Je ne vois pas bien de quel contexte tu parles exactement? La scène eurodance et la fin du New wave?
Ouais, je veux bien, mais même dans ce contexte précis, les sonorités de cet album sont proprement écoeurantes, mode ou pas mode, j'ai réécouté 2 unlimited assez récemment et même si ça sonne aussi cheap, je trouve qu'ils s'en sortaient mieux. Ce que je ne comprends pas d'ailleurs, c'est que bien avant cette période, on savait sortir quelque chose de potable d'un clavier, y a qu'à voir Kraftwerk, Jarre, Pink Floyd, Rainbow, Depeche mode et j'en passe et ce que j'ai pu subrepticement entendre des scènes underground en techno à Detroit, la scène cold-wave, gothique etc.
Maintenant, au delà du son abominable de ce disque, je lui reproche surtout son côté barbant et l'absence totale d'un truc fédérateur, ça part vraiment dans tous les sens pour ne jamais aller bien loin.
Pour NIN, je ne peux pas trop faire de comparaison, le premier que je connaisse est Broken, et déjà on a fait un pas de géant, ce n'est pas comparable.