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Billy Idol
Rebel Yell
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le 01 Mai 2015 par CLANSMAN57


Un très grand album de rock qui a l'audace de mélanger punk, rock, new wave et pop pour un résultat plus qu'efficace !
Une batterie simple qui groove efficacement avec la grosse basse qui vient se greffer dessus : sexy !
Les riffs et soli ne sont pas en reste non plus, ainsi que les arrangements électroniques.
La voix de Billy est également bien hot... Inspirée par le grand Jim, donc c'est normal.

9 titres, 9 tubes qui sont toujours encore jouissifs aujourd'hui.

le 18 Décembre 2013 par NONO


Tout a été dit sur ce super album, je soutiens tous les autres avis positifs.
Album génial, pas une minute de repos, un vrai feu d'artifice de puissance, de mélodies, de sincérité, bref... oui, je suis tout-à-fait d'accord: un des meilleurs albums de Billy Idol et même de toute la décennie 80.
Dur de dire quel titre je préfère, je les aime tous !
Mais je citerais particulièrement: la chanson titre, ainsi que Eyes without a face, Crank Call et Don't stand in the shadows.
J'aimerais aussi parler d'un titre qui n'est jamais mentionné dans les chroniques de cet album, c'est "Daytime drama".
"Daytime drama" est un titre assez étrange, un peu rock, un peu pop... cette chanson à la fois, je l'aime et en même temps, pas vraiment. C'est un peu le genre d'œuvre qu'on ne remarque pas trop, mais qui dégage une aura indescriptible, quelque chose d'attachant malgré tout. "Daytime drama" ne possède pas de mélodie exceptionnelle, n'a pas de refrain accrocheur, c'est plutôt une suite de couplets assez linéaires. Mais son rythme musclé, sa production et sa synthèse parfaite entre pop, rock et hard lui donne un certain cachet. Et surtout, ce titre est un intermédiaire parfait entre "Rebel Yell" et "Eyes without a face", qui empêche de passer brusquement d'un rock débridé à un slow sombre.

le 05 Février 2010 par FEELGOOD


Deuxième album de Billy Idol, Rebel Yell constitue un véritable coup de maître. Il est vrai que notre ex-punk avait de nombreux atouts dans son jeu:
- un manager célèbre dans le milieu, Bill Aucoin, qui s'occupa notamment du Kiss de la grande époque et du Generation X de la fin.
- le producteur Keith Forsey, ancien batteur de Giorgio Moroder, célèbre pour avoir co-écrit l'énorme tube Flashdance ... What A Feeling d'Irene Cara. Il récidivera quelque temps plus tard avec le fameux Don't You (Forget About Me) de Simple Minds ( repris par Billy sur son Greatest Hits ).
- un guitariste fabuleux, Steve Stevens, déjà plus que prometteur sur l'album précédent.
La pochette nous montre le péroxydé Billy, le torse nu et nimbé de rouge. Au verso, une photo de Steve Stevens, tout de noir vêtu, aux côtés de son acolyte plongé dans l'ombre. Tous deux formaient alors une sorte de yin et de yang de la créativité, le chanteur blond et le guitariste brun ayant composé la majorité des titres... L'alliance du punk et du hard en quelque sorte... L'immense succès du disque repose indéniablement sur le cocktail détonant constitué par les racines punk de Billy, la virtuosité hard de Stevens et les élément dance et new wave apportés par Forsey.
L'album démarre au quart de tour boosté par la bombe qu'est l'hymne Rebel Yell. Le solo mortel de Stevens et les gueulantes de Billy en font un classique absolu des années quatre-vingts. Le single se classera n° 46 aux Etats-Unis. L'autre grand moment de la première face demeure le gigantesque tube Eyes Without A Face ( n° 4 U.S. ), ballade inquiétante magnifiée par des choeurs féminins envoûtants. Les fameux "Les yeux sans visage" du refrain sont bien évidemment un hommage au génial film de Franju.
La deuxième face abrite deux autres tubes mémorables pour les ados des années quatre-vingts, le dansant Flesh For Fantasy (n°29 U.S.) et le sympathique Catch My Fall, embelli par le saxophone de Mars Williams.
Mais Rebel Yell vaut aussi le détour pour d'autres titres plus obscurs, tels que Daytime Drama et Blue Highway, cette chanson témoignant du goût du chanteur pour la vitesse, qui faillit d'ailleurs lui coûter la vie quelques années plus tard.
La face B contient quelques pépites plus hard, Crank Call et (Do not) Stand In The Shadows.
Et la ballade glauque The Dead Next Door conclut ce petit bijou sur une note maladive...
Cet album, représentatif du meilleur des années quatre-vingts, fit de Billy Idol une véritable star. Des clips astucieux enfoncèrent le clou et Billy devint l'un des artistes les plus diffusés sur MTV. Pour avoir une idée de l'ampleur du phénomène, il faut savoir que des coiffeurs américains allèrent même jusqu'à créer une coupe Billy Idol!
Dommage que la suite ne fut pas toujours à la hauteur de cet excellent Rebel Yell.













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