Tous les chemins mênent à Rome, comme on dit. C’est en commençant une carrière dans la banque que me voilà maintenant, Jullian 28 ans, reconverti dans l’industrie musicale à Londres. Après avoir été un lecteur fidèle de Nightfall depuis des années, je rejoins maintenant la fine équipe dans le but de vous faire écouter de la musique classique. Pas une mince affaire me direz-vous! C’est pas grave, je ferai de mon mieux pour vous donner l’envie de plonger dans cet univers fascinant (et parfois effrayant) qu’est l’opéra, la symphonie, le concerto, etc. De Debussy jusqu’à Schubert, en passant par Saint-Saëns, Verdi ou Gluck, j’espère que vous trouverez au fil de mes chroniques de quoi tenter l’experience. Ah, un instant, j’oubliais! Si l’envie vous prend de papoter Heavy Metal 80’s, Rock/Soul/Blues 60’s ou 70’s, Elvis, Springsteen ou encore Bob Dylan, alors prenez une bière, ça va durer! Et ouai, on oublie jamais ses premiers amours.
Au plaisir!

Il fut rapidement clair à ses parents que le petit Ramon était disposé à un futur de musicophile, puisque l’écoute de quelques notes était le meilleur moyen de calmer ses crises de chiard. Ses premières explorations discographiques furent évidemment consacrées à l’incontournable quatuor Henri Dès/Anne Sylvestre/Pierre Chêne/Steve Warring (sans oublier Emilie Jolie 1ere version !), mais c’est à l’âge du primaire que les choses sérieuses débutèrent, quand il découvrit Renaud, avec l’évidence de l’eau mouillée. Dès lors les deux principales routes étaient tracées : la chanson et le rock. Se montrant très vite réfractaire aux grandes modes (Manau s’en souvient), il commença par l’étude des grands classiques familiaux (Tri Yann, Pierre Perret) et s’engagea dans quelques pistes assez vite délaissées, lorsqu’arriva la deuxième lame de Noir Désir, autre pilier fondamental de sa culture musicale. L’âge du lycée fut entre autres l’occasion de s’aventurer sur le chemin du punk, avec au départ Offspring et les Wampas, en anglais et français donc. Sans renier toutefois son côté babos, bien que n’ayant jamais porté de sarouel - cela allait l’amener par la suite sur la piste de la chanson indépendante (les Ogres, Babylon) – ni son côté intello (avec un intérêt pour la NCF). Les choses étant clairement posées, l’âge de la fac fut l’occasion de travailler les bases (Beatles et Stones, Clash et Pistols, Queen et Led Zep, Brassens et Souchon, Têtes Raides et la Tordue) et de s’ouvrir à d’autres champs derrière quelques têtes d’affiche (en premier lieu Pink Floyd, mais aussi Motörhead, Rammstein, le No Smoking ou Tiken Jah). Maintenant dans sa quatrième décennie, il poursuit inlassablement ses explorations. HFT, Lavilliers ou encore Clutch figurent parmi les derniers terrains conquis.
Et à part ça ? Et bien, Ramon vit sa vie en Occitanie, s’intéresse aux questions d’éducation (il lui arrive même de travailler à ça), explore aussi le cinéma et les séries, ainsi que l’alcool et la bouffe. Il aime regarder le rugby, se balader en montagne, se baigner dès que l’eau est à plus de 15° et prendre la route pour voir du pays et des copains. Et il fait des kros et vous souhaite bonne lecture.

Salut salut c’est Jester Tears, j’ai 24 ans,. Je suis ce qu’on appelle dans le milieu une personne portée sur la blagounette, et mes passions sont la lecture, le cinéma ( avec certaines affinités aussi datées que pour la musique, comme les films d’Audiard), l’écriture (j’écris des romans de science fiction) et bien évidemment la musique (son écoute, je ne suis pas musicien, et n’ai donc pas de notions de solfège, à part dorémifasollasido que je sors dans les soirées entre gens du beau monde).
Depuis que j’ai été illuminé par mon écoute du groupe Marillion il y a 6 ou 7 ans (ceux qui connaissent ne seront pas surpris en voyant mon pseudo et mon avatar), j’explore avec avidité les méandres obscurs de la musique qu’on entend pas à la radio (ça veut pas dire que je crache sur tout ce qui peut être commercial, loin de là, et puis y’aurai de quoi mourir desséché, c’est pas sain). Cette exploration s’accompagne d’ailleurs dès que possible de la lecture des chroniques des albums en question. Ce passe-temps me permet souvent de faire le lien vers un autre groupe à découvrir ou de mettre dans ma besace quelques bonnes anecdotes que le commun des mortels (mes parents par exemple) trouveront futiles, mais que je ne peux pas m’empêcher de sortir régulièrement avec l’enthousiasme d’un gosse qui montre la dent de lait qu’il a perdue en croquant dans son pépito.
J’ai évidemment un fort penchant pour le rock progressif, mais je ne me limite pas à ça, écoutant de la pop, de l’AOR/Hard Rock Mélodique, du folk rock, un peu de métal… J’aime même de la variété française et les années 80 (voire, pire, un combo des deux, genre Gold), ce qui pourrait me valoir une visite de l’exorciste pour les puristes.
J’espère que vous aurez plaisir à me lire, parce que j’aurai plaisir à écrire, en tout cas !

Deux excellents jazzmen passeront à l'Aéronef (Lille) au mois de novembre prochain :

- Nils Petter MOLVAER avec Sly & Robbie (le 29/11) : chronique du dernier album :

http://fp.nightfall.fr/index_11454_nils-petter-molvaer-nordub-avec-sly-robbie-.html

- Colin STETSON (un peu plus tôt, le 17/11) : chronique du dernier album :

http://fp.nightfall.fr/index_11573_colin-stetson-hereditary.html

Colin STETSON n'est probablement pas pour tous les publics compte tenu d'une musique assez expérimentale mais le saxophoniste est un de ces artistes qui délivrent des prestations assez impressionnantes en live. C'est vraiment quelque chose à voir.

Avec Nils Petter MOLVAER et les Jamaïcains Sly & Robbie inutile de vous dire que ça va groover fort !

http://aeronef.fr/agenda/page/3/

Streetcleaner

Le concert de l'année va se dérouler chez notre ami Long John Silver à Domaize, rendez-vous tous ce 6 juillet au bar de l'Or@nge Amer pour voir en live un des plus grands groupes de Blues actuels !

Pour cette fête du cinéma 2018 (de dimanche 01 à mercredi 04 juillet), nous renouvelons à Forces parallèles l'opération "Des chroniques pour le 7ème art".
Pendant une semaine, nous vous avons concocté un programme très fourni qui reflète notre passion pour la musique au cinéma. Profitez-en pour découvrir des oeuvres méconnues ou pour redécouvrir les grands classiques qui ont bercé tous les âges de notre vie, du chef d'oeuvre au nanar le plus fendard.
Nous vous donnons avec plaisir rendez-vous dès dimanche.

P.S. Mais que cela ne vous dispense pas d'aller fréquenter les salles obscures. Qui sait, vous y découvrirez peut-être le futur chef d'oeuvre qui marquera votre vie à jamais.

Salut la compagnie ! Je suis Alendem pour vous servir, en duplex de Nantes ville aux petits beurres et aux éléphants en bois de 10m de haut ! Lecteur assidu de Forces Parallèles depuis quelques années, je rejoins désormais l’équipe pour vous parler Rock Alternatif, musique pétée propre aux Américains en jeans troués des années 90 et tout ce dont je pourrai prendre plaisir à vous parler qui me soit agréablement tombé dans les oreilles !
Au plaisir !

Depuis cette funeste période du début des années 80 durant laquelle j’ai contracté le virus Tonton Zézé, en me frottant imprudemment à une radio Optalix insuffisamment aseptisée, je baigne dans la musique.
L’inoculation prolongée, et au combien jouissive, de METALLICA (Ride The lightning), Jeff BUCKLEY (Grace), MASSILIA SOUND SYSTEM (3968CR13), EUROPE (Secret Society), RENAUD (A La Belle De Mai), ZEBDA (Le Bruit Et L’odeur), Yngwie MALMSTEEN (Marching Out), LA SOURIS DEGLINGUEE (Tambour Et Soleil), ou ISRAEL VIBRATION (IV) n’ont pas permis d’améliorer ma santé.

Lors des 10 dernières années j’ai participé successivement à 2 webzines musicaux assez spécialisés, pour lesquels j’ai pondu environ 700 chroniques. Ce, tout en consultant régulièrement NIME et Forces Parallèles.
Alors, quand l’opportunité s’est présentée de rejoindre ces derniers, dont l’éclectisme m’a toujours séduit, c’est peu dire que ma fièvre à grimpée.
Mes symptômes les plus palpables sont une addiction persistante au Reggae, au Rock / Variété française et au Hard Rock au sens très large. Et surtout, à toute musique qui me file la chair de poule.

Au plaisir de vous croiser au détour d’une chronique.
Nestor