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Dimitri CHOSTAKOVITCH
QUATUOR à CORDES N°8 (QUATUOR BORODINE)


Le 28 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR


Comme nous le propose SASKATCHEWAN, on se doit absolument d'écouter ce Quatuor à cordes n° 8.
Moi, je l'écoute en visionnant des vues aériennes de Dresde juste après la fin de la seconde guerre mondiale. La ville est un amas de ruines. La capitale baroque de l'Europe du nord détruite compte jusqu'à 25000 morts civils. Historiens, philosophes débattent encore de nos jours pour savoir si les raids aériens des alliés ont constitué des crimes de guerre à l'encontre de la population civile. Les bombes au phosphore encore un progrès de l’humanité.

Vous allez me dire que cela n'a rien à voir avec DIMITRI CHOSTAKOVITCH. Oui et non. Au mois de juillet 1960, le musicien se rend en Allemagne de l’Est pour assister au tournage d’un film de propagande. "Cinq jours, cinq nuits". Il doit en composer la musique. Il n’est pas inspiré. Cette commande, un devoir, ne le séduit nullement.

Par contre, en ce mois d’été, la vue de la ville de Dresde défigurée le détourne de son obligation première. Il écrit en 3 jours son Quatuor n° 8. Du 12 au 14 juillet 1960.

Dans une lettre adressée à Isaac Glikman, il révèle que

"J’ai beau me casser la tête à écrire la musique du film, pour le moment je n’y suis pas arrivé. À la place, j’ai composé ce quatuor idéologiquement condamnable et dont personne n’a besoin."

Les quatuors à cordes sont des sortes d’oasis où CHOSTAKOVITCH peut s’exprimer, respirer. Le stalinisme est là, présent. Pour éviter la censure et les représailles, le musicien appose une dédicace qui contentera les censeurs :

«à la mémoire des victimes du fascisme et de la guerre»

Mais en réalité, ce Quatuor, il se l’offre :

«Je me suis dit qu’après ma mort, personne sans doute ne composerait d’œuvre à ma mémoire. J’ai donc résolu d’en composer une moi-même.» On pourrait écrire sur la couverture : “À la mémoire du compositeur de ce quatuor.»

Cette œuvre abonde en situations dans lesquelles la vie du compositeur est présente, de la répétition DSCH sans cesse imprimée, de citations de ses œuvres antérieures (plusieurs de ses symphonies) et de celles aussi des maîtres passés comme celle de « BEETHOVEN dans le dernier mouvement du Quatuor à cordes n° 16 op.135. (voir le quatrième mouvement on retrouve le même profil mélodique des trois notes, ainsi que les trois accords successifs, pesants.) » et d'un « chant pré-révolutionnaire : Torturé à mort dans une cruelle captivité » qui est une citation qui apparaît dans le quatrième mouvement.
Tout est tragique, lugubre et sombre dans ce Quatuor à cordes n° 8 bien que l’humour grinçant de CHOSTAKOVITCH soit au rendez-vous :

«Le caractère pseudo-tragique de ce quatuor vient de ce qu’en composant, j’ai répandu autant de larmes que je répands d’urine après une demi-douzaine de bières.»

À Leningrad, le 2 octobre 1960, le Quatuor Beethoven crée le Quatuor à cordes n° 8, maintenant une œuvre majeure du répertoire de l’immense DIMITRI.

P.S. : Citations de CHOSTAKOVITCH, livre de Krystof MEYER.





KING CRIMSON
DISCIPLINE


Le 28 Octobre 2022 par AIGLE BLANC


Je suis en train de découvrir cet album de KING CRIMSON (mieux vaut tard que jamais, me direz-vous). Et quelle n'est pas ma surprise d'entendre des rythmes, un jeu de guitare, un feeling proches dans l'esprit et le style du Manuel Gottsching de "Correlation", l'album de 1978 signé du groupe ASHRA !
Est-ce un crime de lèse-majesté que de citer cette comparaison ? J'aimerais savoir ce qu'en pensent Waltersmoke et Arp2600. Robert Fripp et sa bande ont-ils pu en être influencés ? Cela n'enlève rien à mon goût aux qualités indéniables de cet excellent album, de plus étonnant quand on le replace dans la discographie de KING CRIMSON.





TEARS FOR FEARS
SONGS FROM THE BIG CHAIR


Le 27 Octobre 2022 par NONO

@SGT JAKKU : Mon approche du groupe a été très similaire à la tienne : je n'étais pas super fan au départ. J'aimais assez mais sans trouver au groupe le moindre 'relief'. A l'époque, je ne connaissais que 3 tubes : "Shout" que je n'ai jamais vraiment aimé (bien trop répétitif à mon goût), "Everybody wants to rule the world" (que j'aime bien mais sans trouver ça extra non plus), et enfin "Sowing the seeds of love" que j'adore.
Pourtant, 2 éléments m'ont fait davantage m'intéresser au groupe :
1) Grâce à "Sowing..." et à l'album du même nom, je me suis dit, vu la qualité de ce titre, je veux bien écouter l'album entier, que j'aime d'ailleurs beaucoup !
2) J'ai redécouvert avec un immense plaisir le titre "Head over heels" que j'adore vraiment, je l'avais totalement oublié (entendu 2/3 fois à la radio en 1985/1986), et pendant 15 ans, je ne savais pas que c'était d'eux !
A partir de là, j'ai exploré tous les albums du groupe et je ne regrette pas !
Ce groupe est génial, et bien plus créatif que Depeche Mode par exemple qui n'est essentiellement qu'un "groupe à tubes" !





TEARS FOR FEARS
SONGS FROM THE BIG CHAIR


Le 27 Octobre 2022 par SGT JAKKU


Je suis d'accord avec NONO : à l'écoute des arrangements sophistiqués et riches et des idées d'enchainements et de répétitions des thèmes entre les titres, on peut souligner dans cet album une approche progressive remise au goût du jour (des années 80).
Personnellement, je pencherais plus pour le genre Art Rock que le progressif. On sent aussi l'attachement profond des TFF pour le Sergent Poivre, une influence qui sera encore plus évidente avec l'album suivant.
Curieusement, je n'étais pas très fan du groupe à l'époque. C'est en réécoutant les albums vingt ans après que j'ai réalisé que ce groupe était assez exceptionnel et avait fabriqué trois grands albums classiques des années 80, trois chefs-d'œuvre coup sur coup.





PAT METHENY GROUP
STILL LIFE TALKING


Le 27 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR


Il évident que ce qui était un germe d'une élégante finesse qui annonçait un végétal multiple et aérien en 1978 allait se métamorphoser en une plante luxuriante et multicolore en 1987.

Le germe secrète les beautés à venir... En 1978 ce fut pour moi irrécusable avec l'album éponyme.





LUNA SEA
LUV


Le 26 Octobre 2022 par BAKER

Ce serait bien qu'un volontaire se dévoue pour continuer car c'est un groupe attachant (...en plus d'être, euh... légèrement essentiel dans l'histoire du j-rock).

A noter que leur dernier album, Cross, a été produit par Steve Lillywhite. Sachant que, dans les grandes lignes (pas dans les détails), Luna Sea est grosso modo le U2 japonais, c'était un pari à tenter et le résultat est tout à fait charmant !





INDOCHINE
3.6.3


Le 26 Octobre 2022 par NONO

Indochine, pour moi, c'est DEUX bons albums : "Le Péril Jaune", et "Paradize".
En dehors de ça, je suis épaté par autant de longévité et d'endurance de la part d'un groupe qui, somme toute, ne vaut pas tripette.





David HALLYDAY
TRUE COOL


Le 26 Octobre 2022 par CSAMSA

L'album qu'il a sorti avec ses potes sous le nom de groupe de Blind Fish en 1994 (intitulé '2000 BBF') est une totale réussite dans le genre FM-AOR, parfaitement produit avec des compo's bien accrocheuses, ce qu'il fallait de tubes potentiels ("Pain and Pride"). Hélas, malgré de bonnes critiques à l'époque, ça fit flop, semble t-il. Dommage.





INDOCHINE
3.6.3


Le 25 Octobre 2022 par BAKER

Pour tenter l'aventure, je conseillerais de débuter par la période 83-96 avec la compilation The Birthday Album, mais dans sa version double et en SACD.

Bonne chance pour la trouver Jim, sans compter qu'il faut le lecteur adéquat. Mais le résultat vaut la peine.

Pour la seconde période, c'est BEAUCOUP plus compliqué. Mais vraiment. Je n'ai AUCUNE idée d'un album que je pourrais conseiller, à part peut-être Alice dans sa version double uniquement.





INDOCHINE
3.6.3


Le 25 Octobre 2022 par RICHARD


C’est justement parce que ce groupe compte énormément pour moi (période 1981-1999) que ces quelques lignes peuvent apparaître peut-être comme dures, voire infondées si le fait indochinois n’est pas nécessairement son centre d’intérêt.

Ce que je reproche en tant que fan surtout de la période citée ci-dessus, c’est la relecture complète et permanente que Sirkis fait de son groupe et de sa propre histoire. Sans exposer de multiples détails rébarbatifs, on pourra entre autres juste noter que le lider maximo dans un souci permanent de main mise « mémorielle » ne parle par exemple aucunement des personnes qui ont aussi et surtout fait INDOCHINE. Pas un mot depuis 1995 sur Dominik Nicolas le compositeur des six premiers albums, ni sur Jean-Pierre Pilot (le socle sur lequel Sirkis s’est appuyé confortablement durant la traversée du désert), le talentueux producteur Philippe Eidel et tant d'autres personnes pourraient être citées.

Toute l’histoire du groupe se fait maintenant à travers le prisme de Sirkis et c’est tout. Il n’existe d’ailleurs aucune voix discordante que ce soit dans les livres, reportages, hommages touchant au groupe si on excepte les critiques par principe de Libé, les Inrocks, etc. Tout y est hagiographique. La seule voix différente que j’ai pu trouver est l’excellent blog soleywhy-indochine.blogspot.com, blog extrêmement poussé et factuel, de grande qualité décrivant le cas Sirkis et ses paradoxes.

Que l’on soit bien d’accord Fred, qu’une entité de plus de quarante ans soit traversée par des crises, des joies, que l’on prenne parti pour tel ou tel membre, rien de plus naturel. Ce qui me gêne le plus en fait, c’est de constater que la plupart des fans ne voient pas le cynisme qui anime Sirkis depuis plus de vingt ans. Aucun sentiment de supériorité de ma part, ni de pseudo-élitisme mal placé. J’ai trop « souffert » ado de passer pour un attardé parce que j’aimais ce groupe. Juste l’impossibilité de dire par exemple sur les sites officiels, forums que non Sirkis n’est ni un dieu, ni un ange. C’est par essence vain.

Cynisme, oui. Le temps était à la britpop, il a sorti Wax. Les ados des années 2000 étaient pseudo goths. Dancetaria et Paradize sont apparus. Le revival new-wave n’en finit plus. On met des gros claviers sur les derniers étrons discographiques. En concert, on joue 95% de morceaux crées à partir de 2002... C’est l’un des problèmes majeurs des fans d’INDOCHINE. Ils ne font majoritairement aucune différence entre la subtilité des titres des années 1981-1993 par exemple et la redondance permanente et sans âme des décennies 2000-2010. Sirkis gére sa chose comme il gère une entreprise. Il n'y a plus de notion réelle de groupe. Tout le monde est interchangeable et certains musiciens disparaissent du jour au lendemain sans aucune explication (Mr Shoes, Jean-My Truong). J’insiste sur le fait (mais ce n’est que de la musique après tout) que pour appréhender cette situation, il faut voir l’histoire indochinoise dans sa globalité.

Si le succès d’INDOCHINE dans les années 80 était sans conteste artistique et commercial, il n’est depuis plus de vingt ans que commercial. Par essence, tout avis est subjectif mais que ce soit avec 13 le dernier album sans nom ou le dernier single imbuvable en duo avec MOBY , il n’est pas près pour moi de changer. Que ceci ne t’empêche surtout pas quand même Fred de tenter l’aventure indochinoise car elle contient beaucoup de très belles choses…mais avec toujours avoir bien en tête ce même recul salvateur.






INDOCHINE
3.6.3


Le 25 Octobre 2022 par BAKER

Pour ma part c'est très simple : Paradize puis ce live ont été un tournant, où la musique se fait plus franchement rock certes, mais avec environ une chanson sur dix réussie dans ce domaine. Tout est plus gros, plus "adulte", et... froid, répétitif, creux, avec un curieux sentiment d'insincérité.

S'ajoute à cela la résurrection du groupe par une ritournelle atroce même pas écrite par eux, et donc ces concerts qui sont des happenings géants du style "nous on est trop génials, pask'on est à le concert d'Indochine, les zôtres c'est des fachos", et malgré quelques réussites dont une bonne moitié d'Alice & June et l'excellent live Hanoï, j'arrête mon Indo à 1999.

Est-ce que ça a un rapport avec la mort de Stéphane ? Aucune idée.





INDOCHINE
3.6.3


Le 25 Octobre 2022 par AIGLE BLANC

Je ne connais rien à INDOCHINE en dehors de ses tubes des années 80 (époque où j'étais dans ma pleine adolescence -je suis né en 1970). Cependant, j'avoue ne pas trop comprendre en lisant cette chronique ainsi que le commentaire de Baker de quelle imposture il s'agit. S'agit-il de fustiger le succès du groupe après le décès du frère jumeau de Nicolas ? Critique-t-on la velléité de plus en plus rock du groupe ?
D'après la chronique, il semble que Richard n'apprécie pas la démarche commerciale d'Indochine à partir des années 2000. Cela veut-il dire que le succès initial du groupe au cours des années 80 ne pose aucun problème ? J'aimerais bien comprendre.
Ne pas aimer Indochine, je le comprends d'autant mieux que je n'ai moi-même pas accordé le moindre intérêt au groupe durant la décennie 80. Alors que je voudrais revenir sur la carrière du groupe, voici qu'on me clame, malgré son succès, qu'il n'est plus fréquentable. Je ne sais plus que penser.
Mes questions reflètent peut-être l'ignorant que je suis d'un groupe dont la carrière ne manque pas de m'impressionner par ailleurs.
Richard ou Baker, veuillez éclairer ma lanterne, svp.





INDOCHINE
3.6.3


Le 25 Octobre 2022 par BAKER

Merci Richard d'avoir eu le courage de dénoncer cette escroquerie. Avec le recul, ma kro sur D.D.S. était encore bien trop gentille (car il faut noter qu'en DVD ce concert est PIRE).

En BTS Electronique, Indo serait recalé : autant d'énergie gaspillée en vain, c'est indécent.





Lalo SCHIFRIN
MISSION IMPOSSIBLE


Le 25 Octobre 2022 par LE MERLE MOQUEUR


"Petite fille je regardais Mannix en famille, j'adorais le générique, aujourd'hui, ben, je sais pourquoi ! Quel génie Mr Schiffrin ! "

Ce commentaire n'est pas du MERLE. Mais adolescent comme cette petite fille je dévorais l'écran du téléviseur de mes parents pour cette MISSION IMPOSSIBLE dont la musique me galvanisais.

Le même effet se répéta avec MANNIX. Quelle fraicheur ! Je me demande d'ailleurs si ce
n'est pas ce genre de musique de générique qui inconsciemment me dirigea vers le Jazz.
Avec Mike CONNORS dans le rôle de MANNIX nous restons dans la musique, il était un
cousin de CHARLES AZNAVOUR

P.S : MANNIX version DJANGOLOGY avec aux guitares Serge Jardin, Michel Barbier, Arnaud Agullo et Jean Cortes à la contrebasse est plus que rafraîchissante





Zbigniew PREISNER
DéCALOGUE


Le 23 Octobre 2022 par BRADFLOYD

Au sujet de Zbigniew PREISNER, c'est lui aussi qui a orchestré et dirigé la musique de Gilmour lors du concert de ce dernier à Gdańsk en 2008. Etrangement, cette collaboration apparaît très peu dans les recherches sur Internet au sujet de ce compositeur.





John COLTRANE
MY FAVORITE THINGS


Le 23 Octobre 2022 par MENCLAY


Le titre éponyme est immense, celui qui m'a ouvert les portes de l'univers Coltrane.
Le thème est étalé, distordu, décliné sous toutes les formes sur plus d'une dizaine de minutes. C'est tantôt un déluge de notes dont on se demande ce qu'elles ont en rapport les unes avec les autres, tantôt des accalmies ; dans tous les cas Coltrane joue avec les limites physiques de son instrument, des lois de l'harmonie, de l'improvisation, de son corps. Il crée de nouveaux espaces de libertés, il élargit les frontières de l'univers (musical) connu.
Coltrane est la preuve qu'on peut être un virtuose, un monstre technique, tout en y mettant ses tripes. Comment est-il possible de jouer autant de notes tout en transmettant une émotion non feinte ?
On ressent une profonde joie, presque mystique, dans ce titre. Joie de l'artiste touché par la grâce, joie de l'auditeur qui se demande ce qui est en train de lui arriver.
Et les nombreuses écoutes n'altèrent en rien le plaisir ressenti.
Les autres morceaux sont un atterrissage bien agréable, une façon de prolonger l'expérience en se remettant de cette retentissante baffe qu'on n'avait pas vue venir.





Francis CABREL
LES CHEMINS DE TRAVERSE


Le 21 Octobre 2022 par NONO

@HUg : influences ou pas, c'était surtout un type de graphisme très en vogue dans les 70s ! Voir le 1er album d'Abba par exemple. Tout comme dans les années 80, c'était le style "néon" et couleurs flashy !





Francis CABREL
LES CHEMINS DE TRAVERSE


Le 21 Octobre 2022 par HUG


Mes parents possèdent ce disque. Pour ma part, c'est la chanson "Les voisins" que j'aime le moins dessus. Mais surtout en ce qui concerne la pochette, comme je suis également par ailleurs, fan de Sheila, je crois que son producteur Claude Carrère s'est inspiré de cette pochette d'album de Francis Cabrel sorti donc en 1979 pour le choix de la pochette de son 45 tours "Et ne la ramène pas" sorti au printemps 1981. Le principe est exactement le même. Il y a une photo de Sheila reproduite en surimpression. Sauf qu'ici, sur l'album de Francis Cabrel, la photo principale de Francis est reproduite en surimpression telle quelle, alors que sur le 45 tours de Sheila, la photo principale de Sheila est reproduite en surimpression mais sur des fonds de couleurs différents !





PAT METHENY GROUP
OFFRAMP


Le 20 Octobre 2022 par NEURASTHéNIC BITCH


Avec toute la meilleure volonté du monde, il y a 2 titres juste atroces... Sur 7 ça craint un peu. Sinon c'est que du bon, un EP excellent si on veut.





REM
AROUND THE SUN


Le 19 Octobre 2022 par METALPROG84


"Around the Sun" n'est pas le meilleur album du groupe, loin s'en faut. Mais la moitié des titres sont plutôt bons (les 5 premiers, "Aftermath" et, à la limite, "Wanderlust" et "The ascent of man"). C'est vrai que le reste est peu inspiré et on s'ennuie ferme sur "I Wanted to Be Strong", "High Speed Train" ou "The Worst Joke Ever" par exemple. En plus, la plupart des titres sont des ballades, ce qui rend "difficile" l'écoute de cet album de presque une heure quand même (10 morceaux auraient amplement suffi !).







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