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Jacco Gardner
Cabinet Of Curiosities
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le 08 Décembre 2015 par STREETCLEANER


Hologramme de la musique pop des années 60. On a un peu le même problème qu'avec MGMT et son Congratulations, à savoir où est la frontière entre le travail de copiste habile et le vrai talent (même si copier intelligemment nécessite un talent certain) ? Toutes les chansons sont ici agréables, de ce point de vue l'album est réussi.

le 14 Novembre 2013 par ONCLE VIANDE


Si l’ombre de Barrett plane sur ce disque, c’est au niveau de la forme et non du fond. Barrett chamboulait ses ritournelles toutes les dix secondes. Gardner distille une pop tranquille et sans accidents. On ne pouvait trouver plus opposés. En outre, j’entends tout autant le Floyd de ''Julia Dream'' et de ''See Saw''.

Si on listait les emprunts trop visibles qui jalonnent ce disque, on rédigerait un annuaire, mais qu’importe, le réservoir pop est vidangé depuis belle lurette. La question est ailleurs : en quoi consiste la patte Gardner au-delà de la relecture habile et d’une production élégante ? En quoi transcende t-il ses influences ? Je ne vois pas. J’entends-là une musique impersonnelle à force de ressembler à tout le monde, ne devant son originalité qu’à son anachronisme.

Gardrer est un artiste plus habile que créatif, doué mais dépourvu de génie, ayant compris les ressorts du revival jusque dans sa coupe de cheveux. Un disque propret.

le 17 Septembre 2013 par BAAZBAAZ


Étincelant, raffiné, subtil et entraînant. Ce disque est l’une des très bonnes surprises de l’année 2013. On y croise le fantôme de la pop baroque et victorienne de la fin des années 60, avec ses ambiances délicates et désuètes. Les influences sont à chercher du côté des trésors d’une époque révolue : les ZOMBIES, THE LEFT BANKE, SAGITTARIUS…

Un album riche, jamais assoupi, qui révèle sa diversité au fil des écoutes. L’écriture est solide et ne verse jamais dans la démonstration ou les délires psychédéliques qui alourdissaient tant le PINK FLOYD de Syd Barrett.

L’inspiration ne se dément pas au fil de l’album, et JACCO GARDNER se permet même de finir avec les deux joyaux que sont « Chameleon » et « The Ballad Of Little Jane ».

Tout cela est décidemment de très bon goût.

le 21 Mai 2013 par RONE


Je ne peux qu'approuver, Barret n'aurait pas été mieux inspiré je crois, c'est un petit bijou de production, certainement déjà un des albums de l'année à mon humble avis. Les références sont complètement assumées, on sent la créativité exploser dans chaque morceau et les bases, que le psychédélisme des sixties a fondées, sont clairement maitrisées ! La pochette est sublime et colle complètement à l'ambiance. Je suivrai avec intérêt cet artiste à l'avenir, c'est sûr.

le 21 Mai 2013 par BUGE


Ecrit par ailleurs : "S'il avait 20 ans aujourd'hui, le jeune Roger Keith (nda : Barrett) sortirait un disque de cette trempe. Shine on !"
Gardner a fait mieux que respecter les Tables de la Loi de la pop, il les a sublimées.













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