Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 822 823 824 825 826 827 828 829 830 831 832 833 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


DIDO
GIRL WHO GOT AWAY


Le 07 Novembre 2013 par MAITRE KUROSAWA

C'est faire preuve d'une incroyable ignorance et manque d'ouverture de dire que cette artiste écrit la même chanson depuis Here with Me... L'opus Safe Trip Home est par exemple sublime du début à la fin. La présence de Brian Eno est significative d'un renouveau. Mr Gurtu devrait écouter avant de critiquer.





QUIET SUN
MAINSTREAM


Le 07 Novembre 2013 par CHANTAL CRASSET


Bel album et bonne chronique bien complete et objective.
Il est important pour un site comme celui ci d'aller plus loin que le commercial/convenu, le rock progressif ne se limite pas qu'à Genesis et Yes ou PF, le Hard Rock de l'époque se limite pas qu'au trio (Purple-LedZep-Sabbath).

Cet album ci montre des gens connus dans un album très inconnu d'une formation que personne ne connait actuellement, et le résultat est loin d'être moins bon pour autant. C'est ça qui est fascinant quand on recherche plus loin que les standards.





MARILLION
THE THIEVING MAGPIES


Le 07 Novembre 2013 par BABAR LE LOUBARD

Petite rectification: sur le CD2, Blind Curve n'a pas été amputé de sa première partie, celle ci a juste été calée à la fin du morceau précédent, Lord of the Backstage (que vous avez oublié d'inclure dans la tracklist au passage ;) ).

La question est pourquoi ont-ils fait ce redécoupage pour ce CD live?





DIDO
GIRL WHO GOT AWAY


Le 06 Novembre 2013 par GURTU


Waltersmoke a parfaitement raison: "il n'y a pas de réelle mauvaise chanson."

Et ce, pour une raison logique:depuis 1999 et son mega tube " here with me " Dido écrit toujours la même chanson.

Un rabachage insuportable.





DR. DRE
2001


Le 06 Novembre 2013 par UNCLE RED

Rap U.S pour les ramollis du bulbe fumeurs de chichon. La drogue, c'est de la merde. En faire la promotion au près de son public, c'est criminel et le Dr. Dre, rappeur de 48 ans (!!) est un crétin, qui n'écrit même pas lui même ses textes. Du rap de bœuf aux textes parfaitement indigents : promotion du porno, de la violence, de la came... bref, de tout ce que les jeunes ont besoin pour évoluer positivement, n'est ce pas ?
Je vous conseille à ce propos la lecture de "l'imposture du rap" de M. Cardet, rappeur de son état, qui démontre, même si son bouquin est perfectible, la manière dont le mouvement hip hop a été récupéré par l'industrie capitaliste du divertissement et les politiques pour bien nous entuber, nous les jeunes.
En France, le "clash" entre Booba et la fouine en est tellement symptomatique, qui atteint les sommets de la querelle bidon Johnny-Antoine de pépé et mémé dans les 60's, rivalité parfaitement bien orchestrée en coulisse pour des motifs économiques que tout le monde aura compris. On rejoint là parfaitement les "principes" de Dr. Dre, vendeur de casques audio, les Beats by Dr. Dre, fabriqués par la société Monster24. Il a aussi prévu de se lancer dans les spiritueux avec le cognac Aftermath Cognac et la vodka Aftermath Vodka qu'il devrait sortir en même temps que son album Detox25. Business is business. La "musique" semble dans cette affaire n'être qu'une couverture.





DR. DRE
2001


Le 05 Novembre 2013 par LOUVOIR


Ah DR. DRE ! LE producteur qui transforme tout ce qu'il touche (ou presque) en or massif. Le mec à un don, c'est indéniable. Et comme si ça n'était pas assez, il est un rappeur plus que correct. Pas le meilleur, mais pas le moins bon, pour sûr! Même s'il est de notoriété publique qu'il n'écrit pas ses textes lui-même. Dommage.

Reste un album constitué d'une palanquée de tubes en puissance, au premier rang desquels "Still Dre" fait figure de référence. Le reste est à la hauteur des espérances et le tout force l'admiration. On sent que chaque morceau est travaillé au maximum pour atteindre l'efficacité optimale. C'est entraînant, les refrains sont aisément mémorisables et avec quel plaisir on se surprend à les rapper yaourtement (oui je sais) à tue-tête en hochant la tête frénétiquement tout en agitant ostensiblement les mains.

Et puis cet album, c'est aussi l'occasion de voir réunis sur un seul disque un nombre impressionnant de pointures du rap US de l'époque : XZIBIT, EMINEM, SNOOP DOGG, ... j'en passe et des meilleurs.

En un mot : INOUBLIABLE.





FREE
HEARTBREAKER


Le 05 Novembre 2013 par DARK SCHNEIDER


Il est très amusant de constater que FREE a sorti son meilleur album sans Andy Fraser et avec un Paul Kossof nettement en retrait. On pourrait forcément en tirer la conclusion que ses deux gars étaient peut-être plus des freins créatifs qu'autre chose au sein de ce groupe. "Heartbreaker" a plutôt bien marché il me semble comme album, et c'est amplement mérité. "Wishing Well" est un super titre d'ouverture, et des morceaux comme "Heartbreaker" et "Muddy Water" maintiennent un haut niveau de qualité. Tout cela est vraiment agréable.

Un véritable baroud d'honneur pour FREE, dont la discographie n’avait jamais été jusqu'à présent particulièrement emballante. J'ai pour ma part un certain problème avec Paul Kossof qui me donne vachement l'impression de se regarder jouer plus qu'autre chose, au moins sur ce disque ses interventions sont moins nombreuses et du coup souvent plus pertinente.

On pourrait dire que c'est dommage que le groupe ait arrêté sa carrière après cet album qui le relance artistiquement, mais au vu de la qualité du premier album de BAD COMPANY il n'y a pas trop de regret à avoir.





FREE
FREE AT LAST


Le 05 Novembre 2013 par DARK SCHNEIDER


Pas mieux c'est une certitude, mais pas pire que ses prédécesseurs. Bref, un album de FREE dans la continuité, qui ne révolutionne rien. Sans véritable hit potentiel, on est forcément en dessous d'un Fire And Water, mais à part ça... bah c'est du FREE tout craché. Bref, du blues rock pépère parfois très sympa, parfois franchement ennuyeux.





JETHRO TULL
AQUALUNG


Le 05 Novembre 2013 par RIKKIT


"on attendait vraiment le truc énorme pour finir en beauté", ben je sais pas ce qui te faut, My God est juste incroyable. Non non, Aqualung a vraiment sa place en tant que meilleur album du Tull, peut être pas si prog que ça (voir pas du tout), ouais, c'est du Hard Rock en grande partie. Thick as a Brick, qui lui est clairement progressif, me semble bien trop ambitieux et pompeux, il en perd en spontanéité. Non, Aqualung n'est absolument pas suréstimé.





FOREIGNER
4


Le 04 Novembre 2013 par NONO


Personnellement j'aime bien le "4" de Foreigner, il contient des pépites, mais j'ai toujours trouvé cet album un peu surestimé quand même. Pour cela, je suis assez d'accord avec le chroniqueur.
J'adore: Woman in Black, Girl on the Moon, Luanne (hé oui !),et Break it Up.
J'aime assez: Urgent, Waiting for a Girl Like You et Don't let Go.
Je n'aime pas: Juke box hero (hé oui !), I'm gonna win et Night life.
Donc pour moi: album majoritairement bon, avec beaucoup de très bons titres, mais avec aussi 3 titres pas terribles du tout... avis personnel.


Par Forces Parallèles

Pour poster un commentaire, c'est le petit carré où il y a marqué "abc" au dessus de la pochette d'album.
Cordialement,





ARCTIC MONKEYS
AM


Le 04 Novembre 2013 par BAAZBAAZ


Groupe sans personnalité, qui n'a été véritablement original que sur son (très inégal) premier album, ARCTIC MONKEYS n'a plus rien fait d'intéressant depuis une éternité. Comme il n’y a pas vraiment de relève, on se contente aujourd’hui de ces honnêtes rockers qui continuent à tâtonner et à se chercher un style, parvenant à torcher deux ou trois chansons potables sur chacun de leurs disques.

Cette fois, ils sortent un album à la façon des BLACK KEYS : grosse rythmique surproduite, groove épais, refrains mélodiques en simili-falsetto… Pourquoi pas. Par moment, ça tient debout. Il n’y a aucune raison de se priver de « Do I Wanna Know ? », « I Want It All » ou « Why'd You Only Call Me When You're High ? ».

Mais la recette, répétée sur un disque entier ou presque, est très ennuyeuse. Et ce d’autant plus qu’on a ici une bonne louche de compositions médiocres ou inabouties (la montée en puissance ratée de la pourtant prometteuse « Arabella » est un modèle du genre – les gars il faudrait penser à écrire un refrain avant d’aller en studio). Tout cela est bien terne.

Soyons lucides : Alex Turner est un besogneux sympathique mais incapable d’écrire une grande chanson. Aussi surestimé que MILES KANE (qui n’a pas le centième de la classe des grands songwriters 60s), il pilote son petit groupe sans âme et profite du nivellement actuel des valeurs, du déferlement de tâcherons vomis quotidiennement par Youtube, pour faire croire qu’il a du talent. Il n’en a pas.

Mais au royaume des aveugles…





VENOM
BLACK METAL


Le 04 Novembre 2013 par RED ONE

@ DARK SCHNEIDER :

Tout dépend de la date à laquelle on considère l'apparition du metal extrême.

Un groupe tel que MOTÖRHEAD est incontestablement le précurseur du genre, ça s'entend de façon évidente sur Ace of Spades (1980), et j'y reviendrais d'ailleurs en détails dans ma future chronique de cet album.
Mais le groupe de Lemmy demeure quand même un groupe "classique" dans son approche du heavy metal, avec un son encore très bluesy et rock'n'roll, malgré la voix saturée et le son crado qui tranchaient avec les aspects plus "lisses" des autres groupes majeurs de la scène heavy.

Après l'avènement de VENOM suite à la sortie de ses deux premiers albums, une étape décisive est il me semble franchie dans la radicalisation du metal, qui conduira d'année en année à une sorte de "course à la violence", ce qui va évidemment de pair avec le développement du punk hardcore (j'en parle d'ailleurs dans mes chroniques sur DISCHARGE, GBH et The EXPLOITED tu noteras). Le metal extrême était peut être en gestation depuis plusieurs années, mais VENOM l'a incontestablement aidé à se révéler au grand jour, et ses deux premiers albums ont fait date pour ça.

Les groupes majeurs du thrash américain existaient certes déjà en 1982, mais il semble incontestable que si VENOM et les groupes de punk hardcore n'avaient pas existé, la plupart seraient restés de gentils imitateurs de DIAMOND HEAD (ce qu'étaient les gars de METALLICA au départ)... Tu pourras noter par ailleurs que tous leurs albums sont sortis APRES les deux premiers VENOM, qui n'ont donc pas été sans influence. Je pense par ailleurs que les tournées communes de VENOM et des groupes américains entre 1983 et 1985 ont fortement contribué au durcissement de leur son.

Enfin, quand on écoute le premier BATHORY ou bien le premier CELTIC FROST, albums fondateurs du black metal sortis tous deux en 1984, ça ressemble quand même à de la grosse copie carbone des deux premiers VENOM, tu ne trouves pas ?

^^





VENOM
BLACK METAL


Le 04 Novembre 2013 par DARK SCHNEIDER


J'ai toujours trouvé cet album un cran en dessous de Welcome To Hell. Il est certes plus "sombre" et donc encore plus jusqu'au boutiste dans son approche musicale que le 1er opus, mais je le trouve nettement moins entraînant. Il y'a quand même ze tube de VENOM : l'excellente "Countess Bathory" qui malgré son break central clairement pompé sur "The Ripper" du Priest s'avère nettement plus emballant que le proto-thrash du morceau "Black Metal".

Mais l'album reste quand même globalement très sympa.

Bon par contre, de là à y voir un opus indispensable dans la genèse du metal extrême, n'exagérons rien. Pas mal de ténors du thrash metal existaient déjà lors de la sortie de cet opus et surtout pas mal d'autres groupes de la Nowbhm avaient sortis des démos qui furent également essentielles dans la création du metal extrême, par exemple la première démo de SATAN, beaucoup plus virulente que l'album studio qui allait suivre et qui musicalement rappelle beaucoup le 1er METALLICA. Je pense qu'on surestime un peu trop le rôle de VENOM : certes, le groupe a considérablement marqué son époque (bien plus que Kill'em All ou Show No Mercy), mais plus dans le rôle d'un catalyseur, d'une mise en avant d'un metal extrême embryonaire. Ils sont les premiers dans le genre à avoir autant éclaté au grand jour, mais le metal extrême n'avait pas besoin d'eux pour émerger : le rôle de MOTORHEAD et de pas mal de groupes Punks est beaucoup plus important à mon sens.





GENESIS
NURSERY CRYME


Le 04 Novembre 2013 par CéDRIC


magnifique ce nursery cryme est un des meilleurs albums que la terre ait connue titres sublimes the musical box . the return of the giant hogweed et the fountain of salmacis musiciens qui assurent a merveille surtout les 2 nouveaux phil collins et steve hackett





FREDERICKS / GOLDMAN / JONES
FREDERICKS/GOLDMAN/JONES


Le 03 Novembre 2013 par IEN


J'écoute beaucoup cet album en ce moment et je me faisais aussi cette remarque, quel dommage que la batterie soit synthétique. Par contre je ne pense pas que la basse le soit elle aussi.
En tout cas un album extra avec à mon gout absolument aucun mauvais titre.





FREDERICKS / GOLDMAN / JONES
FREDERICKS/GOLDMAN/JONES


Le 02 Novembre 2013 par THIERRY RAOULT


Il y a du très bon sur cet album, du bon, du moyen et du faible.

Le très bon: "Vivre cent vies", "Un, deux, trois", "Nuit", "A nos actes manqués" et "Tu manques".

Le bon: "C'est pas d'l'amour", "Né en 17 à Leidenstadt", "J'l'aime aussi".

Le moyen: "Peurs".

Le (très) faible: "Chanson d'amour".

Spontanément, à l'écoute de cet album, il y a une grosse faiblesse, ce sont les synthés. La plupart des instruments (sauf les guitares) sont synthétiques. C'est fatiguant. C'est dommage, surtout que Goldman et Jones sont de très bons musiciens, et que sur scène JJG est très bien entouré. Pourquoi ne pas enregistrer avec des "vrais" instruments et des "vrais" musiciens? Ce sera la même chose avec l'album "Chansons pour les pieds".

Tout ça dévalorise les chansons. Il y a de très belles mélodies, des bons textes, et des belles voix (celle du trio). Mais il y a trop de machines!





Alain BASHUNG
ROULETTE RUSSE


Le 02 Novembre 2013 par MR G


Un très chouette album, voire même un très bon album! Musicalement, on sent quand même bien l'influence de Dire Straits sur certains morceaux! C'est mon album préféré de la première partie de la carrière de Bashung! De la poésie noire! "Je fume pour oublier que tu bois" ouvre l'album de façon magistrale, et il n est pas le seul chef d'œuvre de cet album à redécouvrir ou à découvrir simplement!





ABBA
WATERLOO


Le 02 Novembre 2013 par RAMON

Les Suédois sont comme les Anglais, ils mangent n'importe quoi, n'importe comment et donnent des noms de défaites à leurs monuments. Prenez, par exemple, ce deuxième disque et véritable premier succès d'ABBA qui contribue plus au sentiment de fierté nationale chez eux que le palais royal de Stockholm au point que le groupe a droit à son musée dans la capitale, sorte d'ABBAWorld ou Land dont le destin est d'attirer les touristes venus du monde entier beaucoup plus sûrement que les rivages de la mer Baltique.

Fielleux comme ils sont, les Suédois sont même capables, outre le fait de vendre à la planète des aspirateurs hors de prix, des meubles à monter dont les notices ressemblent à des runes, des voitures haut de gamme pas allemandes mais presque, de nous envoyer, moyennant une rémunération impériale, un géant capable de permettre au fleuron des équipes de foot françaises de remporter (enfin) des victoires en Belgique, cela en signant d'un Z à la pointe de ses crampons. Plus forts que l'empereur, je vous dis…

En même temps, avec "Waterloo", ABBA n'invente rien, il se met dans les pas des BEE GEES qui nous avait vendu "Trafalgar", trois années auparavant… sauf que les BEE GEES sont anglais, eux,et donc forcément perfides. Maintenant on n'a plus qu'à attendre qu'un groupe à dominante vocale russe (ou pas) nous ponde un petit "Berezina" de derrière les fagots encore fumants de l'incendie de Moscou et qu'importe si cet épisode ne correspond pas à une défaite napoléonienne, tout le monde ne retenant que de la débâcle de la grande armée dont la fin serait entérinée à Waterloo.

Mais revenons à nos Suédois chantants, qui non contents de nous foutre la honte à l'Eurovision en s'exprimant en anglais (la langue de l'ennemi), répandrons la mauvaise nouvelle au monde entier en vendant sur toute la planète suffisamment de disques pour relier la Terre à la planète Mars et en gagnant suffisamment d'argent pour faire jouer l'idole du foot suédois dans l'équipe de leur village.
Comment un ensemble de pop (très) légère a-t-il pu dominer à ce point les hit-parade internationaux pendant plus de dix ans ? Au point même d'être érigé en institution ?
Qu'il est grand le mystère de la voix…

Premier élément de réponse toutefois, notamment envers ceux (intransigeants) qui considèreraient qu'ABBA: cdlm… A ceux-là j'émettrais la même réponse qu'un restaurateur à Louis de Funes dans l'inoubliable "L'aile ou la cuisse" : "Peut-être mais c'était (eux) qui la faisai(en)t".
Et ça, ça change tout, mettez les mêmes hits faciles dans la voix d'interprètes manipulés comme des marionnettes, un ou deux ans après leur carrière se poursuit de salle des fêtes en inauguration de supermarchés et dix ans après personne ne se souvient plus de rien, ni des chanteurs, ni des chansons jusqu'à ce que le concept crétin de l'"âge tendre et tête de bois" local ne les ressorte momentanément de la fange avant de les y replonger.
Autre élément, les membres d'ABBA sont d'authentiques musiciens, pas des perdreaux de l'année puisqu'ils ont eu une carrière avant, qu'ils sont rompus aux us et (mauvaises) coutumes du business musical, qu'ils ont bâti leur propre studio afin de jouir du contrôle et d'une liberté totale sur leur production.
Reste le travail acharné, avant de parler de talent, lequel sans ce premier élément n'est qu'une "mauvaise manie".

Il va de soi que tout ceci est peut-être nécessaire afin d'expliquer le succès phénoménal de ces descendants de vikings en paillettes et que l'anatomie des deux donzelles (notamment leurs faces B) si chère à Erwin, n'y est pas pour rien non plus, mais aucunement suffisant.
Alors oui, on entend des trucs surprenants sur ce disque, comme ce "King Kong Song" que peu connaissent mais qui est probablement LA chanson du disque, mais voilà ABBA était un ensemble voué à faire de la variété internationale plutôt lisse, pas des titres expérimentaux et aujourd'hui ce sont les compilations qui obtiennent les faveurs du grand public.
On peut ajouter à cela que le groupe a maintes fois refusé des offres hallucinantes pour effectuer une tournée de reformation, contribuant en cela à attiser le désir du public tout en conservant son aura légendaire, et que les véritables graines de ce succès incroyable ont été semées avec "Waterloo"… qui n'est décidément pas une défaite pour tout le monde.





KAARIS
OR NOIR


Le 01 Novembre 2013 par HUGO

Euh ... Après écoute rapide je me dois de te faire part de toute ma plus profonde admiration pour avoir réussi à écouter une ... daube pareille suffisamment de fois pour en faire une chronique.
C'est vraiment complètement vide ... dire qu'il y a des mecs qui appellent ça de l'art ... beurk.





KAARIS
OR NOIR


Le 01 Novembre 2013 par SCYTH


Une écriture de primaire sur des instrus inintéressantes au possible. Il n'y a rien à sauver, circulez y a rien (de bien) à entendre.

Quant au dernier paragraphe de cette chronique, je t'invite à écouter, si ce n'est déjà fait, ce morceau: http://www.youtube.com/watch?v=4ZfARUmITLM

Bien à toi.







Commentaires :  1 ...<<...<... 822 823 824 825 826 827 828 829 830 831 832 833 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod