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The BYRDS
FIFTH DIMENSION


Le 17 Avril 2014 par QUELQUUN

Bof ... à part Eight Mile Heigh, cette superbe envolée psychédélique vraiment trop courte, le reste c'est du sous Bob Dylan , rien de super emballant.





GENESIS
ABACAB


Le 16 Avril 2014 par NONO


J'en ai mis du temps à comprendre cet album ! Mais maintenant j'avoue beaucoup l'aimer. C'est marrant comme souvent un disque qui nous touche dès le début, est souvent celui dont on se lasse très vite. Et inversement, les œuvres qu'on aime durablement sont celles qui nécessitent plusieurs écoutes.
Dans ce disque, j'aime absolument tout, à divers degrés.
En première ligne des réussites je mets : la chanson-titre ainsi que "No reply at all", "Me & Sarah Jane" (typiquement le genre de chanson qu'il faut écouter plusieurs fois), "Keep it dark", "Dodo/Lurker" et "Man on the corner".
Il n'y a qu'un seul titre que je déteste, c'est "Who Dunnit (faut-il le préciser ?) Quoiqu'il y en a même qui aiment cette "chanson" (pour la partie batterie peut-être, mais le reste...) Quant au dernier titre (Another record), il est un peu décevant après une superbe intro au piano. Mais ce n'est pas la bérésina non plus.
Donc en bref j'aime beaucoup Abacab, que je préfère même largement à l'album suivant de 1983. Mais je comprends tout à fait ceux qui ne comprennent pas cet album, qui est un tournant majeur dans le style du groupe, et qui nécessite pas mal de temps à être apprivoisé.





PRINCE
CONTROVERSY


Le 16 Avril 2014 par RAMON


L'éclosion de PRINCE, part IV, où le Kid de Minneapolis continue de montrer qu'il n'est pas un gentil garçon mais n'a pas encore décidé de pondre LE grand album qui lui permettrait d'allier la gloire à la réussite artistique, sans aucunement perdre sa crédibilité.
Ses disques se vendent bien et lui passe son temps en studio avec un ingé son et peut-être bien un autre arpète , lesquels avaient intérêt à être au taquet pendant les séances. Son altesse peste volontiers quand les bandes ne se rembobinent pas assez rapidement à son goût et fait surtout confiance à sa Linn Drum dans le rôle de l'intervenant extérieur mais comme elle sait se montrer magnanime, elle met le nom des musiciens de son groupe de scène sur la pochette mais écrits en moins gros que "produced, arranged and performed by PRINCE".
Tout de même.

Alors cet album n'est pas le plus captivant des quatre disques qui précèdent le premier acte majeur de sa majesté, c'est même peut être le moins intéressant, on attendait mieux d'une "controverse", PRINCE n'est pas un type qu'on appelle buddy, cousin, brother ou man, le chef c'est lui et là il n'apporte rien de nouveau à l'édifice de son œuvre.
Pourtant tout avait bien commencé à l'apéro sur "Controversy" et pendant l'entrée sur "Sexuality", c'est simple, ça sonne cheap, limite Bontempi version 2.0, c'est entraînant, malin, mais la ballade qui suit Do me Baby est tout sauf passionnante, ça ne dégouline pas encore le sirop (PRINCE est souvent lubrique) comme cela arrivera bien top souvent par la suite mais tout de même, on s'emmerde.
Et après ce long pensum, on reconnait la recette soul/funk teintée pop qui prévaut depuis le commencement, mais en moins bon.
La sortie rattrape l'affaire au moment du fromage, Annie Christian commence à réveiller le rocker qui jusque là sommeillait bien et le dessert qui sorti par la cuisse de Jack U Off se révèle être une petite merveille.

Mais voilà, l'entre deux extrémités est loin d'être consistant, celui qui ne se fait pas encore appeler "The Artist", même pas encore Kid de Minneapolis,qui se la pète déjà bien grave, ne prend pas (assez) de risques, pas encore.
Un album mineur avec ses perles, pour les joyaux, il faudra attendre.
Pas bien longtemps.





The BYRDS
FIFTH DIMENSION


Le 16 Avril 2014 par ENENRA


Cet album c'est un bon pote qui te fout la main sur l'épaule et part boire un coup avec toi au bar. Je ne connais que celui-ci des BYRDS mais il m'aura accompagné assez souvent lors de mes ballades européennes l'été dernier. Vraiment excellent.





RENAUD
MISTRAL GAGNANT


Le 15 Avril 2014 par NONO


J'adoooore ce disque!
Non seulement pour le fait qu'il contienne QUE d'excellentes chansons, mais aussi pour une chose bien précise: le SON !
Hé oui, il y a vraiment un son caractéristique à travers ce disque, qui est défini par une batterie et une basse très en avant, et des sons de claviers et guitares bien spécifiques, le tout donnant un son très "étoffé", très "palpable".
La chanson "Miss Maggie" en est le parfait exemple.
A propos de cette chanson, ce que peu de gens remarquent (en-dehors des paroles pas complètement "neutres"), c'est la beauté de la mélodie.
Mélodiquement, cette chanson est exceptionnelle.
C'est difficile de définir une qualité artistique uniquement par des mots, mais bref, pour moi, la qualité de production de ce disque ainsi que les arrangements, sont particulièrement exceptionnels.





Johnny CASH
AMERICAN VI : AIN'T NO GRAVE


Le 15 Avril 2014 par LE STO


Définitivement pas le meilleur, une voix au bout du fart, tremblante, vacillante, parfois pâteuse. On lui préférera les volumes 3 ou 4 (pour ma part). Reste qu'il ne dénote pas trop dans la discographie Rubinesque.
Enfin, je ne crois pas que toutes les chansons aient été enregistrées après la mort de June. Satisfied Mind était déjà sur la BO de Kill Bill 2 en 2004. American a effectué les fonds de tiroirs principalement des derniers temps, mais pas que...





DIRE STRAITS
DIRE STRAITS


Le 15 Avril 2014 par NONO


Entièrement d'accord avec le chroniqueur.
Pour moi, le 1er album de Dire Straits est bon, mais je n'en suis pas "fou", comme c'est le cas pour beaucoup. Je préfère le suivant, "Communiqué".
Ici, j'aime évidemment beaucoup "Sultans of Swing" et "Down to the waterline" mais aussi "Setting me up", "Water of love", "In the gallery" et "Lions".
Mais il y a aussi "6 blade knife", "Wild west end" et "Southbound again"... que j'aime nettement moins.
Un bon début, certes, mais on sent que le groupe commence, ils essuient un peu les plâtres !
Le disque suivant, "Communiqué, aura moins de tubes exceptionnels mais aura l'avantage d'être plus homogène.





Johnny CASH
AMERICAN VI : AIN'T NO GRAVE


Le 15 Avril 2014 par LAN


"A noter enfin que le répertoire proposé est moins original, pas de titre de Neil YOUNG, Léonard COHEN, U2, NINE INCH NAILS ou SOUNDGARDEN mais des chansons du répertoire country folk américain".

Et c'est justement tout ce qui fait l'intérêt et le charme de cet album, intimiste du coup, loin du climat "branchouille" qui entoure les précédents de la série... ce qui était à la longue franchement pénible de voir les Inrocks et le show-biz and co s'intéresser à JC.
Du coup, je préfère ce disque aux précédents de la série "Rubin"... le premier mis à part. C'est beau, tout simplement... poignant souvent, dérangeant parfois (une voix au bout du rouleau, nettement). J'aime beaucoup.





MOTÖRHEAD
OVERKILL


Le 14 Avril 2014 par H.


Excellent album, aucun morceau à jeter, y compos dans la quasi-totalité des faces B. Petite mention spéciale pour Limb From Limb, trop rarement citée. Bref, tuerie, mais un poil en dessous que l'album qui va suivre.





MOTÖRHEAD
ANOTHER PERFECT DAY


Le 14 Avril 2014 par H.


Une direction différente certes, mais aussi un album inégal. Bien meilleur qu'Iron Fist bien sur, mais au final les grosses compos manquent. Enfin, rien que pour Back at the funny farm, I got mine, et l'immense One Track Mind, cet album est à posséder. Le reste n'est pas mauvais, juste assez commun.





MAGNUM
ON A STORYTELLERS NIGHT


Le 14 Avril 2014 par RED ONE


Grâce sois rendue à mon très estimé collègue Gegers qui est en train de me faire découvrir ce super groupe qu'est MAGNUM via ses chroniques !

Je dois bien avouer que moi je fonds totalement pour cet album, que je trouve réellement excellent du début à la fin ! Alors certes, c'est probablement l'opus le moins prog et le moins symphonique du groupe, la plupart des titres font très heavy metal 80's, mais nom d'un petit schtroumpf, qu'est ce que c'est bon !
Malgré les aspects assez commerciaux de cet opus (on est pas loin d'ASIA ou de TOTO sur certains titres, et ça tombe bien...), on ressent quand même une certaine grandiloquence toute britannique, héritière du prog anglais des années 1970.
Bref, c'est vraiment très beau et sublime.

J'ai commencé ma découverte de MAGNUM par cet album et The Visitation (2011), également bien noté dans nos colonnes... et non, bah pour l'instant je préfère de loin le Magnum heavy/FM des années 80 !





Gilles SERVAT
KI DU


Le 13 Avril 2014 par KAOU

Propagande régionaliste ?
Engagement NATIONALISTE !
Et fier de !!





GENESIS
AND THEN THERE WERE THREE...


Le 13 Avril 2014 par NONO


Vraiment, je n'ai jamais compris l'ostracisme et le rejet que provoque cet album. Il semble, comme toujours, que la majorité des commentaires (négatifs) sont faits par comparaison, et non pour l'album tel qu'il est.
Alors, évidemment, on pourra toujours comparer "And then they were 3" à "Selling England..." ou autre " Trick of the tail....", et dire que cet album est nul "comparé aux autres", ou "que Genesis sans Gabriel et sans Hackett, ça n'est plus Genesis", et patati et patata (...)
Non, pour moi, ce disque, s'il n'est pas aussi excellemment formidable que les 2 autres que j'ai cité, il est quand même très bon. Rendons-lui justice !
Car pour Genesis, il faut dire qu'on met la barre très haut !
Il ya juste deux titres que j'aime moins, c'est "The lady lies" et "Scenes from a night's dream" mais c'est tout.
Franchement pour moi, ça reste du très bon Genesis, peu importe le nombre de musiciens qui reste.







Gilles SERVAT
KI DU


Le 13 Avril 2014 par POWERBEAUF


"Demain" est une jolie chanson. La très belle musique interprétée à la harpe des "Colonies" vaut le détour. "L'Ile de Groix" est magnifique et prouve, si besoin est, que SERVAT a incontestablement du talent. Pour la route, je sauverai enfin le texte de "Défloraison publicitaire" (car très bien senti).

Le reste du disque ? En gros, de la basse propagande régionaliste sommairement mise en musique. Aucun intérêt, en ce qui me concerne.





Gilles SERVAT
KI DU


Le 12 Avril 2014 par KAOU


A l'époque, il y avait des choses à dire et elles étaient dites !
Aujourd'hui, on dirait que le mouvement breton est complètement dépolitisé pour n'être plus que culturel, chacun dans son petit confort p'tit-bourgeois.
SERVAT, dans les 70's, c'est le souffle de la tempête !





DOM DUFF
BABEL POW WOW


Le 12 Avril 2014 par KAOU


C'est bien DOM DUFF !
Bec'h dehi, tribledioù !!!!!





DOM DUFF
BABEL POW WOW


Le 12 Avril 2014 par JOVIAL


Information un peu tardive : DOM DUFF a remporté la catégorie "disque chanté en breton" aux Priziou 2014. Encore une bonne raison de foncer dessus !





MUSE
BLACK HOLES AND REVELATIONS


Le 11 Avril 2014 par KINGKILLING


"Absolution" se terminait sur ces vers :

You're working so hard - And you're never in charge - Your death creates success - Rebuild and suppress

Dans "Take A Bow", ouvrant le quatrième album des anglais, on trouve ces paroles :

Hold - You'll behold - And beholden for all that you've done

Le trio parle t-il de lui même à travers ces mots ?

"Black Holes And Revelation" est souvent considéré comme le début de la fin pour Muse, figure de proue du Rock électrique et classieux au début des années 2000 avec l'épatant "Origin Of Symmetry" puis le plus travaillé (et médiocre) "Absolution" qui proposait des titres bien plus calmes et réfléchis, l'ardeur du précédent opus se muant en une chose hétérogène et peu reluisants dans son ensemble. "Black Holes And Revelation" continue dans cette voie, tout en ajoutant une touche de fraîcheur et de folie qui manquait cruellement à son grand frère.

Si Muse renoue à quelques occasions avec son passé brutal comme sur la chanson "Assassin" au riff simple mais très efficace où Dominic Howard propose un jeu hypnotique et costaud, il se porte bien plus sur les expérimentations en tout genre. Attention, nous restons toujours dans le cercle du Rock mais on retrouve tout au long de l'album des petites nouveautés qui forment, à la fin, un mélange savant et fort agréable.
Pour moi, trois chansons se démarquent du reste de l'album.

La première est "Supermassive Black Hole" où Muse (au grand dam des amateurs die-hard) effectue un large virage dans une Pop légère et aérienne, plutôt sensuelle et qui n'est pas sans rappelé les travaux de Prince dans les années 80. La chanson est tout simplement envoûtante et rapidement addictive, grâce en particulier à la voix suraiguë d'un Matthew Bellamy convaincant et un air syncopé assez amusant.

Si "Supermassive Black Hole" faisait bouger le corps, "Invincible" est un morceau idéal pour se recueillir. Se basant sur une montée en puissante lente et ensorcelante, elle débouche sur un solo d'un beauté quasiment sublime, tout en tapping (une constante dans le jeu de Bellamy : "New Born", "Hysteria" en sont les meilleurs exemples). Le solo, bien que dénue de difficulté est une petite pépite, gardant toujours un effet de puissance crescendo. Il faut l'écouter pour le croire.

La dernière est celle qui revient le plus souvent quand on parle de l'album : l'épique, la majestueuse, la "westernienne", que dis-je, le chef d'oeuvre qu'est "Knights Of Cydonia". S'étalant sur six minutes, la chanson est déstructuré entre parties grandiloquentes, riffs de fou-furieux ou beauté spontanée. Difficile de décrire cette composition d'une perfection rarement inégalée. Si il n'en fallait qu'en garder une, prenez celle-là.

Ces trois chansons citées, l'album sonne bien faible, non ? Que nenni. Le problème, avec le reste, c'est que la moitié sont médiocres voir anecdotiques. Je pense en particulier à l’enchaînement "Exo-Politics/City Of Delusion/Hoodoo", des compositions, qui sans être réellement mauvaises, peine à convaincre. Le côté poussif de "Exo-Politics" (oh ce vilain refrain), l'excursion ratée dans l'hispanisme de "City Of Delusion" (les orchestrations laissent présager la direction future prise sur "The Resistance"), l'aspect jazzy du pauvre de "Hoodoo" (Muse retombe dans les travers de "Absolution" ici)... des choses qui bloquent l'écoute et qui laissent un goût peu agréable dans la bouche. Citons aussi l'horrible et terriblement pénible "Soldier's Poem", moment poétique d'une mièvrerie insupportable.

Du côté des bonnes chansons, on retrouve donc "Assassin", citée plus haut et qui reste sans conteste la chanson la plus énergique de l'album (avec "Knights Of Cydonia", bien que celle-là se trouve être dans une autre galaxie). "Take A Bow" essaye de refaire le coup de "Apocalypse Please". Tout en restant fort acceptable et hypotonique à souhait avec sa grandiloquence assumée, elle souffre de la comparaison avec son aînée, les deux étant tout de même fort similaire au niveau de l'ambiance. L'agréable surprise se trouve être "Map Of The Problematique", délivrant une ligne de piano magique, rappelant je ne sais pourquoi le "New Years Day" de U2. Pourtant, la composition revêt une certaine beauté, une réussite même !
Finissons par "Starlight", single de bonne facture au début mais qui devient lassante à force du matraquage radiophonique.

Que dire pour conclure ? "Black Holes And Revelation" est assurément meilleur que "Absolution", dont il est la suite logique. Même si il reste inégal, il propose d'excellentes choses qui finissent d'assouvir la puissance de Muse sur la musique des années 2000. La suite sera un peu moins rose avec un "The Resistance" raté. Pourtant, 2012 marquera l'apogée du trio avec "The 2nd Law", mon petit préféré.





Marissa NADLER
JULY


Le 11 Avril 2014 par A.T.N.


Pas forcément en phase avec mon cher collègue d'habitude questions goûts musicaux (quoique... ça dépend... ;)), je me suis dit que les 5 étoiles valaient tout de même que je jette une oreille à cette Marissa que je ne connais pas.

PAF en plein coeur.

Le folk cristallin se marie merveilleusement avec les couches de voix qu'elle superpose en alchimiste mélancolique, elle te file un cafard monstrueusement beau, sans vraiment avoir de moment faible sur le disque.

Moi qui suis plutôt Octobre (U2, Cabrel, et c'est mon mois de naissance), je crois que Juillet vient de devenir mon mois préféré - ce qui est plus sympa, y a le Tour de France, le soleil, les vacances, bien que ce genre d'ambiance estivale ne semble pas être le kif de cette Marissa Nadler que je recommande chaudement.





GODSPEED YOU ! BLACK EMPEROR
'ALLELUJAH! DON'T BEND! ASCEND!


Le 11 Avril 2014 par POSITRON


Plein d'une magie inconnue hors du temps.







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