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Danzig
Danzig Iii : How The Gods Kill
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le 19 Février 2017 par CLANSMAN57


(La flemme sacrée me brûle aujourd'hui, je me contente donc de copier/coller mon commentaire de Nime par ici.)

Le démon DANZIG est ici tiraillé entre mélancolie et noirceur.
On dirait qu'il se bat pour se débarrasser de cette aura noire qui flotte autour de lui depuis la naissance de son groupe.

Il se montre plus mature, le côté sexuel des deux précédents opus est complètement effacé, il préfère montrer son coeur... preuve que même le diable est doté d'un coeur qui connaît le tourment.
"Sistinas", romance noire sous cathédrale en atteste.
Une danse avec une charmante vampiresse... mais ça n'ira pas plus loin, les sentiments se sont gravés dans le coeur de la Bête.

Donc on peut déceler un côté gothique plus prononcé, les âmes en peine s'échappent de cette cathédrale qui les retenait en otage depuis bien trop longtemps...
Cependant, elles ne savent pas où trouver leur sérénité, les portes infernales se dressent dans un horizon encore lointain et sont bien closes, ne laissant vagabonder aucun rayon de soleil sur ces terres noires...

Glenn n'en oublie pas pour autant de s'énerver à l'aide d'une rage héritée du Rock à certaines reprises.
Le Blues noir se fait également plus discret, même s'il est présent, peut être de façon plus ténébreuse.

Un beau disque doté d'une belle profondeur.

le 16 Juin 2015 par TONIO


Quel album magnifique ! Et quel chanteur unique en son genre aussi...
J'ai découvert le groupe en achetant par hasard le single "Dirty blak summer", vers 1994/1995 parce que la pochette me plaisait. Les 3 titres qui y sont présents sont superbes, mais pourquoi donc ne pas avoir inclut le moreau "when Death Has No Name" à album ? Cette chanson est vraiment superbe et puissante.

La musique de Danzig est torturée, malsaine quelque part, rampante, elle prend vie à chaque morceau. Mais elle n'est pas non plus définitivement pessimiste, de curieux éclairs de tendresse et d'apaisement bourgeonnent ça et là (hhaaaa, "Sistinas). Danzig joue les équilibriste en permanence, menace de chuter régulièrement dans les abîmes du ridicule, mais non, ça marche. Et ça marche même carrément bien, quel talent !

Quelle belle création que cet album, un style qui ne ressemble quasiment à aucun autre.













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