J'ai donc profité de la publication du jour pour redonner une chance à cet album sur lequel je n'avais donc strictement rien à dire il y a 17 ans.
Que de montées en puissance avortées ! On dirait presque une mauvaise symphonie de HAYDN, tiens. Sauf que les PINK FLOYD ont vécu la décennie du Hard-Rock et du Punk, donc ils n'ont pas vraiment d'excuse.
Donc, à part les sombres arpèges de "One of the Few", les choeurs de "When the Tigers Broke Free" et "The Final Cut", il n'y a pas grand-chose d'intéressant sur cet album bien décevant.
Comme j'aime les BEATLES, mais à dose homéopathique, je ne vois pas bien ce qu'on reproche à [i]Let it Be[fi]. Du coup, je dirais que [i]The Final Cut[fi] est le [i]No Prayer For the Dying[fi] de PINK FLOYD. Chacun ses références. :)
La boucle est bouclée.