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CAMEL
MUSIC INSPIRED BY THE SNOW GOOSE


Le 16 Février 2010 par SMOUTHY


Vraiment énorme cet album. Dès les premières notes on est transporté dans un autre monde, avec ces ambiances et surtout cette guitare incroyable. Certains titres sont vraiment mémorables (ahhh cette flûte sur "Rhayader" ! Et cette guitare sur "La princesse perdue", waouh!). Un des seuls albums qui, dans 20 ans, tournera encore sur ma platine. A écouter d'urgence !

Par contre, la dernière phrase de la chronique m'intrigue. Parce que j'ai eu beau chercher ("Moonmadness", "Rain Dances", "I Can See You From Here"), mais je n'ai jamais retrouvé la perfection d'un tel album. Je m'y suis mal pris ?





VANGELIS
ALBEDO 0.39


Le 15 Février 2010 par TERRY


Un de mes albums préférés de Vangelis avec "China", "L'Apocalypse des Animaux" et "Opéra Sauvage". Superbe !





Rick WRIGHT
BROKEN CHINA


Le 15 Février 2010 par ANNA OH!


Un très beau disque qui s'apprécie au fil des écoutes, bien sûr on est dans l'atmosphère du Floyd, mais on s'en éloigne pourtant sur titres. Une voix fragile qui se marie à merveille avec celle de Sinead O'Connor, particulièrement sur le titre "Reaching for the Rail" qui est le haut du disque, ce titre est une véritable merveille !





The CURE
THE CURE


Le 14 Février 2010 par EL PACHENKA


Album ni bon ni mauvais. Un gros son, des bons titres (les quatre premiers). Le saule pleureur vieillissant nommé Robert Smith (c'est triste à dire)aurait encore de la pêche à donner?





David BOWIE
STAGE


Le 14 Février 2010 par TERRY


Immense live, le meilleur live bowien.

P.S. : Pour Léo (précédent commentateur) : les shunts entre chaque morceau s'expliquent par le fait que le tracklisting de la réédition CD n'est pas le même que pour le vinyle initial (qui proposait 17 titres).





ANGE
PAR LES FILS DE MANDRIN


Le 14 Février 2010 par GUEHLYNOIS


Quoi ? Le second meilleur album du groupe après le chef-d'oeuvre Caricatures. Leur dernier bon album à mon goût





Francis CABREL
LES CHEMINS DE TRAVERSE


Le 14 Février 2010 par TERRY


Pas mon préféré, mais un excellent cru, j'adore "Les chemins de traverse" notamment !C'est vrai pour la pochette, franchement rebutante, lol





INTERPOL
ANTICS


Le 14 Février 2010 par EL PACHENKA


Je le juge moins bon que "Turn On The Brights Lights" pour le simple fait qu'Interpol avait fait fort avec son premier album. "Antics", bien que plus dépouillé, restera longtemps un cran en dessous de son prédécesseur jusqu'à prouver le contraire. Peut-être, peut-être pas? A part "Evil", "Slow Hands" et "Public Pervert", pas de quoi s'extasier sinon de choper une bonne déprime par temps gris. Dommage. Et puis tant mieux aussi s'il faut s'affranchir d'une musique souvent ennuyeuse en mettant le moral dans les chaussettes.





The MOODY BLUES
DAYS OF FUTURE PASSED


Le 13 Février 2010 par YOLOLYOLOP


Excellent album même je dirais encore plus novateur que certains classiques de l'époque, mais bon je trouve qu'il y a trop d'orchestre, et surtout au début, une introduction de 5 minutes avec l'orchestre philharmonique de Londres, c'est trop.
C'est pour ça que les albums suivants paraissent beaucoup mieux, ici c'est juste un essai dans le style.





KING CRIMSON
ISLANDS


Le 12 Février 2010 par IOM


Ahhh Islands.
Il est, avec Lizard (et évidement The Court, mais lui c'est inutile de le citer), mon album préféré du Roi.

Ce que certains qualifient d'un manque d'audace, j'y ai vu, moi, justement une audace éblouissante. Alors que tout le monde s'attendait à un survoltage de notes dissonantes, Fripp nous dévoile ici son album le plus mélodique.
C'est une véritable fresque qui se dévoile à nos oreille, et, par l'apparente simplicité des compositions, il est extrêmement facile de laisser libre court à son imagination.

Une chose que j'ai toujours adoré chez Crimson, c'est le retrait du chant. Ici, ce retrait est même sublimé.

Le seul album où la voix est vraiment agréable à entendre. L'harmonie est si parfaite avec le reste des instrument qu'elle se fond dans la poésie mélodique.

La composition, elle, se veut baroque, voire gothique. Ce n'est pas du rock, certainement pas. Ni du pop, d'ailleurs.
On en revient aux contes dépeinds dans un Circus ou Lizard. Ici, c'est une histoire qui est racontée, et elle est terriblement bien écrite.

L'album, en l'absence de "ladies of the road" aurait pu être vu comme un tout, un quadriptie monumental. Seul cette chanson vient se démarquer d'un tout, et briser l'harmonie. Et c'est dommage. Sans ce morceau, l'album aurait été un véritable album concept, sur le thème d'un même univers viennent se coller quatre épisodes, quatre moments, quatre endroits.

Enfin bref, pour moi un des meilleurs de King Crimson. Le dernier album auquel, en l'écoutant, on vient carrément dans la cour du Roi Cramoisi pour vivre l'histoire.






MAGMA
ËMëHNTëTT-Ré


Le 12 Février 2010 par MONSTER


Le Magma des années 2000, de K.A et Ëmëhntëhtt-Ré, n'évolue pas vraiment il est vrai, mais c'est un peu normal vu qu'il met la touche finale à des oeuvres composées en 1974-75, donc ce n'est pas trop ce qu'on lui demande. Je trouve que K.A et Ëmëhntëhtt-Ré font partie des meilleurs albums de Magma, juste après M.D.K. et Kohntarkosz qui restent inattaquables. Rien de neuf sur K.A ? Un peu normal vu que ce dernier, composé en 1974, se veut le point de liaison entre M.D.K. et Kohntarkosz, avec une utilisation encore plus poussée des voix (il y a dès fois 16 pistes de voix utilisées sur cet album, un véritable opéra). Ëmëhntëhtt-Ré a été composé en 1975, donc c’est un peu normal qu’on y trouve dedans du M.D.K., du Kohntarkosz, du Udu Wudu et du Attahk mais rien de vraiment neuf. La dernière véritable évolution de Magma c’est Merci en 1984, un Magma plus commercial sonnant comme du Prince par instant. Depuis, Vander est passé à autre chose, au Christian Vander Trio et à Offering. Je ne sais même pas s’il est prévu de nouveaux enregistrements studio après Ëmëhntëhtt-Rê...





KING CRIMSON
DISCIPLINE


Le 12 Février 2010 par IOM


Ah... King Crimson.
Du moins, c'est ce que j'ai cru en sortant le CD de la pochette et en le plaçant dans le lecteur.
"Mais qu'est-ce que c'est que ça?". Cette phrase, j'ai pour habitude de la dire à chaque album du roi pourpre que j'ai pu découvrir. Mais, contrairement aux autres fois, elle n'était pas sur le ton du plaisir. Le roi est bel est bien mort, son remplaçant n'a de lui que le nom.

Le premier morceau, "Elephant Talk", m'a au début surpris par son rythme. Grand dieu, on pourrait danser là-dessus!
J'avoue que l'idée d'un rythme aussi simple m'a amusé, et au fond, est plutôt sympathique. Un moyen d'amorcer le CD en douceur, me disais-je. Je regrettais toutefois que le morceau ne débute pas par une fresque épique et cristalline, ou bien terriblement sombre. Mais un tableau en musique. Non, là, c'est un morceau de musique, et on ne nous le fait rappeller. Chose que j'oubliais très vite auparavant, tellement j'était transporté par tout ce que racontait les compositions des précédents albums.

Discipline. Au moins, le titre est pleinement respecté. Jamais le groupe n'aura été aussi précis. Et c'est le point fort de l'album. Avec les morceaux comme discipline et indiscipline, j'en arrive encore à me demander comment Fripp et ses comparses arrivent à jouer ensemble sans s'emmêler les pédales, tellement leurs jeux sont entremêlés et hors rythmes l'un de l'autre. C'est juste hallucinant. Pour arriver à s'y retrouver, au début, surtout éviter de suivre les guitares, c'est impossible à la première écoute.

Mais voilà, l'admiration que j'ai pu éprouver s'arrête là. C'est d'ailleurs le seul sentiment que j'ai pu éprouver en écoutant cette galette. A chaque morceau, je me répétais "le prochain te transportera, te fera rêver, tu verras". Et bien non. J'avais, et j'ai toujours l'impression d'assister à une démo technique, à une session d'exercices de rythmes. Contrairement aux autres, je n'ai rien trouvé d'envoûtant dans "Matte Kudesai". Le refrain est plat, et la musique ne fait rien pour le porter. En fait c'est simple, j'ai l'impression que chacun a joué dans son coin, et qu'ils ont ensuite mis tout ensemble au mixage.

Jamais mon coeur ne s'est soulevé, mon cerveau n'a voyagé dans des paysages enchanteurs, ne s'est retrouvé écrasé par la peur. Seules mes oreilles en on eu marre.

Ce que je regrette, c'est que les compositions ne sont plus pensées comme un opéra, pour raconter une histoire. Non, King Crimson veut impressionner par son talent technique. Malgré la précision implacable du jeu, malgré les prouesses techniques, malgré la parfaite coordination des membres, je n'ai trouvé aucune connexion entre-eux, aucune vibration, aucun partage d'émotion.

Et pourtant, je me force à l'écouter. Je me connais, j'aime rarement un album à la première écoute. Mais là, après une vingtaine, j'abandonne. Les années 80 ont toujours été dures à supporter pour moi, mais si en plus mon groupe favori s'y met, là je craque.

J'applaudis son orchestration. Elle n'est malheureusement pas de celles qui me font vibrer. Elle est de la trempe de celle qui fait... Disons parler. Mais très franchement, je crois bien que si il n'y avait pas écrit King Crimson sur la jaquette, j'aurais été bien moins clément, et cette galette se serait retrouvée au fond de ma corbeille en moins de deux, et depuis longtemps.

Cet album est un chef-d'oeuvre de technique. Mais si vous voulez rêver, passez votre chemin. Ici, vous écoutez un CD de musique. Vous n'allez pas voyager dans la cour du roi cramoisi. Et c'est bien là le problème, c'est que le nom du groupe sur la jaquette nous faisait penser qu'on allait attacher nos ceintures encore une fois.





Alain BASHUNG
FIGURE IMPOSEE


Le 12 Février 2010 par TERRY


Un Bashung mineur (mais tout de même supérieur au suivant, "Passé Le Rio Grande..."). Deux ou trois bonnes chansons comme "Elégance", "What's in a Bird" ou la seule chanson signée Bergman de l'album, "Imbécile", mais dans l'ensemble, un disque peu essentiel.





ELECTRIC SIX
KILL


Le 11 Février 2010 par BUBBA

Oui un groupe peu connu en France malgré quelques les singles cités dans la chronique.
Je ne connais pas cet album, mais j'adore Fire et Señor Smoke est très sympa. Par contre je voulais simplement faire une remarque sur le "défaut de production" : ce n'est pas un défaut, c'est un choix délibéré de production. Après j'ai toujours du mal à comprendre ce choix, ce genre de prod est assez insupportable.





THEM CROOKED VULTURES
THEM CROOKED VULTURES


Le 09 Février 2010 par ROCK EN STOCK


Non mais faut pas s'emballer les p'tit loups... Cet album est loin d'être une claque, une tapette tout au plus. La premiere partie de l'album est efficace, voire assez démente : "New Fang" impose sa ligne de chant assez incroyable, le basculement de "Neither Do I" à sa moitié est saignant comme jamais... Le son est puissant, inventif, gentiment vintage. Helas, l'émotion est absente de cet effort, le truc qui touche au coeur et pas aux pieds et aux oreilles, et la deuxieme partie de l'opus est éreintante, s'embourbe dans des longueurs sans nom jusqu'à se perdre définitivement dans les limbes de l'ennui. Dommage, on aurait aimé un peu plus d'âme venant de ces trois-là. Si la suite corrige le tir, pourquoi pas ; mais celui-ci ne restera pas dans l'histoire.





INTERPOL
TURN ON THE BRIGHT LIGHTS


Le 08 Février 2010 par EL PACHENKA


Un excellent album de 2002, l'un de ceux que j'ai le plus écouté, bien plus que "Songs For The Deaf" des Queens Of The Stone Age. Atmosphères lancinantes, mélancoliques, tourmentées, des lourdeurs virulentes. Un premier album que le groupe de New York semble difficilement occulter avec les deux albums suivants. Un album pour promenades nocturnes dans des rues pluvieuses sur lesquelles se reflètent les lumières froides et urbaines.





INDOCHINE
LE PERIL JAUNE


Le 08 Février 2010 par SUNTORY TIME


Bon, il faut bien admettre que cet album a mal vieilli (fichues 80's !), mais le charme est là, c'est indéniable.

Le Péril Jaune est l'album le plus "Asiatique" d'Indo. Cela se ressent autant dans la musique que dans les textes. Aucun mauvais titre, même si on atteint rarement le chef-d'oeuvre.

Véritable coup de coeur cependant pour "A l'Est de Java", meilleur chanson de l'album, et "Le Péril Jaune", sublime petit instrumental (toute première composition de Nicolas SIRKIS) aussi court que grandiose.

Plus maîtrisé que l'Aventurier, Le Péril Jaune bénéficie aussi d'une très belle pochette, très représentative du contenu. Un disque pour lequel j'ai une tendresse particulière, ayant eu aussi(comme beaucoup d'ados) ma période japonisante.





Olivia RUIZ
LA FEMME CHOCOLAT


Le 08 Février 2010 par GLOUBI_BOULGA-VORE


Je trouve ça un peu léger comme style de chanteuse mais ce que j'apprécie le plus dans cet album ce sont les arrangements musicaux (cfr La Femme Chocolat, Elle Panique, etc.)





Billy IDOL
REBEL YELL


Le 05 Février 2010 par FEELGOOD


Deuxième album de Billy Idol, Rebel Yell constitue un véritable coup de maître. Il est vrai que notre ex-punk avait de nombreux atouts dans son jeu:
- un manager célèbre dans le milieu, Bill Aucoin, qui s'occupa notamment du Kiss de la grande époque et du Generation X de la fin.
- le producteur Keith Forsey, ancien batteur de Giorgio Moroder, célèbre pour avoir co-écrit l'énorme tube Flashdance ... What A Feeling d'Irene Cara. Il récidivera quelque temps plus tard avec le fameux Don't You (Forget About Me) de Simple Minds ( repris par Billy sur son Greatest Hits ).
- un guitariste fabuleux, Steve Stevens, déjà plus que prometteur sur l'album précédent.
La pochette nous montre le péroxydé Billy, le torse nu et nimbé de rouge. Au verso, une photo de Steve Stevens, tout de noir vêtu, aux côtés de son acolyte plongé dans l'ombre. Tous deux formaient alors une sorte de yin et de yang de la créativité, le chanteur blond et le guitariste brun ayant composé la majorité des titres... L'alliance du punk et du hard en quelque sorte... L'immense succès du disque repose indéniablement sur le cocktail détonant constitué par les racines punk de Billy, la virtuosité hard de Stevens et les élément dance et new wave apportés par Forsey.
L'album démarre au quart de tour boosté par la bombe qu'est l'hymne Rebel Yell. Le solo mortel de Stevens et les gueulantes de Billy en font un classique absolu des années quatre-vingts. Le single se classera n° 46 aux Etats-Unis. L'autre grand moment de la première face demeure le gigantesque tube Eyes Without A Face ( n° 4 U.S. ), ballade inquiétante magnifiée par des choeurs féminins envoûtants. Les fameux "Les yeux sans visage" du refrain sont bien évidemment un hommage au génial film de Franju.
La deuxième face abrite deux autres tubes mémorables pour les ados des années quatre-vingts, le dansant Flesh For Fantasy (n°29 U.S.) et le sympathique Catch My Fall, embelli par le saxophone de Mars Williams.
Mais Rebel Yell vaut aussi le détour pour d'autres titres plus obscurs, tels que Daytime Drama et Blue Highway, cette chanson témoignant du goût du chanteur pour la vitesse, qui faillit d'ailleurs lui coûter la vie quelques années plus tard.
La face B contient quelques pépites plus hard, Crank Call et (Do not) Stand In The Shadows.
Et la ballade glauque The Dead Next Door conclut ce petit bijou sur une note maladive...
Cet album, représentatif du meilleur des années quatre-vingts, fit de Billy Idol une véritable star. Des clips astucieux enfoncèrent le clou et Billy devint l'un des artistes les plus diffusés sur MTV. Pour avoir une idée de l'ampleur du phénomène, il faut savoir que des coiffeurs américains allèrent même jusqu'à créer une coupe Billy Idol!
Dommage que la suite ne fut pas toujours à la hauteur de cet excellent Rebel Yell.





Neil YOUNG
ZUMA


Le 04 Février 2010 par ISMA


Super album mais c'est pas un chef-d'oeuvre.

J'aimerais comprendre ce qu'il y a de génial dans son jeu de guitare lead. C'est très très maladroit je trouve. "Cortez the Killer" c'est une chanson sublime en seulement 3 accords et le solo d'intro est bizarre. D'un côté j'aime bien et d'un côté je déteste. C'est planant mais il y a énormément de fautes de rythme et je sais que ce n'est pas voulu par Neil YOUNG. Ce mec est donc touché par une certaine grâce. Grand compositeur et guitariste... "chanceux" je dirais. Je le répète son jeu en lead est vraiment insultant.

Le song writing reste sublime. C'est un album culte que j'écoute souvent d'ailleurs. Mais j'avoue rester sur ma faim d'un côté gratte. D'ailleurs Warren Haynes (Allman brothers band, Gov't Mule) a une super version de "Cortez" avec Dave MATTHEWS BAND. Il a "corrigé" les gros défauts et maladresses du jeu de YOUNG pour les parties solo. Donc je vous conseille vivement d'écouter cette version.







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