Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 978 979 980 981 982 983 984 985 986 987 988 989 ...>...>>... 1159
Comment poster un commentaire ?


Alain BASHUNG
PIZZA


Le 04 Février 2010 par TERRY


Très bon album, il y a des chansons un peu moyennes ("Idylle Au Caire", "Retours"), mais j'adore "Aficionado", "Rebel", "Vertige De L'Amour", "Ca Cache Quekchose", "L'Araignée". "Gaby Oh Gaby", rajouté sur le CD (l'album ne contient que 11 titres en vinyle) est grandiose aussi.





Billy IDOL
BILLY IDOL


Le 03 Février 2010 par FEELGOOD


Un premier effort prometteur et réjouissant, même s'il ne fait pas figure de grand classique, et que l'on écoute et réécoute, toujours avec le même plaisir, près de trente ans après, ce qui n'est pas rien...
Un bon petit groupe duquel émergent évidemment le virtuose Steve Stevens et la voix, certes limitée, mais pleine de charme de celui que les mauvaises langues traitaient de punk de supermarché...
De l'accrocheur Come On Come On d'ouverture au moins essentiel Congo Man, dernier titre figurant sur ma vieille cassette vintage ( en lieu et place de l'explosif Dancing With Myself présent sur le CD du chroniqueur), tout ici est bon à prendre, même les plus dispensables Love Calling et Shooting Stars... Les saignants Dead On Arrival et Hole In The Wall cohabitent avec le poppy et décontracté It's So Cruel, morceau éminemment addictif.
Les deux compositions vedettes de l'album demeurent bien sûr le menaçant mais catchy White Wedding (qui donna lieu à un clip sympa)et l'irrésistible et imparable Hot In The City, au refrain terriblement entraînant.
Un bon album à redécouvrir.





SAGA
BEHAVIOUR


Le 01 Février 2010 par FRANCK


Excellent album de Saga qui marquera la fin de la période " Classique ".

De très bons titres et surtout une voix : celle de M. Sadler toujours aussi crystaline et émouvante. La richesse mélodique est toujours là.

Ecoutez-le et faites-vous votre propre opinion, vous verrez, cet album a quelque chose en plus....





Bryan ADAMS
RECKLESS


Le 01 Février 2010 par SISCO


C'est vraiment la meilleure période du Canadien. Un album exemplaire de rock et d'harmonies. Pas trop nunuche finalement et quand même assez loin, malgré ce que l'on en disait à l'époque, du Boss. C'est avec Into the Fire que Bryan Adams a conclu sa bonne époque. En tout cas sur scène, je garde deux merveilleux souvenirs : à Vienne, juillet 92, tournée Waking up the Neighbours, avec Extrême en 1re partie, le Canadien a joué sous une pluie battante pendant deux heures ! Deux ans plus tard, il était au Zénith de Toulon pour So Far so Good : il invite Michael Jones à jouer sur scène, Goldman lui n'ose pas franchir le pas. Mais surtout c'est Johnny (hiii) qui est venu taper le boeuf sur Blue Suede Shoes... En comparaison, le Boss, également vu à deux reprises, ne m'a jamais autant paru gaillard sur scène. Pourtant...





MIDNIGHT OIL
A PLACE WITHOUT A POSTCARD


Le 31 Janvier 2010 par EL PACHENKA


Cette chronique a mis en évidence ce que je n'arrivais pas à me dire au niveau de la production, faisant accuser ce disque par son atmosphère aride et sonnant comme un creux entre "Head Injuries" et "10,9,8,7,6,5,4,3,2,1". Malgré ce bémol, pas mal de morceaux accrochent, tels "Don't Wanna Be the One", "Brave Faces" ou "Quinella Holiday", mais aussi "Armistice Day", qui dans son tempo lent et accusateur, est l'un des morceaux les plus cinglant des Oils à mon avis. Dans l'ensemble de ce troisième album, on sent encore que les guitares imprègnent de leurs brûlures solaires des précédents albums et la basse de Peter Gifford (qui a remplacé le précédent bassiste Andrew James) arrive à nous faire vibrer quelquefois de quelques coups ronds, secs et crades, comme dans le passage transitoire dans "Someone Else To Blame".





The VELVET UNDERGROUND
WHITE LIGHT/WHITE HEAT


Le 31 Janvier 2010 par BENSOUSS


Je viens de terminer la lecture du commentaire de Jeremy sur White Light / White Heat du Velvet Underground.

Je dois avouer être perplexe. J’aurais compris une critique disant de l’album qu’il était inaudible, dissonant et qu’il n’était qu’une agression insupportable pour l’auditeur. J’aurais compris que l’on dise que ce n’était pas de la musique mais du bruit (c’était d’ailleurs le cas White noise). J’aurais évidement préféré une critique qui constate l’importance historique de ce disque et que la moitié de ce qui c’est fait en Pop et Rock depuis 1977 n’aurait jamais existé sans ce disque. J’aurais moi même dit que jamais la tension n’a été mieux exprimée musicalement que par ce disque.

Mais alors là j’ai l’impression que l’on à demandé son avis à un vendeur de disque du rayon CD en solde chez Carrefour, plus habitué a vendre des disque de Céline Dion et de la Compagnie Créole, que du rock.

Dire que la moindre note de ce disque qu’elle est insipide relève, dans le meilleur des cas d’une niaiserie affligeante, dans le pire, d’une surdité précoce fort préjudiciable à l’exercice de la critique musicale. N’être capable de dire du son, proprement tellurique de ce disque, saignant a souhait, véritable boule de nerfs, que franchement il est pas terrible…les bras m’en tombent.

Pourtant les critiques sont plutôt mieux que les compliments.
Quand Jeremy encense les solos de Lou Reed on à l’impression qu’il nous parle d’un album de Clapton ou de Frampton. Quand il qualifie I Heard Her call My Name d’« endiablé » j’ai cru qu’il nous chroniquait un Best of d’André Verchuren. Enfin, last but not least, réussir à trouver une note positive à Sister Ray avec ses « mélodies au piano très agréable » alors qu’il s’agit d’un des morceaux les plus torturés, violent et agressif jamais gravé sur vinyle, et un exploit dont je félicite notre sympathique candidat.

Enfin on a le droit d’aimer les Stones et les Doors (si si ils ont mêmes fait des choses intéressantes) mais c’est un peu comme dire que les « sommets » des émeutes d’octobre 2005 à Clichy la Garenne, c’est quand même autre chose que la révolution Bolchevique de 1917.

En résumé cette chronique est probablement la pire que je n’ai eu l’occasion de lire. Et pourtant j’ai lu un paquet de lieux communs et autre mièvreries en 25 ans d’amour du rock.





Alain BASHUNG
PLAY BLESSURES


Le 30 Janvier 2010 par MONSIEU P.


Comme quoi les goûts et les couleurs ça ne se dispute pas, moi j'aurais plutôt mis Chatterton, L'imprudence, Fantaisie Militaire voir même Bleu Pétrole en tête des meilleurs albums de Bashung.

J'adore Gainsbourg, j'adore Bashung, mais je ne trouve pas ce Play Blessures super. Je n' irais pas non plus jusqu'à assassiner l' album comme il est souvent de coutume. Je lui mets donc un petit 3 sur 5 parce que j' aime bien quand même.





The OFFSPRING
CONSPIRACY OF ONE


Le 30 Janvier 2010 par JULIEN


Juste une petite remarque concernant le morceau "Dammit, I change again" : effectivement, le riff principal du titre ressemble furieusement à celui du "Still waiting" de Sum 41, mais l'album où figure ce dernier titre étant sorti en 2002, et "Conspiracy of one" en 2000, je pense que le clin d'oeil, si clin d'oeil il y a , est davantage à chercher du côté des Sum 41 ;).

Sinon, voilà un disque des plus sympatoches à écouter, avec une première moitié d'album imparable, et une deuxième partie (à partir de "Living in chaos") peut-être moins efficace et se risquant sur quelques pistes moins axée tubes (en parlant de tubes, vous trouvez pas que la mélodie de "Vultures" a des faux airs de "Come as you are" de Nirvana ?). Les délires offspringiens et disposés à faire naître la bonne humeur sont toujours de la partie, et la chronique de Fromage_enragé me semble très complète et précise, mais pour ma part j'ajoute volontiers une quatrième étoile à ce disque qui, faute d'originalité, me fournit ce que j'attends avec plaisir d'Offspring, à savoir de l'énergie, du fun (non, pas de l'eau de source), des refrains addictifs, et la voix inimitable de Dexter Holland. A noter aussi un livret très chouette, avec une petite illustration pour chaque morceau !





MASSIVE ATTACK
PROTECTION


Le 30 Janvier 2010 par GOKUDO


2 sur 5 pour protection? ça me parait un peu excessif.

Ok l'album est lent et atmosphérique mais ça n'en fait pas forcement un album ennuyeux!
C'est le premier Massive Attack que je me suis écouté (il y à 6ans environ) et franchement après on écoute je n'ai eu qu'une envie: découvrir le reste de la discographie du groupe (c'est chose faite depuis).
De plus, je l'écoute aujourd'hui encore avec énormément de plaisir (et pas un simple plaisir nostalgique) et il ne me sert pas à mettre un fond sonore en soirée!

Par contre je suis ok pour dire que le maillon faible de cet album est Heat Miser (avec ses respirations asmatique à la Dark Vador).






Alain BASHUNG
PLAY BLESSURES


Le 30 Janvier 2010 par TERRY


Le meilleur de Bashung avec "Fantaisie Militaire" (mais devant "Fantaisie...", selon moi). Innovant pour l'époque, incompris à l'époque, culte depuis. Rempli de grandes chansons, comme "Lavabo" ou "J'Croise aux Hébrides". Puissant.
Je ne comprends pas la chronique, qui semble avoir été écrite en 1982 (tout le monde l'a assassiné à l'époque) !





Alain BASHUNG
PLAY BLESSURES


Le 29 Janvier 2010 par LE STO


Comparé au rock un peu juvénile des albums précédents (notamment Pizza) et des passages assez pénibles de Passé le Rio Grande, cet album est probablement le meilleur d'Alain avec Novice dans les années 1980. Le ton est assez avant-gardiste (pour de la chanson francaise de 1982!) et certains titres sont parmi les meilleurs de l'artiste : "Lavabo", "Scènes de Manager", "Martine Boude".

Quant aux trois derniers titres dont l'instrumental de 14 minutes dont tu parles, ils ne sont pas sur la version originale de l'album. Ils sont issus du film "le cimetière des voitures" et ont été ajoutés à l'album plus de 10 ans après la sortie originale de Play Blessures, donc attention aux amalgames.





Alain BASHUNG
PLAY BLESSURES


Le 28 Janvier 2010 par SUNTORY TIME


Play Blessures, ou l'album surréstimé de BAHSUNG.

J'ai lu et relu que cet album est le premier chef d'oeuvre du chanteur. Peut être que les journaleux ont tendance à considérer que tout ce que GAINSBOURG touchait se transformait en or (malheureusement ce n'est pas le cas !). Peut être aussi que le statut de suicide commercial de cet album à joué en sa faveur. Réduction facile encore une fois.

Bien sûr les textes sont excellents, surréalistes à souhaits, GAINSBOURG a fait du bon boulot. Mais la musique et surtout la production 80's a fait de sacrées blessures justement.

Et puis la pochette, d'un kitchissime effrayant. Connaissant BASHUNG, il y a une part d'autodénigrement, mais quand même !
Alin fera bien mieux par la suite, même s'il faudra attendre Novice pour qu'il devienne ce génie de la chanson française (ou rock français, ou ... mais quelle étiquette lui coller au fond ?).

On te pardonne Alain, de toute façon là où tu es désormais tu t'en fiches un peu. Reste que Play Blessure est un album moins important dans sa discographie que certain veulent nous le faire croire.





Bruce SPRINGSTEEN
DARKNESS ON THE EDGE OF TOWN


Le 26 Janvier 2010 par TERRY


Sans doute le second chef d'oeuvre du Boss après "Born To Run". En tout cas, mon préféré avec "Born To Run" (et "Greetings From Asbury Part, NJ"). Rien d'autre à dire, c'est parfait. En particulier la chanson-titre, "Racing in the streets", "Badlands" et "Something in the night".





KILLING JOKE
NIGHT TIME


Le 25 Janvier 2010 par LEO


Voilà, il fallait bien que la 1ère déception arrive!
"Night Time" à bien plus de points communs avec SIMPLE MINDS, U2 et consorts, qu'avec le KILLING JOKE d'antant!
Où est passée la rage d'autrefois ? Evaporée dans ces nappes de synthés datées made in Ultravox & Co.
Toutes ces compos se ressemblent, pour être oubliées aussitôt. En ce sens, il y a une certaine cohérence dans ce disque! (de là à dire qu'il y a belle unité!!!... c'est un cap que je ne franchirai pas!).
Je trouve cette collection de chansons (on ne peut plus parler d'hymnes tribaux à ce point là!) extrèmement fades et datées.
Même 'Eighties' (sorti en single au Printemps 84) avec ce côté faussement mordant, ne me convainc pas le moins du monde. Ce morceau m'aggace même! C'est dire mon aversion pour cet album et les 2 suivants! Mais à vrai dire, on pouvait déjà voir les prémices de cet avachissement musical dans les singles passés : le mollasson et insignifiant 'A New Day' paru à l'été 84 et dans une moindre mesure le sautillant 'Me or You' de l'automne 83 (la face B de ce dernier, 'Wilful Days' se rapprochant bien plus de l'univers du 33t "Fire Dances").
Bref, il faudra attendre 5 longues années, soit 1990 avec le sublime "Extremities, Dirt & Various Repressed Emotions" pour retrouver un KILLING JOKE au meilleur de sa forme!





KILLING JOKE
FIRE DANCES


Le 25 Janvier 2010 par LEO


STREETCLEANER a brillamment résumé "Fire Dances"!
Ce très bon album est bel et bien la fin d'un chapitre pour KILLING JOKE qui n'abordera plus des climats aussi tribaux dans sa musique à venir, et un peu le début d'un autre en ce qui concerne le côté plus mélodieux au niveau de la voix de Jaz Coleman.
Vrai aussi en ce qui concerne l'unité de ce disque, chose qui faisait un peu défaut sur le précédent "Revelations".
Effectivement, le style de Paul Raven est bien différent de celui de Youth (ce qui peut s'expliquer en partie par le choix d'un jeu en fretless pour ce dernier qui avait une sonorité presque élastique sur une majorité de titres).
Les changements à venir ne se feront pas qu'en studio mais également sur scène. J'ai eu la chance de voir le groupe en concert à cette époque, puis 2 ans plus tard lors de la tournée pour l'album "Night Time", et je peux dire que la différence à ce niveau fut flagrante!
En 83, KILLING JOKE avait encore les crocs et l'âme d'un combo menaçant et dangereux (avec des fans assez incontrôlables, à vrai dire!). En 85, il fallait bien essayer de donner une certaine unité sur scène entre les anciens titres aux accents tribaux et bruts et les nouvelles compos bien plus policées et passe-partout. Il en résultat une musique bien moins fougueuse et rageuse, et un nouveau public bien sage venu écouter les nouveaux tubes à la mode, d'un groupe au passé récent bien plus frénétique et imprévisible!
"Fire Dances" ou la fin d'un cycle.





KILLING JOKE
HA!


Le 25 Janvier 2010 par LEO


Dommage que ce live ne soit composé que de 6 titres (je ne compte pas les bonus sur la version CD, qui de toute façon, ont été enregistrés en studio). Il aurait été judicieux de faire figurer le concert en entier pour sa réédition! Dommage que ce ne soit le cas, car le groupe était ici à son zénith selon moi (pouvoir entendre 'The Fall Of Because' dans un tel contexte, quel pied cela aurait été!...).
Quoiqu'il en soit, nous avons droit à 6 bons titres, dont un 'Sun Goes Down" martial (je le trouve plus puissant en live que dans la version studio d'origine) et un 'Take Take Take' tellement lourd et étouffant que ça en devient hallucinant!
Comme le fait justement remarquer STREETCLEANER, le single 'Birds Of A Feather' (ici en bonus) lorgne déjà du côté de l'album suivant "Fire Dances".
le morceau n'est pas vraiment déplaisant mais personnellement je ne le trouve pas particulièrement réussi. Oui, c'est juste un titre de transition entre 2 albums.





VAN DER GRAAF GENERATOR
WORLD RECORD


Le 25 Janvier 2010 par KINGSTALKER


Il est intéressant de noter que godbluff n'ait eu que 4 alors que world record (un des moins bon) récolte un 5.

A part ça, que dire à propos de ce world record? Bien, il contient d'excellents titres ("Meurglys 3", "Masks") mais aussi des titres plus moyens (" when she comes", "a place to survive")... Album somme toute correct mais pas essentiel.





PINK FLOYD
RELICS


Le 25 Janvier 2010 par GTR


Compilation impeccable, reflétant bien l'époque des Pink Floyd pré-"Meddle" voire pré-"Atom Heart Mother" mais comme toute compile, ça vaut pas un album.
Par contre ça mérite pas un 5/5 évidemment mais un 3/5 (2 c'est quand même fort vache).
"rappelons que les CD de PINK FLOYD sont vendus plein tarif."
Non c'est fini maintenant on voit de plus en plus d'albums ramenés à 10€ voire moins chez les disquaires (il était temps les date de sortie des éditions CD datent des années fin 80, début 90).





The CURE
PORNOGRAPHY


Le 24 Janvier 2010 par EL PACHENKA


Je m'attendais à détester et bien c'est le contraire qui se passe. Sombre, violent, malsain, pesant, certes "Pornography" l'est. J'ajoute qu'il est beaucoup moins déprimant et moins glacial que "Seventeen Seconds" dont j'ai du mal à comprendre l'intérêt contemplatif qui frise parfois l'ennui.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 23 Janvier 2010 par GUEHLYNOIS


Complêtement paumés, les Beatles se dirent : faisons un album avec chacun ses idées et ses chansons, ce sera sûrement plus démocrate !
Ils inventèrent le hard-rock entre temps, tentèrent l'impossible : mixer le tout dans quatre faces.
Ils se dirent : "bon, puisque on est très connus, on peut se permettent de faire absolument tout et n'importe quoi"
John: "mais l'unité artistique ?"
Paul: "on s'en fout il faut renflouer les caisses. Imagine ! Comme l'album sera plein à craquer, nos fans seront tellement dans les vaps qu'ils ne se rendront pas compte de la supercherie"
Ringo : "bon ça marchera, alors"
George : "et comme ça on fera l'album qui sera considéré par les rock critics comme l'un des meilleurs de tous les temps"
Paul : "oui, ils ont des goûts si raffinés"
Et par cette remarque cinglante d'ironie, ils éclatèrent de rire.

Superbe subterfuge, mais ça ne marche pas avec tout le monde, les gars, et ce n'est pas avec des morceaux aussi inaudibles que Revolution 9 que vous m'aurez.

A la limite, Dear Prudence et Glass Onion sortent de ce gigantesque bordel (mais y a-t'il d'autres mots ?) qui n'a rien, aucune structure cohérente dans l'ordre des morceaux et plus une raison de s'appeller George+John+Paul+Ringo que The Beatles.







Commentaires :  1 ...<<...<... 978 979 980 981 982 983 984 985 986 987 988 989 ...>...>>... 1159






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod