Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 915 916 917 918 919 920 921 922 923 924 925 926 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


ULTRAVOX
SYSTEMS OF ROMANCE


Le 27 Octobre 2011 par LEO


Systems Of Romance est mon album préféré d'ULTRAVOX avec John Foxx (Rage In Eden sera mon préféré avec Midge Ure).
Sur ce 3ème opus, le guitariste Robin Simon a pris la place de Stevie Shears qui officiait sur les 2 premiers, et on peut dire que l'on a pas perdu au change puisque la palette de Simon est plus diversifiée que celle du plus limité Shears!
Cette fois-çi, les guitares saturées se fondent bien plus harmonieusement avec les claviers et le violon de Billy Currie!
Si Systems Of Romance peut-être considéré comme un album charnière et de transition, celui-çi a presque plus de points commun stylistiquement avec l'ULTRAVOX à venir que celui des 2 premiers albums. en fait, on peut dire sans trop se tromper qu'il sert de fondation autant à ce que deviendra le futur ULTRAVOX avec Midge Ure qu'à la future carrière solo de John Foxx!
Pas forcément bien accueilli par la presse et le public à sa sortie, Systems Of Romance a par contre influencé pas mal de musiciens à l'époque: Gary Numan et Simple Minds entre autres.... (ces derniers s'inspirant également d'un autre groupe précurseur en matière de post-punk/new wave, je veux parler bien sur de MAGAZINE dont Robin Simon rejoindra les rangs brièvement pour une tournée et un album live en 1980).





SUPERHEAVY
SUPERHEAVY


Le 27 Octobre 2011 par LOUVOIR


Pour moi le problème de cet album, somme toute pas malhonnête, c'est Jagger.
Ce type a une voix taillée pour faire du rock et, à la rigueur du blues. Pas pour autre chose. Chacune de ses interventions font crisser les oreilles.
La musique en elle même est tout ce qu'il y a de plus conventionnel. La touche reggae me plait beaucoup en revanche. Damian Marley est un artiste que j'aime bien. S'il n'a pas le génie de son géniteur, il a bien appris ses leçons et a cette même sensibilité "roots" qui sait faire la différence.

Sans crier au génie, et en tenant compte du statut de super-groupe, je mettrais tout de même une étoile de plus.

Je garde quand même le sentiment d'avoir écouté un album inutile et d'avoir écrit un commentaire tout aussi inutile.





RED HOT CHILI PEPPERS
I'M WITH YOU


Le 26 Octobre 2011 par MR HHHH


C'est clair que cet album est... fort en dessous des autres. Mais moi j'ai envie de dire que c'est une première. Le fait de dire qu'il veulent faire "commercial" depuis Californication inclus c'est faux. Un peu après avoir écouté cet album lors de sa sortie, j'ai remis sur le tiroir leur album précédent, le double Stadium Arcadium, celui là je ne l'avais plus écouté depuis presque deux ans, ça a été la claque, sans le réécouter, j'avais envie de dire que I'm With You n'était qu'un petit prolongement, un genre de fond de tiroir des sessions de Stadium Arcadium, mais franchement, en comparant les chansons de cet album avec l'autre de 2006, il y a pas quelques différences, il y a un niveau en moins, je sais pas ce qu'ils m'ont foutu dans cet album là, mais dans Stadium Arcadium, et ses predécesseur, c'est un autre groupe...
Depuis le temps qu'on signale qu'un nouveau Red Hot allait sortir, je m'attendais personnellement à une deuxieme claque, un moment on disait même que c'était aussi un double album.
Et dans cet album ci, quand on pense au nombre de chansons bouche-trou, juste pour zapper,... c'est incroyable, de même que dans Stadium Arcadium, même les plus banales ont quand même quelque chose ne plus que l'album suivant...

Non là pour un échec c'est... pour un groupe que je connais depuis le début c'est carrément dramatique.

De toute façon ces derniers temps, tous les albums les plus recents des anciens groupes sont des merdes : le dernier Dream Theater est une daube, le dernier Red Hot (...), le dernier (les 2) Moby sont à chier, plus tôt, le dernier Radiohead était loin d'être exceptionnel, le dernier Massive Attack de 2009 était... 5 niveaux en dessous de Mezzanine...

On a tant critiqué les défauts évidents et malheureux du "commercial", je pense qu'on est davantage loin d'être sorti de tout ça... on va encore en ch**r pas mal ...

Ressortons nos vieux 33t et nos reeditions remarstered de vieux albums et oublions le reste ! il y a toute façon rien à retenir ! Tiens je vais fonder ma secte avec ça ... (ou faire dodo)





RED HOT CHILI PEPPERS
I'M WITH YOU


Le 25 Octobre 2011 par BARBELé


Les RED HOT CHILI PEPPERS ont traversé les années 2000 la tête haute, en se délestant de quelques fans désabusés mais en gagnant en maturité musicale. Alors certes, cette maturité a été pour certains synonyme de platitude et de niaiserie, mais beaucoup - dont moi - ont trouvé leur compte dans ce virage pop.

Que penser alors de ce nouvel album, qui marque l'entrée dans une quatrième décennie d'existence pour le groupe ?

Ce n'est clairement pas avec ce disque-là que les fans vont se réconcilier. Ceux qui ont décroché avec Califonication ne sont pas prêts de s'y remettre. Et pour les autres, ceux qui savent goûter des petites chansons pop subtiles et colorées comme le groupe a su en composer avec une inspiration jamais démentie ces dernières années ?

Disons que même pour eux, ce I'm With You a un petit goût d'aspartame. Cette musique est très light, très inoffensive et constitue la bande son honorable d'une après-midi californienne (ou niçoise...) ensoleillée. Un fond sonore agréable et honnête pour boire à petites gorgées un cocktail sans alcool. Des morceaux comme "Annie Wants a Baby" ou "Did I let you Know" sont bons, bien écrits, bien produits.... mais très gentils, très lisses et n'ont pas vocation à durer.

Bref, un disque à apprécier pour ce qu'il est, une sucrerie sans ambition ni véritable inspiration. Une petite douceur à consommer sur place mais que l'on n'emportera pas bien loin dans l'automne.

Est-ce un album indigne ? Sûrement pas. Leur virage commercial, les RED HOT l'ont pris en 1991 avec un Blood Sugar Sex Magic qui reste tout de même - il ne faudrait pas réécrire l'histoire n'importe comment - leur plus gros succès. Vendus, ils le sont depuis longtemps...





RED HOT CHILI PEPPERS
I'M WITH YOU


Le 24 Octobre 2011 par PINPON


Certes, les Red Hot ne feront jamais plus de "Mother's Milk", ni de "Blood Sugar...". Mais Metallica ne refera pas non plus de "Master...". Queen ne refera jamais de "Jazz"... (OK je sors).
Mettez vous dans la tête que ces mecs n'ont plus 20 ans, que les influences se multiplient avec l'expérience, et que tout ceci s'appelle l'évolution. Franchement quel intérêt de resservir toujours la même sauce? Après ce sont les mêmes critiques qui pointent le manque d'originalité. Alors certes, on aime ou on n'aime pas. Mais force est de constater que, hormis le look inqualifiable à la croisée entre un Freddie Mercury ou un Marc Lièvremont (pour la moustache), et un Justin Bieber (pour la mèche rebelle), ce qui a du influencer pas mal de chroniqueurs, l'album s'en sort plutôt pas mal. "Monarchy Of Roses" est à mon avis ce que les Red Hot ont proposé de mieux depuis 4 albums. "Factory Of Faith" fait la part belle à une excellente rythmique, et, à mon sens, LA baffe de l'album : Did I Let You Know. Un petit riff qui ne paye pas de mine mais foutrement efficace. Le reste se tient, hormis les 2 merdes de la fin (je reste objectif quand même).
Donc à mon sens l'unique étoile est un peu sévère et tient compte d'un passé qui ne reviendra plus...
Alors effectivement, Chad Smith ne cogne plus avec la vigueur de ses 20 ans, mais pour les avoir vus sur scène la semaine dernière, il tient encore largement la route! Kiedis assure au chant, Flea, c'est Flea (le temps n'a pas d'emprise sur lui :) ), et Klinghoffer s'en tire honorablement au niveau de la rythmique et de la présence scénique (un clône de Frusciante sur ce point), un peu moins dans ses solos...





JETHRO TULL
THIS WAS


Le 23 Octobre 2011 par ZOZO LE H


L'album n'est certes pas mauvais, évidement, je veux dire objectivement parlant quand on écoute l'album suivant, atteindre un tel niveau ça s'improvise pas, seulement cet albums ci manque de retouches, par exemple certaines chansons de trop, le genre d'album pas trop bon ou on zappe même avant de découvrir, comme Serenado To a Coco, ou bien un solo de batterie qui n'est qu'un gros bordel, (batteur que je pensais bien meilleur que ça ...)





The ROLLING STONES
STRIPPED


Le 23 Octobre 2011 par JF LE COAD


Je n'avais pas prêté attention à ce live pendant longtemps et pourtant il s'avère plus surprenant qu'il n'y paraît. Forte dominante de morceaux acoustiques que les Stones paraissent bien maîtriser ; car fait incroyable, ils jouent bien !!! Jagger est dans le ton et le tempo ( sous-entendu ce n'est pas toujours le cas), Ron wood aligne + de 4 notes sans reprendre son souffle et Keith ne se relâche plus une fois lancé le riff d'intro comme sur les live suivant.
Un ensemble assez paisible du fait de la track list retenue (pas mal de ballades).
Un très bon " street fighting man" ; une petite perle avec "Not fade away", un bon blues bien envoyé ("little baby") pour finir. Le meilleur Stones des ...30 dernières années.





TEN YEARS AFTER
A SPACE IN TIME


Le 23 Octobre 2011 par JF LE COAD


Ce qui contraste d'emblée sur cet album par rapport aux précédents; ce sont les intros jouées à la guitare sèche. Fini également la cadence endiablée de la basse après laquelle le batteur n'a plus à courir . l'ensemble dégageant alors , avec ce son plus "acoustique", une certaine sérénité, sans oublier des temps forts bien "punchy".
Disque intéressant donc à l'instar d'un B&B des stones, d'un led zep 3 , de CSN&Y voire des who, montrant que le blues/rock se marie très bien avec un son plus acoustique.
Seul les titres 5 et 10 dénotent ( d'ailleurs relégués tous deux en fin de face des éditions vinyles).
A noter, une version intéressante de "one of these days" avec Mick Taylor (tournée milan 81). Là on est plus dans la tuerie à la guitare; voire dans la démonstration.Idem pour "love like a man".





YES
CLOSE TO THE EDGE


Le 23 Octobre 2011 par TOWNSEND LE DEVIN


C'est vrai que, comme dit Jovial qui sait être objectif (et oui Descartes a raison), ce disque est long, chiant, et vraiment inintéressant pour du Rock Prog. Se rabattre sur Genesis, Supertramp, Camel et autre bombe qui sortaient tous des albums fabuleux à cette période.





TEN YEARS AFTER
WATT


Le 22 Octobre 2011 par YAN LE COADOU


c'est sur cet album que l'on trouve la seule version officielle de"Sweet little sixteen" dans une version de qualité sonore assez médiocre et qui tombe comme un cheveu dans la soupe sur un album par ailleurs de grande qualité dans lequel on se rend compte que les trois comparses d'Alvin sont plutôt de très bons musiciens!
les meilleures versions de ce grand classique de l'immense Chuck Berry seront jouées dans la période du Alvin Lee Band au début des années 80, malheureusement disponibles que sur des enregistrements pirates. Pour preuve celle jouée à milan en 81 avec le talentueux "mick taylor" vieil ami d'Alvin!





HENRY COW
LEG END


Le 22 Octobre 2011 par HGBDC


C'est assez déconcertant de constater que cet album est le premier du groupe, la maitrise qui s'en dégage, le niveau des musiciens (Frith et Cutler en tête.), c'est tout bonnement excellent. Et pourtant lorsqu'on écoute la suite de la discographie du groupe, on constate que ce n'est qu'une façade, que la maturité et l'identité du groupe n'est atteinte que par la suite. Les nombreuses inspirations "canterburiennes" se mêlent difficilement avec l'aspect sombre voire engagé de leur musique. Ça changera par la suite mais cet album est quand même très bon et c'est surtout l'album idéal pour débuter avec le groupe voire avec la musique d'avant garde.
En espérant voir la suite de leur discographie un jour sur FP...





KRAFTWERK
KRAFTWERK


Le 22 Octobre 2011 par WALTER SMOKE


Ah, le premier cru de Kraftwerk...mais bon, on a fait mieux comme premier album ! Certes, il est plus "chaleureux" que le premier Tangerine Dream, mais on sent encore un certain manque de technique, malgré une mélodie sympathique bien que primaire. Son successeur immédiat, sorti un an plus tard, me semble bien meilleur.





TEN YEARS AFTER
WATT


Le 22 Octobre 2011 par JF LE COAD


Mon préféré du groupe ; il a un son particulier sans doute du fait d'une plus grande présence des claviers qui apporte cette tonalité un peu mélancolique sur certains titres contrastant avec une basse très puissante se chargeant en même temps de la ligne mélodique (on est proche de l'époustouflante performance de john Entwistle sur "live at leeds" des who). On notera un certain effacement ( relatif !) de la guitare ce qui n'est pas pour nuire à son efficacité.
Sweet little Sixteen dénote un peu dans le tableau.





The ROLLING STONES
GOAT’S HEAD SOUP


Le 22 Octobre 2011 par JF LE COAD


A partir de cet album , il n'y aura guère que 2 ou 3 bons titres par album. On en aurait donc un très bon à partir de 3 ou 4 albums !
Ce GHS fût qualifié de "weak" par Taylor ; ce qu'on traduira selon son humeur par faiblard ou léger.





TEN YEARS AFTER
UNDEAD


Le 22 Octobre 2011 par JF LE COAD

La performance musicale est excellente, mais je n'aime guère ce blues teinté jazzy un peu trop désuet avec un timbre de voix mal placé.
On sent le groupe parfaitement à l'aise dans cet exercice scénique contrairement aux albums blues/rock suivants qui montreront les limites du groupe dans le travail en studio.(disons qu'avec les 3 albums suivants, certes bons, ils auraient pu en faire 2 excellents).
Très bonne version de spoonfull.





David BOWIE
STATION TO STATION


Le 21 Octobre 2011 par BENNETT


Ne cherchez plus, voilà le plus grand disque qu'ait jamais enfanté ce dieu vivant de la musique.

Œuvre hors du temps mais profondément ancrée dans son époque, ce qui est un paradoxe en soi, voilà ce qu'est Station to Station. Intime mais déchainé, court mais intense, placé à un moment charnière de la carrière de Bowie, cet album réussit le pari couillu de lancer une funk expérimentale sans la moindre concession avec des titres à la rythmique de malade mental (TVC 15, Stay et surtout Station to Station), d'ailleurs, la notion d'album concept prend tout son sens avec l'écoute du premier morceau qui nous plonge à la lisière de deux univers, celui de l'Ouest, aride et menaçant, face à l'Est, fécond et revigorant, une manière bien personnelle pour David de dire tout le bien qu'il pense de son exil allemand.

C'est en écoutant un disque comme celui-ci qu'on ne peut pas douter de la puissance d'un média comme la musique, on la vit, elle nous rentre dans la peau pour ne plus nous quitter et nous communique des choses.

Le genre de trucs qui nous tombe dessus, allez.... une fois tout les dix ans dans une vie de mélomane, raison de plus pour défendre ce joyau au sein d'une immense discographie.





AT THE DRIVE-IN
RELATIONSHIP OF COMMAND


Le 20 Octobre 2011 par RAUM


Trop propre pour pour les Harcoreux, Pas assez léché pour les "mélomanes".

Le cul entre deux chaises certes, mais de là à le ranger dans l'emo ou la révolte pré-pubère ...
Faut pas charrier non plus !

C'est un bon album, bien joué, et suffisamment entier pour résiter au temps.

Maintenant, pour les harcoreux, l'underground n'est pas près de disparaitre, et pour les "mélomanes" y'a The Mars Volta.





KRAFTWERK
KRAFTWERK


Le 20 Octobre 2011 par PO

Kratwerk ont trouvé leur style qui leur correspondait à partir de Radioactivity et de Autobahn (sans compter la face B), ici, on baigne encore dans l'experimental bordelique avec des sons laids, un mixage horrible, de la bonne merde qui ressemble à rien.
Alors que Tangerine Dream c'est tout le contraire, eux au moins savaient mêler les style planants, ambiants, et façonner le tout pour que justement ça donne envie d'écouter !
Par contre leur changement de style "pour faire commercial sousous popoche" contrairement à Kraftwerk ça leur allait pas du tout ...

Cet album là est tout à fait dans un style qu'ils n'ont jamais pu maitriser (un groupe n'est pas l'autre ...) ils avaient beau être encore plus novateurs dans la technologie de la musque electronique que TD, ça n'empeche qu'ils sont encore loin du compte et que dans ce style là ils n'arrivaient pas à la cheville du trio contemporain





BERURIER NOIR
SOUVENT FAUCHé TOUJOURS MARTEAU


Le 20 Octobre 2011 par RAUM


Période de crise, en 89 ça fait déjà 6 ans que les Bérus crachent dans la soupe et vu que leurs glaviots ne sont pas trop corrosifs on leur a même refilé un bus d'acier ...

Les 90's pointent le bout de leur nez, et pour reste rien ne bouge voire même s'aggrave.
Alors ça sert à plus rien de gueuler sur sa caisse à savon.

Cet album inégal a des relents de malaise entre "expérimentation" et manque de volontée.

A retenir pour la postérité: "Camouflage", "Kesako", "Soleil Noir" ... du bon dans la caisse à savon !

3,5 / 10





BERURIER NOIR
ABRACADABOUM


Le 20 Octobre 2011 par RAUM


Des Clowns, du Ketchup, et des Cocktails Molotovs !
Une bonne recette, dans les 80's, pour pervertir son petit neveu.

Qu'en reste-il aujourd'hui que les clowns et le ketchup ont disparus ?
Du bon son, sur des sujets qui prêtent de moins en moins à la déconne.

Qui a dit que les Bérus étaient morts ?







Commentaires :  1 ...<<...<... 915 916 917 918 919 920 921 922 923 924 925 926 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod