@Viv: C'est vrai qu'il est béton ce "BSSM":)
Je pense que je vais me repasser du RHCP prochainement, ça fait un moment:)

@Clansman57, en effet take the power back, plus funky, a un tempo plus élevé que la moyenne de l'album RATM. Les autres morceaux du premier RATM "sonnent" plus hip hop point de vue tempo. Je trouve que "know your enemy" sonne également assez "Red hot" dans l'esprit si on fait abstraction du chant. Ces 2 albums sont vraiment monstrueux. Chapeau aux RHCP pour avoir pondu ce BSSM, rempli jusqu'au bout de la galette, avec quantité et qualité au rendez vous, sans remplissage forcé. Chose pas si courante à l'ère du CD.

@Viv: Et niveau style, ce n'est pas non plus trop honteux de dire que ce titre de RATM aurait presque pu figurer sur "BSSM". Enfin, je trouve.
C'est surtout sur ce titre que je pense à RHCP.
Sur les autres: pas trop:D

@clansman57, La ressemblance entre Take The Power Back et l'âge d'or des RHCP pendant leurs années funk fin 80's début 90's tient en grande partie à leur son de basse, par cet instrument commun : LA Musicman Stingray ! (Que l'on retrouve aussi de manière omniprésente chez Sade, dans un autre registre).

Jamais passe dans Radio Cite

Aucune idée, mais je pense à chaque fois à RHCP lorsque j'entends "Take The Power Back".

Zack de la rocha était un admirateur secret d’Urban Dance squad. Ces musiciens ont inspiré l’artiste lui-même même.

Essayons d'être précis: Blood Sugar sort le 24 septembre 1991 et RATM donne son premier concert sur le campus de Cal State North Ridge le 23 octobre 1991 (le concert est visible sur TonTube). Les compos jouées ce jour-là sont à peu de choses près les versions gravées sur l'album éponyme. Si on prend en compte le temps qui a été nécessaire pour les composer, la réponse est non, Blood Sugar n'a pas influencé RATM. Ce qui ne veut pas dire qu'ils n'ont pas été influencés par les albums précédents des RHCP. L'époque était à la fusion du chant rappé et des guitares saturées, c'est un fait. L'influence du premier album d'URBAN DANCE SQUAD citée précédemment sur ce mouvement est en effet absolument réelle. J'apporterais juste une nuance concernant leur troisième (et formidable) album Persona Non Grata. Celui-ci est sous l'influence directe et évidente de Blood Sugar Magik. Ce qui ne manque pas d'ironie. Et puis n'oublions pas les vrais parrains du genre fusionnel, les grands, les immenses, les titanesques FISHBONE.

De mémoire, dans les interviews donnés à l'époque par Zack et sa bande, pas de Red Hot à l'horizon mais plus Public Enemy, Beastie Boys, Faith No More ou Fugazi.

Merci, mais ça ne répond pas à ma question.

Urban Dance Squad est comparable à Rage Against The Machine avec son troisième album . Parmi les groupes proches des Red Hot Chili Peppers, il y a, Dog Eat Dog, Mucky Pup et Nastasee. Bonne écoute.

blackfoot - diary of a working man
jefferson airplane - white rabbit

The Rapture de Siouxsie and The Banshees.

Thick as a brick de jethro tull bon il y a des haut et des bas mais ell e termine assez fort

@Tommy_Cale : Chez Fleetwood Mac, il y a aussi "Sisters of the moon" qui monte drastiquement en puissance jusqu'à ce solo de guitare magistral !

« Ordinary Man » par TRIUMPH

« Ordinary Man » par TRIUMPH

Bonjour, pas un long morceau mais "The Chain" de Fleetwood Mac est dans cet esprit

Iron Maiden "Empire Of The Clouds"
Guns N' Roses "November Rain"

Fantomas - Delìrium Còrdia
Tangerine Dream - Poland
Genesis - Musical Box

''A Louse is not a Home'' de Peter Hamill.

Super, merci beaucoup pour vos réponses!

Je ne suis pas un spécialiste du jazz, loin s'en faut, néanmoins je connais cet album de Mingus. Personnellement je citerais l'album Blue Train de John Coltrane avec sa section trompette/trombone et (bien sûr) sax ténor, loin des essais expérimentaux du maestro. Super agréable.

"Boogie Stop Shuffle", c'est typiquement un télescopage de Be Bop et de Latin Jazz. Tu pourras trouver ce genre de choses chez Dizzie Gillepsie dans sa période Cubop/Latin jazz (son tube "Manteca"), chez Quincy Jones, chez Henry Mancini, chez Lalo Schiffrin et... sur le générique du dessin animé Spiderman de la fin des années 60.

@Foudrock : il est vrai que pour Neil Young, tout tourne toujours autour de l'album "Harvest", exactement comme on réduit hélas systématiquement Mike Oldfield à "Tubular Bells"...
Un album culte, c'est pour un artiste : à la fois une chance, et un boulet d'une certaine façon.

Harvest serait une réponse un peu facile, mais c'est un excellent album, alors pourquoi s'en passer... Cela dit, j'ai mis longtemps à apprécier ce disque: il nécessite plusieurs écoutes pour révéler toute sa beauté.
Je recommanderais donc Live Rust (1979), construit sur le même schéma acoustique/électrique mais plus complet et plus accessible que Rust Never Sleeps (1979). Ensuite, Harvest (1972) et After The Gold Rush (1970).
Après adaptation des oreilles, Everybody Knows This Is Nowhere (1969), l'imposant live Weld (1991), pendant électrique de l'exceptionnel Live At Massey Hall (1971, paru en 2007), puis la trilogie noire (Time Fades Away, On The Beach, Tonight's The Night, respectivement 1973, 1974, 1975), à laquelle il convient de rajouter Zuma (1975).
Enfin, ne pas délaisser Crosby, Stills, Nash & Young, dont Déjà Vu (1970) et le live 4 Way Street (1971) sont les albums les plus emblématiques. Néanmoins, je leur préfère le coffret CSNY 1974, anthologie en 3 CD de leur immense tournée de la même année. Ça coûte la peau du cul, mais l'investissement est rentable. Un album exceptionnel, l'un de mes favoris. Voilà.

Sleeps* Désolé

Ah oui, "Rust Never Sleeps", en effet !

Bonjour/soir, l'album Rust Never Sleep (1979) est pour moi assez représentatif de la musique de Neil Young et est parfait pour débuter. Un album live mais débarrassé des bruits de foule, une face A folk, avec de magnifiques ballades puis une face B grunge avant l'heure, un déluge électrique. À noter le même morceau sur les 2 faces "Hey, hey' my, my" une version acoustique et l'autre électrique correspondant aux caractéristiques des faces, à vous de voir laquelle est votre préférée. Je recommande donc cet album.
Cordialement

"On The Beach", "Ragged Glory" (grunge), "Zuma", "Everybody Knows This is Nowhere" (folk-rock) et "After the Gold Rush" (folk) me semblent recommandés.
"Harvest" me semble tellement évident que je n'en parlerai pas plus. En fait, ça m'énerve même qu'on le cite toujours en premier, la discographie du Loner ne tourne pas autour de cet album. Mais, oui, il y a, aussi, "Harvest".

sais pas. tu passe ça sur quoi ?

Ne pas oublier, également, plusieurs bouleversements musicaux, entre la fin 70's et le milieu des années 80's.

- en premier clash, l'avènement du disco,
- en second clash, la révolution des sons synthétiques,
- et troisième clash, le passage du média majoritaire de la radio à la télévision, et donc, de l'apparition des clips videos.

Ces gros bouleversements ont fait tomber/imploses de nombreux groupes.

Pour Deep Purple c'est normal vu que leur style ne peut pas s'adapter aux sonorité 80's. C'est du hard rock, à évidement ne pas confondre avec l'AOR qui lui s'est fort imprégné des sons 80's une fois la décénnie arrivée.

@Tommy_ Cale : Certains s'en sont mieux sortis que d'autres (je parle de l'adaptation au son des eighties). De mon point de vue, les Stones (puisqu'on parle d'eux), se sont très mal adaptés artistiquement aux 80's. Ils ont pensé, comme bien d'autres hélas, qu'il suffisait d'ajouter des bennes entières de gimmicks synthétiques et de bruitages robotiques pour "se mettre à la page". D'autres ont été plus subtils, avec une production plus formatée mais sans renier leurs racines puisque la technologie, discrète, renforçait leur son en quelque sorte... Pour moi l'exemple-même de l'adaptation réussie est l'album "Perfect stranges" de Deep Purple (1984), par exemple. A l'opposé, je pense que l'album "Agent provocateur" de Foreigner (1984 aussi), est assez mauvais avec une production qui gâche les compos plutôt que les enrichir.

En général, la scène folk-rock et 'classic rock' a eu du mal à subsister aux années 80, je pense tout de suite à des types comme Neil Young, Bob Dylan, Éric Clapton et des groupes comme le Grateful Dead, bien en deça niveau qualitatif de ce qu'ils ont produit et moins à l'aise avec cette époque. Le tournant médiatique, les clips videos, le son synthétisé, le "kitsh", l'essor de l'entertainment de la pop pour des artistes solidement ancré dans des racines traditionnelles "ricaines" (surtout ceux-là) et aussi la demande musicale différente du public (ou l'orientation voulue par l'industrie musicale ? Vaste débat) font que cette décennie leur a été bien défavorable.

Disons que quand on demandait aux Stones de sonner comme Sabrina ou Alphaville, il y avait comme un malaise. Je pense que les productions rock sont restées à peu près intègres jusqu'en 1983 grosso-modo. A partir de 1985 / 1986, tout artiste DEVAIT passer par la moulinette "synth-pop"...et ça n'a pas été facile pour tout le monde.

Pour la plupart des groupes de cette génération, cette période a souvent été marquée pour une baisse d'inspiration souvent notoire (compréhensible après 10 à 15 années de carrière discographique), mais aussi par l'adoption jusqu'à la caricature du son et de tous les effets sonores synthétiques caractéristiques des années 80 (batterie synthétique, reverb à donf', orchestral hit,...).

Parce que c'est du Proto Fear Factory:D

Excellente question, merci donc de (me) la poser.
Au moment où est publié Rising, le Heavy Metal n'existe pas vraiment. Bien entendu BLACK SABBATH en a posé des jalons et JUDAS PRIEST commence à peine à imprimer son sceau sur ce genre avec son 2e skeud paru la même année. De mon point de vue RAINBOW avec Rising en "fabrique" voire en "usine" les fondations, d'où le terme de "factory. J'aurais pu utiliser le terme "proto", qui me convient bien aussi et que je trouve rigolo mais pour le coup il est plus adapté au Sabb'. Quoiqu'il en soit cela n'est pas à prendre trop au sérieux, puisqu’il s'agit d'une dénomination humoristique du style de cet album.

"Le Black Metal, c'est de la Musique Classique", c'était poilant aussi. Meilleure vanne de l'année.
Ou "Le Rock Progressif fait partie de la grande famille du Metal, que tu le veuilles ou non!", affirmation devenue culte dans mon entourage. Avec la réplique "Chuis musicien pro!" qui suit (genre tu peux pas contredire ma connerie:D C'est mon immunité diplomatique! Pan!)
"Iron Maiden, c'est pas du Heavy Metal", "Doro chantait chez Nightwish".
"Kim Basinger se fait prendre sous la douche par Stallone". Euh...

Au milieu de 90's (au lycée pour ma part), un mec me sort tranquille "Megadeth, c'est pas technique".

Oh y en a tellement, rien qu'avec les "C'est du Proooog" alors que non, y a de quoi se faire un bêtisier:D
La dernière bien bonne, c'est TYPE O NEGATIVE fait du Doom Death. Sans doute un nouveau gros scoop. En 25 ans, j'ai jamais capté le Death là-dedans, j'dois être un peu con.
Et quand tu signales l'énormité, ça campe ses positions et ça boude:)
M'enfin, toutes les affirmations péremptoires balancées avec une superbe assurance sont magiques.
Le bêtisier est disponible en plusieurs tomes:D

La musique gothique (dans son sens le plus large), c'est pour les déprimés.

Cher lecteur,

Pas à ma connaissance. Peut-être ne l'a-t-il pas fait car cela est éprouvant techniquement.

Bonjour

Meilleur je ne sais pas mais AC/DC en live change pas mal le ressenti des titres. Beaucoup plus énergiques selon moi.

Sinon à l'opposé, BLACK SABBATH se révèle pataud et brouillon en public à mon avis.

@ Nono: C'était une boutade:D Après, si ça se trouve, il est peut-être VRAIMENT excellent à la gratte. Dans sa chambre. Tout seul:D

N'oublions pas non plus les chanteurs de Schlager : en toutes circonstances, ils chantent aussi juste que CELINE DION en Live à la cérémonie d'ouverture des JO !

@Clansman57 : Ca alors... moi qui voit en Modern Talking (groupe que je n'aime pas du tout) la quintessence de la synth-pop robotique la plus banale (chiante ?) possible, je suis heureux de savoir qu'un des membres est un bon gratteux ! Comme quoi, ne pas se fier aux apparences...
Bien à toi.

Hahahaha! Le monsieur est parfois membre d'un jury pour une émission allemande, "Deutschland sucht den SuperStar", l'équivalent de "La France a un incroyable talent" je crois.
Il est affreux avec les candidats, rarement convaincu, toujours super hautain. Un vrai con.

Sinon, pour rester en Allemagne, les chanteurs ou musiciens de VolksMusik sont tous superbes. Même pas besoin de micro pour chanter parfaitement:D

@Clansman57

Ca fait plaisir de lire quelqu'un capable de voir le talent là il où est VRAIMENT !Tu m'as régalé avec Dieter Bohlen ! Quasiment le seul guitariste capable d'envoyer du son sans jack branché sur sa Strat ! A ma connaissance, seuls RINGO ("Dite-moi qui est ce grand corbeau noir") et l'un des 3 mariolles de MAGAZINE 60 ("Don Quixotte") en sont capables. Du grand art !

Bien à toi !

Modern Talking. Dieter Bohlen est extraordinaire avec sa guitare. Grand musicien, très humble.

IRON MAIDEN, sans la moindre hésitation.

Effectivement y a des groupes taillés pour les "live", d'autre parfaits en studios mais moins bons en "live"...
J'ai toujours trouvé que Status Quo était meilleur en live qu'en album studio. C'est particulièrement vrai pour l'album "In the army now" dont j'ai horreur de cette production clinique, pourtant quand ils jouent les titres de cet album en live, c'est infiniment meilleur, les morceaux prennent vie !
LEVEL 42 est aussi un excellent groupe live car ils n'hésitent pas à créer des liens entre les titres, à les modifier un peu, à entrecouper de courts instrumentaux, etc.

Santana - She's Not There
Chris Farlowe - Think

"Up around the band" de Creedence clearwater revival reprise par Hanoï rocks.Ces derniers ont apporté une touche plus fun et plus péchu que l’originale à mon sens.

La version de Cliff Bennet and the Russells de Got To Get You Into My Life.
Cela dit je sais pas si ça compte vu qu'elle a été produite par un membre des Beatles ...

La version de Steve Ray Vaughan de Little Wing

Bizarre, ces deux questions opposées :p.

Enfin, en général, les reprises sont un exercice peu intéressant, et je ne souscris en aucun cas à "The man who sold the world" par NIRVANA ou "Hurt" par Johnny CASH.
Mais s'il y a un groupe qui me semble avoir été très fort pour cet exercice, c'est bien BAUHAUS, avec "Telegram Sam" de T.REX, "Ziggy Stardust" de BOWIE ou "Third Uncle" d'ENO.

avec certains exemples je me demande parfois si il y a pas confusion avec l'autre question.

Quasiment tout les albums de reprises "Under the Covers" (60's, 70's et 80's) par Susanna Hoffs et Matthew Sweet.

"Live and Let Die" (WINGS) et "Knocking on Heaven's Door" (BOB DYLAN) par les GUNS N ROSES
"All along the Watchtower" par JIMI HENDRIX
"Super Trouper" (ABBA) par CUSTARD
"Piano Man" (BILLY JOEL), "Everywhere" et "The Chain" (FLEETWOOD MAC) par le HSCC BAND
"Call Me" (BLONDIE) et "Love is a Battlefield" (PAT BENATAR) par SING IT LIVE
"Reich der Traüme" (NICO) par KADAVAR
"I want you" (She's so Heavy) des BEATLES reprise par CORONER
"Alone" (i-TEN) et "What about Love" (TORONTO) par HEART
"Jane" (JEFFERSON STARSHIP) par ROKO
"Funeral for a Friend/Love lies bleeding" (ELTON JOHN) par DREAM THEATER
"Right Now" (VAN HALEN) par THE BAND GEEKS
"I wanna know" (BERNARD SWELL) par VERONIQUE SANSON
"Je ne suis pas un héros" (DANIEL BALAVOINE) et "Diego libre dans sa tête" (MICHEL BERGER) par JOHNNY HALLYDAY
"I know there's Something's going on" (FRIDA) et "Burn" (DEEP PURPLE) par JORN

Dazed and Confused de Led Zeppelin

"Ai No Corrida" par Quincy Jones (original de Chas Jankel)

C'est purement subjectif, je vais donc en citer quelques unes que je préfère aux originales:

Marilyn Manson: "Sweet Dreams"
To/Die/For: "In The Heat Of The Night"
Anathema: "Better Off Dead"
Blind Guardian: "Mr Sandman"
Ever Eve: "Fade To Grey"
Fragile Hollow: "Come Undone"
The Gathering: "In Power We Entrust The Love Advocated"
Geri Halliwell: "It's Raining Men"
Katatonia: "Nightmares By The Sea"
Lucie Silvas: "Nothing Else Matters"
Nightwish: "Over The Hills And Far Away"
Nirvana: "The Man Who Sold The World" (Unplugged)
Type O Negative: "Hey Pete"

"Nothing compares 2 U" de Sinéad O'Connor, initialement de Prince.
"I Shot the sheriff" de Clapton, initialement de Bob Marley.
"Cocaine" de Clapton, initialement de "J.J. Cale.

"Motel Shot" de Delaney & Bonnie & Friends, enregistré live en session dans une chambre de motel (ou plusieurs).

Bonjour,

L'album "Running On Empty" de Jackson Browne, enregistré sur scène sans "bruitage" (comme Rust Never Sleeps de Neil Young) et en version backstage (chambre d'hôtel)

"Whiskey Woman" de Jukin' Bone.

@c qui kilroy : tous les albums de Frank Marino sonnent comme ça, c'était sa marque de fabrique.

Après vérification, "Voyage voyage" fut reprise par Sirenia.

Le "Silver Apples On The Moon" de Outer Limits.

Le dernier ANGE, "heureux", a été enregistré dans les mêmes conditions que Big World.

Et il paraît que Waiting... de EXTREME a été enregistré entièrement en live dans le studio mais je ne sais pas dans quelle mesure c'est du flan.

je suis pas sûr mais l'album What's Next de Frank Marino en 1980 sonne fort live, je suppose que c'est enregistré aussi "façon live" mais si quelqu'un peut le confirmer.

Pas mal de groupes de southern rock le faisaient aussi, d'ailleurs ce n'est guère étonnant ça fait partie de la philosophie de ce genre de musique (retour aux racines, aucun artifice tout à la sauvage).

Il me semble qu'une bonne partie des albums de Grand Funk Railroad étaient enregistrés de la sorte, en tout cas du premier jusqu'à Phoenix.

Le public était présent pendant l'enregistrement de Big World, il n'avait juste pas le droit de se manifester.
En live sans public, il en existe des tas puisque de nombreux disques ont été enregistrés sans overdubs, en une seule prise directe au début des productions de musique enregistrées.
Sinon on peut citer Pink Floyd à Pompei, réalisé au début des 70's, Les BBC sessions des Who, Led Zep, Hendrix, Beatles et consort, des albums sans aucun overdubs ou presque comme "From the Cradle" de Clapton ainsi que "Choba a CCCP" ou "Run Devil Run" de McCartney…
Et sinon, je crois me souvenir que qu'en France, William Sheller a réalisé "Sheller en Solitaire" dans des conditions très proches de celles utilisées pour "Big World" de Joe Jackson.

Le "Live At Pompeii" de PINK FLOYD est un concert en plein air enregistré sans public dans l'antique ville romaine en 1972.

C'est l'exemple le plus connu à ce jour.

Bonjour,

Merci pour votre message, hélas BNJ ne participe plus au site depuis 2008.

Bonne journée.

Au-delà de la différence de hauteur de fréquences entre les saxos alto et ténor, le jeu de Coltrane est plus musculeux et aventureux que celui de Cannonball plus traditionnellement ancré dans le blues. C'est la complémentarité de ces deux styles de jeu qui fait la force de cet album (pour ce qui est des bois). Et c'est tout au crédit de Miles d'avoir réuni ces deux-là à cet instant en forçant Adderley à élaguer un jeu trop bavard hérité de Charlie Parker en même temps qu'il canalisait Trane déjà prêt à partir explorer un univers plus radical.
Plus concrètement, sur "Freddie Freeloader" par exemple: Coltrane prend son solo vers 4,30' (enceinte de droite) et Cannonball vers 6,25 (à gauche).
Pour habituer l'oreille aux différentes fréquences, compare des saxophonistes qui ont influencé tous les autres dans leur instrument respectif: Parker pour l'alto et Coleman Hawkins pour le ténor, la différence est flagrante (et les deux ont joué ensemble).
Et ne pas oubliez le saxo soprano également joué avec brio par Coltrane (album "My Favorite Things" s'il n'en faut qu'un).

Cher lecteur,

Je vais quelque peu vous orienter. Sur le titre Blue in Green, la partition de Coltrane commence à 2:27. Je laisse vos oreilles faire le reste !

Attention, je ne parlais pas des rééditions d'albums cultes et anciens, mais d'albums d'artistes actuels, tels M Pokora, Gims, Vianney, Clara Luciani, etc...

Salut Foudrock,

Je n'ai jamais fait attention à ce que tu expliques mais je te crois sur parole.
Quand je vois le prix de réédition des albums cultes de mes jeunes années... des rééditions à 150, 300 €, versions 6 cds (du même album de 45 min. !) OK le coffret est beau mais l'album je le connais depuis 30 ans...
Pas de doute qu'en 2025, on continue de presser le citron de la fan attitude. Hélas je cède aussi et je me surprends à dire merci en plus... heureusement de moins en moins avec l'âge.

Ce qui, je trouve, passe mal en 2025 (mais ça fait quelques années que ça existe), c'est de ressortir un album quelques mois après sa sortie, avec deux ou trois titres en plus. Le fan achète donc deux fois le même disque. Alors que l'artiste pourrait patienter un petit peu et mettre ces nouvelles chansons sur un E.P ou un nouvel album à venir. Ou juste les proposer sur le Net.
Ils font tous ça : un album sort et quelques mois plus tard, il ressort en version collector avec deux titres en plus et une pochette un petit peu différente. Apparemment, personne ne trouve ça abusif ?

Merci Martin pour cette réponse complète.
Comme cela passerait mal en 2025 de sortir un album en regroupant des EP's. Même avec des inédits je pense.

Propre aux années 60, je dirais que non parce que dans les années 70, bien que le procédé soit moins systématique, il y a plein d'albums des ex-idoles yéyés par exemple qui portent le titre de la première chanson supposée en être le tube et booster les ventes mais pas que... c'est le cas aussi de SHELLER (Dans un vieux rock'n roll), SOUCHON (Jamais content), SANSON (Vancouver)... et tous ont la chanson-titre en piste 1 de la face A qui sera extraite en single au même moment.
Néanmoins, avec BREL et "Mathilde", c'est plus le regroupement des chansons de 2 récents 45t sur un 30cm qu'un véritable album, comme ça se faisait beaucoup à l'époque et même avec 12 titres sortis sur 3 EP's (avec parfois 1 à 4 inédits), ce qui accentue cette impression de non-représentativité de l'ensemble.

Un jeu de mots sur "witche's brew" ("brouet de sorcières", préparation de sorcellerie)

"Aumgn" est le nom d'un mantra utilisé par le mage/poète anglais sulfureux Aleister Crowley. Ce terme ésotérique colle parfaitement avec la musique, parfois, incantatoire de CAN quand on y pense.

Ils sont père et fils:D Long John Silver est un pirate, Erwin s'appelle Erwin, Nestor bosse à Moulinsart et Arp2600 est un clavier:)

SCOOP: Pour avoir du succès avec "Hung Up", elle a bénéficié de la protection des petits hommes verts, tout comme ABBA:D
Mélodie composée par ces petits messieurs, mais chut, c'est un secret.
Jacques Villeret avait également signé un papier pour que tout ce joyeux monde puisse utiliser la mélodie de la "Soupe aux choux".
Sinon, Marilyn Manson était très ami avec le pape qui avait assuré son succès avec "Antichrist Superstar".
Quelques exemples parmi tant d'autres:)

Il faut comprendre, indépendamment de tout "conspirationnisme" mal venu, que le chemin du succès est parsemé de consentements successifs (plus ou moins forcés) de l'artiste envers l'industrie du disque, tel un vassal à son suzerain, qui lui promet en retour une certaine protection. C'est un fait, qu'on le veuille ou non. Certains artistes jouent le jeu jusqu'au bout, quitte à y laisser des plumes (voire leur propre vie), d'autres renoncent à temps, quand la rançon du succès devient trop lourde à porter. Dans le cas de Madonna, on imagine aisément que cette "protection médiatique" ait été monnayée spirituellement.

Une vierge splendide étudiant Splendeur par ces temps si sombres. J'en reste dépité.

La kaballe ? comme david bowie avec sa kabala sataniste ?

Madonna raconte sa quête spirituelle dans l'édition de vendredi 31 juillet du quotidien israélien Yediot Ahronot. Avant sa tournée "Sticky & Sweet" de septembre en Israël, elle y détaille sa découverte de la mystique juive et son attachement à la Kabbale.

La "Material Girl" confie avoir eu le sentiment qu'il "lui manquait quelque chose dans la vie", au plus haut de sa carrière artistique, alors qu'elle "parcourait le monde, présentait ses spectacles devant des stades bondés et dînait avec les grands de ce monde".

"J'étais enceinte de ma fille, c'était il y a quatorze ans et me suis rendue compte que j'avais passé toute ma vie en ne pensant qu'à moi et que soudain je devenais responsable d'un autre être", détaille-t-elle dans les colonnes du quotidien à grand tirage.

"J'ai été élevée dans la tradition catholique et mon père était très pieux, mais je ne trouvais pas de réponse chez moi aux questions que je me posais sur le sens de la vie et pourquoi les hommes souffrent", poursuit la chanteuse.

Cette quête de spiritualité l'a conduite à étudier le yoga, le bouddhisme, le Taoïsme et bien d'autres, avant de finir par la Kabbale qui, selon elle, répondait à ses questions existentielles.

Madonna a pris le prénom hébreu d'Esther en 2004, l'année où elle participait à une retraite mystique de quelques jours consacrée à la Kabbale en Israël.

Du point de vue du judaïsme orthodoxe sa démarche est quasi-sacrilège.

Madonna ne s'est, en effet, pas convertie au judaïsme et même si elle le faisait, la tradition lui nierait le droit d'étudier la Kabbale, qui n'est accordé qu'aux hommes mariés de plus de quarante ans ayant étudié pendant des années le Talmud (la base de la législation religieuse du judaïsme).

Car la Kabbale, dont le principal texte, le Livre du Zohar ("Splendeur" en hébreu), rédigé au cours du XIIIème siècle en Espagne, a la réputation de faire perdre la tête à ceux qui se plongent dans ses mystères, sans formation préalable.


Ci-dessus: Infos pêchées sur le web.
J'ai essayé de trouver quand elle est entrée dans cette secte, il me semble qu'elle n'y est pas entrée dans les années 80 en tout cas.
Donc non, je ne pense pas que la Kabbale la protégeait, du moins, pas pour cette décennie.