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Pink Floyd
The Endless River
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le 14 Août 2015 par MENCLAY


Je vais aller droit au but parce que je n'ai pas envie de perdre mon temps à débattre sur cet album.
C'est une daube monumentale. De la sous musique d'ascenseur. De la branlette sonore interminable.
Mes oreilles saignent.

le 08 Décembre 2014 par LEO


Que peut on attendre d'un album de PINK FLOYD en 2014 ?
Rien. tout comme on ne pouvait rien en attendre en 1994 ni dans les années 80.
Ce groupe (ou ce qu'il en reste) appartient définitivement aux 60's et aux 70's.
J'ai lu ici et là que The Endless River pouvait s'apparenter à de la musique ambient... !!! ben franchement, je ne trouve pas du tout ça proche de ce courant musical.
Si j'ai envie d'écouter de l'ambient, je vais pas me taper cet insipide machin mollasson, mais plutôt me passer du Steve Roach ou du Brian Eno (là au moins, j'aurai vraiment la sensation de planer, au lieu de m'emmerder tout du long !).

le 04 Décembre 2014 par RAMON


Ce disque (quasi) instrumental me fait penser directement à "Obscured by clouds", lequel avait servi à l'époque de laboratoire aux futurs "Dark side…" et "Wish…", tout en étant ancré dans la musique qu'avait composé le groupe depuis l'arrivée de Gilmour.
A cela on ajoutera une grosse pincée du "Wall", le guitariste ne s'étant jamais vraiment remis de "Comfortably Numb" nous re-propose une entame de solo calquée sur ce modèle pendant que les claviers jouent des arpèges similaires aux originaux et cela à le don de m'agacer quelque peu, il faut bien l'avouer.

Si on ajoute à cela que le trio final est resté scotché à "Shine on you…", on obtient une description un peu plus proche de la réalité de la musique proposée.
Et puis les séances s'étant déroulés pendant l'enregistrement de "The Division bell", on retrouve naturellement la substantifique moelle de ce qui avait fait cet opus en demi-teinte.
Du labo, on récupère quatre titres d'une durée comprise entre dix et quinze minutes pour un album au format qui échappe aux formats simple ou double puisqu'il se situe entre deux. En revanche on n'espère rien à venir tant que Rick Wright restera mort.
Le risque d'un tel objet étant de livrer une musique d'ambiance telle qu'on peut en trouver dans les magasins Bio avec mention "relaxation" sur l'étiquette et garantie que l'énergie fournie pour alimenter la console était d'origine entièrement renouvelable, soit qu'on ait pédalé pendant les séances, soit que les éoliennes toutes proches aient fonctionné grâce aux tempêtes qui ont balayé le sud de l'Angleterre à ce moment.
Heureusement, il n'en est (presque) rien.

L'ensemble fonctionne, même si l'impression plus que mitigée par l'écoute radiophonique de "Louder Than Words" ne disparaît pas, les couplets sont sympas et le son passe beaucoup mieux qu'à la TSF, mais le refrain est d'une banalité accablante pour un groupe de cette envergure. Impossible de mettre ce titre sur un Best Of, à côté des "Money", "Another Brick...", "Wish you" et j'en passe et des "Arnold Layne". Pourtant, je trouve qu'il y avait matière à poser des textes sur d'autres plages du disque. Mais au final, on peut se féliciter d'avoir ici un album de meilleure tenue que les trois opus précédents.
Bon ce n'était pas trop difficile de faire oublier les jérémiades de Waters sur "Final Cut" et les horreurs 80's de "Momentary Lapse Of Reason"(lequel, pour le coup porte bien son nom), mais le malgré tout le mollasson "Division Bell" possédait des moments de grâce bien emballés.
Ici, on retrouve la religiosité de l'écoute qu'on accordait aux oeuvres du Floyd de la grande époque et même par instants la qualité des ambiances qui nous ont fait adorer le groupe.

Donc au final, on est plutôt satisfait que l'histoire (sans fin) ne se soit pas totalement achevée il y a vingt ans.
Note: 3,5/5 arrondie à 4 parce que comme on dit en Suisse, ce disque déçoit en bien :)

le 19 Novembre 2014 par ONCLESTEKACHé

C'est vrai que le chant pour les PF n'est parfois pas ce qu'il y a de plus important dans leur musique mais de là à faire tout un album instrumental c'est un peu déroutant. PF ne nous avait pas habitué à ça.
J'ai d'abord été intrigué par la mention "ambient" ici, et après l'avoir écouté, en effet c'est de l'ambient.
On est loin de Division Bell et des précédents évidement.
Une batterie hyper discrete (pas inhabituel pour les PF tout le monde le sait), des nappes de synthé et, et uneguitare omniprésente ...
L'album est pas mal en sois mais pour celui qui s'attendait à au moins un deuxieme Division Bell c'est pas la peine de foncer chez le marchand de disque.

le 17 Novembre 2014 par TERRY


4/5, mais en fait, je penche plutôt pour 4,5/5, voire même, one of these days, 5/5.
Un disque à part, dédié aux fans du groupe plutôt qu'aux néophytes ; pas conseillé pour découvrir le Floyd, quoi. Une seule chanson (mais quelle chanson, aussi !), et 17 plages instrumentales souvent courtes (sur les 18 titres, 9 font moins de 2 minutes !), et dans l'ensemble, marquantes. Un sublime disque d'ambient à la Eno des grands jours, et une belle manière de se dire au revoir, et de dire au revoir à Rick Wright, très présent ici. Mort en 2008, il n'aura jamais (ou presque) été aussi touchant que là.
J'adore ce disque, mais je peux comprendre qu'on ne l'apprécie pas, c'est quand même un album particulier pour le groupe.













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