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Johnny Cash
At San Quentin
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le 11 Décembre 2018 par TPTP


Johnny Cash me fait penser à, dans une moindre mesure, Georges Brassens. Le style n'est censé plaire qu'aux initiés, et loin d'être la mode même à son époque, mais les paroles et sa façon de chanter et quelque part un certain charisme aussi font que meme maintenant des jeune l'écoutent encore.

le 13 Octobre 2011 par JEAN-PAUL


Il faut avoir écouté ce disque, qui est considéré comme l'un des indispensables de la musique moderne. Mais l'ensemble de la discographie de Johnny CASH vaut le détour: des premiers disques chez SUN en passant par COLUMBIA ou DEF AMERICAN.
Et là, j'ai envie de pousser un petit coup de gueule: CASH ne se résume pas à ses derniers albums avec Rick Rubin aux manettes ou encore à ses premiers enregistrements chez SUN: la période COLUMBIA recelle de véritables pépites studios complètement ignorées aujourd'hui par les critiques.
Je ne citerais qu'un album, un seul, c'est "Now, there was a song" (1960). Jamais cité dans les articles sur M. CASH, cet album de reprises est un des mes préférés de l'artiste. Et il y en a d'autres comme cela. Johnny est tout de même resté 30 ANS chez COLUMBIA (de 57 à 87 !). Faire l'impasse sur la période COLUMBIA, c'est plus qu'une erreur: une faute !

le 13 Octobre 2011 par TERRY


Un live remarquable. Meilleur que celui, déjà sensationnel, de 1968 ("At Folsom Prison"). Des 10 titres originaux (d'ailleurs, dans le livret, il est dit que "Folsom Prison Blues" est un bonus-CD, mais ce n'est pas vrai, c'est un des 10 titres du vinyle, comme le dos du livret le prouve, qui reconstitue le verso de pochette vinyle) aux bonus-tracks, rien à dire. Cash a même réussi à faire passer ses chansons religieuses ("He turned the water...", "Ring of fire"...) dans une zonzon remplie de mauvais garçons venus écouter de la country !
Je ne suis pas un fanatique de ce genre musical ni de Cash, mais là, c'est sublime.

le 09 Octobre 2004 par POULPE


Intense est le premier mot qui me vient à l'esprit à l'écoute de ce live.
Et intense il est, aussi bien dans l'interprétation sans faille de Cash et ses musiciens que dans la réaction du public. Car effectivement, lorsque Cash chante "San Quentin, may you rot and burn in Hell, may your walls fall and may I live to tell", on frôle l'émeute.
Mais Cash sait aussi détendre l'atmosphère (A boy named Sue, judicieusement placée après San Quentin et Wanted man) ou distiller de petites perles plus douces telles Peace in the valley ou He turned the water into wine, véritable calmes après les tempêtes de l'audience, afin de désamorcer la tension accumulée.
Les chansons sont toutes très courtes (car bien souvent assez speed) et parfois on aimerait en prolonger le plaisir, mais finalement c'est aussi de là que provient l'excellence de l'album: ce sentiment d'urgence dont à déjà parlé ZiGGy dans sa chronique.
Et puis il y a Johnny Cash. Johnny Cash et sa voix. Grave et maitrisée, elle touche juste.
Je découvre tout juste cet artiste légendaire, et je suis conquis. Conquis et par l'interprétation et par l'ambiance dégagée de ce concert sans comparaison (les autres albums de prison du man in black exceptés).

Petit précision toutefois: Carl Perkins, bien que présent sur cet album ne remplace pas son homonyme Luther Perkins. C'est Bob Wooton qui s'y colle.













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