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ELECTRO-POP  |  COMPILATION

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1979 3 Three Imaginary Boys
1980 4 Seventeen Seconds
1981 2 Faith
1982 3 Pornography
1984 1 The Top
1985 1 The Head On The Door
1987 1 Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me
1989 2 Disintegration
1992 1 Wish
1996 1 Wild Mood Swings
2000 1 Bloodflowers
2004 1 The Cure
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1984 1 Concert The Cure Live
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1983 1 Japanese Whispers
2004 Join The Dots

VHS/DVD/BLURAYS

2002 Trilogy
 

- Style + Membre : Siouxsie And The Banshees

The CURE - Japanese Whispers (1983)
Par BUDDY le 9 Décembre 2006          Consultée 8737 fois

Cette kro-express était à l'origine la chronique principale avant d'être réécrite par RICHARD

Nous sommes en 1983, et The Cure vient de se séparer de son bassiste attitré, Simon Gallup, pour une sombre histoire de bières qui n’avaient pas été payées dans un pub….
Quoi qu’il en soit, Robert Smith passe plus de temps à préparer des cocktails en tout genre pour « Siouxsie and the Banshees » qu’à faire de la musique. Cure n’a pas été officiellement dissout, mais les rumeurs vont bon train.

Une opportunité permettra cependant à Robert Smith de sortir de sa léthargie, et de composer « Lament » sur sa vieille gratte « Top 20 ». L’idée était de casser le mythe de ce groupe qui était devenu trop imposant et trop sérieux. Avec « Japanese Whispers », Smith va s’y employer avec vigueur, et détruire ce monstre appelé « The Cure ». En engageant Steve Goulding à la batterie, Robert et son comparse de toujours Lol Tolhurst entrent en studio, et après quelques heures de jam session, en ressortent avec deux titres : « Let's Go To Bed » et « Just One Kiss ».

S’en suit un 45 tours, puis Robert décide de repartir en tournée avec les Banshees, abandonnant cette pauvre galette à son triste sort. Puis l’album « Japanese Whispers » sortira quelque temps plus tard. Cet album représente vraiment une cassure dans l’univers de « The Cure ». Il est vraiment atypique, et Robert Smith n’a jamais caché qu’il détestait les singles. Mais bizarrement, cet album a plutôt bien marché dans les radios et les discothèques, toujours avides de rythmes pop. Seuls, des titres comme « Just One Kiss » et « Lament » ont des relents de l’ancienne période sombre de « Cure ». Tout le reste de l’album donne dans la pop légère et sans consistance. Album léger, mais mine de rien, cet opus aura servi de tremplin à Robert Smith, qui après avoir tourné quelques temps avec sa vieille amie Siouxsie, remettra « The Cure » sur les rails, et l’homme aux cheveux hirsutes composera et jouera, quelques mois plus tard, l’album « The Top ».

Un album qui aura donc servi de détonateur, pour Smith, mais qui n’aura bien évidemment pas, auprès des fans acharnés, le succès escompté.

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   RICHARD

 
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   (2 chroniques)



- Robert Smith (guitare, chant, basse, clavier)
- Laurence Tolhurst (claviers)
- Steve Goulding (batterie titres 1 et 3)
- Phil Thornalley (contrebasse titres 6 et 8)
- Andy Anderson (batterie titres 6 et 8)


1. Let's Go To Bed
2. The Dream
3. Just One Kiss
4. The Upstairs Room
5. The Walk
6. Speak My Language
7. Lament
8. The Lovecats



             



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