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Hank WILLIAMS
MEMORIAL ALBUM


Le 30 Juin 2020 par FRED


Inventeur du R'nR ? C'est ce que j'ai toujours eu à l'idée à l'écoute de "Move it on over", morceau qui n'est pourtant pas mon favori de Hank.
Quand il chante, on sent sa souffrance... c'est touchant, et c'est surtout magnifique.
5/5, pas pour l'album (il y a eu mieux comme anthologie depuis), mais pour l'artiste, dont Elvis himself disait à propos de son "I'm so lonesome i could cry" qu'il n'avait jamais entendu quelque chose d'aussi poignant. Il a repris le titre d'ailleurs, je crois bien.





FFF
FREE FOR FEVER


Le 29 Juin 2020 par MAGNU


Un chouilla trop long mais c'était à la mode à l'époque. Ratatiné sur 45 minutes ce serait une parfaite tuerie de métal fusion. Et sur scène, ils sont intouchables !






The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 29 Juin 2020 par SGT JAKKU


Ammonia Avenue, à défaut d'être un très bon A.P.P, est un bon album de Soft Rock des années 80. Les morceaux, passés à la moulinette de la New Wave avec boîte à rythme, synthés Yamaha et grosses guitares, sonnent très juste, du moins à cette époque. Il faut apprécier cette esthétique des eighties sous peine de trouver A.A un peu désincarné. Mais l'inspiration est toujours là, chaque titre possédant une accroche mélodique, ce qui sera moins le cas des deux opus suivants. J'aime beaucoup "Don't Answer Me", un touchant hommage aux années 60 et à Phil Spector. "Ammonia Avenue", le titre, est le seul numéro du disque qui rappelle le passé Prog ou Art Rock du groupe. Un disque des années 80 tout à fait correct. Note réelle : 3,5.





TANGERINE DREAM
RUBYCON


Le 29 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Le premier concert de Tangerine Dream eut lieu en janvier 1968 à la grande cantine de l'université technique de Berlin. Du rock psychédélique ! Septembre de la même année, le groupe se produit aux journées internationales de la chanson à Essen, ville située à l'ouest de Dormund pour les passionnés de football, deux villes non loin de la Hollande. À ces journées internationales, se présentaient des groupes comme Amon Düül, The Fugs et The Mothers of Invention, donc du beau monde et un bon début pour Tangerine.

Berlin ville île durant la guerre froide est alimentée en grande partie par des subventions de la République Fédérale Allemande (RFA) pour continuer à vivre. Une de ces subventions va jouer un rôle déterminant dans la direction musicale du groupe.
Son nom : Loi sur la promotion de Berlin. La ville équipera un Electronic-Beat-Studio qui permet à de nombreux groupes berlinois de profiter gratuitement des synthétiseurs et autres petites merveilles. Klaus Schulze et Edgar Froese profitent des largesses de la ville. C'est cette loi donc qui, indirectement, influence aussi la direction musicale de ces musiciens.

Je tenais à le dire car si Berlin Ouest était une vitrine alléchante du monde occidental aux yeux des populations de l'Est, elle se devait aux yeux des politiciens de l'Ouest de l'époque,
de l'être aussi au niveau culturel pour que ces mêmes populations de l'Est aient l'eau à la bouche.
Je n'ai pas beaucoup parlé de Tangerine Dream car d'autres l'ont fait très bien avant moi. J'apprécie ce groupe au même titre que King Crimson ou Soft Machine.





DEEP PURPLE
DE LA FUMEE SUR L’EAU : 1968 – 1976 PAR MARTIN POPOFF


Le 29 Juin 2020 par MAGNU


Bouquin bien écrit et très documenté, je l'ai lu en 3 soirées car il est très agréable à lire.





The AUTEURS
NEW WAVE


Le 29 Juin 2020 par CLANSMAN57


Très bon disque de Pop anglaise, parfois bien Rock à quelques entournures.
Haines s'applique en effet à ne pas proposer tout le temps le même morceau, c'est un point positif.
Aucune chanson n'est à jeter, je ne mets cependant pas la note ultime car, aussi bon instrumentiste et compositeur qu'il puisse être, je ne trouve pas son chant extraordinaire. Disons qu'il s'en sort plutôt bien, mais sans plus, du moins à mon sens.

J'ai du mal par ailleurs à entendre l'influence de The Smiths et le terme "baroque" me semble un poil exagéré pour qualifier cette musique, bien qu'elle soit bien construite, inspirée, dotée de quelques idées intéressantes, en plus de bien passer l'épreuve du temps.

Précisons également que ces chansons n'ont pas un effet immédiat. Au fil des écoutes, sans non plus forcer, elles dévoilent tout leur potentiel.





The Alan PARSONS PROJECT
EYE IN THE SKY


Le 28 Juin 2020 par SGT JAKKU


Oui, je reviens à la charge pour défendre cet album encore une fois. Mais je vais tâcher d'être le plus objectif possible car il s'agit du premier album d'A.P.P que j'ai découvert quand j'étais ado et il a forcément une valeur sentimentale à mes yeux.
Il faut l'admettre, l'album perd de son intensité sur la deuxième face après une première partie irréprochable qui s'écoute d'une traite. "You're gonna get...", "Psychobabble", "Step by Step" sont inférieurs (pas mauvais non plus) aux canons habituels d'A.P.P mais Eye In the Sky contient des morceaux qui font partie des classiques du répertoire d'A.P.P : la suite "Sirius/Eye...", "Silence And I", "Mammagamma", "Old and Wise".
Quoi qu'on dise, avec sa pochette énigmatique, l'album est un classique, un incontournable si on prend la discographie d'A.P.P dans son ensemble et c'est aussi le dernier opus du Project qui possède encore l'esprit des années 70 avec cette touche Art Rock, Rock baroque et Prog. Ce style s'effacera progressivement avec les disques suivants (sans totalement disparaître) pour ensuite revenir à l'opéra rock Freudiana.
D'accord, je concède un 4. Mais ce 2 de la chronique, franchement, c'est pas sérieux et cela me fait penser au cassage de gueule en règle que beaucoup de critiques procèdent envers les albums qui ont eu un succès commercial. En effet, ce Eye... a été le plus gros succès d'A.P.P.





MADONNA
HARD CANDY


Le 27 Juin 2020 par FRANçOIS

Clips et live luxueux
Electro-pop / dance
Provocations (sexe, religion...)
Icônes gay
Femmes d'affaires
Années 80 & 90 : up / années 2000 et suivantes : down
C'est mes yeux ou Madonna et Farmer, même combat ?





DEAD CAN DANCE
DEAD CAN DANCE


Le 27 Juin 2020 par RICHARD


Mon préféré du groupe sans conteste car cet album n'est surement pas représentatif du travail de l'Australienne et de l'Anglais. En effet, même si je lui reconnais une originalité certaine et une indéniable ouverture d'esprit, je n'ai jamais accroché à 100% au monde de Gerrard et Perry. La faute à quoi ?...je ne sais car des combos à l'imaginaire plus ou moins similaire comme Ataraxia ou Arcana me parlent plus. Mais là, c'est une exception. Cette basse souterraine, ces ambiances sinueuses et ces voix douces ou habitées (le définitif "Ocean" ) me parlent. "The Fatal Impact " ou "Fortune" restent par exemple de pertinents tableaux sonores nocturnes.





GRIMES
MISS ANTHROPOCENE


Le 27 Juin 2020 par FRAN BRANCO


Il a fallu un peu de temps pour apprivoiser cet album quand même bien plus dark que les précédents, moins évident dans ses harmonies, mais plus constant dans sa qualité.
La trame y est plus linéaire et il contient le meilleur titre à mon sens de cette jeune artiste :"Violence ".
Claire Boucher est une artiste vraiment à part : clivante comme peu d'autres (un album pour "rendre fun le réchauffement climatique " ...) barrée (trop?), on ne peut cependant lui dénier un immense talent pour créer des mélodies qui font mouche, accompagnées d'un bouillonnement créatif dans les instrumentations électro.
Tout cela a parfois du mal à être canalisé, mais l'artiste propose une oeuvre brute et intransigeante, assez unique dans l'électro-pop.
A écouter sans préjugés. Une découverte que je dois à F.P !





The Alan PARSONS PROJECT
THE TURN OF A FRIENDLY CARD


Le 27 Juin 2020 par SGT JAKKU


C'est à partir de cet album qu'Eric Woolfson prend le lead vocal sur certains titres. Sa voix grave, mais avec une large tessiture, deviendra un des éléments typique et reconnaissable du style d'A.P.P.
Je vais être relou mais, une fois encore, la chronique laisse entendre que les chansons sont de la création de Parsons. C'est Woolfson qui apportait la matière première de la majorité des titres. Si Parsons, quant à lui, était bien le capitaine du navire en tant que directeur artistique, plus les instrus dont il était assez souvent l'auteur, le véritable génie créatif du groupe était Woolfson. Mais A.P.P, c'est bien sûr le tandem, entre ces deux larrons, et ce jusqu'à Freudiana, l'album non officiel d'A.P.P, à la différence que Woolfson en était ici le patron.
Turn...est une des plus grandes réussites du groupe, sans doute par sa cohérence, son contenu très équilibré et les quelques bijoux disséminés. "Time" est peut-être la plus belle chanson de toute leur discographie. Le thème baroque de Turn of...est imparable. L'album idéal pour débuter.





The Alan PARSONS PROJECT
EVE


Le 26 Juin 2020 par SGT JAKKU


" Don't Hold Back »...Un titre interprété par des voix haut- perchées pour un titre relativement pop"
C'est plutôt normal vu que pour une rare fois dans la discographie du groupe, c'est une voix féminine doublée, à savoir, Clare Torry, qu'on entend sur ce titre.
Buddy, tu mets un 2 étoiles à un de mes APP préférés, à savoir Eye In The Sky et tu mets un 3 à Eve, un des ratés du groupe... Un grand merci quand même pour avoir chroniqué les albums d'APP (même si je suis pas d'accord avec toi^^)





TANGERINE DREAM
ENCORE


Le 26 Juin 2020 par LEO


Si Ricochet (1er album live officiel de TANGERINE DREAM) était pour moi un brin monolithique de par sa nature axée principalement sur les séquencers plus que sur les passages ambient, Encore est lui bien plus disjoint quant à son contenu quelque peu plus éparpillé. cela dit, ce n'est pas pour me déplaire car j'ai toujours trouvé Ricochet un peu trop unidirectionnel, ce qui s'explique en partie puisqu'il s'agissait d'un montage de divers concerts sur la tournée Européenne de l'Automne 1975. assemblage qui privilégiait les boucles séquencées. cela dit, cet aspect là est aussi bien mis en avant sur ce live et tout particulièrement sur le troisième titre "Coldwater Canyon" qui a tendance à être assez répétitif et relativement peu intéressant avec un Edgar Froese en roue libre sur sa guitare.
Reste le cas de "Desert Dream", toujours sujet à caution à l'heure actuelle pour savoir s'il provient d'un concert de la tournée '77 ou d'un patchwork de chutes de studio enregistrées en 1974 et 1975 (ou même ultérieurement, qui sait !). vu qu'Edgar Froese a donné des versions différentes dans les interviews au cours des années, un coup disant qu'il s'agit de bouts de morceaux provenant de répétitions plus un extrait de la suite "Oedipus Tyrannus (enregistrée en 1974 et restée inédite jusqu'en 2019), et une autre fois en affirmant: "Pourquoi pensez-vous que ce n'était pas un vrai morceau live? nous avons joué ce morceau à beaucoup moins de dates que les autres parce qu'il provenait de la seconde moitié de la tournée". bref, on ne saura sans doute jamais la vérité mais finalement cela n'a pas grande importance pour apprécier ce morceau plus planant, certes assez incohérent dans sa structure mais plutôt agréable à l'écoute et d'autre part, parce qu'une large partie de l'histoire discographique en concert de TANGERINE DREAM est jalonnée de tels faits pouvant prêter à confusion.
Au final, Ricochet et Encore se valent tout autant. chacun possédant à mon sens, autant de qualités que de petits défauts, bien minimes en regard de la qualité d'ensemble contenue dans ces deux disques.












ALIZéE
GOURMANDISES


Le 26 Juin 2020 par FRANçOIS

Et 20 ans plus tard, on a... Julia ! Cela fait bien 15 ans que le duo Farmer / Boutonnat est complètement rincé. Mais tant qu'il y a des acheteurs...





GRIMES
MISS ANTHROPOCENE


Le 26 Juin 2020 par POLéMIQUE VICTOR

Je n'écoute plus du tout de nouveautés et cet album me conforte dans l'idée que... j'ai raison... :-)





The Alan PARSONS PROJECT
I ROBOT


Le 26 Juin 2020 par SGT JAKKU


Je voudrais apporter une petite précision à la chronique de Buddy. Cela n'est jamais très clair avec les crédits des albums d'APP, notamment celui-ci, mais le vrai songwriter du binôme et artisan de la plupart des chansons (la quasi-majorité) était Eric Woolfson. Alan Parsons portait essentiellement la casquette du producteur et d'arrangeur. En revanche, les numéros instrumentaux étaient davantage l'affaire de Parsons. Pour le vérifier, il suffit d'écouter les versions Legacy où on peut entendre Woolfson faire le guide vocal des chansons. La chronique a tendance à laisser penser que Parsons serait l'auteur des musiques, notamment de "Don't Let It Show". Parsons n'a pas et n'a jamais eu ce talent de songwriting mais il aidait Eric Woolfson à concrétiser les compositions par son expérience de producteur, ses connaissances techniques de studio, ses idées d'arrangements et ses bidouillages de synthés. Alan Parsons avait besoin du matériau composé par Woolfson pour faire ses albums. Il faut rendre à Eric ce qui appartient à Eric.^^





GRIMES
MISS ANTHROPOCENE


Le 26 Juin 2020 par WALTER SMOKE


Je n'écoute pas assez de nouveautés (hélas), mais cet album me réconforte dans l'idée qu'à défaut de quantité, je tombe sur de la qualité.

Avec Miss Anthropocene, Grimes parvient à maintenir en effet un délicat (et donc fragile) équilibre entre noirceur/cynisme typique des millenials et attrait pop pouvant parler à tou(te)s. En particulier, je retiens "Violence", certes facile voire évident, mais aussi "You'll miss when I'm not around", au refrain marquant.

Cela étant, je dois avouer préférer la sensation naïve du précédent Grimes, Art Angels (2015), sans compter les tubes immédiats qui y sont plus présents. Mais je pinaille, et même si certains morceaux sont perfectibles ("Delete Forever", "Idoru"), Miss Anthropocene a le bon goût de ne pas durer plus de 45 minutes.





KOHANN
HYPNOTIC


Le 26 Juin 2020 par MR TINKERTRAIN

Bon sang, j'ai cru que c'était Milla Jovovich sur la photo ! Quelle ressemblance ! Sinon, Don était déjà bien moins bon que le premier. Celui-ci, je ne l écouterai pas.





QUEEN
A NIGHT AT THE OPERA


Le 25 Juin 2020 par SPI


Le chef d'oeuvre de QUEEN. S'il n'en faut qu'un, ce sera celui-là !





TANGERINE DREAM
SORCERER


Le 24 Juin 2020 par LEO


Enregistrée en 1976 et parue en 1977, Sorcerer est certainement la meilleure bande originale de film qu'ait conçue TANGERINE DREAM. mais rien d'étonnant à cela puisque c'est sans doute l'unique fois où la formation a eu le contrôle total sur une musique de film (le réalisateur William Friedkin leur donnant carte blanche dès le départ). D'ailleurs, Edgar Froese dira plus tard que cette toute première expérience de B.O. fut la plus facile à réaliser, le groupe s'inspirant uniquement du scénario pour imaginer la musique (à ce stade, le film était à peine en chantier et il n'était donc pas question d'un quelconque visionnage).
Le trio se montre tout de même quelque peu frustré en assistant à la première du film car beaucoup des morceaux ne furent pas utilisés dans leur intégralité. Cependant, les musiciens reconnurent que leur musique s'intégrait parfaitement à certaines scènes du film.
Cette bande originale est effectivement fort réussie avec ses ambiances anxiogènes très évocatrices. Le bilan demeure pour autant mitigé à cause de certains thèmes aux durées fort brèves (qui occupent la moitié de l'album) et qui peuvent nous laisser un peu sur notre faim.
Cela avait sans doute un sens dans le contexte du film, mais pour sa parution en album, TANGERINE DREAM aurait peut-être dû réaliser un fondu-enchaîné entre toutes ses pistes plus courtes pour donner plus de corps à l'ensemble.
Quoiqu'il en soit, Sorcerer n'est pas à négliger dans la discographie du groupe car il complète à merveille le travail pratiqué par le trio magique Froese/Franke/Baumann.







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