraiment l'intro, puis cette partie assez "spatiale" avec le chant "The watcher and the tower waiting hour by hour" et après : ce splendide passage ressemblant un peu à des prémices de "To France" puis enfin la géniale montée en puissance de Simon Phillips avec sa batterie puissante.
En fait, le seul passage que je n'aime pas du tout et qui fait tâche dans l'ensemble est le passage rock-bourrin avec ce chant écorché "Crises, crises, you can't get away..."
Voilà tout.