Salut Totof,
Pour ma part j'aime beaucoup Clapton, et connaissais déjà on va dire les 'grosses lignes' de sa vie. Ce qui fait la particulière richesse de ce documentaire je trouve, ce sont les témoignages et archives - familiaux ou non - de celui-ci. On entre dans sa pleine intimité, ce qui rend le tout bien poignant. Effectivement, John Mayall & the Blues Breakers (qui révélera aussi Peter Green, successeur de Clapton au sein de ce groupe) sont une référence en matière de 'blues blanc' comme le dit lui-même Eric.
"Layla" sort indéniablement du lot oui, le déchirant "Bell Bottom Blues" arrive pas loin.
En fait, ce qui rendait pour Clapton Pattie Boyd si magique et si excitante (sans enlever le charme de cette femme) c'est qu'elle était inaccessible, étant donné sa relation avec Harrison. En plus des excès une fois ensemble, cette magie ne s'opérait donc plus. Il y a un morceau de Clapton nommé "Golden Ring" sur l'album Backless dans lequel il répond à la jalousie de Pattie au sujet d'Harrison parce que celui-ci s'était remarié. Sacré bordel que ce triangle amoureux !