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Placebo
Meds
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le 15 Mai 2022 par METALPROG84


Pour moi, le meilleur album de Placebo, même si j'aime beaucoup les 4 premiers. La musique ici est un poil moins originale et un peu plus calibrée qu'avant, mais peu importe, tous les titres sont très bons, même les ballades (particulièrement "Pierrot the clown"). L'album de la maturité.

le 28 Décembre 2020 par RICHARD


Placebo a énormément compté pour moi. Découvert dès 1996, j'ai de suite adhéré à cette improbable alliance Pixies- Cure emmenée par un leader vêtu d'une jupe qui exprimait avec conviction sexualité brûlante et/ou désabusée. Les concerts étaient intenses. Puis vinrent les premiers signes de patinage en 2003 et le dérapage de 2006 qui n'en finit plus. Molko a incontestablement gâché son talent. Super égo, super came et super désillusion. Placebo comme un groupe qui ne fait plus aucun effet.

le 10 Mai 2016 par MONSIEUR P.


Un Placebo méconnaissable et un album qui semble mauvais au premier abord.

Fini le Placebo expérimental, original, et qui cherche à faire sa propre musique. MEDS à clairement les allures de la "british pop moderne" dans sa forme la plus quelconque et susceptible de ne toucher vraiment que les anglophones.

Quasiment rien ne relie la musique de cet album avec tout le reste de leur discographie antérieur. Pas de power pop mélodique, pas de son electro, pas de morceaux lourd, aucune volonté de donné un côté expérimental à leurs musiques.

Pour autant, MEDS demeure vraiment pourtant très bon et avec une écoute attentive ont peu quand même y trouvé des cendres de leurs passé...


le 22 Février 2015 par MONSIEUR P.


Franchement j'ai eu beaucoup de mal avec celui là.

Meds est véritablement une "cassure" dans la discographie du groupe et propose une approche musicale quasi inattendu. Ici, placebo ne laisse aucune place aux expérimentation, l'approche est purement britpop & powerpop et rappelle les groupe comme Suede, mais tout en gardant l'identité Placebo.

Dans un premier temps, l'écoute fût vraiment rebutante. Il à vraiment fallu que je me sorte de la tête l'idée que Placebo allait faire systématiquement comme sur leur quatre premiers albums. Fini les mélodie outrancière adolescente, ici c'est c'est juste de la power pop qui se veux "mature".

Molko ne couine plus à outrance, c'est travaillé, homogène, et ça ne se laisse pas apprivoié à la première écoute. La transition vers l'âge adulte semble réussie.


le 19 Juin 2013 par RAMON


Le véritable enseignement que l'on puisse tirer de cet album, c'est qu'au bout du compte, Placebo porte remarquablement bien son patronyme.
Molko & consorts ne reviennent que pour relever les compteurs, et la démonstration éclatante de cet état de fait sera donnée pendant la tournée promotionnelle qui suivra la sortie de cet album ô combien décevant.
En même temps black Market music et Sleeping with Ghost étaient déjà passablement mauvais.
C'était déjà évident pour le premier cité dès sa sortie alors que le second faisait illusion avant que l'oeuvre impitoyable du temps ne le mette hors jeu assez rapidement.
Molko veut passer pour un type sulfureux, une sorte d'icône du rock comme au bon vieux temps et met plus d'énergie à s'offusquer de la parution de photos le dévoilant en bon père de famille accompagné par femme et enfant en poussette, qu'à écrire de bonnes chansons capables de tenir la route plus longtemps qu'un été.
Après un tel état de lieux, on se dit que le bonhomme a quand même bénéficié d'une mansuétude générale peu répandue pour se permettre d'éviter la foudre aussi longtemps. Moi-même j'avais espéré...mais non, ce disque est pénible d'un bout à l'autre, presque aussi prétentieux que Black market et encore plus lénifiant que Sleeping.
Confirmation en live donc, où Brian Molko et ses deux seconds couteaux font la gueule, omettent de présenter les deux musiciens additionnels qui font de leur mieux pour éviter que le bateau déjà à la dérive, ne sombre tragiquement sous les yeux d'une foule qui ne demandait qu'à s'embraser et qui repartira la queue basse.
On aurait aimé que l'homme à la voix de canard soit un type vraiment inspiré en mesure d'apporter sa pierre à l'édifice sacré et exigent de la Pop, on y a cru,un peu trop longtemps même, car en fin de compte on a eu affaire à un roublard qui a fini par gâcher son peu de talent enfermé dans un paraître destructeur, au lieu de suer sang et eau par amour pour la musique.













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