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BLUE ÖYSTER CULT
AGENTS OF FORTUNE


Le 21 Novembre 2011 par DARK SCHNEIDER


Parler de cassure ou de revirement commercial m'a toujours paru extrêmement exagéré s'agissant de cet album.
Je trouve bien plus d'évolutions entre Secret Treaties et Tyranny and mutations qu'entre cet Agents of fortune et Sacret treaties. Ce dernier amorçait déjà largement une évolution des compositions vers quelque de plus carré et accessible voire commercial. Alors que sur les 2 1ers albums, aussi intéressant soient-ils, faut avouer que les compos étaient un peu bordélique, par toujours très facile de s'y retrouver dans la folie rock'n'roll du groupe. Du coup, je préfère assez nettement ce Agents of fortune au 2 premiers opus du BOC.

Déjà, Agents of fortune possède son lot de titres killer que sont les chefs-d’œuvre "This ain't the summer of love", "Don't fear the reaper" et "the revenge of Vera Gemini". 3 morceaux qui surpassent n'importe quels titres des 2 1ers opus. BOC parvenant totalement à maitriser toute sa folie créative et son atmosphère unique pour des compos immédiatement mémorisables et donc redoutablement efficace. Et les "Sinful love", "Tatoo vampire" et "ETI" ne sont pas en reste. L'on reconnaitra cependant que les derniers titres de l'album sont un peu en dessous mais loin d'être mauvais. Seul "True confessions", titre piano-bar franchement quelconque, que l'on doit à Allen Lanier (un des rares titres où il assure le chant lead), est la faute de goût de l'album, mal placé ne 2ème position de la track-list.

Mais peu importe, Agents of fortune est un excellent album, mélangeant avec bonheur des éléments hard-rock, rock, et un peu plus mainstream (Pop? je ne trouve pas vraiment mais bon), le tout doté d'une personnalité toujours aussi forte. Non mais franchement, "The reaper" et "Vera Gemini", quelle ambiance!

Secret Treaties et Agents of fortune sont le duo gagnant du BOC durant les 70's, il faudra attendre quelques années pour que le groupe retrouve une telle qualité musicale avec Cultusaurus Erectus et surtout Fire of Unknwon Origin.

Hop, pour la peine 5/5, parceque j'en ai assez de voir cet album trop souvent sous-évalué.





TALKING HEADS
77


Le 19 Novembre 2011 par JF LE COAD


Pour moi le chef d'oeuvre des TH , c'est remain in light . Les 3 précédents sont certes bons mais assez répétitifs , à savoir toujours un peu la même section rythmique sautillante qui finit par lasser. Seul remain in light résiste à plus de 30 ans d'écoute régulière.





Devin TOWNSEND
GHOST


Le 19 Novembre 2011 par YOTH


Non, mais faut arrêter de se méprendre : Devin Townsend ne change plus le plomb en or depuis "Ziltoid". Certes, on y était presque avec "Addicted", qui reste un très bon cru et sans aucun doute le seul album remarquable de l'expérience "Devin Townsend Project". Mais en prenant en compte les albums ambient que le bonhomme a déjà sorti par le passé, c'est à dire "The Hummer" et "Devlab", qui sont tous deux à vomir partout, c'est avec un peu de circonspection que j'ai prêté une oreille à cette ultime offrande.

Et contre tout attente, c'est très mauvais. Je ne vois pas comment on peut affirmer aimer l'ambient et le New Age avec cette compilation de musiques de supermarché. Et sacrebleu, que c'est long !
Au final, on ne sait trop ce qu'il faut reprocher à ce bon vieux Devin : ses chansons qui sentent la guimauve à plein nez, ou alors les guitares qui sont noyées non-stop dans leur propre reverb' ?

La masturbation collective autour des deux albums du DTP me font définitivement penser que les gens ne notent plus la musique, mais le mec qui les compose. Oui, oui, vous savez, le type qui en a fait pleurer avec "Biomech" et "Terria". Ce mec a maintenant le statut de relique vivante.
La seule chose à faire après un tel album, Devin l'a mise en pratique : prendre des vacances.





BLACK SABBATH
LIVE AT LAST


Le 16 Novembre 2011 par ATOMDOOM


Effectivement ce dique en public aurait pu être plus attrayant avec une meilleure qualité de son mais ça reste un bon témoignage d'une époque où BLACK SABBATH était au top. Et rien que pour cela, cet album mérite d'exister.





ARCTIC MONKEYS
WHATEVER PEOPLE SAY I AM, THAT'S WHAT I'M NOT


Le 15 Novembre 2011 par TERRY


Vraiment remarquable, et pourtant, je ne suis pas amateur de new rock ! Mais là, c'est juste puissant du début à la fin, même si je ne suis pas fan de "Dancing Shoes".





TALKING HEADS
77


Le 15 Novembre 2011 par BARBELé


Ce premier album de TALKING HEADS reste à mes yeux leur meilleur et exprime à merveille la magie du New York de la fin des années 70. La musique du groupe possède déjà une identité très forte : agressive et dérangeante, mais aussi terriblement mélodique.

Byrne se contient et ne chante pas encore comme un malade mental, ce qui distingue clairement cet album des suivants, bien plus pénibles à mes oreilles. De même, la structure des compositions - bien qu'empreinte du caractère déglingué et alambiqué qui est la marque de fabrique du groupe - reste placée sous le signe de l'efficacité. En d'autres termes, on a là de vraies chansons, construites et agréables à écouter. Une chose essentielle que le groupe perdra par la suite, privilégiant le rythme et les arrangements.

Bref, ce qui me plait ici est qu'un certain confort est encore ménagé pour l'auditeur, ce que renforce la production certes un peu lisse mais surtout très claire et précise de mister Bongiovi, cousin de qui l'on sait.

Je n'ai jamais accroché aux autres albums du groupe. Ici, on a encore un vrai disque de rock (peu importe l'étiquette post-punk ou new-wave) qui donne la pêche et procure des émotions fortes : cette époque était bénie pour la musique.

Et si je devais polémiquer, je dirais qu'ensuite, comme avec BOWIE, papa ENO a tout compliqué... Inutilement ?





PINK FLOYD
A MOMENTARY LAPSE OF REASON


Le 14 Novembre 2011 par SHIRIU


S'il ne contenait pas "A new Machine part 1 - 2" et "Dogs of War" (au solo quand même énorme), cet album aurait mérité son 5/5. Toutes les ziques de ce skeud sont soit ultra atmo, soit entrainantes, soit les 2 en même temps. Les montées et autres breaks bien dosés font de ce disque un sommet du Rock. N'en déplaise à ceux qui sont insensibles aux divers orgasmes auditifs que provoque une écoute de temps à autre du dernier très bon album du Floyd.





ÍON
IMMACULADA


Le 14 Novembre 2011 par SHIRIU


Quel bel objet! Ce magnifique digipack renferme un des albums les plus calmes, les plus beaux que je possède. Un peu de musique celte, de mystique, et le talent de Patterson rendent cet album meilleur que le précédent à mon sens. A ranger au coté de Dead Can Dance, le Ghost de Townsend (paru aujourd'hui sur FP), Arcana, et bien sûr d'Anathema (Alternative 4) pour le coté mélancholique et mélodique. Easy Listening?!? oh que non... C'est plus que ça mon cochon.





The JESUS AND MARY CHAIN
DARKLANDS


Le 13 Novembre 2011 par SEJITSU


Le temps passe et j'apprécie de plus en plus ce Darklands, je suis même pas loin de la fatidique 4ème étoile. Puis je me rappelle qu'il y a Automatic et surtout Honey's Dead juste après (sans oublier leurs faces b regroupées sur l'excellente compilation Barbed Wire Kisses).

Du coup ce disque reste à 3/5, mais un gros 3/5 alors.





The WHO
THE WHO BY NUMBERS


Le 13 Novembre 2011 par JINATHRAS


Un des meilleurs albums des Who mais aussi un des plus sous-estimé ! Pour moi les Who sont clairement au sommet sur ce disque : la voix de Daltrey atteint son paroxysme sur How Many Friends, celle de Pete dans le poignant However Much I Booze, Success Story avec son riff entrainant, pour moi la meilleur chanson d'Entwistle. Et que dire des mélodies ! Le piano sur They Are ALL in Love et How Many Friends est magique. C'est aussi un des disques les plus sombre du groupe qui parle de l'alcoolisme de Pete, la solitude...
Se place facilement dans le top 3 des Who avec un Sell Out et un Who's Next, à acheter les yeux fermés.





The JESUS AND MARY CHAIN
DARKLANDS


Le 13 Novembre 2011 par EL PACHENKA


Je suis un peu d'accord, ce n'est pas tellement étincelant. Et puis il y a une similitude de tempo que j'ai remarquée entre le titre "Darklands" avec "Just Like Honey" et "Sowing Seeds". J'ai le préssentiment que le CD ne va pas souvent tourner dans le lecteur.





BLACK SABBATH
HEAVEN AND HELL


Le 13 Novembre 2011 par POWERBEAUF


L'un des plus grands albums de tous les temps ? Je n'en sais rien. Mais un chef d'oeuvre, sans aucun doute. Tony Iommi nous sort ici quelques-uns de ses meilleurs riffs, sublimés par la voix convaincue de Dio, une production dynamique et des arrangements soignés. 6 titres excellents + 2 titres "seulement" plaisants (les 2 derniers, comme par hasard), voici l'équation d'une renaissance parfaitement réussie. La preuve par 8 qu'Osbourne était tout, sauf irremplaçable.

Indispensable à toute discothèque rock ou metal !





Johnny WINTER
ROOTS


Le 11 Novembre 2011 par ALEX

En forme, sur album peut être, parce que sur scène... Il fait peur (il du mal à marcher et t'as l'impression qu'il peut y passer d'une minute à l'autre quand tu le vois) et multplie les pains par moment.





Popa CHUBBY
BACK TO NEW YORK CITY


Le 11 Novembre 2011 par CHARLOT

Erwin dit "A conseiller aux amateurs de Blues simple et flashy, à l’opposé d’un WARREN HAYNES par exemple qui s’adresse aux puristes… Vous me direz ce n’est pas non plus le même niveau".
Cette critique m'a vraiment interloqué... Nous n'avons décidément pas dû écouter le même type ! Je n'ai pas écouté le dernier album de notre sympathique joufflu, je connais cependant une bonne moitié de sa discographie, et j'ai prêté une attention particulière au dvd "Wild" (excellent concert que je recommande à tous en passant), et je peux vous dire qu'en live, ce type est hallucinant tant sa maitrise d'un nombre incroyable de courants musicaux est mémorable. Il se balade littéralement sur son manche, chacune de ses nombreuses improvisations est technique, couplée malgré tout à une certaine simplicité, magnifiquement exécutée (la clarté du son est spectaculaire, on distingue vraiment chaque note) et admirablement percutante. De ce côté là, on pourrait même le comparer aux plus grands maîtres du blues électrique, Stevie Ray en tête. Popa Chubby délivre un blues éclectique et rafraichissant, jamais lourd et terriblement efficace.
Warren Haynes, également excellent guitariste (en particulier pour son travail au sein de Gov't Mule), propose en effet un blues davantage axé sur le côté "roots" du genre. Il ne peut en revanche pas se targuer d'avoir tenté une modernisation comme l'a fait Popa Chubby ."Il n'invente rien, il brasse" diront certains, il n'empêche que ce brassage est réalisé avec une classe inégalable, tout en conservant le côté profond et mélancolique du blues. Je ne vois donc absolument pas en quoi le "Chubby blues" peut être considéré comme bas de gamme en comparaison avec ses contemporains "puristes". Bref, sans rancune, mr. le chroniqueur (à qui je conseille vivement de visionner le dvd mentionné plus haut, si ce n'est déjà fait, afin de se convaincre du talent certain de ce grand -et gros- monsieur)!

Je m'en vais de ce pas et malgré une chronique assez dure, écouter ce "back to NYC".


Par Forces Parallèles

Hello Charlot,
Je suis d'accord avec toi plusieurs points. J'ai pas mal hésité à mettre 3 à ce disque. Le saccage, surprenant car il est vrai que notre guitariste sait manier son instrument, du classique de Bach m'a choqué et a emporté la décision.
Aprés, je pense tout de même perso qu'il y a un écart gigantesque entre Popa et Warren Haynes le leader des Allman Brothers, ou avec le jeune Derek Trucks, et qu'il n'arrive pas à la cheville du Johnny Winter d'il y a quelques années.
Je ne suis pas sensible à la modernisation du Blues qui pour moi doit rester une musique jouée avec le coeur, et avec les moyens du bord. L'acoquiner avec le Rap me parait une tentative hasardeuse et maladroite. J' n'y suis pas fovorable, mais ce n'est que mon avis. Là encore c'est probablement une question de goût.
Je confirme donc m'être montré assez dur avec cet album.
Erwin





KATERINE
ROBOTS APRèS TOUT


Le 10 Novembre 2011 par BENNETT


Le cas Katerine....ah là là pas facile à cerner celui-là.

Bien que je reconnais mépriser le tout venant de la chanson française actuelle (en dehors peut-être de Biolay), Katerine a le mérite d'émerger de la masse et de ne pas laisser son auditoire sur une impression fixe, est-il escroc ou génie ? Tiens ça rappelle le fameux dilemme qui entoure les derniers albums de Gainsbourg qui avait adapté son style particulier à des sons dans l'air du temps (reggae, funk, électro), le taxant alors d'opportuniste. De la à les comparer, c'est un pas que je ne franchirais pas même si il est dur de ne pas y voir des accointances avec Love on The Beat pour le côté éléctro et la dérision.

Passer d'albums aussi minimalistes et peu accessibles à ce Robots Après Tout qui semble parfait pour passer en radio nous oblige à nous poser la question : qu'a t'il voulu faire ? Amasser les pépettes, se moquer avec cynisme de la génération "clubbing" ou bien faire évoluer sa musique ? Je pense qu'il y a un peu des trois dans ce disque.

La chose qui ne laisse pas inaperçu, c'est de voir à quel point ce disque est bien fait en termes de production, le son pourrait vraiment passer en discothèque, Katerine ne se fout pas de nous et ravira les amoureux d'éléctro. Là où le disque devient polémique (ou fragile, je dirais), c'est dans ses textes qui nagent entre foutage de gueule éhonté ("Après Moi"), humour un peu facile ("Louxor, j'adore") et un regard sur notre époque ("Borderline" se révèle assez flippante en fait.). Malgré cet aspect mi-figue, mi-raisin, ce disque provoque chez moi une forme d'obsession inexplicable à tel point qu'il n'arrête pas de tourner en boucle depuis que je l'ai découvert.

Un objet fascinant, un astéroïde qui tombe sur la chanson française, prouvant que l'on peut allier un certain esprit arty régressif et popularité. Un coup de maitre qui s'ignore en somme.





KRAFTWERK
RALF UND FLORIAN


Le 10 Novembre 2011 par WALTER SMOKE


Enfin !!! Le premier vrai bon album de Kraftwerk !!!!!! Certes, on est encore dans la période pré-Autobahn, mais Ralf Und Florian reste un album de très grand cru, avec une face A quasi-parfaite, surtout Kristallo, qui mérite de figurer parmi les meilleurs morceaux de krautrock; quant à la face b, quelle plaisir, quel...stop ! euh nan, y'a Ananas Symphonie, le morceau qui gâche vraiment tout, merde !

En gros, ce troisième opus de Kraftwerk est presque un chef-d’œuvre. Presque





Mylene FARMER
AINSI SOIT-JE


Le 09 Novembre 2011 par IEN


Grand dénigreur de cette chanteuse pendant des années, je reste un peu idiot face à la qualité de cet album. Bien sur le son est tres ancré dans les 80's mais la qualité des ambiances (musique et paroles) compensent largement ! Bravo !





LED ZEPPELIN
PHYSICAL GRAFFITI


Le 08 Novembre 2011 par TERRY


Album assez boursouflé parfois, contenant du très très grand niveau, mais aussi des choses pas nettes : "In my time of dying" qui est trop long et répétitif, "Black country woman" que je n'ai jamais aimée, "Houses of the Holy" un peu saoûlante, "Boogie with Stu" assez mineure, idem pour "Custard Pie" sur lequel la basse de Jonesy ne se fait pas entendre, bouffée par un mauvais mix...
Mais, mais, mais...
Mais, il y à quand même du très lourd, ici (le reste de l'album, ce que je n'ai pas cité plus haut), et il est vrai que "In my time of dying" possède un riff bien mortel (mais répété trop souvent). Dans l'ensemble, un disque un peu inégal, longuet, mais quand même indispensable et mythique. Note réelle, 3,5/5, arrondie à 4, parce que je suis fan absolu du groupe et que, malgré tout, j'adore "PG" et je l'écoute très souvent, en vinyle et/ou en CD !
Mais ce n'est pas leur meilleur, ça, c'est clair, en tout cas, pour moi (c'est le "IV" de 1971).





LCD SOUNDSYSTEM
THIS IS HAPPENING


Le 06 Novembre 2011 par PAPAYOU


Un album vraiment bon a écouter avec des vraies perles comme Dance Yrself Clean, You Wanted a Hit, Drunk Girls, et j'en passe. Alors certes les chansons sont longues et l'album est moins innovant que le 1er mais il reste a un niveau excellent.





Devin TOWNSEND
DECONSTRUCTION


Le 06 Novembre 2011 par X

Juste une petite chose, a mon humble avis l' album Deconstruction de Devin Townsend PROJECT (et non pas Devin Townsend tout court, bien que ça soit grosso-modo la même chose), si il est musicalement classable, ne l' est certainement pas dans le hard rock mais bien dans le metal extrême gavé d' amphétamines ! En espérant que vous réparerez cette bourde !
Vivi


Par Forces Parallèles

Ta question me permet de faire deux choses importantes Vivi :

- T'envoyer des bisous et te dire que tu manques à toute l'équipe.

- En ce qui concerne l'appelation "Hard Rock" il convient comme pour tous les autres syles de musique dans FP de le prendre sous son appelation générique. Cela concerne donc toutes les branches du Hard Rock du FM au Black le plus éxtrème. Nous sommes un site généraliste, c'est donc du "Hard Rock". On pourrait éventuellement rajouter l'appelation "Metal", mais les deux se recouperaient souvent.
A titre de démonstration, je n'opère aucun distingo entre le Hillibilly, le Ryhtmnblues, le Rockabilly, le surf, les teenage idol et toutes les formes de ce que l'on appelle le "Rock'n'roll", c'est pareil pour toutes les musiques. La proximité avec Nime explique le nombre de questions à cet égard.







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