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The ROLLING STONES
TATTOO YOU


Le 05 Août 2013 par FEELGOOD


Album pourtant très populaire en son temps, quadruple platine aux États-Unis où il fut classé n°1, Tatoo You n'en demeure pas moins, à la lecture de la chronique et du premier commentaire, un Stones des plus controversés et suscite toujours, 32 ans plus tard, des réactions particulièrement vives et tranchées.
Parmi ses détracteurs les plus virulents, citons Laurent Chalumeau, futur parolier de Bruel et de G-Squad, grandes références s'il en est... Pour lui, les Stones de 1981 étaient foutus, morts et enterrés depuis longtemps et il le démontrait (!) en insistant sur le fait que les deux seuls morceaux valables étaient, d'après lui, Slave et Worried About You, deux titres figurant déjà sur des bootlegs des années 70, ce qui signifiait que les Pierres étaient irrémédiablement exsangues sur le plan créatif. Il développa cette thèse dans son article "Restes" (Rock&Folk n° 177), ignorant apparemment que seuls Neighbours et Heaven ne provenaient pas des archives du groupe, détail qui anéantit irrémédiablement sa théorie toute de parti pris...
Cependant, ce disque a été apprécié et défendu par des gens aussi différents et respectables que Jean-Pierre Sabouret, Philippe Manoeuvre, Xavier Bonnet et Bruno T (alias Bayon).
Certains aimèrent surtout la face rapide, se réjouissant au passage de l'absence de tentatives "disco". Pour ceux-là, Tatoo You demeurerait l'album du grand retour au rock, comme si Some Girls avait été un disque de bossa. D'autres préférèrent les ballades de la face B. Sans oublier ceux qui détestèrent par principe les compositions reposant sur le falsetto de Jagger.
La fameuse face rock tient toujours extrêmement bien la route. Certes, tout n'est pas du niveau de l'excellent et introductif Start Me Up, dont tout le monde connaît le riff irrésistible, et qui cartonna un peu partout, morceau reggae à l'origine, et retravaillé pour sonner rock, miraculeusement sauvé par l'ingénieur du son Chris Kimsey, Keith lui ayant carrément ordonné de l'effacer, ce que Kimsey ne fit heureusement pas... L'enjoué Hang Fire - hymne à la paresse - sonne comme une version améliorée du Summer Romance de l'album précédent, Neighbours s'avère bancal, sauvé in extremis par le saxophone de Sonny Rollins et Black Limousine est un blues correct comme il en existe des tonnes. Le paillard Little T&A de Keith demeure réjouissant et nous renvoie à l'incisif Before They Make Me Run de Some Girls. Quant à Slave, il s'agit d'une jam groovy reposant sur un excellent riff de guitare et d'excitantes parties de sax (Sonny Rollins, toujours), dans l'esprit funk et dansant de l'album Black And Blue, sur lequel il aurait pu figurer, même s'il s'avère aussi réminiscent du Can't You Hear Me Knocking de Sticky Fingers...
La face B - comme "ballades" - constitue un véritable tour de force dans la mesure où demander à un amateur de rock de s'envoyer cinq loukoums d'affilée relève de l'exploit, a fortiori lorsqu'il s'agit d'un fan des Stones... Pourtant, tout cela passe comme une lettre à la poste, grâce à la qualité intrinsèque des compositions - pas un déchet - et à l'impressionnant travail effectué par l'ingénieur du son Bob Clearmountain, que l'on retrouverait l'année suivante sur le merveilleux Avalon de Roxy Music.
Si Tops et No Use In Crying restent deux honnêtes réussites, transcendées par l'interprétation hors pair de Jagger, tout reposant ici sur sa voix, le reste est encore meilleur. Waiting On A Friend nous renvoie au délicieux Sittin' On A Fence de Flowers et la fantastique prestation de Rollins nous ouvre les portes du paradis. À propos de paradis, Heaven mérite pleinement son titre, rythmique flottante, envoûtante, chant en falsetto, choeurs séraphiques plongeant l'auditeur dans un état proche de l'ataraxie, "dans des contrées insanes, nébuleuses et étouffées, balancées comme une larme de lait dans une tasse de thé transparente (lorsque le lait part en lambeaux liquides sans encore se mêler au thé), des régions indécises et estompées. Le paradis du bruit. Là où le son s'esquisse sans vraiment se poser. Là où les timbres et les cordes fuient, là où il n'est plus question de chansons ni de tubes mais d'atmosphères. Une par plage, une pour l'ensemble de la face. Qui, de fait, s'écoute facilement comme un album à part." (1)
Worried About You, autre sommet du disque, permet à Jagger de s'en donner à cœur joie, celui-ci nous refaisant le coup de Emotional Rescue (le morceau, pas l'album), jouant avec sa voix, passant de l'aigu au grave, tour à tour inquiet et hargneux, sur fond de piano électrique, le tout basé sur un habile crescendo...
Il faudra attendre 1994 et l'excellent Voodoo Lounge pour retrouver les Stones à un tel niveau, même si la période 83/89, certes inégale, n'est pas aussi mauvaise que le prétendent certains.


(1) Bruno T, Rock&Folk n° 177 (octobre 1981), "Satisfaction", pages 62, 64.





Sara BAREILLES
THE BLESSED UNREST


Le 05 Août 2013 par CONTARKOS


Chef d'oeuvre ? Album de l'année 2013 ???

Ne poussons pas mémé dans les orties quand même, il y a des albums beaucoup plus intéressants sortis cette année. J'ai été écouter suite à la chronique, et franchement j'ai trouvé ça assez naze. Que vous trouviez ça pas mal et que ça vaille une sélection, why not, mais de là à parler de "chef d'oeuvre" et même d' "album de l'année", non...





The ROLLING STONES
TATTOO YOU


Le 05 Août 2013 par BABAR


Tattoo You est-il vraiment meilleur que "Emotional Rescue" ? Euh... oui, OK, "Emotional Rescue" était vraiment horrible. Pas d'accord en revanche pour dire qu'"Undercover" est à des années lumières. Pour moi, les deux albums se valent presque (avantage à Tattoo You quand même mais bon...) : ça part super bien avec un premier titre très bon, le second morceau tient le coup mais après c'est la bérézina.

"Slave" est une horreur sans nom avec ses choeurs mièvres à souhaits, Keith n'arrive même pas à sauver "Little T&A" du nauvrage (et Dieu sait à quel point j'adore sa voix !), "Neighbours" paraît formaté, composé en trois minutes chrono, ça manque d'originalité, de mouvement (oh cette batterie... j'ai rien contre les trucs basiques et efficaces mais faut pas pousser mamie dans les orties...). "Worried About You" n'est pas vraiment mauvaise mais le chant de début de Jagger m'horripile au plus haut point, "Tops" n'est pas mauvaise mais juste trop... dégoulinante. Quant à "No Use In Crying", j'ai du mal à croire que ce sont les mêmes types qui ont fait "Under My Thumb", "Satisfaction", "Jumpin' Jack Flash" et autres "Gimmie Shelter" qui l'ont écrite. C'est juste catastrophique.

En revanche, "Waiting On A Friend est presque potable et a comme grand malheur d'arriver au bout d'une face entière de balades ce qui la rend assez usante alors que prise indépendamment des autres elle n'est pas mal du tout (c'est loin d'être bon, certes, mais on fait avec ce qu'on a).
Dans les côtés positifs on a aussi "Black Limousine" qui nous ramène un peu aux grandes années des Stones mais qui manque d'un je-ne-sais-quoi qui fait toute la différence entre un morceau passable et une bonne musique.
Quant à "Heaven", c'est finalement le seul morceau de l'album un peu original, pas trop formaté. Certes, c'est bien moins bon et bandant qu'un bon vieux "Start Me Up", mais ici au moins il y a une demie-tentative de faire quelque chose de correct. C'est un peu long cela dit et franchement loin d'être excellent.

Bref, Tattoo You c'est une (sacrément) bonne musique et un océan de médiocrité. Je voulais mettre 2 au départ mais finalement un 1 me paraît déjà cher payé. Ce n'est pas aussi insupportable qu'Emotional Rescue certes, mais c'est typiquement le genre d'album qui me fait oublier pourquoi les Stones sont l'un des plus grand groupe de Rock.





The ROLLING STONES
EMOTIONAL RESCUE


Le 05 Août 2013 par BABAR


A gerber. Le pire album des Stones que j'ai eu le malheur d'écouter. Quand je pense que certains considèrent "Emotionnal Rescue" (la musique) comme un des chef d'oeuvre de Jagger...

Pour le reste, c'est du très très moche. Aucun titre à sauver selon moi...





ZZ TOP
AFTERBURNER


Le 05 Août 2013 par CéDRIC


Deux ans après la bombe Eliminator nos trois Texans reviennent avec Afterburner qui ressemble beaucoup a son prédécesseur. Un bon album malgré une batterie électronique.
Titres préféférés :
Sleeping bag
Rough boy





PINK FLOYD
WISH YOU WERE HERE


Le 03 Août 2013 par THIERRY RAOULT


Cet album est magnifique, magique. J'ai presque envie d'écrire qu'il est parfait.

"Shine on you" (1 & 2) est peut-être mon titre préféré parmi tout ce que je connais en musique. Aujourd'hui, en 2013, le titre n'a pas trop vieilli. Je suis ailleurs quand je l'écoute.

Pour moi, cet album, c'est essentiellement "Shine on you crazy diamond".

Les 3 sont très bien. "Machine" sent les années 70. Les 2 autres passent mieux l'épreuve du temps.

Album que je conseille à tout le monde d'écouter au moins 1 fois.





ULTRAVOX
QUARTET


Le 03 Août 2013 par RAMON


Sympa la réponse.
Notons toutefois que les titres Hymn et Dancing with tears in my eyes sont bâtis sur le même moule, ils commencent par des refrains chantés en mode héroique avec la voix poussée au max , suivis par les couplets aux arrangements aérés qui portent un chant posé,les grilles d'accords sont très proches, leurs ponts précédent chacun de court soli de guitares joués dans la même veine.
Leurs fins différent, Hymn se ponctuant avec son refrain quand Dancing s'achève sur un thème instrumental répété.
La mélodie d'Hymn est directement inspirée de l'hymne de la fédéraration de Russie, son texte ressemble à un sermont basé sur la Bible alors que le clip met en scène les membres du groupe qui vendent leur âme au Diable, le tout formant un ensemble ambigu beaucoup moins simpliste que ce qui en est dit dans la Kro. Ayant eu l'occasion de voir le groupe sur scène dans les années 80, je peux assurer que le moment où fut joué ce titre fut très apprécié !
Dancing nous transportant vers l'apocalypse nucléaire, son thème n'est pas si éloigné d'Hymn, on pourrait meme envisager la chanson comme faisant suite à son aînée, en tout cas les deux forment un ensemble cohérent.
Effectivement l'album Lament est un diamant noir alors que Quartet est trop inégal, Vienna et Rage in Eden étant également bien meilleurs que ce dernier, mais non Ultravox ne trahit pas son Art avec cet opus qui maintient un niveau d'exigeance et de cohérence élevé.





ULTRAVOX
QUARTET


Le 02 Août 2013 par RAMON


Il est vrai que Quartet n'est pas ce qu'Ultravox a produit de meilleur, néanmoins cet album pour mineur qu'il soit n'en est pas moins fort agréable.
Maintenant, pour quelqu'un qui a vécu la période de la sortie du disque, lire sans moufeter que le groupe a trahi ses fans en publiant cet opus revient à cautionner une certaine forme de révisionnisme. Les fans qui se sont sentis trahis sont ceux qui ont abandonné le groupe après le départ de John Foxx, les autres, plus nombreux furent très fiers de faire découvrir Hymn à leurs congénaires... Enfin un vrai tube !
D'un point de vue purement suggestif, j'affirmerais que se sont bien les Reap the Wild Wind, Hymn, Visions in Blue, We Came to Dance qui sauvent l'album, le reste étant plutôt moyen.
Le son est ici plus lumineux que sur les autres productions du groupe, mais la mélancolie est elle bien présente. Cet album s'inscrit donc dans la lignée des deux précédents ainsi que dans celle du suivant, Lament, meilleur disque du groupe à ce jour.


Par Forces Parallèles

Cher Ramon,

C'est vrai que j'étais à peine né quand l'album est sorti. Une chronique est toujours subjective mais je tiens à préciser que je n'ai pas accusé le groupe de trahir ses fans, mais plutôt de trahir son art, de se vendre. Bien sûr que cette musique est séduisante, mais elle est vraiment trop facile, en particulier ces singles tellement simplistes par rapport à "The Thin Wall" ou "Dancing with tears in my eyes". Quel qu'ait été son succès, "Hymn" me fait grincer des dents et me fait de la peine... une leçon de musique commerciale médiocre.

ARP2600





The ROLLING STONES
EMOTIONAL RESCUE


Le 01 Août 2013 par FEELGOOD


Some Girls bis, Emotional Rescue s'avère essentiellement constitué de chutes de son valeureux prédécesseur auquel il ne ressemble pourtant en rien. Some Girls était frais et varié alors que Rescue se contente d'être disparate et faisandé. Cette fois, les Cailloux bouffent à tous les râteliers : rock, bien sûr, mais aussi disco, reggae, blues, sans oublier certaines influences latino-américaines...

Dance (part 1), jam funky mâtiné de rythmes afro-cubains, permet à Keith Richards de recycler le riff du Trampled Underfoot du Zep'. Mais on retiendra surtout de ce Dance les percus endiablées et une efficace section de cuivres qui créent une ambiance frénétique, genre cérémonie vaudou dans la jungle...
Summer Romance, rock rapide et dépourvu de substance, est l'un de ces morceaux bâclés et interchangeables que torche régulièrement un Mick J. paresseux...
Send It To Me et ses airs de reggae micro-ondable réussit le brillant exploit de nous proposer des paroles encore plus stupides que celles de Some Girls, le morceau...
Let Me Go, rock pataud, s'imposera néanmoins comme l'une des semi-réussites du disque et prendra une tout autre dimension sur scène lors de la tournée 81.
La ballade Indian Girl fleure bon l'Amérique centrale et les Caraïbes. Avec un mixage plus soigné, elle aurait pu connaître le même destin que la scie Angie...
Where The Boys Go, un rock insipide très rapide, en tout cas selon les critères stoniens, déboule en début de face B.
Suit Down in the Hole, sorte de blues lourd et pesant distillant une ambiance maussade, indéniablement le morceau le plus profond de l'album, aussi à sa place ici qu'un croque-mort sur une piste de danse...

Arrive ensuite le fameux morceau-titre et ses criailleries à la Bee Gees. La voix de Jagger passe progressivement du suraigu à l'extrême grave... Mais Emotional Rescue, contrairement à Miss You, ne transcende jamais le genre disco... Juste un habile 45 tours surfant sur une vague déjà déclinante en 1980...
She's So Cold, rock entraînant, flanqué d'un bon riff - et ils ne sont pas légion -, sera l'autre tube du disque, qui s'achève lamentablement sur All About You, ballade mollassonne et ennuyeuse, qui permet à un Keith pathétique de continuer à régler ses comptes avec Anita Pallenberg.
On mentionnera aussi le mixage douteux qui confère un aspect brouillon et peu professionnel à cette dizaine de chansons, le pire étant que certaines versions pirates sonnent étonnamment mieux.
Et puis, que dire des textes si ce n'est qu'ils ne contribuent pas à rehausser le niveau. À croire qu'à l'approche de la quarantaine, le Jag' avait sombré dans une sorte de peterpanite régressive le ramenant au niveau d'un gamin de quatorze ans... Volonté de faire punk, peut-être ? Quant aux solos, ils sont éminemment woodiens - désolé pour le néologisme - et semblent avoir été réalisés en une seule prise, ce qui ne leur confère pas pour autant ce délicieux sentiment d'urgence qui se dégage du bon rock'n'roll...

Les Stones devaient avoir conscience de cela d'où le parti-pris consistant à mixer la batterie en avant, très en avant, ce qui sauve paradoxalement le disque, lui donnant l'apparence de la vie, comme une sauce fortement épicée faisant malgré tout passer une viande douteuse...

Le meilleur morceau de l'album s'appelle Claudine. Il s'agit d'un rock saccadé et excitant, qui traite de l'affaire Claudine Longet, cette actrice/chanteuse qui fut accusée du meurtre de son amant. Hélas, la crainte d'un procès amena le groupe à retirer cette chanson du disque et c'est un Emotional Rescue irrémédiablement mutilé qui atterrit dans les bacs des disquaires le vingt juin 1980.

Une saisissante pochette à base d'images thermographiques, accompagnée d'un poster géant du même tonneau, emballa ce "chef-d'oeuvre" qui fut l'un des succès de l'année, réussissant l'insigne exploit d'être numéro un aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne...

Note réelle : 2,5 sur 5.
Note du fan ahuri : 3.





Chris REA
STONY ROAD


Le 31 Juillet 2013 par FRANCK


Je ne vais pas être objectif je suis un fan absolu de maître REA. Ce bijou qui fait office de résurrection artistique autant que physique puisqu'il aurait pu y rester on le sait. Je n'y crois pas mais dieu merci il s'en est sorti. Ecouter cet album de vrai blues prend aux tripes au même titre que Chris y a mis les siennes pour l'enregistrer. La guitare pleure comme jamais, la voix est moins assurée que jadis mais c'est trop bon. C'est très langoureux, forcément plaintif, lancinant, c'est un chef d'œuvre.





YES
THE YES ALBUM


Le 31 Juillet 2013 par FRANCK


Pour moi les vrais débuts du grand YES. S'il n'y avait eu un titre que j'estime en dessous ("A Venture") cet album aurait pu être le meilleur de YES. Pour tout dire je lui garde une affection particulière : c'est le premier de leur discographie que j'ai acheté il y a 22 ans déjà et je ne m'en lasse pas. Un grand album.





The BEATLES
LET IT BE


Le 30 Juillet 2013 par CH'TI LEMMY


"P.S : la chronique de la version non produite par Phil Spector (« Let It Be…..Naked ») sera bientôt rédigée, histoire de satisfaire tout le monde." : la chronique de l'album "Let It Be" date de 2008 et cinq ans plus tard, celle de "Let It Be... Naked" n'a toujours pas été mise en ligne... Faudra-t-il attendre 2020 et l'anniversaire des cinquante ans du dernier album des Beatles ?
Pour le reste, cet album (la version originale produite par Phil Spector) est plutôt pas mal, c'est même un excellent album sans être pour autant un chef-d’œuvre.





The BEATLES
PLEASE, PLEASE ME


Le 30 Juillet 2013 par MENCLAY


Les + : "I Saw Her Standing There", "Misery", "Love Me Do", "A Taste of Honey", "Twist and Shout".

Le reste est à jeter.

Ne vous y trompez pas, la période vraiment créative des Beatles commence à "Rubber soul". =)





The BEATLES
REVOLVER


Le 30 Juillet 2013 par MENCLAY


Le meilleur album des Beatles. J'ai pas tellement envie de développer.
Je l'emporterais probablement sur une île déserte, si je ne devais choisir qu'un seul album.





The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 30 Juillet 2013 par MENCLAY


5 étoiles, non.
Parce que Harrison nous refait le coup de la chanson indienne à 2 francs.
Parce que "Good Morning" est la chanson la plus faible que Lennon ait composée (dixit lui même).
Parce que la seconde moitié de l'album (excepté "Lovely Rita" et "A Day in the Life") est profondément ennuyante.

Cependant...
La chanson éponyme est un morceau de rock très efficace, la première moitié de l'album est d'une grande densité, mention particulière à "Getting Better", et She's Leaving Home".

Donc, globalement, 3,5/5, ramené à 4, parce que les titres que j'apprécie sur cet album sont tout particulièrement excellents.





Robin THICKE
BLURRED LINES


Le 29 Juillet 2013 par EASY RIDER

Un petit commentaire pour signaler que "Blurred Lines" est, au choix, soit un sample ou un infâme plagiat de "Got to give it up" de MARVIN GAYE. Quoiqu'il en soit, difficile d'apprécier le morceau de ROBIN après avoir entendu celui de MARVIN.





JJ CALE
NATURALLY


Le 29 Juillet 2013 par GURTU


Encore un immense qui nous quitte.

Cet album surtout (son premier) est une merveille composée de magnifiques petites piécettes ne dépassant pas 3 minutes (sauf la dernière 3mn12 !).


Un songwriter unique (demandez à Eric Clapton !).

A noter que Neil Young a confié que son jeu de guitare avait été fortement influencé par JJ cale.





STATUS QUO
BULA QUO !


Le 29 Juillet 2013 par STEELMONKEY


SUperbe album qui montre que l'on peut encore avoir la pêche après 52 ans de carrière (le groupe s'est formé en 1962) même si le nom Status Quo n'a été défini qu'en 69.





JJ CALE
NATURALLY


Le 28 Juillet 2013 par RAMON


JJ Cale vient de partir...pour de bon.
JJ Cale était un apôtre du farniente et de la contemplation, un orfèvre du laid back mais surtout un musicien doublé d'un songwriter inspiré, qui n'avait pas besoin de disposer de productions extravagantes pour nous transporter ailleurs et nous faire rêver.

Ce grand monsieur cultivait l'art de sculpter de divines mélodies autour du silence avec une économie de notes arrangées avec une classe folle, qui en disaient bien plus long que de grands discours.
De trois fois rien, jaillissait l'intensité.
JJ Cale dont les apparitions devenaient de plus en plus éparses avec le temps, préférait regarder pousser les plantes depuis un hamac installé sur le seuil de son ranch au tapage entourant les tournées et le rock'n'roll way of life.
Son oeuvre est une apologie à la lenteur, à la beauté de l'instant qui s'étire ainsi qu'à la douce nonchalence.

Cet artiste unique va nous manquer... d'ailleurs, il nous manque déjà.
Adieu l'artiste et merci pour tout.
R.I.P





The ROLLING STONES
OUT OF OUR HEADS


Le 27 Juillet 2013 par BABAR

Bon, je suis pas un immense fan de cet album (que j'ai en version UK), encore trop brouillon pour moi, mais je trouve ça vraiment bête de ne pas avoir mis "She Said Yeah" sur la version US, l'album aurait quand même bénéficié d'un titre énorme, en plus de "The Last Time" et "Satisfaction", ça aurait eu de la gueule !







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