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PARADISE LOST
MEDUSA


Le 29 Janvier 2018 par CLANSMAN57


"Blood And Chaos", premier single de l'album.
C'est marrant, Dark Beagle a fait la même erreur sur NIME.
Le premier single est "The Longest Winter".

Sinon, j'adore l'album, plus minimaliste que le précédent.
Mais j'ai déjà écrit un pavé à son sujet de l'autre côté, je vais simplement le noter une nouvelle fois.



Par Forces Parallèles

C'est corrigé, merci pour ta vigilance.
Lui me pique mes métaphores, en retour je répand ses infos erronées :)

Chipstouille.





PARADISE LOST
MEDUSA


Le 29 Janvier 2018 par LORDI2


Je me sens moins seul. J'ai trouvé cela insuportable.





John MELLENCAMP
THE KID INSIDE


Le 27 Janvier 2018 par POPOL PAS VUH

Jeu concours: combien de fois le terme bouseux aura-t-il été employé dans les chroniques sur John Cougar ? Vu de la ville lumière, il est clair que rien ne puisse se comparer au prestige des intellectuels et journalistes parisiens. Vu de ...plus loin... la vision des choses est étrangement bien différente... Etonnant, non ? Vivement vos prochaines chroniques sur Robert Zimmerman, bouseux du Minnesota ou Van morrison, bouseux de Belfast. Savez-vous qu'il y a moins de m.. dans les rues du moindre patelin US que dans celles de la ville lumière ? Cordialement (c'est ce qu'on se dit entre non bouseux. Les bouseux sont plus roots...).


Par Forces Parallèles

Ouais tu as sans doute raison sur l'intellectualisme parisien et la ville lumière tsoin tsoin ! Mais Man tous les folkeux sont des bouseux, c'est bien évident. Tu n'as pas vu la bio de Woody Guthrie ça se voit ! D'ailleurs si tu n'as jamais mis les pieds à Duluth, à Seymour ou à Bloomington, je recommande ! J'adore les patelins US du Midwest ! Ecumer les routes entre Tulsa et Des moines est l'une de mes plus grandes passions - et pas uniquement parce que Manilla Road est à Wichita Kansas. Les bouses de vaches, le crottin de cheval, les cul terreux américains, c'est pour moi, pour sur ! J'assume donc, Mellencamp est un vrai bouseux, et on l'aime comme ça, avec son caractère de merde !

Bien à toi
Erwin





TELEPHONE
DURE LIMITE


Le 27 Janvier 2018 par ARTHOFZAFT


L'album de la prise du pouvoir par Aubert. On est en 1982.
Au sortir des 70s, Téléphone avait su faire illusion. Un rock bien balèze, un premier album qui fout un coup de tronche, un deuxième qui crache fort, un troisième qui déjà sentait le rance et voilà que vraiment le vent tourne . L'utopie des débuts marque le pas, y'a des histoires de droits, de sous, et le monde tourne ronds dans tous les sens. Téléphone a montré qu'il était un groupe de scène monstrueux (voir "Téléphone Public" et mourir!!!) mais que les quatre deviennent trois puis deux ça finit par s'entendre. L'âge adulte ne leur va pas si bien en fait. Téléphone comme voisins de garage qui sortent le matin avec les yeux rouges c'était putain de bon dans la France de Giscard. Téléphone qui sort du studio la mâchoire crispée pour partir aux quatre coins de la ville en CX ça fout la trouille pour la suite. Dure Limite est un mauvais album, sans envergure. Comme si ceux qui voulaient voir le monde l'avaient vu sans y trouver leur place. Et arrivaient en retard pour la suite. On sent la fin, ça fait chier, c'est trop tôt. Et si c'est trop tôt, c'est parce que ceux qu'on aurait aimé avoir comme potes, frangins, copains, tout ça, en fait c'étaient que des nazes avec des égos et pas des masses de considération pour tout ce qui gravitait un peu loin de leurs nombrils. Des poseurs. Alors d'emblée, leur mur d'amour il est inflammable. Ils gueulent que "ça c'est vraiment toi" et c'est la première fois que ça veut rien dire. Pas si con le gros qui écoute l'album, il se dit ça c'est vraiment plus moi... c'est vraiment de la merde. Ok. Avec Bob Ezrin aux manettes... c'est lui qui a produit The Wall je crois, et I was made for Lovin' you de Kiss. Oui il a le son, il fait la bonne soupe le Bob, mais le texte tout ça rien à battre. T'as raison Bob, prends nous pour des cons, ça c'est vraiment toi et ça se vend super bien, t'as rempli le contrat, et les quatre ex-rockers vendeurs de lessive ils sourient bien à la télé. Bingo! Jour contre Jour est une bonne chanson de variétoche pourrie comme il faut (Et même si tu peux t'envoler ailleurs, En avion de fer et de sueur (?), Il n'y a pas de machine, Il n'y a pas de formule au bonheur... yeah man! Deep Deep Deep Jean-Louis!!!) Après c'est l'ex-Robin des Bois qui sue le texte écrit vite fait au comptoir. Musicalement pas mal, mais quand même on a vu mieux comme rockers... Oui c'est un brin contre pouvoir (Bouh le méchant Mitterand!!!) mais même travailler pour le roi c'est plus l'idée de Téléphone qui travaille pour sa Sacem maintenant. Il a beau cracher sa race le Jean-Louis, ça ne renverse plus rien du tout. Vient le Chat... heureusement, celle-là elle donne envie de les regretter les Téléphone. C'est la seule bonne chanson de ce disque de trop. Parce que je préfère éluder la suite (Oh Cendrillon, quelle blague!). Pathétique tentative de jouer serré! Heureusement, en même temps, dans les squats de Paris et d'ailleurs, La Souris Déglinguée, OTH, Béruriers Noirs, Oberkampf, Parabellum et tous les autres vivent et racontent ce qui se passe dans la rue, loin loin loin des studios de Ezrin. Merci à eux. Qui ne courent pas encore après leur âme. Ploum Ploum.





DEF LEPPARD
HIGH'N''DRY


Le 26 Janvier 2018 par CéDRIC


une véritable bombe du hard rock sans aucun doute le meilleur album du groupe avec pyromania





PORCUPINE TREE
UP THE DOWNSTAIR


Le 26 Janvier 2018 par LEO


Je reviens sur Up The Downstair que je considère comme l'un des albums les plus réussi de la carrière de PORCUPINE TREE, qui n'est toujours pas un groupe au moment de l'enregistrement de ce disque (de Février 1992 à Janvier 1993), malgré la 1ère apparition du bassiste Colin Edwin sur "Always Never" et du claviériste Richard Barbieri (ex-Japan) sur le morceau qui donne son nom à l'album (on peut également y entendre la voix de sa femme Suzanne J. Barbieri).
La musique reste du space rock progressif psychédélique mais cette fois-ci, teinté d'un soupçon de trance comme sur le morceau-titre "Up The Downstair" (et sur la suite "Voyage 34" enregistrée durant les sessions de l'album mais écartée et paru en 92 et 93 sous forme de 2 EP).
La réalisation est également beaucoup plus méticuleuse par rapport au 1er album, Steven Wilson ayant fignolé ses parties de guitares et de chant (plus de vocaux ridicules passés au vari-speed) ainsi que porté un plus grand soin sur les programmations des parties rythmiques (toujours tenues par une boite.... jusqu'au Remaster de 2005 qui verra Gavin Harrison enregistrer des parties de batterie à la place, tout comme Steven re-jouera quelques parties de guitare). Les 3 courtes pistes de transitions entre quelques titres sont également à présent bien plus convaincantes que sur le 1er opus !
Tout comme "And The Swallows Dance Above The Sun" et "This Long Silence" (sur On The Sunday Of Life), l'enlevé "Synesthesia" me fait songer à nouveau à un genre de new-wave psychédélique.
En revanche sur les sublimes "Always Never", "Small Fish" et "Fadeaway", c'est l'esprit du Pink Floyd early '70s qui est évoqué (autant pour la voix que pour les parties de guitare et de claviers).
L'instrumental "Burning Sky" se rapproche plus de "Up The Downstair" ou "Voyage 34" avec peut-être l'aspect trance en moins.
L'autre instru "Not Beautiful Anymore" est quand à lui plus proche d'un rock psychédélique à la Hawkwind si l'on veut... c'est également la compo que j'apprécie le moins sur l'album mais comme elle ne dure que 3mn26, elle n'entâche aucunement le plaisir d'écoute sur la longueur.
Il faut noter que Up The downstair aurait dû être un double album à l'origine, Steven ayant assez de matière pour remplir 4 faces d'un vinyl.
Ainsi, "Voyage 34" devait occuper toute une face du second 33t, et il devait y avoir 4 autres titres sur l'autre face: les instrumentaux "Cloud Zero" et "Navigator" plus 2 autres compos chantées "The Jokes' On You" et "Phantoms".
Les 3 premiers morceaux finiront sur un EP 5 titres en 94 intitulé Staircase Infinities (incluant "Rainy Taxi" et une nouvelle version de "Yellow Hedgerow Dreamscape", enregistrés aussi en 93 mais juste après la finalisation de l'album Up The Downstair), quand à "Phantoms", il restera inédit jusqu'en 2002 où il trouvera sa place parmi les inédits du coffret rétrospective Stars Die - The Delerium Years '91-97.
Le Remaster 2005 de Up The Downstair inclut les 5 titres du EP Staircase Infinities sur un second CD et "Phantoms" figurera en bonus sur la version vinyl (mais pas sur le CD curieusement alors qu'il y avait largement la place pour... !).





PORCUPINE TREE
ON THE SUNDAY OF LIFE


Le 25 Janvier 2018 par LEO


On The Sunday Of Life... est un 1er album un peu particulier en ce sens qu'il s'agit d'une compilation de divers morceaux enregistrés entre 1988 et 1991 et parus à l'origine sur 2 cassettes, respectivement en 1989 et 1991 (sous le nom Tarquin's Seaweed Farm et The Nostalgia Factory).
On ne retrouve pas ici la totalité de ces enregistrements, les morceaux laissés pour compte sortiront en 1994 sur la compilation Yellow Hedgerow Dreamscape.
À noter que certains titres de On The Sunday Of Life... sont légèrement remaniés par rapport aux versions cassettes.
PORCUPINE TREE n'est qu'un groupe imaginaire à cette époque puisque c'est Steven Wilson qui joue de tous les instruments.
La musique elle, est un joyeux bazar space et psychédélique mais pas de la façon dont on le pratiquait dans les 60's, car la boite à rythme ancre définitivement le son dans les années 80.
C'est donc une véritable curiosité que ces compos à mi-chemin entre de la pop psychédélique, du space rock, de l'ambiant, du prog..... et même de la new wave, car "And The Swallows Dance Above The Sun" et "This Long Silence" sonnent presque comme si on avait mélangé de la cold wave ou du post-punk à du rock psychédélique (ce qu'a fait en réalité le groupe Tones On Tail entre 1982 et 1984 !).
Il y a vraiment à boire et à manger sur ce 1er album de PORCUPINE TREE.
Par exemple j'ai bien du mal à digérer la voix accélérée de Steven Wilson sur "Linton Samuel Dawson". le procédé fonctionne mieux sur "The Nostalgia Factory" car pas porté à son paroxysme.
Les nombreux petits interludes bruités sont également inutiles.
Les morceaux que je retiens en priorité sont donc: "Jupiter Island", "The Nostalgia Factory", l'excellent "Radioactive Toy" (qui prendra réellement toute son ampleur sur le live Coma Divine), la jolie ballade "Nine Cats", les entraînants "And The Swallows Dance Above The Sun" et "This Long Silence" ainsi que le très space "It Will Rain For A Million Years" qui lorgne déjà du côté de l'album suivant "Up The Downstair" et du EP "Staircase Infinities". Pour ce qui est du Pinkfloydien "Footprints" je suis mitigé, sympa mais sans plus.
En raccourcissant l'album à 7, 8 titres je trouve que celui-ci fonctionne mieux ainsi.





PORNO FOR PYROS
PORNO FOR PYROS


Le 25 Janvier 2018 par LORDI2


Un album sympathique! Il faudra attendre le deuxième album pour être vraiment conquis de joie! Les compositions sont tou juste correct sans être transcendante ! 2/5. À croire que Perry Farrell a déjà tou donné dans JANE'S ADDICTION! Perry ne ne peut pas vivre sans sont guitariste Navarro. Et oui! Dure réalité Perry ! Tu souhaitais la jouer solo tempis pour toi!





SATELLITE PARTY
ULTRA PAYLOADED


Le 24 Janvier 2018 par LORDI2


Vous savez j'ai l'impression que Perry Farrell à fait sont choix de direction musical . Comme une sorte de reconversions musicale . Les Débuts de JANE'S ADDICTION était rebelle sans concession des albums avec une touche expérimentale mais toujours dans l'honnêteté irréprochable avec Nothing's Shocking et Ritual De Lo Habitual. Strays en revanche prenait une autre direction il était plus simple moins compliqué plus facile à écouté mais pas meilleur dans le bon sens du terme . Je remarque aussi que le JANE'S ADDICTION avec The Great Escape Artist un album similaire aux compositions des groupes Satellites de Perry Farrell . Perry Farrell a garder le nom de sont groupe JANE'S ADDICTION mais avec des chansons pop comme dans Satellite . Une manière de piégé les fans comme des moutons . Alors que le projet PORNO FOR PYROS était Original dans le fon! Ici Perry Farrell tombe dans la soupe électro pop industrielle .





DISNEY
TARAM ET LE CHAUDRON MAGIQUE


Le 24 Janvier 2018 par BAKER


C'est vrai qu'en tant que Disney maudit, pour avoir enfin eu le courage de le regarder récemment, Taram est un assez gros ratage, ne cessant de mélanger l'excellence et les plantages, et notamment incapable de trouver un ton global qui satisfasse autant les têtes blondes que les adultes adeptes du second degré (un équilibre qu'ils arriveront à atteindre l'année suivante avec le très sympathique Basil Détective Privé ("aie ! mon pied ! déjà qu'j'en ai qu'un !"), pour ensuite entamer la troisième partie de carrière délirante que tout le monde connaît.

Non, Taram n'avait pas cet équilibre, et si les enfants rigolaient devant Gurgi et le petit cochon voyant, ils étaient terrifiés par les apparitions spectrales et nombre de familles à l'époque ont quitté les cinémas en pleine séance, les gamins faisant des cauchemars pendant des semaines. Elmer Bernstein n'y était pas étranger. Lui qui adore le lyrisme ouaté, éthéré, des fabuleuses Ondes Martenot qu'il utilisa à foison pendant cette décennie (SOS Fantomes, L'Affaire Chelsea Deardon et le très méconnu mais bouleversant Da), donne ici quelques pages de poésie bucolique, mais également sort la très (TRES TRES) grosse artillerie lors des scènes d'épouvante, à tel point que votre serviteur s'est demandé pendant tout le film si ce n'était pas Jerry Goldsmith aux commandes. Je recommande donc cette BO si vous aimez les grand-huits, passer d'un doux chant de sirène à un tapage nocturne vampirique, et recommande évidemment la réédition de 2002 signée chez Intrada, ce bien que mon évaluation se fasse à l'aveugle, n'ayant pu écouter en entier ni la 2002, ni l'introuvable pressage d'origine chez Varèse Sarabande.

Ah, et Marco a dans tous les cas raison sur un point : que vous aimiez la musique ou pas, vous avez intérêt à la dissocier totalement du film et de ses défauts pour pouvoir apprécier la partition.





Joe SATRIANI
SURFING WITH THE ALIEN


Le 23 Janvier 2018 par BENIS

The extremist est listé sous JOE SATRIANI au lieu de Joe SATRIANI





ONMUTU MECHANICKS
NOCTURNE


Le 23 Janvier 2018 par JOVIAL


Excellent album, idéal pour se détendre l'esprit ! Nocturne mais jamais angoissant, du grand art.





Joe SATRIANI
SURFING WITH THE ALIEN


Le 23 Janvier 2018 par HEART OF STEELE


Bizarre ça, l'album "the Extremist" n'apparait pas dans la liste...Sinon ce disque a été pour moi comme pour beaucoup d'autres personnes un electro choc. C'est grâce à lui, et à un ou deux autres groupes, que j'écoute du Metal du Jazz, de la Fusion et toute musique qui conjugue virtuosité et Mélodie. Alors même s'il a un peu mal vieilli (qui a dit une batterie pourrave?), cet album restera à jamais culte pour moi.





The CULT
HIDDEN CITY


Le 23 Janvier 2018 par HEART OF STEELE


De loin le meilleur de la trilogie entamée avec Born Into This. Un sommet du Rock avec un Ian Astbury plus vibrant que jamais.





KILLING JOKE
KILLING JOKE


Le 23 Janvier 2018 par LEO


Excellent 1er album de KILLING JOKE !
Contrairement à STREETCLEANER, je ne peux pas dire que la musique du groupe soit vraiment Punk même si ses origines viennent de là, par contre Post-punk elle l'est incontestablement !
L'univers sonore est presque comme un croisement de Gang of Four, Devo, et XTC période Drums & Wires ! ...mais avec ce petit quelque chose en plus que les autres n'ont pas.
Effectivement, la particularité de la formation c'est:
1. Des parties de batterie lourdes et tribales.
2. Une basse bien en avant mais pas forcément agressive à la J.J. Burnel, non le jeu de Martin Glover (alias Youth) est souple, presque élastique !
3. Une guitare tronçonneuse, sale et acérée.
4. Des claviers éparses au climat glacial avec une sonorité industrielle par moments.
5. Un chant plus déclamé que réellement chanté dans lequel on ressent de la colère mais ce serait une colère sourde et froide comme la musique du groupe en fait.
Oui, KILLING JOKE est bien la bande son de l'apocalypse.
Même sur l'instrumental "Bloodsport" avec son côté dansant, la sensation reste menaçante, c'est presque du disco-metal-robotique... du disco-mutant en somme !
Pour son 1er album, KILLING JOKE a fait très fort. non seulement ils ont amené un son inédit (copié maintes fois par la suite) mais en plus toutes leurs compos font mouche (y compris l'excellent single "Change", inclus en bonus sur le 2005 Remaster).





MAZE
LIVE IN LOS ANGELES (DVD)


Le 22 Janvier 2018 par BAKER

Ah j'ignorais, merci beaucoup pour cette précision ! A l'époque de la chronique, je n'étais pas arrivé à trouver une version "complète", mais uniquement une version simple + inédit studio, et ce qui m'inquiète, c'est que quelques bonnes années plus tard, je n'arrive PLUS à trouver cette version simple !!!

Donc ça confirme mon sentiment sur ce DVD : il est bien, mais son pendant vinyllique est plus indispensable :)





MAZE
LIVE IN LOS ANGELES (DVD)


Le 22 Janvier 2018 par BRUNO


Existe aussi en double CD et 18 titres.





MOTÖRHEAD
NO SLEEP 'TIL HAMMERSMITH


Le 22 Janvier 2018 par SAPERLIPOPETTE!!!


Fallait étre sacrément armé et blindé de la téte aux pieds pour assister à un concert de MOTORHAED,parce que ces gars là vous foudroyaient de décibels non stop pendant 1h30 et ceux qui n'étaient pas assez costauds restaient sur le carreaux et martyrisés à vie.

Une furie totale qui retrace parfaitement ce qu'était MOTORHEAD et fera de ce live un album mythique,juste derriére "If you wan't blood...you've got it" de AC/DC.






Joe SATRIANI
THE EXTREMIST


Le 22 Janvier 2018 par BALDRICK


SATCH a corrigé les défauts du précédent en cessant de chanter et en sortant un album bien plus court (sans perdre en variété pour autant). L'ensemble s'écoute très agréablement, mais l'effet de surprise ne joue plus. Et malheureusement, bien que les titres soient plus riches qu'il n'y paraît, l'ensemble m'a toujours donné une impression de trop grande facilité dans la composition (cf "Summer Song", LE titre idéal pour accompagner une rétrospective du Paris-Dakar).

Attention, le niveau du disque est clairement au-dessus de ce que proposaient la plupart des concurrents de SATRIANI (en particulier les poulains de Mike Varney). Mais on sent son auteur tiraillé entre l'obligation de sortir un disque sans grande prise de risque et la volonté d'entrer de plein pied dans les 90's. Le succès sera néanmoins au rendez-vous : The Extremist a quand même réussi à devenir disque d'or en France (dixit Hard Rock Mag) !





KING GIZZARD & THE LIZARD WIZARD
FLYING MICROTONAL BANANA


Le 22 Janvier 2018 par BAAZBAAZ


J'ai une relation en dents de scie avec KING GIZZARD. Je déteste sa lourdeur psyché mais j'ai adoré son incursion folk déglinguée de "Paper Maché...".

Ce "Flying Microtonal Banana" est assez agréable car il reste sur un format mélodique. Mais ce que c'est long et répétitif ! Dommage que ce groupe ne se décide pas à faire de vraies chansons, à structurer, à couper... Il pourrait être tellement plus efficace.

Je ne peux m'empêcher de penser que si ces gens-là arrêtaient un peu le délire et prenaient le temps de construire un vrai disque au lieu de s'éparpiller, ils sortiraient des choses absolument essentielles. Je ne pense pas que ce soit le cas pour le moment.







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