Le 13 Avril 2024 par BAKER

Je ne connais pas ce disque (ni rien de Pinhas, Heldon etc mais ça m'a donné très envie de découvrir) ; mais concernant l'Apple II, plus que pour la musique, n'aurait-il pas été utilisé pour faire une partie de la pochette ?

Il me semble que ce fut le cas pour 90125 de qui-on-sait.

Le 13 Avril 2024 par CLANSMAN57

@ NONO:
A propos de OMD, j'avais aussi une compilation (1988) et comme pour Kim Wilde, j'ai aimé une petite poignée de titres seulement: "Electricity", "Enola Gay" et encore l'un ou l'autre dont je me souviens plus du titre:D

Le 13 Avril 2024 par RICHARD

Pour Kim Wilde, ne connaissant que les hits radio, je n'ai pas d'avis, mais pour OMD, NONO et CLANSMAN57, vous poussez le bouchon bien loin quand même et je le dis :)
Les 4 premiers albums de la bande à McCluskey sont certes inégaux, mais ils réussissent à être une sorte de fusion fragile entre Kraftwerk et une pop électronique de qualité. Il faut pour eux justement essayer de passer outre 'Souvenir' ou 'Electricity' (superbes au demeurant) pour appréhender la richesse et la recherche constante qui irriguent leurs premières années. OMD vaut assurément mieux que l'idée d'un groupe de compilations Années 80 pour feu bacs à disques Carrefour.

Le 13 Avril 2024 par NONO

@CLANSMAN57 : J'ose avouer que je suis bien d'accord avec toi ! J'ai toujours trouvé que Kim Wilde, bien que jolie et sympathique, a toujours été extrêmement surestimée en tant qu' artiste. Je pense qu'avec elle tout se joue sur sa présence, son apparence et le fait qu'elle symbolise la pop des années 80. Mais son art, c'est-à-dire ce qu'elle propose concrètement, ne m'a jamais provoqué le moindre frisson : tubes archi-calibrés, mélodies passe-partout, et une voix... assez limitée au mieux, (certains, plus méchants, diraient : une voix de casserole).
Tu parles d'OMD, et c'est drôle car effectivement dans le genre groupe aux compilations parfaites, mais aux albums où l'on doit zapper la moitié des titres, ça se pose là, aussi !

Le 13 Avril 2024 par JOE DALLESANDRO

Sans nul doute l'un des meilleurs albums live. Ce classique ressort ces jours-ci en double vinyl avec le Disquaire Day avec un design différent. L'occasion de (re)découvrir ces superbes chansons magnifiées par un guitariste de luxe en la personne de Robert Smith. Le batteur excelle avec une science du détail et des variations, et la basse a un son plein et chaleureux de toute beauté.

Le 12 Avril 2024 par CLANSMAN57

Je ne connais pas cet album, je me permets de laisser un petit avis sur sa compilation "The Singles Collection 1981 - 1993".
Eh ben, j'ai trouvé sa musique bien datée et pauvre, plus encore d'un disque sensé rassembler ses plus gros hits.
"Kids In America", "Cambodia" et la reprise "You Keep Me Hanging On" sont toutefois réussies, le reste me paraît très surfait, sans réelle prise de risque.
Et sa voix n'est pas des plus excitantes.
Heureusement qu'elle plaît à ces messieurs!

Comme quoi, il suffit parfois de trois vrais tubes et on peut faire illusion sur toute une carrière.
OMD n'est pas mal non plus dans le genre.
Bref, c'est de la soupe pour moi.

Le 12 Avril 2024 par CLANSMAN57

J'ai vu le film il y a fort longtemps, il me semble que j'avais bien aimé.
Pour ce qui est de son illustration sonore, ce sera non pour moi.
On y entend beaucoup de bidouillages électroniques accompagnés par des sons de cloches trop présents qui me lassent.
La voix n'est vraiment pas terrible, c'est une sorte de Kate Bush du pauvre.
Certains mélomanes dressent un parallèle avec Björk.
L'ambiance polaire peut effectivement nous renvoyer à "Vespertine" que je trouve autrement plus immersif.

Pas assez tripant en ce qui me concerne.

Le 12 Avril 2024 par XYZ

Le projet est engageant, un name dropping impressionnant, un résultat soporifique. Je soupçonne les aficionados d'écouter la lecture des intervenants plutôt que leur intervention.

Chacun y va de sa signature, en la caricaturant au maximum pour ne pas passer inaperçu. Musicalement, c'est affligeant. Youtube regorge d'ailleurs de vidéos dans ce genre, Stairway to heaven dans le style de Knopfler, Sultans dans celui de Stevie Ray Vaughan, etc.

Le 12 Avril 2024 par FOUDROCK

Très grand album méconnu (moins connu que les deux précédents, alors qu'il est dans la droite lignée de "Happy Sad") et au titre très bien choisi, tant il respire la mélancolie. Ma période préférée de Buckley (trois albums) démarre ici.

Le 12 Avril 2024 par CLANSMAN57

Le film a défilé un paquet de fois dans le magnétoscope lorsque j'étais ado.
J'espère qu'ils vont le rediffuser bientôt! RTL9 préfère montrer "Conan le destructeur" de temps à autre. Il n'est pas si mauvais qu'on peut parfois le lire, mais tout de même inférieur au premier.
La musique est exceptionnelle, très marquante, je me souviens de pratiquement tout.
Ma mère avait bien aimé la musique également. Je me rappelle très bien son commentaire en patois.
Et si maman le dit, c'est que c'est vrai :D

A voir et à écouter absolument.

Le 11 Avril 2024 par SWISSIDOL

Merci BABAR. Pour le moment, j'en suis à découvrir "Script for a jester's tear" mais je prendrai sans doute la peine de suivre tes conseils.

Le 10 Avril 2024 par CORNELIUS

Le plus harmonieusement biologique de tous les nombreux electro/travaux de Brian Eno.

Le 10 Avril 2024 par BORAHKRETH

Je connais pas l'original mais il faut reconnaître que c'est pas tous les jours qu'on a droit à un casting pareil et autant de beauté guitaristique

Le 10 Avril 2024 par CLANSMAN57

Bon, on va la ranger avec les meilleures Bandes Originales.
Beaucoup moins datée que "L'Apocalypse des animaux" qui ne m'a pas plu du tout.
La magie opère à la première écoute!
Le contemporain et le passé fusionnent parfaitement.

Un voyage et c'est tant mieux vu le thème abordé.

Le 10 Avril 2024 par CRUCHOT

Magnifique. La classe absolue. La Musique avec un grand M.

Un casting de stars impressionnant qui transcende (pulvérise) ce morceau déjà légendaire du grand Mark Knopfler.
A écouter au moins une fois dans sa vie en contemplant, rêveur, les noms des musiciens qui défilent furtivement sur la vidéo, apparaissant et disparaissant au gré de leurs interventions, tels des étoiles filantes transperçant un ciel nocturne.

24h plus tard, j'en tremble encore.

Le 10 Avril 2024 par CHRISNAKE

Une pochette culte réalisée en Irlande du Nord dans la presqu' île de la Chaussée des Géants, à quelques pas de la distillerie de Bushmills. 8 titres inégaux mais enfin débarrassés des blues à la "You shook me" ou "The Lemon song". Le groupe met aussi un peu de côté le Hard-rock, hormis le premier titre et "The Ocean". Les puristes ont dû être déçus mais LED ZEPPELIN n'est pas ACDC, chaque album a sa propre identité. Les 3 grosses pièces sont pour moi le tonitruant "The song Remains the Same", "The Rain Song", joyau mélodique et le plant quasi-rock progressif "No Quarter" ou JP Jones dirige le titre. 3 titres qui passent bien mais d'un niveau inférieur : le jovial "Dancin Days", le folk de "Over the Hills" et "The Ocean". Reste 2 titres qui gâchent la fête comme "Dyer Maker" et la parodie de James Brown "The Crunge" dont la finesse de jeu est comme un éléphant dans une boutique de porcelaine. C'est dommage car le groupe avait du matériel plus rock et intéressant à proposer comme "The Rover" et "The Houses of the Holy" (titre donnant le nom à l'album pourtant). Je note 3,5 ramené à 4 car étant de bon poil et que j'avais noté 3 sur le site cousin.

Le 10 Avril 2024 par FOUDROCK

Le sommet non seulement du groupe (en plus d'être le chant du cygne de son ténébreux et torturé chanteur Layne Staley), mais du grunge, dont il est en effet l'éloge funèbre, le disque ultime, le plus jusquau-boutiste de ce mouvement musical des plus dépressifs et radicaux. Aucun espoir ici, entre la pochette glauque (et je ne parle pas du livret, rien que du visuel de recto) et son chien au regard tellement triste qu'il donne envie de se suicider pour l'accompagner dans l'au-delà, et le contenu musical proprement parler, d'une noirceur si totale qu'il fait nuit pendant toute l'écoute, même si vous l'écoutez à midi en plein soleil.
De "Grind" à "Over Now" la bien nommée, en passant par "Shame in You", "Head Creeps" et Heaven Beside You", rien à retirer.

Le 10 Avril 2024 par RUDY M

Ce qu'il y a de bien avec les Damned, c'est qu'on ne peut absolument pas dire quel est le meilleur album, le moins bon, le plus- le moins... Ils sont tous tellement differents qu'on pourrait croire presqu'à chaque fois, si n'était la voix, qu'il s'agit d'un groupe different.

Néanmoins, ce Black Album... Mon dieu ! Celui-là restera comme l'un des fers de lance de l'époque où 'qui n'avait pas son Black Album ne pouvait comprendre ce qui se passait'.
La plupart l'achetaient en double, le premier étant usé jusqu'a la corde au bout de quelques mois.
Il est vrai que cette "Histoire du monde", d'un des groupes les plus "déconneurs" de l'époque, avant de prendre un sacré virage vers quelque chose de plus 'ambitieux', a marqué une génération qui surfait Non-Stop sur le fameux "Let's Wait for the Blackout", hymne incontournable de toute cette mouvance post-punck dont il ne restait déjà plus que les meilleurs, Le Clash, Siouxsie et quelques autres, dont bien sûr cette bande de joyeux drilles des Damned qui en fait, sous l'apparence de je-m'en-foutistes, étaient de sacrés bosseurs pour nous sortir de tels albums dont il n'est rien ou si peu à jeter.
Ca secoue à tout va, comme un tour ininterrompu et effréné d'un manége qui ne s'arrêterait jamais, comme délicieusement vertigineux.
Cette 'galette noire' demeure à mon sens comme l'un des 10 meilleurs de cette époque et de cette mouvance, époque où pourtant la concurrence était rude.

Le 10 Avril 2024 par RUDY M

Très belle analyse à mon sens de l'histoire de ce super groupe qui aurait pu aller très loin au vu du bijou que fut ce premier jet.
Hélas, il fut le prototype de l'album dont UN titre fait tellement parler de lui que le reste est totalement zappé.

On est effectivement dans un mélange particulièrement succulent 'd'Ultra-Magazine', mâtiné d'un chanteur qui "colle au truc".
Si Fade to Grey est effectivement incontournable, que dire de "Visage", de "The Dancer", de "MalpasoMan", sans parler evidemment du fascinant "The Steps" et, pour les afficionados des face B des Maxi de l'époque, du 'très en avance' "Frequency 7", dispo uniquement sur le single avant d'être remis au goût du jour quelques années plus tard?
La suite hélas ( The Anvil) sera bien plus décevante, mais l'on s'y attendait : cela ne pouvait durer : Visage fut un groupe presque expérimental, réunion de super musiciens venus là pour le fun avant de repartir dans leur sphères alors que le chanteur, aimanté par la nuit, s'il continua l'aventure, avait aussi d'autres centres d'intérêts. Malgré tout, de ce deuxième album on retient le sublime "Night Train", lâché comme un ultime cri de talent dont le 1er album est bourré.

Le 09 Avril 2024 par CLANSMAN57

J'ai tenté l'aventure, mais je n'y suis pas très réceptif. Le son est un peu trop gros je trouve, il me gâche en partie l'écoute. Et le style ne me convient sans doute pas tellement non plus.

Pas intéressé.