Le 27 Mars 2024 par CLANSMAN57

Accessible au premier contact. L'ambiance y est sans doute pour beaucoup, c'est vraiment maîtrisé, on est littéralement happé.
C'est du Rock Progressif nocturne, vraiment très beau.
Je rappelle que je n'aime pas trop le Live, mais ce n'est pas un problème ici:
- pas de comparaison possible avec le pendant studio.
- pas de chanteur qui s'égosille pour se faire entendre, c'est purement instrumental.
- et donc pas de public qui s'égosille pendant les chansons en mode "Hey! Je connais les paroles par coeur! Je suis votre plus grand fan! Prenez - moi dans le groupe!"

Superbe.

Le 27 Mars 2024 par MR G

Raphael continue sa carrière au fil des années sans vraiment se soucier des modes et il a bien raison, c'est à cela qu' on reconnait les vrais artistes! Il est un vrai artisan de la musique et cela lui sied a merveille! Ce nouvel album fait partie de ses bons voire très bons albums! Ici, il n' y a guère que "La Mariée" auquel j' accroche moins parmi les très bons "L’espoir", "Eté 19", " L’oiseau Invisible" ou encore l' excellent "Baby Sitter"! Rempli de nostalgie , cet album un peu trop court ne peut que faire du bien et rassurer sur le devenir de Raphael qui a certainement de très bonnes choses à offrir encore dans le futur! Une belle mention également a "Sur Les épaules" qui finit l' album de superbe façon! Ce qui serait top, c' est de voir le reste de sa discographie sur le site!

Le 25 Mars 2024 par NONO

@Bluemask : Moi non plus je ne suis pas un "haineux" voyez-vous ! Mais cette muzak, non, c'est pas pour moi, et ça ne le sera jamais. J'aime pas. C'est tout. Ai-je le droit ?
Les gouts artistiques sont-ils encore l'opportunité d'un dernier soubresaut de liberté de conscience ?

Le 25 Mars 2024 par PETER GREENLIGHT

@BLUEMASK: je n'aime pas Sardou et le Cloclo m'a souvent filé des boutons, mais il est sûr qu'ils avaient tous deux un minimum de recherche dans les compositions et / ou dans les paroles, aussi je me permets d'intervenir ! Quant à elle, elle devrait faire du Babymetal français, il y aurait ainsi un intérêt à écouter pour la curiosité.

Le 25 Mars 2024 par RICHARD

'Les torrents de haine' factuellement semblent peu nombreux ceci étant mais ils n'en demeurent pas moins inacceptables, c'est une évidence. Le cas Nakamura est symptomatique de notre époque. Sauf erreur de ma part, aucune désignation officielle n'a été faite mais on en parle comme si ceci était le cas et que ce choix était acté. Le manichéisme à outrance gangrène le débat. Ne pas trouver ce 'choix' fédérateur, est-ce pour autant être maurrassien ? Je ne crois pas naturellement. Il ne devrait en définitive que rester la question de la pertinence de sa musique.

Le 25 Mars 2024 par DURAND DURAND

Du Rock ambient celte, ah bon ça existe ? Ben oui et c'est magnifique. Il y a même parfois de la harpe celtique.

Le 25 Mars 2024 par BLUEMASK

Je suis d’accord avec la chronique. C’est un bon disque des Wampas. D’ailleurs, qu’est-ce qu’un mauvais album des Wampas? Mais il y a un petit truc qui n’en fait pas un grand album :
est-ce que ce sont les titres de remplissage? Non, il y a en a toujours. Le truc vient du ton. Un genre de tristesse sous-jacente, au-delà des habituelles thématiques absurdo-nostalgiques, je trouve. Ok on parle des fesses des belges, mais parce que ce sont leur âme qui les protège.
Mais également une production en ligne claire qui manque de mordant dans les guitares notamment, sans vraie embardée punk, sans la folie inhérente au groupe.
En fait, n’aurait-on pas là plutôt un album solo de Didier Wampas?

Le 25 Mars 2024 par BLUEMASK

Sans que ce soit vraiment ma came, je ne vois pas la raison de ce torrent de haine soudain, si ce n’est l’actualité qui pue du moment. Oui, c’est à peu près nul, mais personne ne chie de cette manière sur les albums de Sardou ou Claude François… Merde in France.

Le 24 Mars 2024 par CLANSMAN57

Heureusement que les deux derniers titres viennent rehausser le niveau, sans leur présence, c'était un album tout juste moyen.
A part "Afterglow.." et "Fingers.." qui sont très bons, le reste oscille entre le juste bon (3, 6 qui est une redite et 7) et le très moyen (2, 4 et 8).
Qui sait, peut-être que le prochain sera davantage axé sur les ambiances dramatiques, avec l'émotion au premier plan?
Nous aurions droit à quelque chose de plus cohérent et qui nous changerait un peu, en espérant que le Bruce soit encore inspiré s'il veut bien suivre cette voie.

Bien en-dessous des trois perles précédentes, même s'il demeure écoutable.

Le 24 Mars 2024 par BLUEMASK

Un album rock avec un feeling jazz incroyable. Mais on ne parle pas de jazz-rock, le truc affreux des adorateurs du Demon, mais d’une musique decomplexée, jammante, hyper rythmique, au groove à la fois mécanique et organique…. S’il faut une certaine predisposition et un certain mood pour apprecier ´Soup’, le disque dans son ensemble est excellent.

Le 24 Mars 2024 par CORNELIUS

"La merde a de l'avenir" disait Céline, et Dieu sait qu'il avait raison...malheureusement.

Le 23 Mars 2024 par FOUDROCK

Excellent album à la pochette curieuse, le morceau-titre est exceptionnel.

Le 23 Mars 2024 par LE VIEUNE

Tangk s'est fait descendre dans New Noise et est Disque Du Mois dans Rock&Folk. Bon. Ultra Mono, je l'ai et je n'ai dû l'écouter qu'une seule fois, contrairement au précédent avec bien plus d'une fois. Le dernier, là, après une oreille errante sur le net, ne donne pas envie. Sinon, en concert, oui il paraît que ça vaut bien le coup de découvrir le groupe.

Le 22 Mars 2024 par BLUEMASK

Typiquement le genre de disque que les 80 minutes au compteur gâchent... Sur 45/50min, Eminem aurait pu faire un disque grandiose, surpassant de la tête et des épaules le MM1.
Mais voilà, pression commerciale obligeant, on délaye la sauce avec des guest douteux sur des morceaux aux refrains R&B chantilly, plombant sérieusement le disque. Dans ce domaine, 'Survival' s'en tire bien, mais 'Legacy', 'Asshole', 'Strong than i was'; 'The monster' restent bien sur l'estomac.
A l'opposé du spectre, il y a de grands titres, où l'on retrouve le talent bluffant du garçon: la seconde moitié énervée de 'Bad Guy', lui aussi un peu trop long, 'Rhyme and reason', un 'Rap god' mégalo mais tout simplement incroyable, 'Love games' piquant et un 'Headlight' colérique et émouvant. Connement, le tendu et hardcore 'Evil Twin' arrive après 75 min de musique et n'est plus appréciée à sa juste valeur.
Franchement dommage

Le 21 Mars 2024 par BLUEMASK

Eh bien pour moi, Idles va mieux quand même. Il y a effectivement un côté irritant à ce que depuis Ultra-Mono, le nouvel album soit le truc le plus génial de la création, pour finalement être descendu à la sortie du suivant. Cela vaut pour le groupe lui même et pour la "presse".
Ici, Idles continue ses "experimentations", grand mot pour les moments calmes et électroniques de la part d'un groupe qui s'est fait connaître pour ses embardées furieusement rock et brutales, qui finalement ont toujours été réussies. On peut bien reprocher à 'Idea 101' de démarrer superbement sans trouver d'issue à la hauteur, mais ça reste un bon titre ainsi que 'A gospel', ou 'Grace'. Mais le salut repose dans la qualité du registre plus classiquement rock/punk, du groupe, un peu bâclé sur 'Crawler' et en premier lieu, 'Gift horse' est tendu et 'Hall & Oates', direct et mémorable. Alors certes, pas de 'Divide &Conquer', de 'Benzocaîne', de 'Colossus', de 'Danny Nedelko', toujours pas et certainement et probablement plus jamais. En cela, je plussoie avec la conclusion de la chronique, Idles, meilleur groupe du monde ou d'une partie du monde, le temps de 2 albums, a brûlé trop vite, a été et ne sera plus, mais ici, nous avons des braises tout de même réconfortantes

Le 21 Mars 2024 par MAGNU

Plus je l'écoute, plus il me plaît, ce Ministry. Du niveau de "Moral Hygiene", c'est-à-dire pas mal du tout sans atteindre les summums des albums des années 90, bien entendu.

Le 20 Mars 2024 par CHRISNAKE

Rampant marque la fin de la trilogie de l'ère Roger GLOVER, le producteur et bassiste de Deep Purple. Comme les 2 précédentes productions, on retrouve un son sec et live et cette fois-ci une basse saturée donnant encore plus d'agressivité comme en témoigne l'ouverture en trombe "Silver Dollar Forger". Le groupe lorgne vers le rock sudiste comme "Jet Lag" au long solo de guitare wah-wah. Au rayon des bonnes surprises, le titre lent et soudainement sortant de sa torpeur : "Loved and Lost" avec au chant un Dan Mac Cafferty vocalement impérial. "Light My Way" et son côté psychédélique quelque part entre Hawkwind et Pink Floyd avec une section rythmique à la Black Sabbath et la reprise des Yardbirds "Shape of Things" à la sauce Nazareth, sans doute la meilleure version (jetez une oreille sur la version live de 1981 sur l'album Snaz live). Pas de hit sur ce disque avec le groovant mais pas renversant "Shangaï...) classé 41ème dans les charts britanniques, malgré la présence de John Lord au piano. "Glad When You're Gone" est assez moyenne avec ses choeurs féminins et la ballade "Sunshine" assez plate. Ce sera le dernier album classé (numéro 13) dans les charts avant 1977 avec "Expect no mercy". Une certaine perte de popularité dans leur contrée due en partie à l'mmersion du mouvement punk mais surtout par le succès soudain aux USA et Canada où le groupe préfèrera se concentrer par de longues tournées de plusieurs mois, tout en gardant sa popularité en Europe du Nord : album classé premier en Autriche, 11ème en Allemagne.

Le 20 Mars 2024 par CHRISNAKE

Nazareth autrefois a été longtemps un groupe de reprises (The Shadettes) qui reprenait le Top 20 britannique. C'est Manny Charlton le guitariste fraichement arrivé qui incite le groupe à composer. Le groupe n'a pas encore d'identité spécifique et lorgne vers les courants en vogue du début des années 70 à savoir le hard-rock à la Black Sabbath ("Witchdoctor woman" et le pataud "Fatman"), le folk US, le boogie avec Dear John (qui fut un hit en France mais que je n'ai jamais entendu à la radio), la reprise personnalisée et future marque de fabrique du groupe avec "Morning Dew" et aussi du rock symphonique avec "Red light lady" et son final épique et surtout le magistral "The king is dead" à 1000 lieues du hard-rock à venir. Au final, pas un album essentiel dans leur carrière mais un groupe avec du potentiel avec un Dan MacCafferty tout en retenue. Belle chronique dont je partage l'avis et la notation.

Le 20 Mars 2024 par CHRISNAKE

Le titre que j'ai omis de mentionner n'est autre que "TELEGRAM" ouvrant l'album.

Le 20 Mars 2024 par SWISSIDOL

Un vrai bon album des énervés de SLAYER avec ce riff pétrifiant qui ouvre les hostilités. Plus loin, d'autres petites pépites apparaissent comme "Behind The Crooked Cross" ou "Dissident Aggressor", bien meilleure que l'originale du PRIEST. Bref, un bon disque qui vaut 3,5/5.