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SHAKA PONK
THE GEEKS AND THE JERKIN SOCKS


Le 06 Mai 2024 par BLUEMASK


J'ai decouvert S.P à l'époque de ce disque, avant que le groupe n'explose. Un pote m'avait proposé de venir voir ce groupe que je ne connaissais pas. Shaka Ponk, j'avais peur d'un truc de punk à chien ou de reggae/chanson festive, le truc qui fait pâlir les campeurs. C'était dans une petite salle à Genève, limite salle des fêtes, et je me suis pris une vraie grosse claque scénique.
Alors ce disque reste pour moi comme leur meilleur essai, je le chéri, mais peut être n'est ce pas objectif, la fin du disque étant un cran en dessous. En tout cas, la production puissante mais claire, pas encore un poil too much des disques suivants, en fait une machine ultime à danser et à sauter, sexy, rock, soul, electo. Superbe !





GORILLAZ
DEMON DAYS


Le 06 Mai 2024 par BLUEMASK


Est-ce le meilleur album des Gorillaz? Ben oui. Le non-groupe sait tout faire et le fait avec la décontraction et l'insolence d'un sale gosse surdoué. Plus qu'un assemblage de styles, il s'agit d'un melting-pot génial finalement hyper cohérent. Il y a peut-être quelques fillers, c'est vrai, excès de décontraction, on va dire.





WEEZER
WEEZER (GREEN ALBUM)


Le 06 Mai 2024 par BLUEMASK


Un bon disque vite envoyé, rempli de pop-songs bien torchées, jouées avec le pied enfoncé sur la pédale de distorsion. Par rapport à leur premier disque, le vert est encore plus mélodique, plus accrocheur, plus pop. Désormais, il faut peut-être passer outre "Island in the sun", trop entendu dans la salle d'attente du dentiste, et se concentrer sur l'agressif "Hash Pipe" ou le magnifique "Simple Pages" aux harmonies byrdiennes à tomber.
Pas essentiel, pas important, mais jouissif.





SUICIDE
SUICIDE


Le 06 Mai 2024 par BLUEMASK


Melting-polt hallucinant, malsain et réconfortant de punk, de doo-wop, d’electro, de rock 50´, ce disque n’a pas 20 ans d’avance, il est hors-du-temps. On peut détester, on peut préférer Toto et A-ha, chacun ses goûts. On peut aussi mourir sans l’avoir écouté, c’est mieux avec quand même.





Marina KAYE
HEAVENBOUND


Le 06 Mai 2024 par AMALRIK


Et dire que l'on préfère faire chanter du aya aux JO plutôt qu'une jeune artiste bourrée de talent qui a déjà fait 10 fois mieux... comme quoi, le talent reste parfois intimiste et ce n'est pas plus mal...





REM
UP


Le 06 Mai 2024 par MASTERFAN


UP, le onzième album de R.E.M, dépasse l’heure d’écoute : pour la seconde fois d’affilée, les mecs ne se sont pas moqués de nous. On pourrait néanmoins se demander l’utilité de "Airportman", le cotonneux premier morceau. Nouveau suicide commercial ? Non, le départ de Bill Berry, difficile à digérer, a finalement été mis à profit pour pouvoir s’engager vers d’autres voies plus synthétiques, et ce qui suit accroche d’entrée. Le superbe et lancinant "Lotus" commence par rectifier le tir. Même style pour "Suspicion" et son refrain d’une grande finesse, qui anticipe même déjà l’orientation de l’album suivant REVEAL. "Hope', dont la mélodie rappelle Léonard Cohen à tel point que le groupe le créditera, fait plus dans l’électro. Vient ensuite un des grands moments du disque, "At my most beautiful", riche compo au piano enjôleur. Changement d’ambiance avec le sombre "The Apologist" puis le calme "Sad professor".

La seconde partie est moins immédiate mais les réécoutes révèlent quelques pépites. Chose rare, Michael Stipe déchire un peu sur le refrain de "You’re in the air" en forçant un chant trop maniéré. "Walk unafraid" tout en finesse et subtilité, est beaucoup plus réussi, une vraie perle (le morceau sera légèrement accéléré en concert). Ce n’est pas le cas de "Why not smile" dont le motif récurrent n’incite pas à la fête. A ce stade, pas sûr que R.E.M réussisse à garder tout le monde jusqu’au bout. Dommage car bien emmenés par la belle ballade "Daysleeper" qui rappelle l’époque AUTOMATIC FOR THE PEOPLE, les ultimes morceaux "Diminished" (dont la partie vocale finale est délicieuse), "Parakeet" ou "Falls to climb", sans atours clinquants, dévoilent une belle intensité émotionnelle venant dissiper toute forme d’ennui initial.

A l’arrivée UP, album pour lequel le rock des années initiales a pris quelques vacances, est donc tout aussi dense que son prédécesseur NEW ADVENTURES IN HI-FI. Rien à voir avec le Mac Do de MONSTER à la séduction immédiate. On a une fois encore ici un repas complet avec entrée, dessert et spiritueux pour lequel il faut prendre son temps. A défaut, il apparaîtra peut-être indigeste. A part "Lotus" et "At my most beautiful", mieux vaut éviter cet album pour une toute première approche, ou alors se l’approprier par moitié.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Lotus", "At my most beautiful", "Walk unafraid". SEDUISANT (4) : Suspicion, "Parakeet", "Falls to climb", "Diminished", "Daysleeper". PLAISANT (3,5) : "Hope", "The apologist", "Sad professor". INTERESSANT (3) : "Why not smile". EMOTION LIMITEE (2,5) : "You’re in the air". AUCUNE EMOTION (2) : "Airportman". DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan : 3,68 et Top 5 à 4,30 : UP cote pour moi 3,99 et arrive en 8ème position dans mon classement personnel des albums de R.E.M.

Du côté des fans, on ne peut pas dire que UP soit franchement plébiscité car il arrive 12ème sur 15. Seuls les singles "Daysleeper" et "At my most beautiful" accrochent presque les 50 premières places, "Walk unafraid" parvenant lui à intégrer le Top 100. Arrivent ensuite respectivement et péniblement "Lotus" (surprenant si loin), "While not smile" (surprenant mais dans l’autre sens), "Sad professor", "Falls to climb", "Hope", "The apologist", "Suspicion", "Dimished", "You’re in the air", "Parakeet", quelques farceurs (des faux fans certainement) ayant même donné un de leur vote à "Airportman".

Pour les complétistes, il faut surtout signaler en cette fin de siècle le single "The great beyond" (4) (B.O du film Man on the moon) qui se bonifie avec le temps, tandis que "Draggin’ The line" (3,5) (B.O Austin Powers) se laisse écouter. Inutile de se précipiter vers les B-sides, c’est encore le service minimum avec "Enphysema" (2) et "Surfing the Gange" (2), et je préfère ne même pas évoquer les disques pour les fans.





DIO
DREAM EVIL


Le 05 Mai 2024 par FRAN BRANCO


Pour moi, il s'agit du meilleur album solo de Dio. Je lui trouve une modernité et une certaine virtuosité dans les compositions qui me semblent assez uniques dans ce genre en 1987. Je le trouve complet, diversifié, très mélodique. L'apport de Craig Goldy (qui semblait vouloir en découdre à l'époque), a réellement apporté un souffle créatif au groupe. Cependant, le bémol serait le son de la guitare que j'ai toujours trouvé étrange. Néanmoins, il est superbement écrit.





Alain SOUCHON
BIDON


Le 04 Mai 2024 par CLANSMAN57


Ce second album du sympathique Alain Souchon porte bien son nom.
Le morceau-titre est par contre excellent, c'est un tube et un vrai, il éclipse malheureusement tout le reste.
L'autre tube (un faux), "S'asseoir Par Terre", est assez niais avec ses choeurs féminins et "Le Galant Niais" également, c'est marqué dans le titre, il est honnête au moins.
"Tout Doux" est agréable et "Petit Pois", ça va.
Le reste ne me plait pas du tout.






Bob MARLEY & THE WAILERS
KAYA


Le 04 Mai 2024 par JAY JAY 9116


Jamais compris pourquoi cet album n'est pas apprécié. Bob chante l'amour, déçu des guerres politiques. une façon de se diversifier. J'adore cet album.





The BEATLES
NOW AND THEN


Le 04 Mai 2024 par CLANSMAN57


J'aime beaucoup. Merci d'avoir proposé la chanson en écoute sur le site.
Je viens à peine de capter qu'il n'y a plus de titre du jour sur NiME.





The ALLMAN BROTHERS BAND
THE ALLMAN BROTHERS BAND


Le 02 Mai 2024 par TOMMY_CALE

Je viens d'apprendre le décès de l'immense Dickey Betts, survenu le 18 Avril. Un de mes artistes préférés et un des plus grands guitaristes que j'ai entendus. Je suis profondément attristé par cette nouvelle.
RIP Richard.





The CURE
THE TOP


Le 01 Mai 2024 par LEO

@ RICHARD:

Ne sois pas désolé, tu ne m'embêtes point du tout. Nous avons simplement un point de vue différent sur cet album et il est intéressant d'échanger nos avis divergents.
Oui, tu as raison, tout dépend du contexte dans lequel on a pu le découvrir et des attentes de tout un chacun. Cela n'en fait pas un mauvais album pour autant mais personnellement j'espérais sans doute autre chose à ce moment-là.
En fait, à l'heure actuelle, je crois que j'apprécie mieux les divers morceaux de ce disque dans leurs versions [i]In concert[fi], d'autant plus depuis que l'on peut trouver une setlist quasi-intégrale sur YouTube, alors que [i]In Concert[fi] n'en représentait qu'une infime partie.





REM
NEW ADVENTURES IN HI-FI


Le 01 Mai 2024 par MASTERFAN


NEWS ADVENTURES IN HI-FI, 10ème album de R.E.M en 1996, est très certainement l’album de l’oubli pour la masse, mais aussi de manière contradictoire l’un des rares albums de la discographie bénéficiant d’un statut 'culte'.
Pas si contradictoire d’ailleurs, il n’y a aucun véritable gros tube radio ici, et donc plus rien à partager pour les fans avec les amateurs de musiques réputées 'douteuses'. On pourrait presque imaginer un retour à la nostalgie de l’époque "GREEN" et pourquoi pas même celle des années IRS.
En 1996, R.E.M n’est plus le roi du monde depuis l’arrivée de quelques branleurs de Manchester, mais sa côte n’est pas affectée. Pour preuve, Stipe et les siens peuvent encore se permettre de balancer le calme "How the West Was Won and Where It Got Us" en morceau d’appel du disque (et même en single !) sans que la maison de production, certainement perdue avec ce groupe qu’elle ne doit pas trop comprendre, ne sourcille. Le choix des autres singles, "E-Bow the Letter", "Electrolite" ou "Bittersweet Me", 'morceaux d’album' au sens noble du terme, est osé. Ici, les oreilles pré-formatées FM passeront leur chemin, c’est plutôt un disque pour explorateurs de grands espaces, à l’image de la pochette (pour une fois à la hauteur, celles des autres albums étant toutes plus catastrophiques les unes que les autres). Le son n’est souvent pas si différent de MONSTER, mais sur le plan de la densité, N.A.I.H.F est à MONSTER ce que le mercure est à l’eau. Déjà, la durée record de 65 minutes (c’est donc au final un quasi-double album) situe l’œuvre. Ensuite, les vrais passionnés le savent bien, le temps fait remonter les perles à la surface. Si N.A.I.H.F n’avait pas fait particulièrement de vagues à sa sortie, les écoutes répétées ne trompent pas.

Le morceau d’entrée au titre interminable (non, il n’a pas été écrit par Morrissey) n’est pas mon préféré. Ambitieux certes, mais à ce stade au moins deux millions d’auditeurs du précédent album MONSTER ont déjà fui. "The Wake-up Bomb" juste derrière est un p… de morceau rock. "New-Test Leper" n’a même pas besoin de refrain tant le couplet est magnifique et se suffit presque à lui-même. On repart dans le son plus dur avec "Undertow" qui semble créer un nouveau concept, l’ambient grunge. Re-changement d’ambiance avec le superbe "E-Bow the Letter" (feat. Patti Smith), carton en Angleterre et four aux States. Un point pour les Anglais (pendant ce temps-là, la France s’éclate avec Khaled et Gala). On enchaîne avec l’intense "Leave", l’un des sommets du disque, belle petite claque. Ils sont revenus sur un label Indé ou quoi ? "Departure", frondeur et sans concession, aurait tendance à le confirmer.
A ce stade d’album (plages 8 et 9) où on met souvent les faces B, "Bittersweet Me" et "Be Mine" sont tout sauf des B-sides, ce sont des vrais bons morceaux emballants. Retour à la guitare saturée avec "Binky the Doormat". "Zither" fait un petit break instrumental sans grand intérêt (c’est le seul petit point faible du disque à mon sens) avant que "So Fast, No Numb" n'entre en scène. D’une simplicité déconcertante, mais une fois qu’il vous a choppé, il ne vous lâche plus. On sent que les mecs kiffent de le jouer en concert, et d’ailleurs morceau conseillé comme reprise pour tous les groupes d’ados qui débutent. Peter Buck continue à s’éclater avec la distorse à tout va de "Low Desert". On aurait presque fini par se dire que ce disque est un hommage à Neil YOUNG si le dernier morceau "Electrolite" ne renvoyait pas à du R.E.M pur jus, cru 91-92. Le groupe le replacera sur le best of, peut-être pas persuadé que tout le monde soit allé jusqu’au bout de cet album qui, de fait et clairement, se mérite.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : "Leave". DELECTABLE (4,5) : "So Fast so Numb", "E-Bow the Letter", "Electrolite". SEDUISANT (4) : "Bittersweet Me", "The Wake-up Bomb", "New Test Leper", "Be Mine". PLAISANT (3,5) : "Undertow", "Departure", "West Was Won and Where It Got Us", "Binky the Doormat". INTERESSANT (3) : "Low Desert". EMOTION LIMITEE (2,5) : "Zither". AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan : 3,86 et Top 5 à 4,50 : NEWS ADVENTURES IN HI-FI cote pour moi 4,18 et arrive en 5ème position dans mon classement personnel des albums de R.E.M.

Du côté du vote des fans, l’album est classé 10ème sur 15. "E-Bow the Letter" (48ème) et "Electrolite" (49ème) accrochent in extremis les 50 premières places, devant "Leave" (81ème), "Bittersuit Me" (82ème). Arrivent ensuite respectivement "How the West Was Won and Where It Got Us", "Be Mine", "So Fast So Numb", "New-Test Leper", "The Wake-Up Bomb", "Undertow", "Binky the Doormat", "Departure" et "Low Desert". "Zither" clôture le classement à une peu glorieuse 211ème place.

Pour les complétistes, ne pas rater sur la période 1996-1997 la très belle B-side "Sponge" (4). On se demande d’ailleurs pourquoi cette chanson n’est pas sur l’album. Le martial "Revolution" (3,5) de la B.O [i]Batman & Robin[fi] vaut l’écoute. La reprise de "Wichita Lineman" (3), un classique de l’easy-listening américain, est plutôt une bonne surprise, à l’inverse de "Tricycle" (2), un instrumental sans intérêt. Déception une fois encore pour le disque de Noël 1996 des fans avec "Only in America" (2.5), reprise sans relief d’un obscur groupe des sixties. L’autre face, une version acoustique de "I will Survive" (3), est plutôt sympathique mais n’a pas dû leur prendre plus de 5 minutes. "Live For Today" (2,5) (avec PEARL JAM) ne foudroie pas.





IRON MAIDEN
LIVE AFTER DEATH


Le 01 Mai 2024 par CAPITAINE CAVERNE


"Quoi de mieux qu’une Vierge de Fer pour un dépucelage Metal ?" Un pote m’avait dit ça une fois. La phrase était-elle de lui, j’en sais rien, mais il avait bougrement raison.

En tout cas, ce live est la meilleure porte d’entrée pour découvrir la bande de Steve Harris. C’est un véritable Best of des 5 premiers albums que nous avons là. Et en plus, ce sont les meilleurs du groupe.
Ce live n’a qu’un seul vrai défaut, on n’entend pas assez le public (cela sera corrigé pour tous les lives suivants). Mais ça n’empêchera pas un solide 5/5.

Légendaire!





Richard CLAYDERMAN
BALLADE POUR ADELINE


Le 01 Mai 2024 par DEJAVU


Je ne suis pas fan de Richard Clayderman, mais je suis attaché à cet album. Notre voisine avait prêté ce 33-tours à ma mère qui l'écoutait en repassant le linge. J'avais 9 ans et je n'ai jamais oublié cette scène ordinaire de mon enfance. Ma mère n'a jamais rendu le disque à la voisine. Quand nous avons vidé la maison familiale après la disparition de mes parents, j'ai retrouvé l'album. Aujourd'hui, il m'arrive de l'écouter de temps en temps et me voilà nostalgique quelques minutes. Merci à cette excellente chronique.





Mark KNOPFLER
ONE DEEP RIVER


Le 01 Mai 2024 par LE GYM_BRO


Les albums de Mark Knopfler se suivent, et se ressemblent. Toutefois, celui-ci reste très agréable à écouter. Knopfler prouve encore son talent de composition. Les titres s'enchaînent de manière fluide, permettent d'installer des ambiances assez variées, et sont tous magnifiés par les interventions des musiciens qui accompagnent le guitariste (comme évoqué dans la chronique).





CANNED HEAT
CANNED HEAT


Le 01 Mai 2024 par YAN LE COADOU


A quand une chronique de L'excellent album " FUTURE BLUES" ?





Mark KNOPFLER
GOING HOME - THEME OF THE LOCAL HERO


Le 01 Mai 2024 par LE GYM_BRO


Un titre, déjà très beau à l'origine, transformé en véritable diamant. Un casting incroyable, on peut en reconnaître certains dès les deux premières notes (Jeff Beck, David Gilmour, même Bruce Springsteen).
Une mélodie qui reste en tête toute la journée. Dix minutes de pur bonheur, sorte de best-of des plus grands guitaristes du monde (en blues surtout).
Merci Mr. Knopfler.





The BEATLES
NOW AND THEN


Le 01 Mai 2024 par LE GYM_BRO


C'est sûr, ça ne vaut pas tous les titres légendaires des années 60.
C'est sûr, ça joue entièrement sur la nostalgie, surtout avec ce clip qui je pense fera lâcher une petite larme à la majorité des die-hard fans.
Mais... ça reste les Beatles.
Entendre la voix de Lennon surgir d'outre-tombe, pleine d'émotions, fragile (en raison du support original): magnifique. Une mélodie simple mais accrocheuse, une production impeccable, et un hommage réussi à ceux qui nous ont quittés.
Le coup de placer le premier titre du groupe à la suite du dernier pour 'boucler la boucle' est tellement facile mais très malin, et ajoute encore une couche de nostalgie.





CAPTAIN BEEFHEART
SAFE AS MILK


Le 01 Mai 2024 par CORNELIUS


Aucun commentaire pour cet excellent ovni encore fort accessible (même pour l''époque).
Et deux petites étoiles en guise de remerciement.

Tout a foutu le camp, décidément.







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