@FRAN BRANCO
Bonjour,
En préambule, merci à toi Long John, tu as dit l’essentiel. Je vais tâcher d’apporter quelques compléments de réponse.
Tout d’abord, plus que dans une boîte de Lexomil, j’ai préféré me cacher dans une ampoule d’hydroxychloroquine, ça rapporte plus au Scrabble avec le mot compte triple.
Passé ce trait d'esprit, j’ai choisi d’aborder ce single sous ce prisme, étant donné qu’il se rapporte directement à la crise sanitaire du Covid et s’interroge sur la vie bouleversée de la jeune génération. C’est explicite dans les paroles mais également dans le petit manifeste qu’on peut retrouver sous la vidéo Yo.tube.
Je n’avais pas prévu au départ de parler explicitement du groupe, pour me concentrer sur ma « fiction ». Je remercie d’ailleurs Erwin pour sa contribution au premier paragraphe, présentant (sommairement) le groupe français dont on peut retrouver plus d’infos sur la kro de l’album sorti début 2020.
Quant à la référence de 1940, un peu de provoc/buzz (ce sujet est toujours sensible comme on peut le constater) mais aussi une question plus globale et sérieuse. Le confinement tel quel, métaphore parfaite du principe de précaution poussé à son paroxysme, n’est-il pas en fait un « armistice » ? Après tout, ce n’est pas moi qui ai affirmé que « nous étions en guerre » en Mars 2020.
Bien à vous.
K-Zen