Vous savez ce que c'est, cet album ?
De la mélodie.
Et encore de la mélodie.
Et puis tiens camarade, tends les bras vers l'Immaculée Espérance, hop ! tu reprendras bien trois ou quatre cent kilos de mélodie ?
Il y a certes un peu de rythme, des progs synthé made in Banks rigolotes, du très très léger riffing de Mike, de la percu signée NDV qui ose, avec panache, marcher dans les pas de l'immense Collins, mais surtout, ce disque c'est de la mélodie qui se chante à tue-tête sans arrêt. La voix est belle, le son enveloppant.
Commercial ? Ah oui, j'avoue avoir à l'époque été noyé sous les milliards de passages des singles de cet album par rapport à des Jay-Z, Mariah Carey ou Boyzone qui n'ont eu que de très brefs passages radiophoniques.
J'adore cet album et j'étais persuadé de l'avoir déjà dit ici. Comme quoi les choses les plus évidentes le sont tant et si bien qu'on les prend pour acquises !