Si Hau Ruck proposait une petite baisse de régime après l'immense WWIII, rien ne laissait présager que le groupe allait se vautrer de la sorte avec l'album suivant.
Parmi les titres vaguement corrects, on peut citer le morceau titre, celui espagnol et, si on élargit un peu, le remix de "I Am What I Am" sur l'album de remix. Mais rien de bien génial non plus au final.
C'est bien simple, Tohuvabohu m'apparaît comme étant de loin de pire album de la discographie du groupe, encore pire que ADIOS. Un véritable désastre.