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The Cult
Electric
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le 22 Mai 2018 par CLANSMAN57


Ils sont quand même cons Les Inconnus.
Tout le monde se souvient de ce sketch durant lequel ils tentent d'expliquer avec les plus grandes difficultés du monde, ce qu'est le bon Hard Rock...
Le bon Hard Rock, c'est "Electric" de The Cult bon sang!
Et ça ne s'explique pas, ça s'écoute, messieurs!
Le genre de pulsion sexuelle ou animale qu'on ressent, le truc qui te donne envie d'être une femelle soumise face à l'immense Ian Astbury, juste le temps de ces quelques minutes pleines de groove et de feeling.

Par ailleurs, Rick Rubin était au top dans les années 80: ce disque a 31 ans et il ne prend pas une ride.
Le son de batterie est orgasmique, loin du son lourdingue adopté par beaucoup de leurs homologues à l'époque.

Entre nous, je peux passer des semaines sans écouter une seule note électrifiée... Tout le mois d'avril: nada.
Mais lorsque je me suis remis ce disque, ça m'a rappelé qu'une bonne dose d'électricité de temps à autre, c'est le pied, surtout cette décharge là.
Du chant, de la basse, du riff et du solo, ainsi qu'un batteur efficace qui n'en fait pas des caisses: c'est ça le rock n roll!







le 08 Juillet 2017 par JASPER LEE POP


Un petit mot sur les démos initialement produites par Steve Brown qui avait signé la production du sublime Love. Une partie des titres a longtemps été disponible sur le EP The Manor Sessions et d'autres titres en face B des singles issus d'Electric. L'intégralité de cet album qui devait s'intituler Peace est sortie depuis en CD bonus d'une nouvelle édition d'Electric datant de 2013 intitulée Electric Peace (vous suivez?). Son écoute est totalement schizophrène quand on connaît déjà par cœur les versions de Rubin mais pas inintéressante du tout. Si la tracklist n'est pas totalement identique, il en ressort que l'album est déséquilibré et que pas mal de fillers côtoient trois, quatre très bons titres. Même constat que pour Electric donc. Désireux de conquérir le marché américain, Astbury et Duffy ont préféré laisser tomber la veine européenne qu'ils avaient trouvé sur Love. Le pari fut gagnant. Ils surferaient également sur le Hair metal avec Sonic Temple et tenteraient désespérément (et pourtant brillamment) de se raccrocher aux derniers wagons du train grunge avec l'album éponyme de 1994. Un groupe opportuniste pour qui j'ai paradoxalement beaucoup de sympathie.













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