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MIDNIGHT OIL
EARTH AND SUN AND MOON


Le 21 Juin 2016 par JOHN MACCARTNEY


Si "Earth & Sun & Moon" n'est pas considéré comme le meilleur album du groupe, la pochette est peut-être la plus réussie de toute sa discographie.
A y regarder de plus près, il n'y a pas autant de variétés (je ne parle pas du style musical) sur "ESM" que sur "10 to 1" ou "Red Sails". Mais le son est plus organique, plus naturel. Le groupe paraissait vouloir se poser un peu, sans pour autant perdre de son énergie. "ESM" a une légère teinte hippie rien que par ses synthés, melotrons et claviers d'un autre temps. Quelques effets wah-wah et flanger, renforcent cette impression. Les textes eux-mêmes lorgnent aussi parfois dans ce sens.

Donc on aura deviné que le gros du travail a été effectué sur les arrangements. Ce sont surtout les choeurs qui impressionnent. Ils sont partout, sur chaque refrains ou non. Ils apportent une fraîcheur bienvenue en opposition aux tonalités arides de la voix de Garrett, et une puissance incroyable sur tous les morceaux. On pourrait croire que c'est surproduit. Mais on retrouve bien ces mêmes choeurs, principalement ceux de Hillman et Hirst, sur les versions live.

Revenons-en aux textes. Les principaux auteurs délaissent légèrement leurs préoccupations habituelles pour décrire tout ce qui nous rassemble d'une manière très conceptuelle. D'où le titre de l'album. Les textes sont souvent à double sens. Comme "My Country", qui parle de la stupidité de se cacher derrière le patriotisme, derrière un drapeau, de faire le jeu des politiques d'extrême-droite. La plupart des titres baignent dans une forme de lyrisme pas déplaisant. "Outbreak of Love" est l'un des rares titres du groupe parlant d'une relation amoureuse. Ca n'a rien de romantique pour autant! Dans un autre registre, "In The Valley" est l'une de ces rares chansons dans lesquelles un membre du groupe, ici Garrett, parle d'une partie de sa vie privée. En version unplugged, le groupe a arrangé ce morceau avec un piano, l'amputant au passage du bridge et du 3ème refrain. Piano aussi pour "Tell Me the Truth", pamphlet destiné aux médias. Ces morceaux perdent en patate ce qu'ils gagnent en mélodie. A double tranchant.

Si les compos sont irréprochables, on pourra reprocher à "ESM" d'être trop compact, et la recette "couplets basse - refrains guitares/choeurs" un peu répétitive. Ceci explique peut-être en partie le succès moyen de cet album. L'explosion de nombreux courants musicaux (grunge, metal, dance, electro, fusion...) à l'époque en est une autre.

4,25/5

A noter que, cette même année 1993, les Oils ont collaboré avec Daniel Lanois, The Tragically Hip, Crash Vegas et Hothouse Flowers pour produire le single : "Land".





Iggy POP
POST POP DEPRESSION


Le 20 Juin 2016 par LA GRIOTTE


Un disque qui colle à la peau : il y a avant et après Post Pop dépression, alors en avoir toujours un exemplaire sous la main vaut toutes les pharmacies !





Mike OLDFIELD
INCANTATIONS


Le 20 Juin 2016 par VIV


Ce n'est pas mon album favori du Mike, mais notons que rares sont les albums aussi longs et aussi bons, sans passages à vide. Il faut un peu de temps devant soi pour bien l'apprécier. Une invitation à la détente, au voyage et au rêve. Parfait pour accompagner une lecture avant de se coucher !





LED ZEPPELIN
IV


Le 19 Juin 2016 par KID66


Led Zep IV est sans aucun doute le disque le plus adulé du ZEP', on le décrit souvent comme l'Everest du groupe, et sa renommée est sans limite. Ce statut ne m'étonne pas vraiment, il coule même de source quand on sait les morceaux qui s'y trouvent et le niveau de maîtrise et de classe qu'a atteint le groupe dessus. Je ne serai donc pas celui qui attaquera l'étiquette "disque culte du ZEP", par contre je m'opposerai aux "meilleur album du groupe" ou "chef d'oeuvre".

La face A est légendaire. "Black Dog" est un des meilleurs morceaux du quatuor, d'une classe inouïe, et je me suis tout à fait retrouvé dans la description du rituel de Mr. Âmeforgée. "Rock'N'Roll" est terriblement jouissive. Quant à "The Battle Of Evermore", elle est un peu plus difficile à avaler mais au final superbe. Enfin, "Stairway To Heaven" est sûrement le meilleur morceau du groupe : dès que je l'écoute, je stoppe toute activité et deviens tour à tour Page, Plant et Bonham pour leurs différentes séquences d'anthologie. Frissons garantis !

La face B n'est cependant pas à la hauteur. "Misty Mountain Hop" et "Four Sticks" sont vraiment poussives et laborieuses. Je trouve que ce sont les compositions les plus faibles du groupe depuis leurs débuts. "Going To California" est une bien belle chanson, mais tout de même en dessous de ce qu'on pouvait trouver sur le III. Heureusement, la magistrale "When The Levee Breaks" conclut ce disque sur un note pleine de puissance et d'allure.

L'écart type trop important de ce IV le déséquilibre donc considérablement, voilà pourquoi il n'est à mon sens pas le meilleur de la quadrilogie. Passer du final dantesque de "Stairway" au couplet assommant de "Misty" ? Sans façon merci.
Reste bien sûr que les points culminants de ce disque sont hauts, si hauts...





KISS
CREATURES OF THE NIGHT


Le 17 Juin 2016 par LEO


Creatures Of The Night fait suite à la compilation Killers parue 4 mois plus tôt dans laquelle figuraient 4 nouvelles compositions co-écrites avec la même équipe, à savoir: Adam Mitchell, Mikel Japp, et Bryan Adams (plus Jim Vallance sur 2 titres de l'album dont il est question ici) .
La différence, c'est que Bob Kulick assurait la guitare solo sur les 4 inédits de Killers alors que sur l'album Creatures Of The Night elle est partagée entre Vinnie Vincent, Robben Ford et Steve Farris. exit donc Bob Kulick qui était pourtant déjà présent sur 3 des 5 morceaux en studio de Alive II.
Si Vinnie Vincent est choisi pour être le nouveau guitariste de KISS puisque Ace Frehley a déclaré forfait fin'81, c'est pourtant ce dernier qui figure encore sur les pochettes de Killers et Creatures Of The Night, tout comme il fera une apparition dans la vidéo pour "I Love It Loud" (situation totalement identique à celle de Peter Criss 2 ans plus tôt, lorsque celui-çi apparaîssait dans le clip de "Shandi" alors qu'il ne jouait sur aucun titre de Unmasked mais figurait quand même sur la pochette de l'album!).
Les 4 morceaux exclusifs à Killers montraient en partie, une orientation musicale plus hard par rapport aux 3 albums précédents, et Creatures Of The Night va plutôt dans ce sens là, avec cependant un son de guitare plus appuyé et heavy ainsi qu'un jeu de batterie plus lourd.
Certes, pour qui aime le style hard/heavy made in 80's avec un son plus compressé et une batterie pachydermique surmontée d'une gate-reverb, ça peut le faire, mais ce n'est pas mon cas car ce genre de son n'a jamais été ma tasse de thé (je préfère les productions et le hard des années 70 de manière générale).
Pour être franc, j'aime encore mieux le pop-rock-disco édulcoré de Dynasty et Unmasked (même si le groupe n'était pas au mieux de sa forme à ce moment là) au hard burné de Creatures Of The Night car l'on pouvait encore y ressentir l'empreinte d'Ace Frehley et un minimum d'apport créatif de sa part alors qu'à partir de 1982, Ace parti, la magie s'en est allée et le rock de KISS est devenu bien difficile à discerner des autres formations de l'époque. même le jeu d'Eric Carr ne me satisfait pas car je le trouve bien plus rigide que celui de Peter Criss à sa grande époque (de 73 à 77) qui y mettait plus de légèreté et de fantaisie.
Bref, pour moi Creatures Of The Night ne me branche pas. Il m'est certes plus supportable que l'abominable Music From The Elder, mais il est très loin de ce que j'aime chez KISS et dans le rock en particulier. La suite de la carrière du groupe (assez différente de cet album, par ailleurs) ne fera que me le confirmer.






DREAM THEATER
A CHANGE OF SEASONS


Le 17 Juin 2016 par IEN


Rien que pour la chanson titre ce disque mérite 5 étoiles. C'est le titre de DT que j'ai le plus écouté, je ne m'en lasse pas.
En revanche les reprises sont anecdotiques.





GUNS N' ROSES
SYMPATHY FOR THE DEVIL


Le 16 Juin 2016 par YM

Merci LJS, pour ta réponse bien sincère.
Bon, je reste sur mon opinion concernant ce film, qui reste, à mon sens, un divertissement agréable.
Sinon, mes préférences vont plutôt au cinéma américain des années 40-50-60, mais aussi à des réalisateurs comme K. Loach ou Tavernier, Corneau, Schoendoerffer, Renoir, Carné, Eastwood... assez loin du film en question, donc, qui ne m'avait pourtant pas semblé être une bouse immonde et qui m'avait bien plu.
Amitiés cinéphiles.





MIDNIGHT OIL
BLUE SKY MINING


Le 15 Juin 2016 par JOHN MACCARTNEY


Après la consécration de "Diesel & Dust", le groupe se devait de répondre aux attentes.

D'un point de vue textuel, les Oils sortent enfin de leur cocon ozi en s'attaquant à des sujets mondiaux : la misère dans les villes riches (Bedlam Bridge), la 1ère guerre mondiale (Forgotten Years), la dictature en Birmanie (Mountains of Burma), les pluies acides (River Runs Red), l'universalité entre les peuples (One Country) et la beauté glacée de l'Antarctique (Antarctica). Pour autant, l'Australie est toujours bien présente : mines d'amiante à ciel ouvert (Blue Sky Mine), les nuits étoilées d'une bourgade de l'outback (Stars of Warburton), une course à pied dans le Queensland (King of the Mountain) et... des textes que seul Jim Moginie peut comprendre ("Shakers & Movers").

Musicalement parlant, ça se rapproche un peu de ce que des groupes comme R.E.M et U2, notamment, faisaient. Dire que l'un copiait sur l'autre n'a pas de sens. C'est l'époque qui voulait ça. En tout cas, on retrouve la gniak habituelle du groupe avec "Blue Sky Mine", "Forgotten Years" et "King of the Mountain". Il y a quelques expérimentations intéressantes. Tout d'abord, "Mountains of Burma". On se demande presque ce que ce titre aussi glauque (mais très bon) fait ici. Les effets d'écho utilisés renforcent cet aspect jusqu'à l'excellent solo. La voix de Garrett est presque effrayante. Anedcote : la face B du single "Forgotten Years" contient aussi un titre du même tonneau (sans les échos), "You May Not Be Released". "River Runs Red" offre un autre très bon solo (sur l'intro). La suite l'est un peu moins mais reste correcte. "One Country" est une ballade très étrange dans la carrière du groupe. Mais magnifique. "Antarctica" démontre que tous les membres du groupe savent chanter s'il le faut. Superbe final avec les notes de piano. Dans le rayon 'un peu loupé', on trouve "Stars of Warburton" et "Shakers & Movers". Mélodieuses mais manquant de mordant. Quant à "Bedlam Bridge", son après bridge trop long gâche son potentiel.

Côté musiciens, l'apport de Bones Hillman (basse) aux choeurs a apporté un supplément d'harmonies par sa facilité à monter dans les aigus. Son contrechant sur "One Country" est un modèle du genre. Ses backing vocals sont présentes tout du long, et son jeu dynamique et sinueux se fond parfaitement dans le moule.

Le seul gros reproche que l'on pourrait faire à "Blue Sky Mining", c'est une production un peu trop molle et calibrée qui, du coup, a moins bien vieilli que "D & D". Les versions live que l'on trouve sur le net sont bien plus péchues, notamment celles du mini-concert à New-York, devant les Twin Towers, pour protester contre Exxon Valdez.

3,75/5.





Alain SOUCHON
C'EST DéJà ÇA


Le 15 Juin 2016 par IEN


5 tubes sur 10 titres !
Un album incroyable malgré 2 titres un légèrement en deçà : "Les filles électriques" et "Le fil".

Mes titres favoris : "Sous les jupes des filles" - "Les regrets" - "sans queue ni tête" - " c'est déjà ça"

ps: Il manque "Le zebre" dans la track list ;-)





Alain SOUCHON
C'EST DéJà ÇA


Le 15 Juin 2016 par MR LARSEN


Belle chronique pour ce superbe album de variété française comme on n'en fait plus. Musique et textes font mouche la plupart du temps (irréprochable Big 4 introductif). Mais mes deux gros coups de coeur sont plutôt pour "Les filles électriques" et pour "C'est déjà ça", poétiques à souhait. Un an après l'indispensable "Caché derrière" du compère VOULZY, SOUCHON signe un retour triomphal. Et comme le dit si bien Marco Stivell, c'est mérité.





The LAST SHADOW PUPPETS
Everything you've come to expect


Le 15 Juin 2016 par DR JACK'ILL


Tout à fait d'accord, le premier album était tellement bon... Pas facile de faire mieux, pareil, différent, du coup c'est forcément pour notre oreille, en dessous, à côté, et le rendez-vous est un peu manqué. Si je me repasse encore le premier, sans pouvoir déterminer le morceau qui me plaît le plus, tant je les trouve tous géniaux au fil des écoutes ; j'avoue ne pas trouver sur ce deuxième album de quoi tordre le cou à mon désenchantement. Il faudrait s'abstenir de comparer, l'exercice est impossible!





Scott WALKER
THE DRIFT


Le 15 Juin 2016 par BORAHKRETH

Je suis heureux d'avoir relu les chroniques de SILENT HILL pour le plaisir, car j'ai eu droit à ceci en suggestion. La chronique est très juste, je n'ai pas fini d'écouter l'album, mais c'est incroyablement fascinant et dérangeant à la fois.

Pas de note, mais une curiosité à laquelle je vais m'accrocher.





The FLAMING LIPS
EMBRYONIC


Le 15 Juin 2016 par KID66


Tout amateur des FLAMING LIPS découvrant Embryonic après la doublette Soft Bulletin / Yoshimi ne peut qu'être désarçonné, tant la rupture est franche. L'opus de 2009 est extrêmement froid, très riche, centré sur les ambiances, et pas franchement évident.

L'une de ses principales réussites réside à mon avis dans le son : guitares limite noisy, réverb' de malade, sons de clavier cristallins... Tout concorde à donner à ce disque son côté spatial. Le travail d'ambiance a payé, ça c'est certain, et cette atmosphère fait parfois passer la pilule lors des moments plus faibles.

J'y viens donc, ce disque est hélas trop long et parfois inconsistant. Sur toute la première partie on se laisse aisément prendre au jeu, jusqu'au longuet "Powerless" dirons nous. Pendant la suite l'ennui pointe le bout de son nez à plusieurs reprises. Certaines pistes ambiantes ne sont pas franchement à la hauteur, et globalement Embryonic manque de matière. J'entends par là que plusieurs plages semblent n'être que des ébauches de vrais titres qui auraient pu être très bons. Ca laisse un arrière-gout d'inachevé en somme.

Des réussites incontestables (les cinq premiers titres, "Gemini", le barré "The Ego", "Worm Mountain" selon l'humeur, l'hymne "Watching The Planet" et le magnifique "Silver Trembling Hands"), et des moments de flottements plus ou moins ineptes (le reste), voilà comment est constitué cet Embryonic qui aurait mérité d'être épuré et peaufiné davantage. On passe quand même un bon moment... Et je manque encore de recul.





DREAM THEATER
A CHANGE OF SEASONS


Le 14 Juin 2016 par ANJE


Pour faire mon professeur 'la science', le succès mitigé de Awake a aussi joué sur la frilosité de la maison de disque à produire les albums suivantes de DT.
A Change of Season a été un combat à produire suite à son retrait de Images & Words, et pour Falling Into Infinity le groupe n'était plus du tout la préoccupation du label (plus occupé avec le Grunge), d’où la période de flottement entre Awake et FII.

A noter que c'est le même producteur que I&W qui a produit le morceau, non sans raviver les frictions d'époque.





KISS
GENE SIMMONS


Le 14 Juin 2016 par LEO


"S'ils s'étaient mieux entendus, ç'eût été tellement sympa qu'ils eussent formé un backing-band/groupe accompagnateur pour chaque oeuvre respective, avec la discrétion nécessaire quand ce n'était pas le leur..."
Je suis bien d'accord avec toi sur le fond MARCO STIVELL, mais le principe de ces escapades en solo était justement de permettre à chacun des membres du quatuor de sortir du contexte du groupe qui commençait sérieusement à leur peser (celà faisait 5 ans que la formation existait à ce moment là et les tensions entre les uns et les autres étaient déjà présentes depuis fin '75).
Et puis je ne suis pas certain que ACE aurait été forcément enchanté de participer aux albums de GENE et PETER (assez éloignés de ses influences musicales).
Si l'album de ACE est impeccable et cohérent, on ne peut pas en dire autant de celui de GENE qui part dans tous les sens:
On a du hard-disco avec "Radioactive" et du hard FM avec "Burning Up With Fever" et "Tunnel Of Love".
Dans "See You Tonite" contrairement à MARCO STIVELL, je n'entends pas du tout les EAGLES, mais du George Harrison tout craché! (je suis du même avis que LONG JOHN SILVER).
Sur "True Confessions" c'est presque le ALICE COOPER de Muscle Of Love !
"Living In Sin" c'est du pop-rock lambda plutôt passe-partout. bof !
Après "See You Tonite", "Always Near You" montre clairement que GENE a été traumatisé par les BEATLES, mais ça fonctionne parfaitement! "Nowhere To Hide" qui est accolé au morceau précédent est en fait sa coda avec choeurs gospelisants à la clef.
"Man Of 1000 Faces" est aussi très pop mais avec un côté grandiloquent très prononcé de par ses nombreux cuivres et cordes.
"Mr. Make Believe" ou le retour des FAB-FOUR! décidément, GENE SIMMONS est très doué pour ressusciter le fantôme de John, Paul, George et Ringo !!! et finalement, c'est peut-être là que je le préfère, là où il est le plus naturel et ne cherche pas à câcher ses influences premières sous des tonnes d'effets ou arrangements pompeux.
GENE a choisi de reprendre "See You In Your Dreams" de KISS car il n'aimait pas l'enregistrement initial qui figurait sur l'album Rock And Roll Over. si cette nouvelle version est certes plus réussie que l'originale, le morceau en lui-même ne casse pas des briques. une reprise pas très utile en somme !
Enfin "When You Wish Upon A Star" termine l'album dans la guimauve la plus totale ! une horreur.
Au final, ce 1er album solo de GENE SIMMONS n'est pas mauvais mais il manque clairement d'unité pour être satisfaisant et mise trop sur l'esbrouffe et les invités prestigieux alors que quelque chose de plus intimiste aurait été plus convaincant.





DIRE STRAITS
MONEY FOR NOTHING


Le 13 Juin 2016 par NONO


L'ironie au sujet de cette compilation, est que c'est sensé représenter le "meilleur" de D.S. Alors oui, il y a tous les tubes. Mais le problème est que Dire Straits n'est ABSOLUMENT PAS un groupe à "best-of". C'est un groupe dont les titres doivent être écoutés dans le contexte de leur album respectif d'origine !
Je veux dire : compiler, d'une traite, " Private investigations", "Tunnel of love", "Walk of life" ou "Romeo & Juliet" c'est comme compiler "Money", "Confortably numb", "Learning to fly", "Tme" et "Meddle" dans la même compil chez Pink Floyd ! Il y a des groupes qui ne sont pas taillés pour les best-of !
Et ce best-of, ça fait un peu "10% de produit gratuit en bonus", c'est pour moi un grand bazar avec quelques versions live et quelques remix pour agrémenter, mais pour Dire Straits mieux vaut s'acheter leurs meilleurs albums !





DIRE STRAITS
MONEY FOR NOTHING


Le 13 Juin 2016 par EL PACHENKA

Dire Straits et ce Meilleur De ... Qu'est-ce qu'on a pu me casser les b... Pardon , les oreilles avec cette compilation omniprésente dans les étalages du Leclerc du coin.





Katy PERRY
TEENAGE DREAM


Le 13 Juin 2016 par KID66


Ce que j'aimais bien avec Katy PERRY au moment de Teenage Dream, c'est qu'elle se distinguait de la concurrence en semblant ne pas se prendre vraiment au sérieux (cf par exemple le clip réussi de "California Gurls"). Bon point par les temps qui courent. Second avantage de ce disque, allant de paire avec le premier : il véhicule des sentiments résolument positifs, met de bonne humeur voire fout la patate. Teenage Dream est comme un gros bonbon, on se dit que c'est pour les enfants, on l'apprécie quand il passe, on en reprendrait bien un deuxième mais pas plus.

Alors bien sûr, il a cet arrière gout amer commun à tous les plaisirs coupables, mais il faut bien être honnête avec soi-même, certains titres sont tout à fait sympathiques sur cette galette ("Teenage Dream", "Last Friday Night" et son clip humoristique, "Circle The Drain", "Hummingbird Heartbeat"). Le reste oscille entre l'instant niaiseux bien foutu ("Fireworks", "Pearl") et le ridicule ("Peacock" oh my god).

En résumé, un petit disque de pop dansante, ensoleillée, débile et niaise mais assumée. Il mérite bien la moyenne.





SAGA
WORLDS APART


Le 11 Juin 2016 par CLANSMAN57


Plus Pop, un ami y entend même de la "New Wave", il n'a peut être pas tort.
Le Prog est néanmoins toujours présent, même si le groupe n'est pas intéressé par les longues pièces compliquées.
Preuve que Prog ne veut pas forcément dire long...

"Wind Him Up" est un de mes morceaux préférés du groupe et du genre.

Une étoile en moins, car ce son 80's m'irrite parfois.
Et aussi parce qu'il y a eu "Silent Knight" avant.





SAGA
SAGA


Le 11 Juin 2016 par CLANSMAN57


Excellent ce premier SAGA, ils ont même déjà leur petit truc à eux qui fait qu'on les reconnait aisément.
Pas mal pour une première apparition...
Délire spatial, chant atypique, riffs de guitare personnels, tout comme pour les mélodies, etc...

Rien à jeter, je lui colle la note maximale, car je l'apprécie de plus en plus.








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