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SQUAREPUSHER
MY RED HOT CAR


Le 02 Janvier 2014 par AZER

Même si au départ je trouvais My Red Hot Car supportable, cela s'est vite mué en un dérangement malsain, puis insupportable. Pour supporter ce truc sur le long terme, il faut être psy. Le pire, c'est que tout l'album Go Plastic! est comme ça... Serait-ce une publicité pour les "painkillers" ?





JETHRO TULL
BURSTING OUT


Le 01 Janvier 2014 par RAMON


Bursting Out est paru en 1978, comme Two for the Show de Kansas, un an après Seconds Out de Genesis, après tous les double Live mythiques ou non enregistrés dans les 70's. Voilà une formule qui s'était révélée sacrément payante pour certains et là on pense à Peter Frampton ou à Kiss qui accèdent à une gloire quasi instantanée ou encore à Deep Purple qui devient subitement un mythe grâce à Made in Japan et les exemples sont nombreux.
Une formule finit souvent par lasser, sur la durée, on sent que le truc est éculé et que le choix de sortir le fameux disque en public relève soit du plan marketing interne à la maison d'édition soit du contrat qu'on veut achever en balançant l'album qui manquait au bilan comptable et puis un double ça compte pour deux, alors…Ca marche pour les best of aussi et il y a des live qui ne sont pas autre chose que des Best of avec les applaudissements.

Mais voilà, du Haut de Bursting Out, dix ans de carrière et onze (!) albums vous contemplent et encore on ne compte pas "Living in the Past", celui-là c'est cadeau sans compter que le petit Stormwatch ne va pas tarder à éclore et qu'on tourne sans relâche depuis le début, quand on parle de cadences infernales... Ici, le groupe est au taquet assez rapidement après une entrée en matière somme toute pépère une fois passés les deux rocks de présentation, on se la joue folk avant d'alterner intermèdes improvisés et morceaux légendaires et épiques (God !) et de toucher au Graal avec Thick as a Brick certes raccourci mais quand même diablement Prog.
La deuxième partie, nettement plus rock et axée sur les "tubes" du groupe n'en est pas moins jouissive, d'autant que l'interprétation des titres n'est pas simplement remarquable, elle est emballante et formidablement servie par la production qui parvient à gommer le fait que ces morceaux ont été captés sur différentes dates de la tournée Heavy Horses, on reste dans le sentiment d'une unité de temps et de lieu ce qui rend l'ensemble chaleureux.
La magie opère.
Sinon, Minstrel in the Gallery est magnifique et le final Locomotive Breath/The Dambusters March tue.

Plus j'écoute cet album, plus je l'aime mais pour autant les remarques émises par Marco Stivell sont loin d'être infondées, certains titres choisis n'étaient pas les meilleurs parmi ceux pondus par le groupe sur leurs récents efforts, les pitreries d'Anderson font parties du show, etc.
Mais cette rétrospective en public (plus que best of) est comme un spiritueux de la meilleur engeance, elle conserve son caractère tout en délivrant une explosion d'arômes et de saveurs qui transportent ceux qui y goûte vers un ailleurs enchanté.
Un mois après Bursting Out paraissait Two for the Show de Kansas donc.
Un sommet du Live.
Une même appétence pour digressions prog, pour les grosses guitares hard-rock, pour les instants folks et puis on a de la flûte traversière ici, du violon là-bas.
1978, une bonne année finalement pour sortir un (double) live.





RED HOT CHILI PEPPERS
I'M WITH YOU


Le 01 Janvier 2014 par IAMTHETRUEHALO


Grosse douche froide, car en plus d'être aussi mou et chiant que ses 2 prédécesseurs, "I'm With You" n' a strictement aucun bon morceau à proposer. Le pire c'est qu'après la découverte des albums classiques (Blood Sugar, One Hot Minute, Mother et même la première moitié de Californication, allez) que je connaissais pas à l'époque, ce disque semble encore plus nul et loin du putain de potentiel des piments rouges. Faire de la merde semble être le credo des "anciennes" légendes du rock/metal (METALLICA, MUSE, MEGADETH, SLAYER, COLDPLAY, RADIOHEAD n moindre mesure...), et je n'attends malheureusement plus rien des RHCP à l'avenir...





MARILLION
MISPLACED CHILDHOOD


Le 31 Décembre 2013 par ANGEL D


C'est le troisième album pour "Marillion" et le groupe réajuste un peu sa formule.
On trouve un producteur d'envergure qui dégotera le son "parfait" pour ce disque et on ajoute à la musique une touche plus pop.
Mais, comme d'habitude, on n’enlève rien à la recherche musicale et à sa qualité, bien au contraire.

En plus, grâce à cette qualité de son, on va pouvoir constater le jeu tout en finesse de Mosley à la batterie ainsi qu’à la basse chaude et agréable de Trewawas.
Bref, on rend justice au groupe complet, qui a un jeu vraiment solide.

"Misplaced childhood" est un album à écouter d'une traite, un concept album pas si facile d'accès.

Pourtant, avec l'introduction "pseudo silk kimono", le mid-tempo "kayleigh" et la ballade "lavender", on voit une recherche de faire dans l’efficacité.
Tout coule de source avec ces mélodies évidentes et fortes : cascades de piano, solo de guitare atmosphérique et une performance vocale de plus en plus élégante.
Des morceaux court et qu'on mémorise vite.

La suite de l'album est plus aventureuse.
"Bitter Suite" ; "Heart Of Lothian" ou autre "Blind Curve" viennent brouiller un peu les pistes et révèlent leur charme après plusieurs écoute.
Le groupe y croise plusieurs thèmes musicaux sur ses morceaux plus longs mais tout autant chargés d'émotion.
Sur ces titres-là, on en prend plein les oreilles avec un Rothery bien en forme pour des solos de guitares profonds et inspirés (le solo de Blind Curve !), des breaks géniaux et fluides, des moments plus lents et aériens où la guitare et la basse nous transportent.

Quant au reste du disque, on trouve un titre tribal et efficace "Waterhole", un "Childhood End ? "qui aurait pu faire un hit, très efficace et plein de feeling et d'autres titres courts et efficaces qui servent d'intermède ("Lords Of The Backstage " ou le final "White Feather").

Bref, après quelques écoutes, on se rend compte qu'on tient là une pièce ultime du rock progressif, le meilleur album de Marillion à mon avis.

5/5 sans hésiter deux secondes.





MARILLION
SCRIPT FOR A JESTER'S TEAR


Le 31 Décembre 2013 par ANGEL D


Pour moi un disque qui me rappelle un peu le premier disque d'Iron Maiden.
Pas franchement dans le même style, même si le point commun qu'on pourrait y trouver est un premier album avec une qualité d'ensemble bien homogène et un groupe au potentiel énorme.

Après quelques écoutes, on rentre dans le disque et le charme commence à opérer.
Bien sûr, la production n'est pas au top, bien sûr la section rythmique est un peu sèche.
Mais tous les instrument sont audibles.

La basse est bien ronde et la batterie cogne sec, comme une boîte à rythmes, mais ça donne du charme à cette musique qui date quand même de 1983.
Quant à Fish au chant et à la guitare de Rothery, on peut voir déjà que le potentiel est bien là et que ces deux-là nous régalent.

Le disque est franchement généreux et les 6 titres sont bien foutus.
Rock progressif mélancolique et recherché comme dans les années 70 avec une touche new wave et hard mélodique héritée des années 80.

Mais Marillion ne sonne pas comme un groupe en plastique comme Asia qui joue une musique préfabriquée et calculée.
Non, la musique proposée est forte et pleine de feeling : "The Web" et son solo de guitare à la Santana ; "Garden Party" et "Chelsea Monday" riche en émotion et en mélancolie ; "He Knows You Know" est le titre ultime et parfait pour les charts et "Forgotten Sons" apporte une touche funky et nous renvoie en pleine période "The Wall".

Alors que Genesis et Yes à la même époque ronronnent une pop "FM" tout juste correcte, Marillion remet au goût du jour le rock recherché sans verser dans le déballage technique et sort là un disque franchement essentiel.

Un bon 4,5 arrondi à 5.





BAD BRAINS
I AGAINST I


Le 31 Décembre 2013 par ANGEL D


Après avoir écouté le précédent album des Brains "Rock for Light", je n'étais pas franchement réceptif à cet album de punk hardcore avec un zeste de reggae qui détonait sur le disque ; même si je pouvais reconnaître les qualités musicales du groupe.

Mais pour ce "I Against I", c'est tout autre chose.
Effectivement ce disque est excellant et s'impose comme peut-être le meilleur album de fusion, dépassant de loin ce que proposeraient Living Color ou Faith No More quelques années plus tard.

Ici les Brains restent mordant et directs tout en proposant une musique variée et parfois technique.
Effectivement, cette touche punky est présente à bien des moments sur le disque mais tout en proposant finalement ce melting-pot de tous les genres de la culture rock.

En plus, le disque est homogène en qualité et a vraiment bien vieilli.
J'aurais mis un 4/5 pour la qualité globale mais je vais mettre 5 pour son coté majeur.





SCHOOL OF SEVEN BELLS
GHOSTORY


Le 31 Décembre 2013 par SEIJITSU

Benjamin Curtis est décédé de son cancer le 29 décembre 2013. Il avait 35 ans...





ASTRAL PROJECTION
THE ASTRAL FILES


Le 31 Décembre 2013 par SASKATCHEWAN


Un bon album de trance psychédélique, le genre de gros machins caloriques qui ne s'apprécie réellement que dans une voiture orange fluo lancée à tout berzingue sur un chemin de terre. La recette est un peu monotone, mais on perd le contrôle de son cerveau dès le second morceau, alors...

Astral Projection est l'un des tous meilleurs groupes de trance goa. Leur album Trust in Trance reste selon moi le meilleur du genre avec Twisted d'Hallucinogen.





STEELEYE SPAN
BELOW THE SALT


Le 30 Décembre 2013 par RAMON


Voilà, quand on se demande quelle musique passer en cette période de fêtes, on ne pense pas assez souvent à Steeleye Span et c'est bien dommage.
Rien que le fait d'entendre le violon joyeux qui résonne dans le fond et puis tous ces instruments moyenâgeux avec…
Pour un peu on se verrait bien dans une taverne à partager des bières avec quelques manants croisés là et qui sait avec un peu de chance (et d'imagination), on pourrait peut-être apercevoir des hobbits.
Plus roots que Jethro Tull ou encore Fairport Convention, moins plombant que Malicorne mais pas moins beau, plutôt lumineux même, il va de soit qu'on peut aussi choisir d'écouter religieusement ce groupe (et cet album), tout seul chez soi, bien calé dans son canapé en adoptant une pose propice à l'émerveillement, mais franchement, est-ce bien raisonnable ?





Ludwig Van BEETHOVEN
CONCERTO POUR PIANO N°5 EMPEREUR (KLEMPERER)


Le 29 Décembre 2013 par PAPY


Magnifique, tout spécialement et en ce qui me concerne le 2ème mouvement, qui développe des trésors de sensibilité... je fonds ! Une des œuvres classiques que je préfère.





Matthieu Chedid -M-
ÎL(S)


Le 27 Décembre 2013 par LOU


Un live excellent, juste peut être un peu trop prévisible (chose étrange quand on sait qu'en concert il va de surprises en surprises), mais qui a le bonheur de faire ressentir le plus justement possible l'ambiance de ses concerts toujours énormissimes...
Après en termes d'albums live, difficile de faire mieux que le magique et merveilleux "En tête à tête" ("qui de nous deux") ou que les sublimes "Saisons de passage", son plus bel opus live selon moi...
Enfin cela dit Îl(s) reste un très grand cd....





The CLASH
GIVE EM ENOUGH ROPE


Le 27 Décembre 2013 par LEO


Une éternité que je n'avais écouté Give 'Em Enough Rope.
Et bien je le trouve toujours aussi attachant cet album sous-estimé de THE CLASH.
Certes, il n'a plus le côté direct et spontané du 1er album ni la parfaite cohérence du futur London Calling, mais la production soignée et carrée de Sandy Pearlman convient parfaitement à ces morceaux et au final l'album n'a pas à rougir face au bancal et surestimé Sandinista ! (qui aurait fait un excellent album simple à la place d'un triple décousu) et il surclasse de plusieurs têtes le médiocre et décevant Combat Rock (sans parler de l'abominable et inutile Cut The Crap qui n'a de CLASH que le nom).







PINK FLOYD
UMMAGUMMA


Le 26 Décembre 2013 par ADACRAR


La partie live est tout bonnement géniale! Le reste bon. L'album le plus barré des Anglais





MIDNIGHT OIL
A PLACE WITHOUT A POSTCARD


Le 21 Décembre 2013 par JOHN MACCARTNEY


Produit par le très réputé Glyn Johns (Rolling Stones, The Who, Beatles, Led Zeppelin, etc.), ce 3ème album studio sonne résolument classic rock. L'EP "Bird Noises", un an plus tôt, annonçait déjà ce changement. Finis les claviers psychés. Hormis sur "Don't Wanna Be The One"... qui n'avait pas été retenue par Karski pour "Head Injuries". On a donc juste 5 musiciens en plug & play, avec un minimum d'arrangements. Malheureusement, le mixage est très mauvais. Ce qui n'empêche pas d'apprécier le 'question-réponse' incessant des deux guitaristes, ainsi que leurs soli dissonants. Mais les autres ne sont pas en reste, que ce soit Garrett, vindicatif et hargneux au possible, Hirst, parfait virtuose ou Gifford (nouveau bassiste). Les textes sont maintenant entièrement politisés mais ne s'attaquent qu'aux Australiens. Si la 1ère moitié est presque sans faille, la 2ème moitié de l'album s'avère toutefois chaotique et très datée. Il y avait aussi de l'animosité entre les Oils et Johns lors de l'enregistrement. Ce qui peut expliquer, en partie, les erreurs de production. On sent un groupe qui joue avec le pied sur le frein.





MIDNIGHT OIL
HEAD INJURIES


Le 21 Décembre 2013 par JOHN MACCARTNEY


Avec un peu plus de moyen et un nouveau producteur, Midnight Oil peaufine son style, gomme les erreurs. C'est nettement plus carré, sans pour autant perdre son côté psychédélique et progressif. Les textes gentiment politisés ont l'air de mieux convenir à un Garrett bien hargneux. Les soli de guitares se font moins nombreux, laissant la place à la construction d'un duo Moginie-Rotsey très particulier. Hirst est impressionnant. Encore plus en live sur les vidéos d'époque que l'on trouve sur le net. Une sorte de Keith Moon... . Le bassiste, James, reste un peu trop en retrait. Cet album reflète surtout mieux les prestations explosives du groupe sur scène. Au final, seul "Naked Flame" est un peu faiblarde. Le groupe passe en revue plusieurs styles : rock ("Cold Cold Change", "Naked Flame", "Back On The Borderline", "No Reaction" et "Is It Now"), psychédélique ("Section 5, Bus To Bondi", "Stand In Line"), surf-psyché ("Koala Sprint"), et le progressif (l'étrange "Profiteers") avec une attitude qui n'est parfois pas sans rappeler le hard-rock ou le punk. Même s'il lui a manqué 2-3 titres en plus et une pochette plus attractive, "Head Injuries" est un album sous-estimé dans la carrière du groupe.





Joe JACKSON
BIG WORLD


Le 21 Décembre 2013 par FRED


J'ai longtemps écouté que Night And Day et Body And Soul, je découvre ce qui a suivit Body And Soul, et franchement là je me demande si les deux albums précédents étaient vraiment meilleur.
Contrairement à certain je préfère la premiere face, c'est là ou tout est intéressant, après on dort, tout comme Night And DAy, on met le plus rapide au début et après les balades qui servent à rien avec les bouches trou.





MIDNIGHT OIL
MIDNIGHT OIL


Le 21 Décembre 2013 par JOHN MACCARTNEY


Les débuts du groupe sont largement imprégnés de leurs influences de l'époque, plutôt orientées rock prog ou psyché : Led Zeppelin, Focus, Who, Yes et la surf music, entre bien d'autres. Pour autant, les Oils ont déjà une manière de jouer qui leur est propre. Seul Garrett a du mal à poser sa voix. Pour les textes politisés, il faudra attendre l'album suivant. Le problème majeur de celui-ci, c'est bien évidemment la production. Manque d'expérience aussi. Pour autant, à l'exception du laborieux "Nothing Lost/Nothing Gain" et de l'excellent "Used & Abused" (excellents soli de Moginie), tous les autres titres sont 'bordeliquement' jouissifs, à défaut de ressembler à quelque chose. On est quand même à des années-lumières de ce que le groupe produira 4-5 ans plus tard. Peu importe, les bases étaient posées.





CHILDREN OF BODOM
SOMETHING WILD


Le 21 Décembre 2013 par MAYOU


L'album le plus juvénile et le plus rageur de COB. C'est également leur album où leurs influences sont les plus identifiables : beaucoup de MOZART, énormément de MALMSTEEN, un peu de PANTERA... Poser des homages aussi assumés sur un premier album, il fallait oser. Mais oser, le groupe sait le faire, en mélangeant heavy, black, néoclassique et power (que ce soit US à la PANTERA où européen à la HELLOWEEN).
Fait parti de la grande période du groupe, et apporte toujours autant de frissons.





GAROU
AU MILIEU DE MA VIE


Le 21 Décembre 2013 par CHIPSTOUILLE

Bonjour à tous,

En qualité de modérateur, je n'ai pas validé quelques messages assez condescendants (pour rester poli) envers la variété française dans son ensemble. Merci d'argumenter vos commentaires et de parler du disque, avant tout.

Cordialement





2PAC
ALL EYEZ ON ME


Le 20 Décembre 2013 par ANGEL D


Voila le double album de 2 pac, évalué à peu près partout à 5/5.
Et bien moi, j'ai du mal à comprendre le succès du rappeur 2 pac et aussi de ce disque .

Certes , l'album est bien produit, même justement surproduit.
Bon, sinon il y a quelques morceaux sympa aussi, c'est indéniable.
De plus ce n'est pas n'importe qui derrière la console non plus.

Mais globalement, les intrus sont souvent répétitives comme le flow.
Peu de variation de part et d'autre.

Quand à ces passage limite rnb, ces chœurs indigestes.
Où est la puissance? La rage ?

Tout rentre par une oreille et sort de l'autre.

Même si je ne suis pas un fan de rap west coast, snoop dogg sur "doggystyle", par exemple, arrivait quand même a me convaincre mais là; j'ai du mal avec 2pac qui fusionne un rap asceptisé teinté de rnb déjà périmés.

Pourquoi a-t-on tant adulé cet album et cet artiste? Mis à part pour ses textes?

Annoncé comme un rappeur intense et puissant, j'ai l'impression que sur le plan purement musical, 2 pac n'est pas à la hauteur de sa réputation.







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