Dans la foultitude des albums de J-L.M, 'Le cours ordinaire des choses' fait partie du haut du panier, dans la lignée de sa période dorée 2006-20214. Un peu comme 'Taormina', l'album se démarque par un son et des arrangements assez rock, notamment le titre d'ouverture, à l’électricité grasse. J'avais vu le bonhomme en concert à cette époque et j'avais été épaté d'ailleurs par le set, toute guitare dehors, comme un Neil Young français.
On peut toujours penser qu'il aurait dû sortir moins de disques et trier un peu plus, mais finalement le bas du panier est relativement vide.