Le 01 Avril 2024 par BAKER

@FRANCOIS Eh oui il y en a autant. Moins que sur Falling Into You ;) ...

...Maintenant rendez-vous sur la chronique de l'album de 2013 pour comprendre où ça a merdé, et pas que chez Céline Dion.

Le 01 Avril 2024 par CLANSMAN57

A la vue des avis très contrastés, je m'attendais à un album moyen.
Au final, j'en suis plutôt satisfait. Je le conçois comme un disque de Pop à diverses sauces. C'est varié, surprenant parfois, toujours très bien fait.
Collins est impérial derrière les fûts sur "Driving The Last Spike", magnifique chanson épique dotée d'un texte poignant.
Et que dire de "Fading Lights"! A la première écoute, je pensais que c'était de la soupe:D Idem pour l'atypique "Dreaming While You Sleep".
Les gros tubes (1, 2 et 4) sont excellents aussi. A part l'un ou l'autre titre qui me passionne moins, c'est tout bon pour moi.

Néanmoins, ceux qui ne jurent que par le Rock Progressif pur jus risquent d'être déçus, c'est clair.

Le 30 Mars 2024 par BLUEMASK

Fin des années 2000 et crise de la cinquantaine chez Nick Cave. Plutôt que de sortir avec la fille du voisin et de s’acheter une porsche 911, il renoue avec sa musique des débuts. Car le projet Grinderman ramène à Birthday Party et à ses deux premiers albums, punk gothique gorgé de blues, mais le blues de Juniior Kimbrough, le delta blues poisseux…
Rien de nouveau en ce sens sur le deuxième opus, c’est du tout bon, peut être pas génial non plus. Par contre, le meilleur titre, reste ´Palace of Montezuma’, ballade digne du Cave quadra.

Le 30 Mars 2024 par RICHARD

Je reste intimement persuadé que les Mancuniens ont toujours été hautement surestimés et les Londoniens extrêmement sous-estimés.

Le 29 Mars 2024 par MB

J'avoue ne pas comprendre la conclusion de la chronique:

"Juste, avant de partir, vous avez de bons castrateurs, en 2018 ?"

Il y a pas mal de choses que je ne saisis pas dans ce texte... peut-être le langage des années 1980?;)

Du coup, par curiosité, j'ai écouté Nakamura. Je m'attendais à bien pire. Au moins il y a du rythme. Ce n'est pas trop mal produit.
Je n'écouterai pas ça tous les jours pour autant.

Le 29 Mars 2024 par BLUEMASK

Un disque d'une noirceur insondable mais aussi paradoxalement lumineux. Il est parfois agréable de se lover dans son spleen. 'Je me sens mieux quand je me sens mal', chantait Eddy Mitchell (qui n'a absolument rien à voir avec ce disque, de près ou de loin ) et il s'agit bien de cela ici.
Disque magnifique en tout qu'entité, qui, effectivement la chronique le souligne, arrive après un 'Skeleton Tree', en reprend les codes et gimmick et peut éventuellement faire penser que Nick Cave tourne en rond. Mais tourner en rond à ce niveau, ce n'est pas bien grave, au pire, on ajoute moutarde, huile et blanc d'oeuf et ca fait une super mayonnaise.

Le 29 Mars 2024 par FOUDROCK

Découvert un petit peu tardivement (10 ans après sa sortie, pas mal, non ?), donc il y à 10 ans, et c'est le seul album que je connaisse du groupe, je n'ai pas eu envie de poursuivre, mais j'ai cependant vraiment aimé ce "Hot Fuss". La première partie de l'album, les 5 premiers titres en fait, est parfaite, littéralement.
Le reste est au pire d'un très bon niveau. Cet album se laisse encore écouter sans souci en 2024. Je ne peux pas en dire autant de beaucoup d'albums sortis à la même époque que ce premier cru des Killers.

Le 29 Mars 2024 par CLANSMAN57

Je veux bien le croire lorsqu'on peut lire qu'il y a un trio d'albums chez Pendragon qui représente ce qu'ils ont fait de mieux.
Je ne connais pas le premier "volet", mais les deux suivants sont effectivement des réussites.
Il est vrai que "Not Of This World" n'est pas une copie du précédent et il n'est pas non plus en totale rupture avec celui-ci.
La guitare et les claviers dégagent de la magie... Le monde de Pendragon est principalement lumineux, coloré et c'est une très bonne chose, ça change un peu des groupes plus pessimistes.

Le chant montre ses limites à quelques reprises cependant, mais rien de bien grave. Il est pleinement adopté au second contact.
L'autre petit "bémol", c'est le découpage des trois pièces plus longues, je n'en vois pas trop l'intérêt.
Je le conçois davantage comme un album comportant cinq chansons.
Bon, rien de rédhibitoire non plus, on s'y fait rapidement.

A noter que selon les éditions, nous avons droit à deux titres bonus:
des versions acoustiques de "Paintbox" et "King Of The Castel", toutes deux superbes.

Le 29 Mars 2024 par FOUDROCK

Un disque tellement sombre, dépressif et malsain que Joy Division, à côté, c'est une B.O. d'un Disney.
Des morceaux comme "Mother/O Mein papa", "Premature burial", "Placebo effect" sont assez radicaux.

Le 29 Mars 2024 par BLUEMASK

Bob Dylan pond un album sorti de nul part en 1975, après plusieurs albums en demi-teinte, voir sans teinte du tout. Peut être est ce en hommage à ma naissance, sachant à quel point j'allais le chérir. 'Blood on the tracks' fait partie de ses meilleurs albums, mais cela a t'il un sens avec la chiée 'de ses meilleurs albums' qu'il a pu sortir depuis 1962.
Le seul défaut que l'on pourrait trouver est dans la production. Disque essentiellement acoustique, il aurait mérité un son plus chaud, plus boisé, avec les instruments peut être un peu plus en avant dans le mix. On chipote. Parce que le contenu excuse tout, avec 10 titres magnifiques, aux mélodies à se tuer, aux arrangements aux petits oignons, aux paroles ciselées portées par la manière si particulière de Dylan de moduler et placer sa voix de chèvre.
Entre les 'Simple twist of fate', les 'If you see her, say hello' à la délicatesse infinie, un 'Idiot wind' mordant, un 'You're a big girl now' à la mélancolie sublimée et la chanson-roman à la basse bondissante de 'Lily, Rosmary ...', ce disque montre à quel point Dylan est très très au dessus de la mêlée. C'est lui l'arbitre, en fait...

Le 29 Mars 2024 par LE MOUNGEPEDOUN

Disque solide, du bon hard Rock, des bons titres et un son heavy à souhait, de temps en temps, ça fait du bien de le repasser.

Le 28 Mars 2024 par LE KINGBEE

Le nom de cette jeune chanteuse texane orne certaines nominations aux Grammy Awards Country, preuve d'une certaine dérive et de la main mise de certaines boites de prod.

Toujours est-il que cet album n'a pas de lien avec la Country, il s'agit de Folk Pop aux confins de l'Americana, nouvelle case parfois fourre-tout mais bien pratique.

Le 28 Mars 2024 par BRADFLOYD

Deux remarques à propos de cet album :
- j'ai du mal à comprendre que l'on mette cette artiste dans la catégorie "country". C'est du folk, du folk rock, mais pas de country. Cela n'a strictement rien à voir. C'est comme si on disait que DIDO, Donna LEWIS voire Sally OLDFIELD étaient country. Ce n'est pas parce que de temps à autre il y a un petit banjo en fond que cela en fait un titre dans le style. Dans ce cas, Serge LAMA a fait aussi de la "country". Ne m'arrêtant pas à cet album, j'ai voulu écouter aussi "Golden Hour" de la dame et... Rien n'y fait, ce n'est pas de la country, hormis peut-être "Butterflies" dans cet album de 2018. Ou alors les canons de cette musique ont bien changé...
- très jolie voix, chansons adictives. Je reconnais un certain talent et un talent certain dans la composition de cette chanteuse que je ne connaissais pas et dont la chronique m'a incité à m'y intéresser. Et bien, je ne regrette pas. J'aime énormément et je ne peux que remercier Archangel d'avoir écrit toutes ces chroniques.
Si vous appréciez les chansons délicates avec des rythmes mid-tempo et bien écrites, foncez : ça vaut le coup. 4,5 aussi pour moi.

Le 28 Mars 2024 par BLUEMASK

Un bon album de punk-metal ou de grunge pas dépressif pour faire simple, vu la date de sortie. Le disque n'est pas le reflet d'un génie fou, mais du savoir-faire honnête d'un groupe soudé qui sait composer des bonnes petites bombes rock suffisamment variées pour ne pas lasser. Entre le tube immédiat 'Pretend we're dead' que les Breeders ont dû pas mal écouter, les morceaux bien heavy comme 'Diet Pill', 'Wargasm', les assauts punk de 'Shitlist' ou les percussions sympas qui illuminent 'One more thing', le disque passe à toute allure, et nous, nous passons un bon moment. That's it.

Le 28 Mars 2024 par CLANSMAN57

Après son "Contagion" très réussi, Arena sort un disque super fadasse: aucun titre ne m'accroche l'oreille et je ne ressens rien du tout.
Il ne suffit pas d'avoir une belle pochette et un Comic dans le livret ayant pour héros les musiciens du groupe.
Le seul point positif, c'est que l'ombre de Marillion s'est désormais complètement envolée.

Bel objet ou plutôt beau cache - misère.
"7 Stories Of Mystery And Imagination"? Fallait oser le clin d'oeil!

Le 28 Mars 2024 par BAKER

@CROQUIGNOL

Dans le mot VARIEté , il y a le mot VARIE.

Et en 1985, la "VARIETE" française, c'était Higelin, Bashung, Sheller, Renaud, Thiéfaine, Indochine, Téléphone, Couture, Gold, Sardou, Cabrel, Hallyday, Mitchell, Goûts De Luxe, Jeanne Mas, Century (si !), Goldman, et j'en passe et probablement des dizaines. Et je ne parle QUE de la France.

De nos jours c'est R. DANEEL OLIVAW matricule SS/1984, qui utilise Antares ou Melodyne PARCE QUE TOUT LE MONDE L'UTILISE, le tout au nom de la lutte contre le fascisme.

Le 27 Mars 2024 par CROQUIGNOL

Je n’ai pas écouté parce que c’est de la variété française. Et la variété française, je trouve ça mauvais depuis… ben, depuis Edith Piaf en fait. Après, c’est vrai que ce débat est un piège à cons. Et d’ailleurs, j'y tombe dedans moi-même en publiant un commentaire sur un truc que je n'aime pas.

Le 27 Mars 2024 par MASTERFAN

Je dois avoir une tendresse particulière pour les moutons noirs, alors pour mon premier avis sur ce site, je commence par celui-ci.

Voilà un album exceptionnel… et exceptionnellement caché. Franchement, qui irait chercher ce joyau en plein milieu de la discographie de Kiss franchement. A cache-cache, certains iraient au tout début de l’album peut-être chercher du côté des Who (« C’est Roger Daltrey qu’est planqué ! J’ai reconnu « I’m a just a boooooy ! » Eh ben non perdu).

Un bon canular serait de ressortir aujourd’hui cet album intemporel sous un faux nom de groupe. Combien de journalistes se feraient avoir ? Beaucoup je pense. Les Inrocks, qui n’ont certainement jamais dû de leur vie écouter un album de Kiss, le mettraient peut-être album du mois…

Qui a filé un coup de main pour cet album ? Quoi, Lou Reed et Bob Ezrin ? Berlin le retour, chez Kiss ? On comprend déjà un peu mieux. Bon, ceux qui défoncent ici Bob Ezrin pour The elder devraient être un peu plus sympas avec lui, c’est quand même lui qui a mis les guitares au bout de Detroit Rock City et qui est donc responsable de l’arrivée d’une moitié des fans de Kiss existant aujourd’hui.

Je vais faire un point façon CD car l’ordre me paraît beaucoup plus cohérent que sur le 33 tours, les puristes me pardonneront. Intro « Fanfare » minimaliste mais sympa (3), les Inrocks diraient : « on sent l’influence Dominique A de la 1ère période ». « Just a boy », j’adore, morceau pop parfait et inoxydable (5). « Odyssey » a un côté un peu pompeux O.K, mais comme Uriah Heep avec « Salisbury », ça passe, vachement, mais vachement bien chez moi (4,5), et pourtant ce genre de truc est casse-gueule (les Stones de « Their Satanic Majesties Request » ne diront pas le contraire). « Only You », encore un morceau qui me transporte (4,5). « Under the rose », excellent aussi (4,5) aussi. « Dark light » est pas mal du tout… Mais Ace, un peu casse-couille ce solo quand même (3). « A World without heroes » est une ballade magnifique et intemporelle (5), rien à foutre de la larme factice sur la vidéo. Arrive « The oath », décidément y a de la recherche mélodique ici (4), c’est pas « I stole your love ». On est déjà presqu’à la fin et voilà que se pointe Mr Blackwell, une ambiance différente… et un morceau tout aussi réussi (4). On s’excite un peu avec « Escape from the Island », bon pourquoi pas (3). Le dernier morceau « I » n’est pas exceptionnel mais tient bien la route quand même (3.5).

Allez j’arrive à 4 pour le bilan et à 4.7 sur le Top 5, ce disque cote 4.35 chez moi (même pas sûr que l’excellent 1er album éponyme ou le non moins excellent « Love Gun » atteigne ce chiffre) mais j’arrondis à 5 étoiles pour apporter ma pierre à la réhabilitation de cet album, qui mériterait pour compensation de son injuste persécution et des autodafés des fans intégristes, un futur statut culte. Tout à fait normal que l’album ait fait un four, les fans de base de Kiss n’allaient pas acheter du prog-hardo symphonique, quand même, faut pas déconner, et les autres potentiellement sensibles à cette musique n’allaient pas acheter du Kiss, quand même, faut pas non plus déconner. Quant à Gene Simmons, il a parlé d’aliénation temporaire OK, mais il ne s’est jamais dit à la fin de cet album : « Qu’est-ce que j’ai fait comme merde ? », il s’est simplement dit :« Qu’est-ce que j’ai fait à mon portefeuille ? ».

Sinon à part ça, il paraîtrait que Thom Yorke et Nigel Godrich vont filer un coup de main à Bigflo et Oli pour leur prochain album, les fans seraient en furie.

Le 27 Mars 2024 par FOUDROCK

Un album que Cantat avait parfaitement le droit de faire, et que je trouve personnellement excellent (le morceau-titre, sorte de rap/slam/trance, est parfois assez vindicatif sur ceux qui refusent à Cantat le droit à ue vie normale, le droit auquel a droit toute personne ayant pénalement payé pour ses fautes), et il va sans dire que non seulement j'ai acheté ce disque à sa sortie, en magasin (le même jour que le "Songs of Experience" de U2, de mémoire) avec un sourire du genre "allez-y, reprochez-moi d'acheter ça, que je vous réponde !", mais je ferai de même avec son prochain album, si prohain album il y à un jour.
"Amor Fati" n'est pas un monument, mais il aurait mérité de la reconnaissance. En ces temps où on ne peut plus rien dire, c'est triste de voir que, peu importe l'importance de la faute commise (et pour BC, certes, elle fut terrible), une fois qu'on l'a commise, on est foutu, terminé, fini. Une société qui envoie se faire "foutre" De Gaulle pour le seul fait du "Je vous ai compris" algérien en feignant d'oublier tout le reste n'est pas une société dans laquelle j'ai envie de vivre, mais manque de pot, j'y vis, donc je fais avec. Mais en attendant, j'écoute Cantat de temps en temps, solo ou avec Noir Désir, surtout Noir Désir.

Le 27 Mars 2024 par BAKER

J'espère ne pas être censuré, je veux juste dire que cette chronique date de DEUX MILLE DIX-HUIT, qu'elle a été écrite par quelqu'un qui a écouté l'album DEUX FOIS en ENTIER, et que, c'est peut-être un détail pour vous (mais pour moi ça...), j'aimerais que les médias qui se sont jetés sur "le racisme latent et le fascisme rampant" nous publient des extraits de saloperies Twitteriennes ou Facebookiennes à base d'insultes facho. Parce que quand c'est le cas, et ça l'a été plusieurs fois ces derniers mois, lesdits médias n'ont pas hésité à les pseudo-publier.

Or tout ce que je lis à propos de cette... ce machin à base d'autotune avarié, c'est qu'elle est juste mauvaise. Le sexe ? La couleur de peau ? Bien d'autres choses dont on ne parle que rarement ? On s'en fout. Sérieux, on s'en fout (à part un détail : son pays d'origine, le Mali. Vous savez, ce pays qui représente à lui seul les Victoires de la Musique du monde entier, monde qui a à ma connaissance un peu plus de 220 pays...). C'est un piège à cons, et Macron l'a placé exactement là où les cons passent tous les jours pour s'abreuver. Or, ça attrape quel genre d'animal, le piège à con ?

On ajoutera que je HAIS Edith Piaf, mais alors avec une force tellurique, et vous comprendrez que malgré ma chronique, écrite dans la douleur car MOI j'ai écouté, je répète, DEUX FOIS EN ENTIER ce machin malodorant, je me désolidarise TOTALEMENT des polémiques concernant cette.. ce ... ce machin. Djadja tu gang pas.