Le 27 Décembre 2018 par BRAIN DIESEL

Très decevant, surtout après avoir écouté et être tombé sous le charme du premier album. On ne reconnaît plus le groupe. On dirait qu'il s'est déjà essoufflé. Il n'y a plus le côté détonant du premier album. Cela dit, ce n'est qu'un passage à vide : l'album suivant fera passer le goût.

Le 27 Décembre 2018 par DIESEL BRAIN

Cet album a ce que j'appelle le "syndrome du bon album" c'est-à-dire que ses morceaux ne sont pas forcément super mémorables, mais l'ensemble de l'album est bon, tout se vaut, aucune baisse d'intensité ou d'intérêt, aucune plage à zapper, bref presque l'album idéal.

Le 27 Décembre 2018 par ADXBBR

L'échec de cet album est pour moi incompréhensible. Surtout en 1985. Découvert à l'époque, je me rappelle avoir passé en boucle cet album. Je ne trouve pas de morceaux faibles, peut-être des tubes moins forts que "The heat goes on" ou "Heat of the Moment" (toujours une histoire de chaleur, image subliminale ?). Mais enfin pour un album de Hard FM, comment ne pas succomber à ces refrains imparables, ces nappes de clavier omniprésentes et magnifiques, cette guitare volubile et sautillante, cette rythmique si entraînante et groovy ? Chaque morceau apporte une couleur différente à un album bien plus versatile qu'attendu. Je les aime tous et à part "Love now till Eternity", ils font parties de mon panthéon personnel, pour éviter du name dropping. Surtout l'ambitieux "Rock and roll Dream", tellement progressive avec son intro ressemblant à "Veteran of 1000 Psychic Wars" de BÖC", en moins martiale pour s'accélérer au tiers du morceau avec cette guitare si aérienne et stoppée dans son élan par le clavier qui enchaîne sur le 3eme couplet. Après le refrain, c'est à fond jusqu'à la fin du titre (toutes proportions gardées, ce n'est pas du thrash non plus)

Comme le dit Kid66, aussi bon que méconnu, mais surtout injustement rejeté. Incompréhensible, vous l'avais-je dit ?

Le 27 Décembre 2018 par LORDI2

BOOBA est un artiste insignifiant qui fait semblant d'être une racaille ou un bandit! Bref, il ne faut pas que les jeunes s'identifient à lui car ça a des conséquences sur les mentalités. Sa voix est trafiquée comme JUL. D'ailleurs, cet idiot de JUL le prend aussi comme exemple! Quand on le voit à la T.V., on a envie de le frapper! Je préfère les rappeurs inoffensifs qui n'oeuvrent pas dans la débilité et font preuve de bon sens! Voilà pourquoi nous, gens corrects, nous préférons les types bien ! Niveau artistique, c'est zéro! Je ne vois pas en quoi JUL et BOOBA sont des gens corrects. L'un se fait arrêter par la police pour stupéfiant, l'autre fait de la prison! Donc non merci, je ne souhaite pas prendre exemple sur ces personnages médiocres! Il faudrait songer à chroniquer du véritable rap inoffensif pour la jeunesse! Je sais que le rap français a une belle histoire!

Le 26 Décembre 2018 par CLANSMAN57

Il est beau ce disque, de la première à la dernière note.
J'aime beaucoup "Marie, Pierre et Charlemagne", racontant l'histoire d'une petite fille qui s'en va à l'école au travers d'un décor automnal, rencontrant son petit copain sur le chemin.
La harpe est parfaite pour créer ce climat enfantin et innocent.

"Education sentimentale" est très nature. Le choeur féminin est chouette. Il me semble que c'est celui-ci qu'on appelle "choeur érotique" dans le livret.
La guitare classique ajoute un feeling médiéval de toute beauté, instrument qu'on retrouvera sur "Fontenay-aux roses", superbe également.

Le Folk-Blues du drôlatique "Je ne sais rien faire" m'est irrésistible avec sa clarinette et "Ca sert à quoi" termine l'album de manière inattendue avec son influence gospel, ainsi que son piano.

L'instrumentation est riche, mais pas indigeste, car utilisée à bon escient:
Les cordes, l'orgue et la trompette sur le tube "Mon frère", les superbes choeurs de "Mourir pour une nuit", quasi mystiques, ou ceux de "Comme un arbre" etc.
Les plus minimalistes "La rouille", le magnifique "San Francisco" et "Parachutiste" donnent dans l'acoustique classieux.

C'est un beau recueil de chansons raffinées.

Le 26 Décembre 2018 par SAPERLIPOPETTE!!!

Modest MOUSSORGSKY, c'est l'âme russe la plus torturée qui s'exprime à travers ce chef-d'oeuvre. MAGISTRAL.

Tiens d'ailleurs, ERWIN, à quand une chronique des "Tableaux d'une exposition", autre oeuvre majeure du compositeur?

Le 26 Décembre 2018 par RICHARD

Le meilleur album des Franciliens à ce jour. Pour celles et ceux qui l'ont vécu comme moi, il faut se souvenir de la claque que fut la sortie de cet album en 1995.
" Tout n'est pas si facile " en éclaireur donnait le ton. Imparable. Un must, tout simplement.

Le 24 Décembre 2018 par MARCO STIVELL

Merci pour ton commentaire, je pense effectivement m'être un peu enflammé concernant Wolflight au moment de sa sortie, mais cela fait un bon moment que l'envie de le réécouter m'a passé. The Night Siren je me suis forcé à chaque fois...
Les avis divergent facilement sur la carrière de Steve HACKETT, certains de mes amis ne jurent que par Beyond the Shrouded Horizon, alors qu'ils ne s'étaient jamais sentis interpelés par les albums précédents. À mon avis, c'est avec le même disque (Beyond...) que sa carrière a commencé de décliner, alors que je me régale toujours autant en écoutant Voyage of the Acolyte, Defector, Highly-Strung, Guitar Noir, Darktown, les albums des années 2000... Son rythme de publication est devenu très régulier après 2010, et je pense qu'en plus des projets parallèles (SQUACKETT, DJABE, Steven WILSON...), ça nuit à la qualité de sa production, sachant que son équipe opère toujours de la même façon (Roger King).

Cela dit, sans dire "c'était mieux avant", j'attends le prochain disque (prévu pour fin janvier) de façon très neutre, mais avec fidélité ! ^^

Le 24 Décembre 2018 par MAGNU

Je ne connais pas beaucoup de groupes qui sortent leur meilleur album après leur reformation. En voici un !

Le 23 Décembre 2018 par DIDIER

dommage, si tout était de la même trampe que Hang 'em High ça aurai été un super album, mais non, le reste est plus que moyen.

Le 23 Décembre 2018 par LE BARON

@Ulysse : l'idée d'écouter Frank et Francesco à Noël est plutôt marrante. J'imagine assez bien le côté cheap de l'ensemble, et cela pourrait parfaitement convenir. Mais l'émotion... vraiment ?

Le 23 Décembre 2018 par MAGNU

Je te trouve sévère avec cet album, Marco.

Surtout, je ne comprends pas une telle différence de notation entre Wolflight et The Night Siren qui me semblent si semblables que je les écoute souvent à la suite l'un de l'autre, même si j'admets préférer le 1er nommé.

Ceci n’empêche que je suis d'accord avec toi, concernant la production que je trouve un peu plate et la pochette, risible. Celle du prochain album semble dans la même lignée ;)

Le 23 Décembre 2018 par RICHARD

Je me souviens d'un concert à Caen par les Arts Florissants au début des années 2000 et de l'émotion qui parcourt le corps aux premières mesures. Un classique de l'univers baroque que le côté faussement pompeux ne doit surtout pas rebuter.

Le 23 Décembre 2018 par GILLES

bonjour ,
cet album , que je n'ai pas , ( me suis contenté d'une compil de l'artiste ) représente sans doute l'exemple parfait de l'album populaire ; aie , le mot horrible est laché ; et pourtant vous lui trouvé quelques qualités ; alors pour rester politiquement correct , vous lui rajoutez quelques étiquettes : franchouillard , reac , racoleur , poivrots ( pas mal celle-la ) . C'est en tout cas ainsi que j'ai ressenti votre chronique ;
le populaire n'est pas le populisme , alors arretons d'avoir honte de notre histoire ( populaire ) et écoutons ce qui ce dit dans les cafés du commerce , il en sort parfois une belle part d'humanité , d'altruisme et comme le dit un certain philosophe un p----n de bon sens .
cordialement
gilles

Le 21 Décembre 2018 par ULYSSE GRéMILLON

Tout va bien avec ton analyse de cet album de Zappa (des Zappa ?) si ce n'est que malgré le manque d'intérêt des sonorités du Synclavier, que je reconnais, et bien que je serais incapable d'en donner des explications, bizarrement, j'éprouve une émotion profonde en l'écoutant.

Suivant les recommandations d'un Zappaphile rencontré en ligne il y a de nombreuses années, je l'ai écouté pendant la période de Noël. Et maintenant il serait inconcevable de passer un seul Noël sans l'écouter.

Alors, une blague sans doute, mais une blague sublime...

Le 21 Décembre 2018 par NONO

@Richard : tout à fait. Et je pense qu'il y a un décalage énorme entre l'image du groupe (selon ce que la plupart des gens pensent s'ils ne connaissent pas la musique du groupe), et d'un autre côté leur véritable génie musical, de plus Boy George est un des meilleurs chanteurs de sa génération, il faut bien le reconnaître !
Culture Club a surtout forgé un son typique, avec des arrangements très personnalisés au groupe.

Le 21 Décembre 2018 par DEJAVU

"Tubular Bells", "The Dark Side of the Moon", "Tales From Topographic Oceans", "Band On the Run", "Goodbye Yellow Brick Road", "Selling England by the Pound", "Insolitudes", "La maladie d'amour", l'année 1973 fut un bon cru... A part "Zombi Dupont" et "Interdit aux bébés", j'apprécie plutôt bien ce disque.

Le 21 Décembre 2018 par JEF DE LA LUNE

METALPROG84, "Alabama Song" n'est pas un titre des DOORS à la base mais une compo de Kurt Weill... ;)

Le 21 Décembre 2018 par LE BARON

@METALPROG84 : il me semble que "Moon of Alabama" provient de "Mahagony", l'opéra de Weil et Brecht. Les Doors l'on chanté, mais pas composé.

Le 21 Décembre 2018 par RICHARD

"Do you really want to hurt me" l'un des tubes ultimes des années 80 ?
Assurément et même pour moi l'une des perles de la musique pop anglaise toute époque confondue.
C'est certain avec une barre placée si haut, pas facile d'être à la hauteur durant tout l'album.
Les plus grincheux pourront toujours "rire" de Boy George. Pourtant son impact pour décloisonner " les genres" (je suis désolé, je ne trouve pas mieux comme terme) est énorme.
Puis lorsque l'on sait qu'Antony Hegarty d'Antony and the Johnsons a voulu chanter en voyant entre autres Boy George, je trouve que l'hommage est plus que beau et touchant.